Gênes : début de la démolition du pont

C’est un moment symbolique, attendu par toute une ville. Depuis près de six mois, impossible pour les habitants de Gênes (Italie) de tourner la page. Les ruines du pont Morandi sont encore là, mais vendredi 8 février, le coup d’envoi de son démantèlement est donné. Une opération délicate, avec quatre puissantes machines qui descendent peu à peu les blocs de béton de 26 tonnes. En tout, 900 tonnes sont suspendues dans les airs. Des machines de haute technologie déjà utilisées pour remonter l’épave du Costa Concordia.Fin des travaux en 2020Autant de catastrophes qui nuisent à l’image de tout un pays. Alors, pour le début des travaux, le Premier ministre italien est venu maintenir sa promesse. “Je peux vous confirmer que la reconstruction du nouveau pont sera achevée avant la fin de l’année. Pour son inauguration, il faudra attendre début 2020”, a déclaré Giuseppe Conte.Le JT

  • JT de 12/13 du vendredi 8 février 2019 L’intégrale

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Malaise présidentiel: François Fillon soulagé

François Fillon a écourté son week-end dans la Sarthe pour rentrer à Paris dimanche après-midi, après avoir appris l’hospitalisation de Nicolas Sarkozy. Rasséréné depuis que le chef de l’Etat est sorti du Val-de-Grâce, le Premier ministre partage ses frayeurs, et son bonheur retrouvé!

François Fillon est ravi du prompt rétablissement de Nicolas Sarkozy, au lendemain d’un malaise pendant un jogging dans le parc du château de Versailles. «Je me réjouis dès (ce lundi) après-midi de le retrouver en pleine forme pour travailler avec lui», a déclaré le chef du gouvernement aux journalistes, en marge d’un déplacement à Leuglay (Côte d’Or).

«On est toujours inquiet quand quelqu’un de proche de vous a un malaise. Mais enfin j’ai été rapidement rassuré par l’entourage du Président sur le fait que ce malaise était un bénin», a précisé le locataire de Matignon.

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Le Premier ministre a assuré que le chef de l’Etat était «en très bonne santé». «Je vais l’avoir au téléphone tout à l’heure», a-t-il ajouté, ému. Sorti de l’hôpital en fin de matinée, Sarko n’est pas revenu à l’Elysée, où la ministre de l’Economie Christine Lagarde l’a remplacé pour la signature d’un accord pérennisant le dispositif de médiation du crédit aux entreprises. Les chaînes de télévision ont montré des images du cortège présidentiel revenant à la résidence de la Lanterne. Le déplacement que le chef de l’Elysée devait effectuer mardi au Mont-Saint-Michel sur la valorisation du patrimoine a aussi été reporté.

Les vacances du pouvoir

Nicolas Sarkozy présidera mercredi matin le dernier conseil des ministres avant la pause estivale et son départ en vacances pour trois semaines au cap-Nègre, sur la côte d’Azur, dans la résidence familiale de son épouse. La nomination d’une poignée de secrétaires d’Etat, pour compléter le remaniement ministériel de juin dernier, attendra vraisemblablement son retour de vacances, avant le conseil des ministres de rentrée prévu le 25 août.

Victime d’un étourdissement attribué au surmenage, Nicolas Sarkozy a été mis au «repos relatif» pour quelques jours. «Le diagnostic est celui d’un malaise lipothymique d’effort soutenu par grande chaleur et sans perte de connaissance, dans un contexte de fatigue liée à une charge de travail importante», lit-on dans le communiqué de l’Elysée.

«Aucun traitement médical n’a été prescrit» au chef de l’Etat, précise l’Elysée.

L’image de Super-Sarko, «hyperprésident» au rythme de vie effréné, sportif amateur de course à pied et de vélo – il a suivi mercredi dernier une étape du Tour de France dans les Alpes – omniprésent, hyperactif et infatigable, n’en est pas moins écornée.

