A bright new future for agriculture? Yes

A bright new future for agriculture? Yes

The European Commission has just approved a genetically modified crop for cultivation in the EU, its first such decision in 12 years. Magda Stoczkiewicz says the decision flouts the public will, while Willy De Greef argues it is an important step forward.

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The European Commission’s decision on 2 March to approve the cultivation of a genetically modified (GM) potato and the use of three GM maize crops marked an important step forward. It was important for regulators, as it demonstrated that this Commission is committed to applying EU law. It was important for scientists, as it respected the opinion of the leading scientific experts from the European Food Safety Authority (EFSA), who have dedicated many years to rigorously assessing the products. And it was important for European farmers, who have been granted the freedom to choose whether or not to cultivate a GM crop that scientists have concluded is safe and beneficial.

But for European industry, although this represents a welcome return towards science-based decision-making, there is still a long and pot-holed road ahead towards establishing an environment that stimulates agricultural innovation.

The Amflora potato, developed primarily for the production of starch for the paper industry, was the first approval of a GM crop for cultivation in Europe since 1998. Its painstaking approval process was initiated more than 13 years ago with the request for authorisation submitted in August 1996. More than a decade and two EFSA assessments later, the Commission concluded that Amflora is as safe as conventional potatoes for humans, animals and the environment. Nevertheless, having failed to reach a qualified majority in the Council of Ministers, the Commission asked EFSA to prepare a new, consolidated scientific opinion. EFSA followed up with a third positive opinion in June 2009 that confirmed its previous assessments.

In Europe, a further 17 products await approval for cultivation and 46 await authorisation to be used for food and feed as well as to be imported and processed. Until now, our ability to place biotech products on the market in a timely manner, as required by EU legislation, has floundered, to Europe’s detriment. As the Commission’s own Joint Research Centre (JRC) has shown in a study published in 2008, GM crops have big potential to boost the competitiveness of European agriculture, to reduce its carbon footprint and to decrease its environmental impact.

The paradox is that GM crops were invented in the EU and yet 99.9% of GM production is happening elsewhere. As a result, Europe cultivates fewer GM crops than Burkina Faso. China, India, Brazil and the US have left us on the starting blocks long ago.

The latest figures show that 25 countries have adopted GM agriculture, with 14 million farmers growing 134 million hectares of crops. That is an area greater than the size of the UK, Ireland, France, Germany and Belgium put together. These figures have risen for 14 consecutive years. Are we seriously expected to believe that more and more farmers are cultivating GM crops when they are of no benefit?

Europe has put in place the world’s most stringent, science-based regulatory system for the assessment, approval and monitoring of agricultural biotechnology products. This is a fact that needs to be acknowledged and communicated. Communication is an integral part of managing risk, and we deplore the EU’s lack of effective communication about GM organisms. Confusion breeds fear, but understanding leads to support. And we must have the support of Europeans if we are to overcome the food security and climate-change challenges that we face.

Europe’s farmers should have the choice to grow GM crops and to compete with the rest of the world. Granting them that choice would enable the EU to achieve its long-term sustainability goals across a wide range of policy sectors, including, we believe, the environment, development, climate action, energy, competitiveness and trade. In addition, European consumers should have the right to choose to buy GM food that has been rigorously tested and proven to be beneficial and environmentally sustainable.

For all of the fury, shock and outrage reported by the media last week, the Commission’s approval boiled down to a simple case of respecting the opinion of EU scientists and of applying EU law. Indeed, a non-Brussels resident could quite easily be forgiven for wondering what all the fuss was about.

Willy De Greef is the secretary-general of Europa-Bio, the European association of bioindustries.

Authors:
Willy De Greef 

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Consommation : vers la fin de la propriété ?

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !En 2007, 27% des Français déclaraient avoir acheté un produit d’occasion sur internet. En 2018, ils étaient 48%. La consommation de seconde main augmente donc, mais on pourrait encore aller plus loin : ne plus rien acheter, mais louer et payer à chaque utilisation. C’est l’économie de la fonctionnalité. “C’est une des rares voies imaginables pour arriver à rendre compatibles la croissance économique avec les enjeux de développement durable“, assure Philippe Moati, économiste de l’Observatoire société et consommation (Obsoco).29 € la location de chaussuresPar exemple, louer ses chaussures 29 € par mois et en changer tous les deux mois. C’est ce que certains font déjà, pendant que les fabricants essaient du coup de redonner vie aux produits, à chaque fin de location. Le phénomène pourrait séduire à l’avenir : 3 Français sur 5 se disent prêts à privilégier l’usage à la propriété.Le JT

