After 36 Years Behind Bars, MD Men Exonerated In Teen's Death

BALTIMORE, MD — Three Maryland men who were arrested as teenagers and convicted of the 1983 shooting death of 14-year-old DeWitt Duckett were exonerated today after serving 36 years in prison. According to a report, state prosecutors asked a judge Monday to grant writs of actual innocence for Alfred Chestnut, Ransom Watkins and Andrew Stewart, who were arrested in connection with the crime on Thanksgiving Day 1983 and later convicted and sentenced to life in prison.

The three men were arrested in connection with the death of Duckett, who was attacked and shot at a Baltimore middle school for his Georgetown University jacket, the Washington Post reports. Chestnut and Watkins, who were 16 at the time, and Stewart, who was 17, attended another school but said during their trial they were at the middle school prior to the shooting visiting siblings and former teachers.

The three men were arrested and charged as adults with murder. Several months later, they were convicted and sentenced to life in prison. The convictions were based onthe testimony of four teenage witnesses, who have since recanted, saying they were pressured by police to change their stories, WMAR in Baltimore reported.

Evidence was re-examined and witnesses interviewed again after Chestnut reached out to Baltimore City State’s Attorney Marilyn Mosby’s Conviction Integrity Unit. Chestnut included new evidence he had uncovered last year that incriminated Michael Willis, the man authorities now say was the actual shooter.

“These three men were convicted, as children, because of police and prosecutorial misconduct. What the state, my office, did to them is wrong. There is no way we can ever repair the damage done to them. We can’t be scared of that and we must confront it,” Mosby said at a press conference following the judge’s decision. “I want to thank these men from the bottom of my heart for persevering for decades to prove their innocence. They deserve so much more than an apology. We owe them real compensation – and I plan to fight for it.”

Duckett, a ninth-grader at Harlem Park Junior High School at the time of his death, was shot inside the West Baltimore school. He collapsed in the cafeteria; his death was called the first homicide in a Baltimore public school, The Baltimore Sun reports.

Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Au Royaume-Uni, des chiens dressés à la recherche du coronavirus

Des chercheurs britanniques vont tenter de dresser des chiens pour détecter le nouveau coronavirus et repérer les personnes malades afin de contribuer à freiner la propagation de la maladie, a annoncé vendredi une association spécialisée.

L’

association Medical Detection Dogs a expliqué travailler en ce sens avec la London School of Hygiene and Tropical Medicine (LSHTM) et l’université de Durham.Les trois partenaires “ont entamé des préparatifs pour entraîner intensivement des chiens afin qu’ils soient prêts en six semaines à fournir un diagnostic rapide et non invasif vers la fin de l’épidémie“. Ils ont également contacté le gouvernement pour lui expliquer comment le meilleur ami de l’homme pourrait s’avérer un allié précieux dans la lutte contre la pandémie.L’association, qui a déjà formé des canidés à détecter des maladies comme le cancer, la maladie de Parkinson et des infections bactériennes, explique que le procédé serait le même pour apprendre aux chiens à repérer le Covid-19.Il s’agira de leur faire renifler des échantillons et de leur apprendre à signaler quand ils l’ont trouvé. Les chiens sont en outre capables de détecter des changements subtils de température de la peau, et pourraient potentiellement indiquer si quelqu’un a de la fièvre.

Une fois dressés, les chiens pourraient être utilisés pour identifier des voyageurs contaminés par le virus à leur arrivée dans le pays ou être déployés dans d’autres espaces publics.”Sur le principe, nous sommes sûrs que les chiens peuvent détecter le Covid-19. Nous étudions maintenant comment nous pouvons capturer en toute sécurité l’odeur du virus sur des patients et la présenter aux chiens“, a expliqué Claire Guest, directrice et cofondatrice de Medical Detection Dogs, citée dans un communiqué.”L’objectif est que les chiens puissent dépister n’importe qui, y compris ceux qui ne présentent pas de symptômes et nous dire s’ils doivent être testés“, a-t-elle poursuivi.Selon le professeur Steve Lindsay, de l’Université de Durham, “si la recherche réussit, nous pourrions utiliser des chiens pour détecter le Covid-19 dans les aéroports à la fin de l’épidémie pour identifier rapidement les personnes porteuses du virus. Cela aiderait à prévenir la réapparition de la maladie après avoir maîtrisé l’épidémie actuelle“.Click Here: Maori All Blacks Store

Coronavirus : essais "prometteurs" avec la chloroquine, qui seront étendus

Les essais cliniques de chloroquine, un anti-paludique, menés à Marseille pour soigner les malades atteints du Covid-19 sont "prometteurs" et vont être étendus, a indiqué mardi le gouvernement.