«Cette crise bénigne peut être l’occasion pour le président de faire un peu de travail sur lui-même», selon le politologue Stéphane Rozès. «Soit il ne change rien à ses comportements antérieurs, pour montrer qu’il n’est pas affaibli et qu’il continue toujours à montrer des signes de la surpuissance: il continue, voire il accélère dans son activité. Soit il profite de ces moments-là pour justement répondre à l’attente des Français: dans les grandes crises, ils attendent que les gouvernants aillent à l’essentiel», a confié l’expert à l’AFP-TV.

Lundi 27 juillet 2009

La justice ouvre une enquête pour “agressions sexuelles” à l’encontre du représentant du Vatican en France

Luigi Ventura est dans la tourmente. Cet homme de 74 ans, représentant du pape en France, est visé depuis le 24 janvier par une enquête du chef d’agressions sexuelles, a appris franceinfo vendredi 15 février de source judiciaire, confirmant une information du Monde. Contactée par franceinfo, la représentation du Vatican à Paris indique n’avoir aucun commentaire à faire.Un jeune cadre municipal s’est plaint à sa supérieure hiérarchique d’attouchements répétés du prélat italien lors de la cérémonie des vœux de la maire de la capitale, Anne Hidalgo, à l’hôtel de ville, le 17 janvier. Selon des sources concordantes, la mairie de Paris a fait un signalement le 23 janvier au parquet, en vertu de l’article 40 du Code de procédure pénale.Des faits qui ont eu lieu devant plusieurs témoins“Le nonce apostolique a caressé les fesses de manière répétée de l’agent qui était chargé de l’accueillir. Il s’agit d’un homme d’une trentaine d’années, membre de la direction des affaires étrangères de la mairie de Paris. Les faits se sont déroulés devant plusieurs témoins, dont d’autres agents de la mairie”, précise à franceinfo la ville de Paris. L’agent municipal a aussi déposé plainte de son côté. Plusieurs employés de la mairie de Paris ont été appelés à témoigner dans le cadre de l’enquête, confiée à la police judiciaire. Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Yvelines : une fuite de pétrole se répand sur des champs agricoles

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Dans les Yvelines, la pollution de plusieurs hectares de champs par une fuite de pétrole inquiète. Un pipeline de Total défectueux est à l’origine de l’accident, et si le groupe pétrolier assure maîtriser la situation, il verrouille la communication à ce propos. En attendant, et sur des kilomètres à la ronde, un périmètre de sécurité est établi et les équipes des pompiers et de Total pompent le pétrole resté en surface.Total prendra en charge la remise en étatSur des images aériennes, on peut constater des taches noires sur des champs agricoles. “J’ai une parcelle qui est impactée, ça veut dire pas de récolte pour la moisson à venir. Et je ne sais pas quel sera le rendement pour les récoltes à venir”, explique Jérôme Corby, agriculteur. Total a assuré que la remise en état des terrains affectés sera entièrement prise en charge par la compagnie. Par ailleurs des ruisseaux sont aussi touchés par la fuite.Le JT

  • JT de 19/20 du mardi 26 février 2019 L’intégrale

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Boon, Cluzet et Cassel en tête des acteurs les mieux payés

Le Figaro vient de publier son top 20 annuel des acteurs français les mieux payés. En tête arrivent Dany Boon, François Cluzet et Vincent Cassel.

Autant vous prévenir, si vous souhaitez faire tourner dans un même film Dany Boon, François Cluzet et Vincent Cassel, va falloir raquer sévère ! Les trois comédiens squattent en effet les premières places du top 20 consacré aux acteurs français les mieux payés en 2011 et publié aujourd’hui sur le site du Figaro.

1- Dany Boon : 7,5 millions d’euros. Minimum. Un cachet qui s’explique par le succès rencontré par ses deux réalisations, Bienvenue chez les Ch’tis et Rien à déclarer, dont il est à la fois l’auteur, le réalisateur, le coproducteur et l’acteur principal.

