Avec son programme Sophia, la Sécu veut faire reculer le diabète

Trois millions de diabétiques, 7 % de malades supplémentaires par an : face au fléau, la Sécu a affiché jeudi les résultats positifs de son programme Sophia auquel adhèrent 226 000 Français. Un succès toutefois à relativiser si l’on considère qu’1,8 million de patients sont éligibles à ce programme.

Le programme Sophia séduit 226 000 patients diabétiques.

Sophia consiste principalement en un service de “coaching“ téléphonique, assuré par 140 infirmiers et infirmières (270 à la fin 2013). Recrutés en interne par l’Assurance maladie, ils s’assurent du suivi du traitement des adhérents, en liaison avec les quelque 56 000 médecins qui participent au programme. Expérimenté en 2008 dans 10 départements, le programme, gratuit, qui fait actuellement l’objet d’une campagne publicitaire, est progressivement généralisé à l’ensemble du territoire.Ce service est bien reçu par ses bénéficiaires, assure l’assurance maladie. “Quand les gens sentent qu’on s’occupe d’eux, ils sont contents“, a commenté devant la presse son directeur, Frédéric van Roekeghem. Il était, en 2011, en revanche moins bien reçu par les services de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas), qui avaient jugé ce programme d’accompagnement des patients diabétiques coûteux et peu efficace sur le plan médical.Les diabétiques éligibles au programme sont au nombre de 1,8 million. Atteints de

diabète de type 1 (sous insuline) ou de type 2 , ils doivent être âgés de plus de 18 ans et pris en charge à 100 % par le régime général d’Assurance maladie au titre des affections de longue durée (ALD).L’Assurance maladie affiche un objectif de 350 000 adhérents à Sophia pour la fin 2013, mais espère dépasser les 400 000. C’était, rappelons-le, déjà son objectif en novembre 2010 lorsqu’elle avait présenté un premier bilan de ses expérimentations (

voir notre article sur le sujet).Sophia, un programme jugé coûteux et peu efficace par l’IgasSelon les premières études effectuées sur la période 2009-2011, les adhérents ont “à caractéristiques égales, des dépenses de soins moins élevées que la population témoin, qu’il s’agisse des dépenses de soins de ville ou d’hospitalisation“, assure l’Assurance maladie, précisant qu’elle étendra par la suite le même type de programme pour les

asthmatiques.Le programme Sophia est fondé sur le volontariat de l’adhérent, ce qui signifie que les malades précaires et moins informés n’y participeront pas, font valoir certaines critiques. “C’est comme cela que se creusent les inégalités de santé“, a estimé pour l’AFP le Dr Claude Leicher, président du syndicat de médecins généralistes MG France qui soutient le programme Azalée.Ce programme, aux moyens plus modestes, et par ailleurs soutenu par l’Assurance maladie, consiste à faire intervenir dans des cabinets médicaux ou pluridisciplinaires des infirmières (une cinquantaine actuellement, le double prévu fin 2013) pour s’occuper du dépistage et du suivi des patients diabétiques, en liaison avec le médecin, mais en vis-à-vis avec les patients et non par téléphone.Selon un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) de 2012, le diabète est devenu la plus importante des ALD et représente 13 milliards d’euros de dépenses de l’Assurance maladie.Amélie Pelletier avec AFP/RelaxnewsSource : Point d’information de l’Assurance maladie, le 21 février 2013.Click Here: Cardiff Blues Store

Transmission de la rage suite à des greffes d'organes

Dans un communiqué, les autorités sanitaires américaines ont confirmé qu’un patient est récemment décédé de la rage qu’il a contractée suite à une transplantation d’organe reçue il y a plus d’un an.

Le virus de la rage attrapé suite à un don d'organes avait pour origine un raton laveur.