  • JT de 20h du jeudi 21 février 2019 L’intégrale

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Centrafrique : l’accord de paix, signé le 6 février 2019, se fissure déjà

L’Union africaine (UA), facilitateur principal de l’accord, a appelé au “calme et à la retenue” en “prenant note des déclarations faites par certains signataires“, selon le président de la Commission de l’UA, Moussa Faki, dans un communiqué.Sur les 14 groupes armés signataires de l’accord dit de Khartoum, préparé depuis un an et demi par l’UA, plus de la moitié ont désavoué le gouvernement tout juste formé. Selon le texte signé le 6 février, un gouvernement inclusif devait être nommé. Mais le 3 mars, c’est une équipe trop semblable à l’ancienne qui a été présentée, ont affirmé ces groupes armés.”Un gouvernement de mascarade“, selon l’un, qui serait “aux antipodes de l’esprit de l’accord“, selon un autre : dans des communiqués séparés, huit groupes armés se sont l’un après l’autre retirés de l’accord.Aucun groupe ne semble vouloir renoncer à la paixMalgré leur refus de la nouvelle équipe gouvernementale, la plupart ont indiqué rester “fidèles à l’accord de paix” et, bien qu’appelant à un remaniement ministériel, affirment ne pas se désolidariser d’un texte censé ramener la stabilité dans ce pays en guerre depuis 2013.Deux partis politiques majeurs – celui de l’ancien président François Bozizé et celui de l’ancien Premier ministre Anicet Dologuélé – ont également indiqué se retirer du gouvernement.Contre la bronca, le Premier ministre Firmin Ngrebada, ancien directeur de cabinet du président Faustin-Archange Touadéra, a déclaré dans une vidéo que ce gouvernement était un “début” et que Bangui allait “par la suite (…) élargir la base de la participation de tous à la gestion des affaires du pays“.Depuis la signature de l’accord, un calme relatif a été observé dans ce pays d’Afrique centrale de 4,5 millions d’habitants, où la violence est quotidienne. Mais suite à l’annonce du nouveau gouvernement contesté, des barricades ont fait leur retour dans plusieurs zones du pays : à Ndele dans le nord, à Zoukombo dans l’ouest.En Centrafrique, les tentatives de paix se ramassent à la pelleCet accord de paix est le huitième signé depuis le début de la crise en 2013. “L’histoire de la Centrafrique bégaie“, ont déclaré dans un communiqué commun le Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) et la branche des antibalaka (milices d’autodéfense) de Maxime Mokom, deux groupes réfractaires au gouvernement. Le FPRC ainsi que le Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) et l’Unité pour la paix en Centrafrique (UPC) sont les trois principaux groupes armés du pays où ils contrôlent une large partie du nord et du centre. Tous trois issus de l’ex-coalition à majorité musulmane de la Séléka, qui a pris Bangui en 2013, ont chacun obtenu des portefeuilles dans le gouvernement nommé le 3 mars. Mais ils réclament plus de représentativité.A Rome, où il a été reçu le 5 mars par le pape François, le président Touadéra a reconnu que “c’est une chose d’avoir un accord, mais il faut appliquer, mettre en œuvre cet accord“.On peut discuter avant de prendre les armesIl a appelé les réfractaires du gouvernement à faire usage des “mécanismes” de l’accord prévus pour répondre à des revendications de signataires. Dans le texte signé, les parties s’engagent en effet à “renoncer (…) à tout recours à la force armée pour le règlement de quelque différend“. Ils peuvent saisir les facilitateurs de l’accord, l’UA en premier chef, pour “conciliation et, à défaut, arbitrage“.A cet effet, l’UA a annoncé convoquer une réunion de suivi, “afin de faire un point d’étape“, le 18 mars à Addis Abeba (Ethiopie).En Centrafrique, pays riche en ressources mais classé par les plus pauvres du monde, près d’un quart de ses habitants ont dû fuir leur maison.Click Here: NRL Telstra Premiership

Le plein d’affiches! [PHOTOS]

Cette semaine encore, la planète ciné a bien tourné et plein d’affiches nous ont été dévoilées.

Découvrez les affiches de la semaine.


