Month: February 2020

Pour son lancement dimanche 7 octobre, la nouvelle chaîne D8, la petite sœur de Canal+, n’a pas hésité à gonfler son budget communication. Tandis que les teasings et autres spots publicitaires battent leur plein, ce jeudi, c’est le générique du Grand 8, la nouvelle émission présentée par Laurence Ferrari et sa bande de copines, qui fait le buzz.

Ça y est, après cinq ou six pilotes, le Grand 8, le talk-show de Laurence Ferrari et de sa «bande de copines», est fin prêt. Dans le making of de l’émission, dévoilé ce matin par la chaîne D8, on retrouve Laurence Ferrari et ses quatre chroniqueuses, l’ancienne ministre de la Santé Roselyne Bachelot, Hapsatou Sy, fondatrice de la chaîne de salons de beauté Ethnicia, et les journalistes Elisabeth Bost et Audrey Pulvar. Les cinq drôles de dames, cinq tempéraments, mines rayonnantes, décomplexées et tout sourire donnent largement le ton de ce talk show d’actualités avant d’être un talk show féminin, qui sera diffusé quotidiennement à 12h15 à partir de lundi prochain. Si elles échangeront, parfois de manière musclée, leurs points de vue, complicité et bonne humeur seront toujours de la partie. Laurence Ferrari, interrogée sur le plateau du Buzz Média/Le Figaro quelques jours plus tôt, l’avait déjà expliqué: «Il y a de bonnes frictions sur le plateau mais toujours dans un esprit de respect et de générosité».

Ensemble, la bande de choc commentera l’actualité du jour. Politique, économie, culture, people, musique… aucun sujet n’échappera au regard aiguisé et inquisiteur de l’ancienne présentatrice du JT de 20h de TF1 et de ses quatre «coprésentatrices», comme elle les nomme, soucieuse de ne pas leur voler la vedette. «Être entre filles, forcément ça libère un peu la parole, et puis Laurence, Roselyne et moi, on a quand même quelques heures de vol au compteur donc on est très libres dans nos têtes, dans notre parole, et Elizabeth et Hapsatou sont aussi des filles qui y vont, qui s’assument et assument leurs opinions», confie Audrey Pulvar dans le making-of. Roselyne Bachelot, qui s’était déjà distinguée fin 1998 pour avoir pris LA parole en faveur du mariage des homosexuels et de l’adoption d’enfants pour les couples homosexuels contre les membres de son groupe à l’assemblée, lui emboîte le pas: «Ça ne s’est jamais fait dans notre pays, cinq filles qui font un magazine d’actualités. On n’est pas là pour être des petites filles bien gentilles, bien mignonnes, bien disciplinées».

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Un rendez-vous quotidien qui promet d’être haut en couleurs! Et pour ceux qui auraient manqué le créneau familial de 12h15, l’émission sera rediffusée à 16h45puis, pour les plus accros, à 2h15.

Samedi, l’une des blagues de Laurent Ruquier dans On n’est pas couché a choqué les Japonais. Au point d’obliger l’ambassade du Japon à intervenir pour exprimer son mécontentement auprès de la chaîne publique.

Leur victoire sur l’équipe de France de football vendredi soir ne leur a pas suffi. Les Japonais s’attaquent encore à la France, la faute cette fois à Laurent Ruquier. L’une de ses blagues, samedi lors de son émission On n’est pas couché, ne leur a vraiment pas plu. Un photomontage dotait le gardien de l’équipe du Japon, Eiji Kawashima, de quatre bras, une mutation due selon Laurent Ruquier à la catastrophe de Fukushima et qui expliquerait la bonne performance des Japonais et l’impossibilité pour les Français d’inscrire des buts.

Un humour que les habitants du soleil levant n’ont pas goûté. Le porte-parole du gouvernement japonais, Osamu Fujimura, a estimé: «C’est tout à fait déplacé (…) cela heurte les sentiments des survivants». Il a ajouté que l’ambassade du Japon à Paris avait adressé une lettre de protestation à France 2.

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Joint par Le Parisien, Laurent Ruquier a déclaré: «Cette polémique est insensée. À aucun moment, je n’ai dit la moindre chose sur les victimes de Fukushima, pour lesquelles j’ai le plus grand respect. Ma blague avait deux cibles: le fait que l’équipe de France de football s’est fait battre par le Japon, et les conséquences que pourrait avoir un accident nucléaire». Cependant, France 2 a dû se fendre d’un communiqué pour présenter ses excuses au peuple japonais: «Nous sommes profondément désolés d’avoir ainsi blessé vos concitoyens (…) Dans cette émission humoristique voire satirique, notre animateur tenait surtout à se moquer de l’équipe de France de football». Fin de l’incident donc pour Laurent Ruquier qui s’en tire avec un simple carton… jaune.