Dans ce pays qui compte annuellement un à trois cas de rage transmis par morsure animale, cette transmission par don d’organe est extrêmement rare. Elle a été confirmée formellement après analyse des échantillons du donneur et du receveur : le virus retrouvé était du même type, transmis par le raton laveur. Cela explique également la période très longue, de plus de 12 mois, entre la transplantation de l’organe contaminé et le développement de la maladie chez le receveur. En effet, si dans la majorité des cas de rage, la période d’incubation du virus est de 1 à 3 mois, celle du virus du raton laveur est beaucoup plus longue, de l’ordre de un an.Un autre argument pour confirmer l’origine de cette transmission est l’absence de toute contamination par morsure animale chez le receveur. Quant au mode de contamination du donneur, les circonstances sont en cours d’investigation. En attendant, trois autres personnes ayant reçu un organe du même donneur contaminé ont été identifiées et sont en cours d’évaluation. Les trois patients reçoivent actuellement un traitement préventif (immunoglobulines contre la rage et vaccin anti-rage). Par ailleurs, une enquête est en cours afin d’identifier les contacts proches tant du donneur comme des quatre receveurs. Fort probablement, ces contacts recevront également un traitement préventif.La CDC américaine (Centers for Disease Control and Prevention) précise qu’étant donnée la rareté de cas de rage aux Etats-Unis, cette maladie n’est pas incluse dans le panel des pathologies systématiquement dépistées chez les donneurs d’organes.Jésus CardenasSource : CDC confirms rabies death in organ transplant recipient – Communiqué de presse du CDC du 15 mars 2013 (

accessible en ligne)

Vers un retrait du Myolastan ® ?

Le comité d’évaluation du risque de pharmacovigilance de l’Agence européenne du Médicament(EMA) recommande la suspension de l’ensemble des médicaments à base de tétrazépam, arguant d’une balance bénéfices/risques défavorable. Pour être effectif, cet avis doit être avalisé par une autre instance européenne, le CMDh, qui aura la décision finale.

L'EMA recommande le retrait des médicaments à base de tétrazépam tels que le Myolastan ®.

Le

tétrazépam est une molécule appartenant à la classe des benzodiazépines. Elle est indiquée dans le traitement des contractures musculaires douloureuses et la spasticité (sorte d’hypertonie musculaire). Les médicaments à base de tétrazépam sont commercialisés depuis 1960 dans divers pays de l’Union européenne, sur prescription médicale.En janvier 2013, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a rapporté des réactions cutanées rares mais extrêmement graves liées à la prise de médicaments à base de tétrazépam (

Myolastan ® et

génériques). Elle a alors demandé à l’EMA une réévaluation en urgence de ce type de médicaments.Après évaluation de l’ensemble des données disponibles sur le risque de réactions cutanées, le comité d’évaluation du risque de pharmacovigilance (PRAC) aboutit à la même conclusion, à savoir un risque faible mais supérieur aux autres benzodiazépines de réactions cutanées graves. En outre, il estime que l’efficacité de ces médicaments n’est pas avérée dans les indications pour lesquelles ils ont une autorisation de mise sur le marché.Par conséquent, le PRAC recommande la suspension de mise sur le marché de l’ensemble des médicaments à base de tétrazépam dans l’ensemble des pays de l’Union européenne. Cette suspension pourra être levée uniquement si les laboratoires fabricants fournissent des données suffisamment robustes prouvant que, pour un groupe de patients spécifiques, les bénéfices sont supérieurs aux risques.Il s’agit pour le moment d’une simple recommandation du PRAC. Pour être effectif, ce avis doit être validé par le Groupe de coordination des procédures de reconnaissance mutuelle et la procédure décentralisée – médicaments à usage  humain (CMDh). Celui-ci doit se réunir du 22 au 24 avril et fera ensuite savoir sa position, à savoir le maintien, le changement, la suspension ou le retrait des AMM des médicaments à base de tétrazépam dans les pays de l’UE. Cette décision sera rendue publique et une lettre sera adressée à tous les professionnels de santé pour les informer de la conduite à tenir.Amélie Pelletier
Source
Communiqué de l’agence européenne du médicament (EMA), 13 avril 2013 (

accessible en ligne).

Les ventes de pilules de 3ème et 4ème générations ont chuté de 37 % par rapport à 2012

Le recours aux pilules de 3ème et 4èmegénérations a baissé de 37% en mars 2013 par rapport à mars 2012, tandis que les ventes globales de contraceptifs ne se sont que faiblement érodées (-1,9%), a indiqué Marisol Touraine, lors de la présentation de la nouvelle campagne d’information sur la contraception.

Chute des ventes de pilules 3ème et 4ème générations.