2- François Cluzet : 3,14 millions d’euros. Son contrat comprend un minimum garanti (entre 500 et 800 000 euros) et des intéressements sur les entrées. Grâce au carton d’Intouchables, il a remporté la cagnotte supplémentaire de 1,79 million d’euros.
3- Vincent Cassel : 2,51 millions d’euros. Cette troisième marche du podium, il la doit au triomphe international de Black Swan.
4- Benoît Poelvoorde : 2,375 millions d’euros. Carton à son actif en 2011 : Rien à déclarer.
5- Omar Sy : 2,29 millions d’euros. Là aussi, un bonus de 1,79 million d’euros décroché grâce à Intouchables.

6- Kad Merad : 1,820 million d’euros. Une omniprésence sur les écrans qui commence à s’estomper.
7- Daniel Auteuil : 1,323 million d’euros. Mal lui en a pris d’avoir refusé de jouer dans Intouchables. Son premier long métrage en tant que réalisateur, La Fille du puisatier, lui a toutefois porté chance avec son 1,4 million d’entrées.
8- Franck Dubosc : 1,2 million d’euros. Minimum. Son salaire fixe pour Bienvenue à bord.
9- Vincent Lindon : 1,021 million d’euros.
10- Jamel Debbouze : 1 million d’euros.
11- Fabrice Luchini : 967 000 euros. Le succès surprise des Femmes du 6e étage lui a valu un bonus de 167 000 euros.
12- Guillaume Canet : 908 000 euros. C’est sa prestation dans La Nouvelle guerre des boutons de Christophe Barratier qui lui permet de faire partie de ce classement.

13- Christian Clavier : 880 000 euros. Malgré l’échec de sa réalisation On ne choisit pas sa famille, ce dernier a obtenu 662 246 euros comme auteur + 217 368 euros en tant que cinéaste.
14- Tomer Sisley : 790 000 euros. 108 000 euros pour Nuit blanche et un salaire fixe de 630 000 euros pour Largo Winch II.
15- Gilles Lellouche : 760 000 euros.
16- Michel Blanc : 675 000 euros. Et un César du meilleur second rôle pour L’Exercice de l’Etat.
17- José Garcia : 670 000 euros.
18- Clovis Cornillac : 620 000 euros.
19- François-Xavier Demaison : 600 000 euros.
20- Eric et Ramzy : 380 000 euros. Minimum.

 

Manquent à l’appel de ce palmarès Jean Dujardin, Jean Reno, Gérard Depardieu, Gérard Lanvin et Denis Podalydès, la rédaction du Figaro n’ayant pu avoir accès à leurs contrats.

Côté actrices, la première place revient à Valérie Lemercier (1,08 million d’euros). Mélanie Laurent et Florence Foresti (1 million d’euros chacune), Karin Viard (830 000 euros) et Isabelle Huppert (829 000 euros) sont également au palmarès.

 

G.M. avec Le Figaro

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FIA implements more restrictions for F1 amid COVID-19 crisis

The FIA’s World Motor Sport Council has approved a series of changes to F1’s 2020 regulations to help the sport deal with the ongoing COVID-19 pandemic.

Formula 1 has been brought to a standstill by the global coronavirus crisis, with no certainty as to when the season will finally kick off after the cancellation of eight races so far.

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However, F1’s governing body is being proactive in its efforts to mitigate the impact of the crisis when the sport gets back on track, hopefully at some point during the summer.

    Ferrari-gate: Red Bull won’t let FIA off the hook

“Changes for the 2020 Sporting Regulations have been approved in order to give flexibility to the FIA and Formula 1 to react to the crisis and organise a race calendar that best safeguards the commercial value of the Championship and contains costs as much as possible,” read a statement by the FIA released on Tuesday.