Invité à réagir sur un article du Monde paru la semaine dernière et qui expliquait les obstacles à la reformation du groupe Téléphone (ego, sexe et fric), Louis Bertignac confirme qu’il va être difficile de voir à nouveau les quatre membres sur une même scène. Le guitariste parle davantage d’un problème d’envie.

C’est le plus vieux serpent de mer de l’histoire du rock français. La semaine dernière, un excellent article du Monde tentait d’expliquer les raisons pour lesquelles Téléphone ne parvenait pas à se reformer. La faute à Jean-Louis Aubert, et sa mainmise sur le groupe (il aurait déposé seul, sans en parler aux autres, le nom de Téléphone auprès de l’INPI), à des histoires d’argent et surtout aux problèmes avec Corinne Marienneau, brouillée avec ses anciens camarades.

Mais selon Louis Bertignac, interrogé par Anne-Elisabeth Lemoine dans La nouvelle édition sur Canal+, le retour de Téléphone «c’est de plus en plus mal barré». Il avoue «se foutre» d’articles comme ceux du Monde, mais le guitariste sait très bien l’écho qu’il peut avoir auprès d’un public en attente d’un retour de la bande des quatre. Et contrairement à l’idée répandue, ou que certains se plaisent à répandre, pour Bertignac, le problème n’est pas la seule femme du groupe. «J’adore Corinne, il n’y a aucun problème là-dessus. Si on ne s’est pas reformé, c’est parce qu’il n’y a pas une envie assez profonde pour se reformer» affirme le coach de The Voice.

Les problèmes relationnels évoqués sont pour lui inhérents à la vie d’un groupe rock. Le plus populaire –à l’époque- de surcroît. «Bien sûr qu’il y a eu des problèmes, il y a toujours des problèmes, pendant dix ans de Téléphone il y a toujours eu des petites engueulades entre Jean-Louis et Corinne, ça a toujours été comme ça. J’étais pris un peu entre deux feux parce que Corinne c’était ma meuf et Jean-Louis c’était mon meilleur pote» raconte Bertignac. Comme l’avance l’article du Monde, il reconnaît qu’il a bien été question à une époque de reformer Téléphone mais sans Corinne, contre un chèque de 200000 euros que les trois hommes du groupé étaient prêts à lui reverser. «Ça a existé, oui. C’était une solution pour faire le groupe malgré les dissensions. Ça n’a pas été accepté et je trouve que c’est très bien». La morale est sauve, mais les fans déçus. Téléphone, ça sera donc à quatre ou ça ne sera pas. Pour l’instant, il y a trop de friture sur la ligne…

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Ce week-end, Disneyland Paris s’est paré de son costume de Noël. Un peu plus d’un mois avant les fêtes de fin d’année, le coup d’envoi était donné en grande pompe. Non seulement des enfants de l’association des Petits Princes étaient présents pour participer à des ateliers avec des personnalités comme Natasha St Pier, Laurence Ferrari, Gad Elmaleh, mais en plus le film Les mondes de Ralph était projeté en avant-première en présence de François-Xavier Demaison.

Après une année entière de festivités qui ont marqué les 20 ans du parc, Disneyland à Paris a célébré ce week-end le dernier grand événement de son année anniversaire: le coup d’envoi de la saison de Noël. Un moment bien particulier puisqu’il associe plus que jamais magie et divertissement. Pour l’occasion, Disney avait mis les petits plats dans les grands.

Les enfants étaient placés au cœur des festivités notamment avec la présence de l’association Petits Princes qui fête elle ses 25 ans et dont le but est de réaliser les rêves d’enfants. Des ateliers étaient organisés avec les nombreuses personnalités qui avaient fait le déplacement: Laurence Ferrari, Bruce Toussaint, Gad Elmaleh, Maud Fontenoy, Bruno Solo, Clotilde Courau, Xavier de Moulins, Sandrine Kiberlain, Franck Dubosc, etc.

Tous ont pu profiter des attractions du parc qui avaient revêtu ses habits de Noël, assisté au spectacle Disney Dreams et surtout voir en avant-première le nouveau film Disney, Les mondes de Ralph, auquel François-Xavier Demaison prête sa voix.

L’illumination du grand sapin de Noël qui trône au début de Main Street a quant à elle eu les honneurs du Chœur d’enfants de l’Opéra de Paris qui a accompagné l’événement sur un air créé pour l’occasion. Les enfants et les adultes qui n’étaient pas présents à Disneyland Paris ce week-end pourront profiter des décorations de Noël jusqu’au 6 janvier prochain.