Bel Ami




Looper




To Rome with Love(affiche italienne)



Street Dance 2


The ABC’s of Death


Quand je serai petit


The Dictator


The Giant Mechanical Man


Avengers


Take This Waltz


Buzzkill


Marley


Lola Versus


American Pie 4


First Position


Comme un homme


Savages


One O One


Bad Ass


Ce qui vous attend si vous attendez un enfant


Affiches personnages de Rebelle



Affiches de The Three Stooges

Laëtitia Forhan

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Richards fears for the future of two midfield F1 teams

Motorsport UK chairman David Richards has urged Liberty Media to financially protect the sport’s smaller teams, singling out two specific outfits whose future could be in jeopardy due to F1’s current coronavirus freeze.

The global onslaught of the pandemic has already led to the cancellation or postponement of the first eight races of the 2020 season, with additional events likely to follow.

The sport as a whole is set for a massive revenue hit, with the teams bearing the brunt of the financial shortfall. But in the event of a sustained shutdown, the very existence of F1’s weaker members will come under threat according to Richards.

    Marko says lost races ‘could cost teams 100 million’

“A lot will depend on the way Formula 1 behaves throughout this,” Richards told the PA news agency.

“F1 cannot afford to lose teams at the back of the grid because that would be a disaster for them.

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“Bernie [Ecclestone] made sure that when there were tough times the smaller teams were looked after and I hope that Liberty see the common sense in that, too.

“The big manufacturers such as Mercedes and Renault will be okay, but if you look at Williams and Racing Point, for example, it is not going to be easy for them. There is a distinct danger of operations going out of business.

“There will be motorsport companies who do not have the resources to get through this period. It is going to be a real challenge.”

While Williams has been struggling to keep its head above the water in the past few seasons during which its performance has been dismal, Racing Point’s financial foundation is upheld by a consortium of well-heeled investors, starting with billionaire Lawrence Stroll, an advantage that should keep the pink squad out of harm’s way.

Regarding the late cancellation of the Australian Grand Prix, Richards admitted it was a difficult situation for F1 to deal with. But the former BAR and Benetton team boss was still critical of the eleventh-hour call.

“Liberty were very late in their decision about Australia,” added Richards.

“It is very difficult and I am not for one minute suggesting it was an easy decision, but given the amount of people who travelled to Australia from various countries across Europe, it was an inappropriate thing to do.

“A week beforehand they could have come to the decision to cancel.

“As you approach a new season there is big impetus and expectation. It is easy to say this in hindsight, but nobody is denying that it could have been done better.

“Lewis Hamilton talked for most when he spoke out on the matter. He has really matured and come of age and represents a very positive side of F1 and the consciousness of the sport. He is not afraid to speak his mind and I applaud him for that.”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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Nationalist wins northern Cyprus election

Nationalist wins northern Cyprus election

Derviş Eroğlu to replace Mehmet Ali Talat, casting doubt on reunification talks.

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Turkish voters on the divided island of Cyprus have voted for Derviş Eroğlu of the nationalist National Unity Party to become their new leader, replacing Mehmet Ali Talat.

Eroğlu is currently the hardline prime minister of the Turkish Cypriot community in the Turkish-occupied north, and his election is expected to complicate the ongoing settlement talks with the Greek community. Eroğlu won just over half of the votes cast, just enough to be elected in the first round yesterday (18 April). Only around 43% voted for the centre-left Talat.

Eroğlu told a Turkish broadcaster last night that “no one must think that I will walk away from the negotiating table”. He said that the talks would continue. “I will work with goodwill for a solution that takes my community’s rights into account,” he said.

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Stefanos Stefanou, a spokesperson for the government of Cyprus, the internationally recognised state in the island’s Greek part, described the vote as a “negative development”.

The continued Turkish occupation has hampered Turkey’s bid for membership of the European Union.

Recep Tayyip Erdoğan, Turkey’s prime minister, said yesterday that his government would continue backing peace talks in Cyprus.

In a statement issued on Monday morning, the European Commission said that it was “crucial” for the settlement talks to continue.

“There is no alternative to a solution to the Cyprus problem. The status quo is in no one’s interest. Turkish Cypriots are EU citizens and should enjoy all benefits of EU membership as soon as possible. It is in the hands of both leaders to make this happen.”