“The World Council approved the previously-announced delay of the 2021 Technical Regulations to 2022 for cost-saving measures.

“Further measures will be introduced for 2021 following discussions with the teams. These will include the homologation of the Survival Cell (from 2020) and certain other components.

“In addition, dual axis steering systems (DAS) will not be permitted in the 2021 regulations as defined in Article 10.4.2.”

Mercedes, which pioneered the DAS system, is therefore forced to scrap the innovative device while retaining its 2020 chassis design for 2021

Additional changes include a mandatory 21-day shutdown (during the March/April period) for F1 manufacturers’ power unit departments; the cancellation of all in-season Pirelli 18-inch tyre tests; the replacement of the three-day post season test at Abu Dhabi by an optional one-day test for young drivers at Yas Marina.

The FIA also stipulated that a new limit will be placed on the maximum number of power units each driver will be allowed to use – two per driver – if the 2020 championship consists of 14 or fewer races.

Also, as expected, all aero development of teams’ 2022 designs shall be prohibited through 2020.

Finally, the FIA confirmed its ability, along with F1, to change the calendar without a vote, while the approval of just 60% of the teams will be required to decide further rule changes this season.

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Lawyers could be subject to different privilege rules

Lawyers could be subject to different privilege rules

Advisor at the European Court of Justice says protection is different for in-house and independent lawyers.

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4/29/10, 5:00 AM CET

Updated 4/12/14, 7:28 PM CET

In-house lawyers are not protected by the same legal privilege rules as independent lawyers, a senior legal advisor at the European Court of Justice said today (29 April).

Juliane Kokott, an advocate-general at the court in Luxembourg, issued an opinion today saying that the protections of legal professional privilege did not apply to communications with in-house lawyers.

This has serious implications for firms accused of taking part in cartels and their in-house lawyers.

The case dates back to February 2003 when the European Commission searched the offices of Akzo Nobel Chemicals and Akros Chemicals in the UK as part of an investigation into cartel activity. The Commission added to its case-file two emails exchanged between the general manager of Akros and a member of Akzo’s in-house legal department. The two companies asked the Court of First Instance to overturn the Commission’s decision to add the emails to the file.

In November 2009 the Commission fined 24 companies, including Akzo, a total of €173 million for taking part in a cartel involving heat stabilisers, chemicals that improve the heat resistance of PVC.

The companies argued that in-house lawyers should enjoy the same legal professional privileges as independent lawyers.

The advocate-general said that legal professional privilege is based on the lawyer’s role providing legal assistance to his client in full independence and in the interests of justice. The advocate-general said that an in-house lawyer does not enjoy the same degree of independence from his employer and is therefore not entitled to the same level of privilege.

The Court of Justice will now decide whether to uphold the complaint by Akzo and Akros. The court follows the opinion of advocates-general in 80% of cases.

Advocates-general are asked to give opinions on areas where there is not already an established body of EU case-law.

Authors:
Simon Taylor 

Study casts doubt on benefits of growing crops for biofuels

Study casts doubt on benefits of growing crops for biofuels

A study for the European Commission suggests growing biofuel crops can create more greenhouse gases than it saves.

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3/31/10, 10:19 PM CET

Updated 6/2/15, 11:44 AM CET

Doubts have been cast on the EU’s biofuel policy in the wake of a European Commission study suggesting that growing biofuel crops may cause more greenhouse-gas emissions than it saves. 

Using biofuel in relatively small amounts can yield savings in greenhouse-gas emissions, but growing larger quantities might mean that “the environmental viability of biofuels is at risk”, according to the study, which was published by Commission’s trade department last week.

The EU’s law on renewables of 2008 sets a target of deriving 10% of transport energy from renewable sources by 2020. Since biofuel, in its various forms, is the most immediately available source of renewable energy in the transport sector, this suggests a significant increase in biofuel use. But green campaigners are concerned that the target will drive up demand for ‘unfriendly’ types of biofuel.