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La chanteuse américaine de « Crazy in love » a publié des photos de sa famille à l’occasion des vacances de Thanksgiving. On y retrouve son mari, le rappeur Jay-Z et leur fille Blue Ivy qui fêtera bientôt ses un an.

Aux Etats-Unis, la fête de Thanksgiving donne l’occasion d’être reconnaissant pour les bonnes choses que l’on a reçues pendant l’année. Et en 2012, la chanteuse Beyoncé a quelques raisons d’être reconnaissante. Le 7 janvier dernier, elle a donné naissance à une très jolie petite fille: Blue Ivy. Le papa aux anges, Jay-Z, avait d’ailleurs composé une chanson dans la minute pour sa progéniture, dans laquelle on entendait les premiers gémissements du bébé.

Alors que les autres stars partagent des photos de leur nourriture, Queen B, elle en profite pour poster des photos de sa petite famille. Un premier cliché souhaite un joyeux Thanksgiving à ses fans : « From my family to yours. Wishing you a happy and healthy Thanksgiving » (De ma famille à la vôtre. Un Thanksgiving dans la joie et la bonne santé). Puis, deux autres photos montrent la petite Blue Ivy dans les bras de ses parents.

La famille Carter a pris quelques jours de vacances au soleil loin des bourrasques de New York, où le couple vit le reste de l’année. Dans ce mini-album de famille, Blue Ivy Carter est habillée de bleu, sa couleur fétiche, comme sa maman (il faut bien donner l’exemple). Alors que Beyoncé l’embrasse, on devine la petite tignasse bouclée de l’enfant ainsi que ses joues rondes. Beyoncé, quant à elle, naturelle et sans maquillage, est coiffée de petites tresses africaines. Un look très estival complété par de grosses boucles d’oreilles et une gigantesque bague en or. Américaine modèle, la reine des charts n’a évidemment pas fait l’économie d’une photo de la traditionnelle dinde de Thanksgiving.

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Anna Karénine, le chef d’œuvre de Tolstoi maintes fois adapté, trouve cette semaine un souffle nouveau grâce à l’adaptation de Joe Wright, et l’interprétation d’une Keira Knightley parfaite.

Elle est belle, gracieuse, a du caractère et joue divinement bien. Keira Knightley succède avec panache à Sophie Marceau -entre autres- dans le rôle d’Anna Karénine, représentante de l’aristocratie russe, épouse et mère.

Anna mène une vie paisible dans la haute société de Saint-Pétersbourg, jusqu’à ce qu’en visite à Moscou, elle croise le regard de Vronski (Aaron Taylor-Johnson). Jeune officier à la gueule d’ange, au regard si intense qu’Anna en est instantanément troublée. Elle qui n’était pourtant pas malheureuse dans le cadre conjugal, va tout remettre en cause pour vivre sa passion et en payer le prix dans une société minée par les conventions sociales et l’hypocrisie.

Keira Knightley semble taillée pour les films en costume. Mignonne dans Love Actually, avec Hugh Grant, troublante dans Last Night aux côtés d’Eva Mendes et Sam Worthington, elle devient fascinante dans The Duchess, et bien sûr dans A Dangerous Method face à Michael Fassbender. L’actrice serait-elle faite pour le port du corset? Dans Anna Karénine en tout cas, ses tenues mêlant la haute couture des années 50 et pièces du XIXe lui vont à ravir. La finesse de ses traits et sa grâce contribuent au rêve que véhicule l’adaptation du roman de Tolstoi.

L’actrice s’est attachée à ce que l’héroïne ne soit pas «que» attachante: «En relisant l’histoire, je me suis rendue compte qu’Anna pouvait être abordée comme une anti-héroïne. Il fallait montrer autant sa gentillesse que sa cruauté.» Pari réussi: Keira est donc époustouflante, comme dans la scène du bal où l’amour entre elle et Vronski naît au rythme de la musique, une scène chorégraphiée et filmée à la perfection. Elle est impressionnante dans son lit, prise par la maladie. Et si belle dans les scènes d’amour passionnées.

Le romantisme incarné.

Cacher ces légumes que les photographes ne sauraient voir… Samedi, la presse en a été pour ses frais à l’occasion du traditionnel Noël de l’Elysée : les photographes sont revenus bredouille et trois jours après l’événement, le service de presse de l’Elysée refuse de transmettre des photos qui nous permettraient de vous faire partager ce pur moment de bonheur… et de communication, en théorie.

L’Elysée a fait déplacer deux photographes, samedi, pour finalement leur interdire de faire leur boulot. Officiellement «en raison de l’actualité» -une tuerie avait eu lieu la veille aux Etats-Unis, qui a fait 26 morts dans une école du Connecticut- la presse a été priée de ne prendre ni image ni son du président de la République. Une explication que les photographes, convoqués la veille dans l’après-midi et qui n’avaient pas reçu le moindre message entre-temps, ont eu bien du mal à avaler. Ils ont à peine réussi à shooter Valérie Trierweiler, la première dame qui assume de mieux en mieux son statut, et n’ont pas pu immortaliser François Hollande aux côtés du Père Noël… Trop injuste.