Les femmes n’ont pas cédé à la panique“, s’est félicité la ministre de la Santé, soulignant que le premier trimestre 2013 n’était pas marqué par une “interruption évidente de la

contraception“. Il faudra toutefois attendre le mois de juin et les chiffres définitifs pour s’en assurer et conclure à l’absence d’impact négatif de la polémique autour du mésusage des

pilules de 3ème et 4ème générations, a fait remarquer le Pr Dominique Maraninchi, directeur général de l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM).
Globalement, les ventes de contraceptifs (hors

préservatifs) ont diminué de 1,9 % entre décembre 2012 et mars 2013, par rapport à la même période l’année précédente. Mais cette faible érosion masque la très forte chute des ventes de P3G et P4G, évaluée à 26 % sur cette période.
Parallèlement, les ventes de pilules de 1ère et 2ème générations, indiquées en première intention chez les femmes qui souhaitent une

contraception orale combinée, ont connu un bond de 22 % en mars 2013 par rapport à mars 2012.
Enfin, l’anti-acnéique

Diane 35, très largement détourné de son indication et prescrit à de nombreuses jeunes femmes comme contraceptif oral, a vu ses ventes chuter de 75 % sur la même période, a précisé le Pr Maraninchi.C’est essentiellement chez les jeunes femmes de 15 à 19 ans que le report sur les pilules de 1ère et 2ème générations a été observé ; leurs aînées se sont quant à elles tournées davantage vers des dispositifs intra-utérins (

stérilets).Bilan, le taux d’utilisation des P3G-P4G qui était de 50 % en décembre 2012 est tombé à 30 % aujourd’hui, au profit des P1G-P2G qui est remonté de 50 à 70 %.Au final, “peu de femmes ont renoncé à la contraception“, a salué le directeur général de l’ANSM, indiquant que “les messages donnés par les autorités de santé vis-à-vis des contraceptifs oraux combinés de 3ème et 4ème générations (et de Diane 35) ont été parfaitement compris et intégrés, tant par les prescripteurs que par les femmes“. L’impact sur le recours à l’interruption volontaire de grossesse (

IVG) n’a toutefois pas été mesuré, il le sera en juin.Le ministère de la Santé a par ailleurs commandé une étude à Nathalie Bajos (directrice de recherche, responsable de l’équipe Genre Santé Sexuelle et Reproductive, INSERM-CESP 10189), afin de mieux comprendre le choix des femmes en matière de contraception.Les professionnels de santé en première ligneEn France, encore deux grossesses non prévues sur trois surviennent alors qu’une méthode contraceptive est utilisée. Outre l’information des Français en général, et des femmes en particulier, les autorités de santé mettent en cause un défaut de formation des professionnels de santé (médecins généralistes, gynécologues, sages-femmes, pharmaciens). “Le problème majeur, c’est la formation des professionnels de santé“, a ainsi affirmé Jean-Luc Harrousseau. Et le président de la Haute Autorité de Santé (HAS) de citer leur “mauvaise appréciation des risques, liée à un problème de formation initiale ou continue“ se traduisant par “une mauvaise adaptation aux nouveaux modes de contraception“, ou encore “leur sous-estimation des risques de thrombose“, les “contraintes de temps de consultation“ et “l’influence des laboratoires pharmaceutiques“. Les médecins apprécieront…La HAS a donc produit un ensemble de documents didactiques pour “permettre aux professionnels de santé d’aider les femmes à faire le choix le plus adapté à leur profil, leurs besoins, leur histoire“. Parmi ces documents, 8 fiches mémo* :

  • L’ensemble des moyens de contraception, “avec un focus sur les plus efficaces (exposant à un risque de grossesse inférieur à 1 % selon l’OMS)“,
  • Les règles de prescription et conseils aux femmes à l’occasion de la prescription d’un contraceptif,
  • La

    contraception d’urgence,

  • La contraception de l’adolescente,
  • La contraception en post-partum,
  • La contraception après une IVG,
  • La

    stérilisation à visée contraceptive chez l’homme et chez la femme,

  • La

    contraception chez l’homme.

Une 9ème fiche mémo sur la contraception des femmes ayant des risques cardiovasculaires est attendue pour juin. Par ailleurs, un rapport sur l’état des lieux de la contraception (modalités de prescription, accès aux contraceptifs, etc.), ainsi que l’étude des freins à la prescription de tel ou tel contraceptif doivent les compléter dans les prochains mois. Enfin, un travail évaluant l’intérêt et l’efficience de la recherche de facteurs biologiques marqueurs des risques de prédisposition aux accidents thromboemboliques est également en cours.Amélie Pelletier
Sources
Conférence de presse du ministère de la Santé, en présence de Thanh Le-Luong (Institut de veille sanitaire-InVS), de Jean-Yves Le Gall (Directeur Général de la Santé-DGS), du Pr Dominique Maraninchi (directeur général de l’Agence nationale de sécurité des médicaments-ANSM) et de Jean-Luc Harrousseau (directeur de la Haute Autorité de Santé-HAS), le 15 mai 2013.*Retrouvez l’ensemble des fiches de la HAS sur son