Indirect land-use change

The Commission’s trade department study explores the unintended consequences of growing biofuel crops on the use of farmland, a phenomenon known as “indirect land-use change”. The benefits in reducing greenhouse gas emissions are undermined when, for example, the use of agricultural land to grow biofuel crops displaces food production onto land that was previously forest or grassland.

The study makes a striking assumption that biofuel will make up only 5.6% of the EU’s road transport fuel in 2020 – significantly less than the 10% that national government leaders called for at the March 2007 European Council.

Even with a 5.6% target, the researchers still expect a net carbon saving. But the study found that greenhouse-gas savings diminish as biofuel production increases. An increase in biofuel use from 4.6% to 6.6% would “increase sharply the average emissions”, says the study.

Importantly, the study finds that there is no constant proportional relationship between increasing biofuel production and changing patterns in land use.

Instead, there is a tipping point: when biofuel production reaches a certain threshold, the demand for land increases more quickly. When demand for biofuel is fairly low, a farmer may turn to readily available spare land to grow biofuel crops. But as biofuel production expands, that stock of accessible land is used up, driving farmers to exploit forest or grassland.

Modest benefits

Timothy Searchinger, a professor at Princeton University, was one of the first researchers to argue that policymakers had to take indirect land-use change into account when considering whether to encourage the uptake of biofuel. His interpretation of the data in the Commission study is that beyond 4.6%, the benefits from biofuel are at best modest. “What you learn from this study is that, once you have used up the free land, the emissions either don’t get savings right away or you get increases,” he said.

But the Commission’s trade department finds that even where as much as 9.6% of transport energy comes from biofuel, there will still be some greenhouse-gas savings, though the savings are, on average, greatly reduced.

Searchinger said that the researchers were making a mistake in mixing up the average emissions with the marginal rate in moving from 4.6% to 9.6%. “After 4.6% they are going to reduce greenhouse-gas emissions, but only by a modest amount…remember, the whole theory of biofuels is not that they reduce emissions a little, but that they reduce emissions a lot.”

He also criticised the assumption that spare land is always free. “Nobody else treats this land as free and I don’t think it makes economic sense.”

“You always need reserve land. If we needed half the food that we need today we would need to have reserve land and if we needed twice as much food for biofuels and for other reasons, we would still need reserve land. These are your buffer lands.”

Others questioned the trade department’s starting-point, that only 5.6% of transport energy will come from biofuel. Nuša Urbanc?ic? at Transport and Environment (T&E), a campaign group, said that the Commission had chosen to base the study on 5.6% because “at that modest level biofuels still look environmentally reasonable”. T&E believes that a target of 7%-10% is more realistic.

‘Unscientific’ assumptions

The 5.6% figure is based on an assumption that one-fifth of all new cars sold will be electric by 2020. The 5.6% figure “underpins the concerns we have that the Commission would base [policy] on unscientific assumptions to show that biofuels are still good,” Urbanc?ic? said.

The Commission said that its study “makes progress towards a better understanding of the environmental and economic effects of biofuels and contributes to the Commission’s decision making process on this topic”.

Authors:
Jennifer Rankin 

PVH Corp donates one million dollars as part of Covid-19 relief efforts

PVH Corp donates one million dollars as part of Covid-19 relief efforts

PVH Corp has become the latest fashion brand to offer support to those
impacted by the coronavirus pandemic.

The fashion group, whose portfolio includes brands Calvin Klein and
Tommy Hilfiger, said it is donating one million US dollars toward Covid-19
relief, including a 100,000 dollar donation to the Covid-19 Solidarity
Response Fund created by the UN Foundation and Swiss Philanthropy
Foundation.

It has also made a two million RMB (around 275,000 dollar) donation to
the Chinese Society of the Red Cross and a 50,000 dollar contribution to A
Common Thread, .

