Gad Elmaleh, la rentrée de son fils Raphaël au CP : “J’étais super ému”

Gad Elmaleh a déjà connu la fierté de voir son enfant faire ses premiers pas à l’école primaire avec son aîné Noé, 18 ans, né de son histoire d’amour avec l’actrice et écrivaine Anne Brochet. Pourtant plus d’une décennie plus tard, l’émotion était toute aussi intense lorsque son plus jeune fils, Raphaël, 5 ans et demi (né de sa relation avec Charlotte Casiraghi), en a fait autant. Une expérience privée que l’humoriste de 48 ans a accepté de partager avec un panel de lecteurs du Parisien.

Lors de cette rencontre organisée le 24 septembre 2019 au siège du quotidien situé dans le 15e arrondissement de Paris, une lectrice prénommée Suzette a tenu à savoir, avec bienveillance, comment la rentrée de Raphaël s’était déroulée. “J’étais super ému. Je l’aide à faire ses devoirs, car le niveau CP, je maîtrise bien, même si tu découvres déjà la complexité de la langue française“, a-t-il confié. Avec Gad Elmaleh, l’humour n’est jamais très loin : “À la réunion parents-profs, le plus difficile c’est de s’asseoir sur les petits bancs (rires).” “C’est super d’être au courant de ce qui se passe, je suis connecté à ce qu’il fait“, a-t-il ajouté avec plus de sérieux.

S’agissant de Raphaël, une autre lectrice, Jennifer, a voulu connaître le rapport de l’humoriste et comédien avec la religion, son plus jeune fils étant baptisé alors que lui-même est juif. Gad Elmaleh a lors évoqué son “union mixte“, durant près de quatre ans, avec Charlotte Casiraghi. “On ne peut pas demander à son conjoint de respecter ses propres traditions si on n’est pas capable de respecter celles de l’autre. On peut mélanger les deux ! Je suis pour l’acceptation des traditions de l’autre. Ce qui compte le plus, ce n’est pas ma religion, c’est mon identité, mes valeurs, mes traditions, mais aussi une philosophie de vie. Et la cuisine !“, a-t-il défendu.

Parmi les valeurs qu’il souhaite inculquer à son fils, la sauvegarde de l’environnement et la prise de conscience nécessaire. “Je commence à parrainer une association, No More Plastic, qui veut que je m’occupe du Maroc, car j’ai grandi au bord de la Méditerranée et de l’Atlantique. J’ai un fils de 5 ans et j’ai envie de lui inculquer ça“, a-t-il avoué.

L’intégralité de l’interview de Gad Elmaleh est à retrouver dans l’édition du mercredi 25 septembre 2019 du Parisien.

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