site.Click Here: los jaguares argentina

Début des festivités cannoises pour Pedro Almodovar

Il n’a pas encore monté les marches mais il a déjà fait la fiesta: Pedro Almodovar, fidèle du festival et aussi de ses récompenses, a fait sa première apparition sur la Croisette dimanche soir. Le cinéaste espagnol était l’invité d’honneur de sa grande copine Rossy de Palma, qui recevait au 1835 White Palm, le nouveau palace branché de Cannes.

Liberté et anticonformisme étaient à l’honneur dimanche soir au 7e étage du 1835 White Palm Hotel, qui vient de rouvrir ses portes à Cannes. La drôlatique Rossy de Palma y organisait d’abord un dîner intime avec 80 «amis» du monde des arts et du cinéma, avant le coup d’envoi d’une soirée délirante, the place to be en cette fin de week-end cannois.

Le plus VIP des guests de la señorita de Palma était sans doute Pedro Almodovar, un ami de longue date puisque le réalisateur espagnol a donné son premier rôle à Rossy il y a plus de vingt ans dans La Loi du Désir. A cette époque Penelope Cruz fréquentait encore les bacs à sable et déjà Almodovar était fasciné par l’étrange beauté de Rossy de Palma. Tous deux écumaient les nuits madrilènes et dimanche soir, ils ont prouvé qu’ils étaient encore d’indécrottables fêtards… en réalité, c’est surtout l’hôtesse de la soirée qui s’est déchaînée sur la terrasse du White Palm.

Pedro Almodovar, lui, a posé pour les photographes au bras de “Bibi”, une autre de ses actrices fétiches, et s’est contenté de dîner au 360, le nouveau restaurant gastronomique du Palace. Aux alentours de 23h, la soirée a démarré doucement sur la terrasse attenante, décorée de tapis conviviaux et de guirlandes qui lui donnaient un petit air de fête foraine. Chic, tout de même: les invités, triés sur le volet, ont bu du champagne au son d’Helena Noguerra qui mixait aux platines et du quartet pop-rock électronique Das Pop. Parmi les illustres guests, Rosanna Arquette, joue contre joue avec Jean-Marc Barr, Saïd Taghmaoui (qui est décidément partout à Cannes), Bianca Lee et last but not least, l’immense Tilda Swinton, habillée et accompagnée par le styliste belge Haider Ackermann.

Mardi soir, Rossy de Palma montera les marches du Palais des festivals auprès de son réalisateur préféré et de Penelope Cruz, l’héroïne d’Etreintes Brisées, présenté en compétition: l’histoire d’un écrivain qui, quatorze ans auparavant, a perdu dans un terrible accident de voiture, la vue et la femme de sa vie, Lena.

Les photos de la soirée et toute l’actualité du festival de Cannes sur notre site dédié!

Lundi 18 mai 2009

Les médecins consacrent plus de temps à leur formation grâce aux serious games

Selon des études récentes qui seront présentés lors du 3e Congrès International des Médias Sociaux et de la Santé 2.0 organisé par Doctors 2.0 & You le 6 et 7 juin 2013 à Paris, l’utilisation de moyens ludiques comme les «Serious Games» rendent le e-learning plus attrayant pour les médecins. En plein développement, ce secteur est d’ailleurs soutenu par l’Etat.

L'Etat soutient les initiatives de serious games pour aider le maintien à domicile de personnes fragiles ou dépendantes 