Additional efforts by the company include shipping over two million
units of Personal Protective Equipment (PPE) such as gowns, masks and face
masks to the Montefiore Health System in New York; offering grants to
corporate, retail and warehouse associates in the US impacted by the
pandemic through its Associate Relief Fund; donating products in the US and
Netherlands to support frontline healthcare workers; donating to OutRight
Action International’s COVID-19 Global LGBTIQ Emergency Fund, which Calvin
Klein is a founding partner of; and continuing to match the donations of
its associates in the US and Canada through its matching gift program.

PVH chairman and CEO Manny Chirico said in a statement: “As I work with
our global leadership team to address a responsible plan forward for our
business, how we execute it as good corporate citizens is an important part
of our discussions. There is no roadmap for this crisis, but I know that at
PVH we have strong values and connections to our communities.”

Photo credit: Tommy Hilfiger, Facebook

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Commission sets out rules for citizens’ initiative

Commission sets out rules for citizens’ initiative

One million signatures needed from nine countries

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Updated

The European Commission today (31 March) set out the rules for using a “citizens’ initiative” which allows one million people to ask the Commission to propose new laws.

Using the initiative, which was introduced by the Lisbon treaty, will require at least one million signatures from at least nine of the 27 member states.

Organisers will also to make sure they get a minimum number of names from each country, based on the so-called digressive proportionality system, which is used to divide up seats between member states in the European Parliament.

Maroš Šefčovič, the EU commissioner handling the “European Citizens’ Initiative”, said the measure will mark “a real step forward in the democratic life” of Europeans.

Šefčovič presented a draft guidebook on how the initiative will work on Wednesday. “It should not be too difficult, not too technical or complicated for citizens”, he said.“It is a concrete example of bringing Europe closer to its citizens and it should foster a lively debate about what we are doing in Brussels”.

The plan, which still needs the backing of the European Parliament and member states, will give citizens across the 27-nation bloc their first direct say in setting the EU’s legislative agenda, a procedure which could lead to gridlock in EU decision- making.

But it will not go as far as other similar direct democracy instruments like those in Switzerland or California, where citizens can bypass parliaments to pass new rules and regulations via ballot initiatives or referenda.

Šefčovič acknowledged the initiative would also allow interest groups and political parties to launch signature drives, raising doubts about how effective the initiative would be in bringing citizens closer to the EU.

“We are trying to be as open as possible, we would not like to limit who would be the organisers … so political parties clearly fall within the remit,” he said.

The initiative opens the door for people to voice their position on an array of contentious issues, including the use of genetically modified crops to Turkey’s entry talks, all of which fall under the remit of the Commission, which has powers to draft and amend EU rules and regulations.

Under the proposed rules, those wanting to change EU legislation will have to organise and collect at least one million signatures from at least nine of the 27 member states.

Added to those requirements is another complex one that will force organisers to make sure they meet a minimum number of names from each country, based on the so-called digressive proportionality system, which is used to divvy up seats between member states in the European Parliament.

At least 72,000 signatures will be needed from Germany for example, 54,750 from the UK and only 4,500 each from tiny Malta and Luxembourg.

The initiative will have to be formally filed via a special Commission website, after which organisers will have one year to collect the signatures.

Šefčovič said he had introduced several safeguards to prevent extremists or other “silly” initiatives from hijacking the process. An initial check will be done once an initiative is filed on the website to see whether the proposed signature drive abides by European rights and values.

A second check is done once organisers reach 300,000 signatures to see whether it falls under its legislative powers and is viable.

The names collected either online or on paper will have to be verified by national authorities and the organisers of the initiative will have to disclose who finances their campaign.

A group representing thousands of EU-based non-governmental organisations, including Greenpeace, the European Trade Union Confederation and the European Women’s Lobby welcomed the proposal calling it “an important new step to increase public participation in EU decision-making.”

Seventeen member states already have similar initiatives at national level.

Authors:
Constant Brand