De son côté, le site de l’Elysée proposait dès samedi, dans sa rubrique «Nation, institutions et réforme de l’Etat», des dizaines d’images réalisées par son photographe officiel Stéphane Ruet, témoignant de l’ambiance bon enfant, c’est le cas de le dire, qui régnait au Palais samedi, et que Gala.fr aurait dû pouvoir vous faire découvrir. Il faudra pourtant se contenter d’un portrait de groupe, montrant François Hollande entre potirons et carottes, émanant de Talents et Productions, la compagnie mandatée pour le show.

Pourquoi la Présidence a-t-elle finalement interdit les prises de vue alors qu’elle avait elle-même contacté le comité de liaison de la presse et demandé un pool de photographes? Le mystère reste entier, mais il a un vague goût de pot-au-feu…

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Dans une interview au quotidien Le Matin, Tomer Sisley lève le voile sur ses secrets de famille. Un témoignage sans tabou.

Il était au Salon international de la haute horlogerie à Genève où il représentait la marque Roger Dupuis. C’est à cette occasion que Tomer Sisley s’est prêté au jeu de l’interview dans le quotidien Le Matin. Et si le journaliste lui a posé des questions indiscrètes, l’acteur français de 38 ans n’a pas hésité à y répondre.

Lorsqu’on lui demande si sa mère lui disait «je t’aime», Tomer Sisley répond: «Non, elle ne me le disait pas. Je n’ai pas eu la mère la plus exceptionnelle». Visiblement cette blessure n’est pas la seule. Le comédien semble également souffrir de l’absence de son frère dont l’existence était jusque là cachée.

À la question «Avec qui aimeriez-vous passer une agréable soirée», il parle d’abord de ses grands-parents puis se ravise : «Et mon frère… Je n’en ai pas parlé publiquement avant, mais j’ai un frère que je n’ai jamais rencontré. Il est au courant que j’existe. Il vit en Israël».

Dans cette interview, Tomer Sisley a visiblement décidé de répondre honnêtement à toutes les questions. Même à celle concernant son salaire. En pleine polémique sur la fortune des acteurs, il avoue gagner de «zéro, et parfois sur deux ans, à 700 000 euros».

Si les confessions intimes de Tomer Sisley dévoilent des manques dans la vie personnelle de l’acteur, côté travail, tout va bien. Tomer Sisley sera marquis de Plessis-Bellière dans le «reboot» d’Angélique marquise des anges, et donnera la réplique à Jennifer Aniston dans la comédie d’action We’re the Millers. Que du bonheur!

C’est la deuxième année en cinq ans qu’elle se retrouve numéro un du classement annuel du magazine Billboard. Madonna est l’artiste américaine qui génère le plus de revenus. En 2012, ses concerts du MDNA Tour lui ont rapporté la coquette somme de 32 millions de dollars. À 54 ans, la star est toujours aussi bankable.

Elle avait déjà été numéro un en 2008, et elle réitère l’exploit en 2012. Grâce à une tournée record de 88 dates, Madonna a empoché un joli pactole, près de 32 millions de dollars. Et encore, il ne s’agit que de 93% de la somme. Au total, la Material Girl a précisément gagné 34 577 308,62 dollars. Elle est la seule femme dans le top 10.

Taylor Swift, première en 2011, est redescendu à la quinzième place. Une chute dans le classement qui s’explique par son absence sur scène. En effet, ce qui permet aux stars de la musique de gagner de tels sommes, ce sont les concerts live.

En véritable bête de scène, Madonna, 54 ans, l’a bien compris. L’industrie du disque est déclinante. Pour résister, il faut se produire sur scène et opter pour une communication 2.0. Lors de la dernière tournée, les fans de Madonna, prêts à débourser des sommes folles pour apercevoir leur idole, se sont vu offrir, pour l’achat d’un billet, son dernier album gratuitement.

Une opération marketing qui a plutôt bien fonctionné puisque le MDNA Tour se classe parmi les dix plus grandes tournées de tous les temps. Mais l’interprète de Like a Virgin n’est pas la seule à avoir trouvé le bon filon.

En deuxième position du classement Billboard, Bruce Springsteen, puis à la troisième place, Roger Waters, des Pink Floyd. Loin derrière le trio de tête, Van Halen, Coldplay, ou encore Justin Bieber, qui ferme la marche du top 10 avec 16 millions de dollars de revenus.

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