La formation en ligne et le e-learning sont utilisés par les médecins depuis des années pour mettre à jour leurs connaissances. Les serious games, un nouveau moyen de formation, est de plus en plus utilisé par les médecins qui, du coup, investissent plus de temps sur ces nouveaux modes de formation. Mais pour être en phase, les serious games se développent aussi à l’intention des patients, notamment pour contribuer à l’éducation thérapeutique.Des jeux pour apprendre, une technique importée des Etats-UnisOriginaires des Etats-Unis où ils ont été conçus pour recruter du personnel militaire, les serious games se sont rapidement développés et étendus à d’autres domaines dont celui de la santé. Pour simplifier, un serious game est un jeu qui permet d’apprendre tout en s’amusant. Autrement dit, il s’agit d’un jeu vidéo avec une finalité pédagogique “sérieuse“.Des serious games français pour les médecins, pour les patients et pour le grand publicEn France, le magazine AsipSanté mentionne le jeu SIMUrgences, développé par la société Interaction Healthcare. Ce serious game a été conçu en 3D pour former les cardiologues et urgentistes à la prise en charge des personnes se trouvant en situation d’urgence cardiaque.Côté patients, des serious games ont été développés pour contribuer à améliorer le diagnostic, le suivi, l’observance (respect du traitement) et la rééducation. D’autres, comme Ludomedic, sont proposés pour accompagner les enfants et leurs parents à une hospitalisation, ou encore pour former le grand public aux gestes qui sauvent, comme c’est le cas du jeu de simulation Staying Alive proposé par l’Université Paris Descartes et Dassault Systèmes.L’Etat soutient ce secteurEn pleine croissance, le secteur des serious games représenté par de nombreuses PME innovantes pourra atteindre 84 millions d’euros d’ici fin 2015. L’Etat soutient ce secteur depuis 2009, avec des enveloppes financières et des initiatives notamment “pour aider le maintien à domicile de personnes fragiles ou dépendantes“. D’autres aides et programmes de soutien régionaux sont également en train de surgir pour soutenir le développement des serious games dans le domaine de la santé.Jesus CardenasSources :Magazine AsipSanté du Ministère des Affaires sociales et de la santé

(Disponible en ligne)

Site Internet de Doctors 2.0 & YouPour en savoir plus, lire notre article :

Doctors 2.0 & You : un avant-goût de son prochain congrèsClick Here: cheap sydney roosters jersey

Bon plan : gagnez des lunettes Karl Lagerfeld

Avis aux fashionistas, Optic 2000 et Karl Lagerfeld lancent un jeu interactif qui permet de gagner une paire de solaires signée par le créateur.

Karl Lagerfeld et Optic 2000 vous proposent de jouer pour gagner une paire de lunettes imaginée par le créateur.

La vidéo intitulée “Je veux les lunettes de Karl“ montre le styliste en personnage animé, échappant de façon espiègle avec une jeune fan enthousiaste qui cherche à lui dérober sa fameuse paire de solaires.  Ce jeu, à découvrir sur votre smartphone ou sur votre ordinateur, a été imaginé par la chaîne Optic 2000 et la marque Karl Lagerfeld.Les heureux gagnants recevront une paire de lunettes de soleil Karl Lagerfeld. Dix figurines Lagerfeld par Tokidoki sont également à remporter. Pour tenter votre chance rendez vous sur

Je veux les lunettes de Karl. Anne-Sophie Savenier Source : RelaxnewsClick Here: camiseta rosario central

Séisme en Indonésie : les secouristes français déployés sur place

Un puissant séisme, suivi d’un tsunami, ont frappé vendredi 28 septembre l’archipel des Célèbes, en Indonésie. Près de 1 400 personnes y ont perdu la vie. L’ONU affirme que plus de 200 000 personnes ont besoin d’une aide humanitaire urgente. Une situation face à laquelle des secouristes français ont décidé de se mobiliser. Cinq d’entre eux ont décidé de quitter Limoges (Nouvelle-Aquitaine) pour se rendre à Palu (Indonésie), afin de fouiller les décombres de l’hôtel Mercure.L’attente des familles de disparusCes pompiers volontaires ont emporté avec eux du matériel de pointe, mis à disposition des secours indonésiens. Six jours après le séisme, près de 40 personnes sont encore coincées sous les décombres du bâtiment de deux étages. Bien que l’urgence se fasse ressentir, les secouristes ne perdent pas espoir. Les familles des disparus sont exaspérées, pointant du doigt l’insuffisance des secours.Le JT

  • JT de 13h du jeudi 4 octobre 2018 L’intégrale

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Palmarès des hôpitaux français : Lille et Toulouse en tête

Les CHU de Lille (1er) et Toulouse (2e) sont toujours en tête de l’édition du palmarès des 50meilleurs hôpitaux publics français étudiés pour la qualité de 63spécialités médicales et chirurgicales, que publie jeudi Le Point, soulignant également la percée des femmes “docteures“.

Lille et Toulouse arrivent en tête du Palmarès 2013 des hôpitaux du Point.