Authors:
Toby Vogel 

Seconde Guerre mondiale : le pape annonce l’ouverture en 2020 des archives secrètes du Vatican sur Pie XII

Le pape François a annoncé, lundi 4 mars, que les archives secrètes du Vatican sur le pontificat de Pie XII (1939-1958) seraient ouvertes le 2 mars 2020, ce qui pourrait permettre de faire la lumière sur son action pendant la Seconde Guerre mondiale. De nombreux chercheurs réclament depuis des années de pouvoir examiner pourquoi Pie XII n’est pas plus intervenu contre la Shoah, une attitude que des organisations juives dénoncent comme une forme de complicité passive. Pour beaucoup d’historiens, il aurait dû condamner bien plus fermement le massacre des juifs mais ne l’a pas fait par prudence diplomatique et pour ne pas mettre en péril les catholiques dans l’Europe occupée. D’autres historiens assurent en revanche qu’il a sauvé des dizaines de milliers de juifs italiens en demandant aux couvents de leur ouvrir leurs portes.”L’Eglise n’a pas peur de l’histoire”“L’Eglise n’a pas peur de l’histoire”, a affirmé François, en rappelant que Pie XII s’était retrouvé à la tête de l’Eglise “en un moment parmi les plus tristes et sombres du XXe siècle”. “J’assume cette décision (…), sûr que la recherche historique sérieuse et objective saura évaluer sous sa juste lumière, avec les critiques appropriées, les moments d’exaltation de ce pape et, sans doute aussi, les moments de graves difficultés, de décisions tourmentées, de prudence humaine et chrétienne”, a-t-il ajouté.Alors que ses successeurs Jean XXIII (1958-1963), Paul VI (1963-1978) et Jean-Paul II (1978-2005) ont été canonisés, le procès en béatification de Pie XII, relancé en 2009 par Benoît XVI, est depuis au point mort en raison des controverses sur son rôle pendant la guerre.

Londres : la Française Laureline Garcia-Bertaux assassinée

La police scientifique britannique explore centimètre par centimètre la scène de crime à la recherche d’éventuels indices. C’est dans ce quartier pavillonnaire de Londres (Royaume-Uni), dans l’un des jardins de ces maisonnettes en briques, que le corps enterré de Laureline Garcia-Bertaux, Française de 34 ans, a été retrouvé par la police mercredi 6 mars au soir. Originaire d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), elle vivait dans la capitale britannique depuis une dizaine d’années et aurait récemment emménagé dans cette rue située à l’ouest de Londres, non loin du célèbre jardin royal de Kew Gardens. Parmi ses voisins, ce retraité abasourdi.La piste des sites de rencontresLaureline Garcia-Bertaux a été aperçue pour la dernière fois samedi 2 mars, alors qu’elle faisait ses courses dans un supermarché situé à une rue de chez elle. Puis, une voisine l’aurait ensuite vue en pleine discussion avec un homme, précisément dans le jardin où son corps a été découvert. Sa disparition avait été signalée en début de semaine à la police par l’entreprise de relations publiques pour laquelle elle travaillait depuis trois mois. “L’autopsie du corps de cette Française de 34 ans est actuellement en cours. Parmi les pistes explorées par Scotland Yard, les relations amoureuses de la jeune femme, et notamment les hommes qu’elle aurait pu rencontrer sur les sites de rencontres sur lesquels elle s’était inscrite ces dernières semaines”, conclut le journaliste Arnaud Comte, en duplex sur place.Le JT

  • JT de 13h du samedi 9 mars 2019 L’intégrale

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Plainte pour le climat : le précédent hollandais

Avec ses vélos partout, les Pays-Bas ont l’image d’un pays écolo. En réalité, c’est l’un des plus gros pollueurs d’Europe. Pour arrêter les dégâts, il a fallu que des citoyens attaquent l’État néerlandais en justice pour l’obliger à réduire ses émissions de CO2. Et ils ont gagné, il y a cinq mois. Le pays est ainsi condamné à faire plus pour le climat. Du jamais vu.Batterie de mesuresLe gouvernement s’est engagé à réduire de 25% les émissions de CO2 d’ici à 2025. Concrètement, l’État devra lutter contre l’agriculture intensive qui pollue. Contre les fumées de l’industrie, celles des navires de commerce ou encore l’activité des centrales à charbon, qui vont fermer. En tout, il y en a cinq dans le pays. Depuis, la lutte contre le réchauffement climatique fait la une des médias. Mercredi 13 mars, le gouvernement annonçait une batterie de mesures fiscales concernant les grandes entreprises.Le JT

  • JT de 20h du jeudi 14 mars 2019 L’intégrale

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