Depuis plusieurs années ces deux hôpitaux caracolent en tête du tableau complété d’un palmarès des 50 meilleures cliniques privées prenant en compte 37 spécialités.Suivent le CHU de Bordeaux (3e), les hôpitaux universitaires de Strasbourg (4e), le CHU de Nantes (en hausse), celui de Montpellier (qui passe de la 5e à la 6e place), la Pitié-Salpêtrière-Paris (en hausse), les CHU de Nancy (qui passe de la 15e à la 8place), de Rennes, Grenoble, Amiens, Rouen, Tours, Caen, Clermont-Ferrand, Nice et Limoges.Le centre hospitalier de La Roche-sur-Yon (50e) ferme le ban.Pour figurer au classement final, un établissement doit fournir un service médical et chirurgical complet. Les établissements de soins spécialisés en sont donc écartés, mais apparaissent dans les classements sur la prise en charge des cancers ou des maladies infantiles.Côté cliniques, le centre hospitalier privé Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine) garde la 1ère place, talonné par l’hôpital privé Jean Mermoz (Lyon) et les Nouvelles Cliniques nantaises (Nantes).Les classements thématiques couvrent un large éventail des soins (

hépatites virales,

diabète, rhumatologie,

cancer de la prostate, hernies,

chirurgies de l’obésité, de l’oeil, du pied,

hypertension artérielle…).Au chapitre des nouveautés, la chirurgie de l’audition et celle du nez et des sinus (uniquement à l’hôpital).Le magazine décrit aussi une intervention de l’aorte sous hypnose à l’hôpital Saint-Joseph (Paris), “où le chirurgien et l’anesthésiste sont les seuls à pratiquer ainsi“ et dresse un tableau original des étrangers qui viennent se faire soigner en France (cancers, dialyse…) : plus de la moitié viennent de l’Union européenne et la majorité (93 %) est traitée à l’hôpital public (source: données PMSI 2011).Le Point attaque par ailleurs “les dérives et les ratés de la

chirurgie réfractive“ (

myopes,

astigmates,

presbytes…) et note l’aveu révélateur d’un spécialiste qui avoue ne connaître aucun confrère qui se soit fait opérer de la presbytie.Enfin, sur 42 000 praticiens hospitaliers du public, pas loin d’un sur deux est une femme (46 %) voire plus à l’AP-HP (55 % avec les internes).Les femmes représentent désormais un quart des chirurgiens, mais il reste des bastions masculins comme l’orthopédie, l’urologie (4 % chacun), la chirurgie artérielle (8 %) et la chirurgie cardiaque et thoracique (9 %).Et l’accès aux postes hiérarchiques les plus élevés (professeurs, chef de service…) reste dominé par les hommes.AFP/Relaxnews
Source
Click Here: cheap Cowboys jerseyHôpitaux et cliniques, palmarès 2013“ – Le Point, 22 août 2013.

Don d'ovocytes : un dispositif en ligne pour accompagner les donneuses potentielles

L’Agence de la biomédecine lancera sur son

site internet, le 18 novembre, un nouveau dispositif facilitant le don d’ovocytes. Un service essentiellement conçu pour les femmes souhaitant aider les couples infertiles, sans réellement savoir comment passer à l’acte.

L'Agence de la biomédecine propose via un dispositif en ligne de faciliter le passage à l'acte pour le don d'ovocytes (©www.dondovocytes.fr)

Ce nouvel espace virtuel facilite notamment la mise en relation entre les donneuses potentielles et les centres d’

assistance médicale à la procréation (AMP) les plus proches de leur domicile.

Une fois sur le dispositif “Le

don d’ovocytes près de chez vous“, les femmes sont accueillies par une conseillère virtuelle. Il suffit ensuite d’indiquer son code postal pour avoir accès à une panoplie d’informations : les chiffres de dons d’ovocytes dans la région, une animation renseignant sur les différentes étapes d’un don, des témoignages de donneuses ou de couples infertiles, ou encore des informations sur l’équipe médicale.

Les futures donneuses ont également la possibilité d’être directement contactées par le centre d’AMP sélectionné afin d’envisager une prise de rendez-vous ou simplement s’informer.L’Agence de la biomédecine rappelle qu’il est indispensable d’être âgée de 18 à 37 ans, d’être mère d’au moins un enfant et d’être en bonne santé, pour devenir donneuse.RelaxnewsSource : Communiqué de presse de l’

Agence de la biomédecine