J’ai pris connaissance des résultats et j’ai donné l’autorisation pour qu’un essai plus vaste par d’autres équipes puisse être initié dans les plus brefs délais sur un plus grand nombre de patients“, a indiqué lors d’une conférence de presse téléphonique le ministre de la Santé Olivier Véran, précisant que ces essais “ont déjà commencé à Lille je crois”.Le ministre a souligné être “en liens très étroits avec le Pr Didier Raoult” qui a mené ces premiers essais à Marseille et en a réclamé l’extension, et il a exprimé l’espoir que ces nouveaux essais “permettront de conforter les résultats intéressants qu’il semble avoir obtenu“.Mais “il est absolument fondamental d’asseoir toute décision de politique publique en santé sur des données scientifiques validées, et les processus de validation, on ne peut pas négocier avec“, a-t-il souligné à propos de ces essais.”On peut raccourcir tous les délais, ce que nous avons fait“, a-t-il encore souligné, indiquant avoir donné “en 24 heures” l’autorisation de mener ces essais. “Si les résultats sont favorables, nous aurons tous l’occasion de nous en réjouir“.La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye avait plus tôt qualifié de “prometteurs” les premier essais “sur 24 patients”, à l’issue d’un Conseil des ministres.Ces nouveaux essais cliniques “seront réalisés avec une équipe indépendante du Pr (Didier) Raoult“, avait-elle également souligné, relevant qu’à ce stade “nous n’avons pas de preuve scientifique” que ce traitement fonctionne.Le Pr Raoult, qui teste la chloroquine à l’Institut hospitalo-universitaire de Marseille, a affirmé lundi que son effet contre le coronavirus était spectaculaire avec la disparition du virus en six jours auprès des trois quarts des patients.Dans une vidéo, le directeur de l’IHU de Marseille explique que 24 patients atteints par le coronavirus, ont pris du Plaquenil, l’un des noms commerciaux de la chloroquine et que six jours plus tard, seulement 25% sont encore porteurs du virus alors que 90% de ceux qui n’ont pas reçu ce traitement sont toujours positifs.Mais plusieurs experts appellent à la prudence en l’absence d’études plus poussées et en raison de ses effets indésirables qui peuvent être graves, notamment en cas de surdosage.Une étude chinoise de février avait déjà évoqué l’efficacité de la chloroquine après une étude sur plus de 100 patients.La chloroquine est un antipaludique utilisé depuis plusieurs décennies et commercialisé notamment sous le nom de Nivaquine. Ce traitement est souvent recommandé lorsqu’on prévoit de se rendre en zone infestée par le parasite du paludisme, transmis par les moustiques.Click Here: NRL Telstra Premiership

Obésité : les idées reçues ont la vie dure

Un sondage français montre que si les Français sont conscients de l’enjeu de santé publique que représente l’obésité, les idées préconçues et les images négatives à l’encontre des personnes obèses restent profondément ancrées dans les mentalités.

67% pensent que perdre du poids, y compris en situation d'obésité, est avant tout "une question de volonté".

Selon un sondage commandé par La Ligue contre l’obésité et réalisé par l’institut de sondages Odoxa avec le soutien de Withings, la majorité des Français (84%) considère l’obésité comme un enjeu de santé important. Mais le sujet reste assez mal connu. Un quiz de 8 questions intégré dans l’enquête et qui a abouti à un taux de mauvaises réponses s’élevant à plus de 50% montre que les idées reçues autour de l’obésité restent très répandues. 
A titre d’exemple, 70% des Français pensent que 9% de personnes sont concernées par l’obésité, alors qu’elle concerne en réalité 17% des adultes et des enfants au sein de l’Hexagone. L’une des autres grandes idées reçues qui persistent consiste à décréter que l’obésité est uniquement liée à une mauvaise alimentation et à un manque d’activité physique. Un préjugé ancré dans l’esprit des Français : 67% pensent que perdre du poids, y compris en situation d’obésité, est avant tout “une question de volonté“.
Or, si l’obésité est due à un excès de masse grasse corporelle, ses causes sont multifactorielles. “De nombreux éléments sont imbriqués dans la prise de poids qu’ils soient psychologiques, environnementaux, métaboliques ou génétiques. C’est la combinaison d’un certain nombre d’entre eux qui conduit à l’obésité“, rappelle l’enquête. 
Ces idées préconçues peuvent s’illustrer jusque dans le domaine professionnel : un quart à plus d’un tiers des Français se sont déjà dit d’une personne en situation d’obésité qu’elle n’était “peut-être pas très dynamique” (37%), ou “un peu moins performante” au travail (23%) tandis que plus d’un Français sur dix estiment que l’obésité peut nuire à l’image d’une entreprise.  
Par ailleurs, 64% des Français pensent que l’obésité est officiellement reconnue comme une maladie dans notre pays, bien qu’elle ne soit pas inscrite dans la liste des affections de longue durée.Click Here: cd universidad catolica

Coronavirus: Égypte, Algérie et Afrique du Sud probables portes d'entrée en Afrique

Si l’Égypte, l’Algérie et l’Afrique du Sud sont les pays africains les plus à risque de voir surgir des cas d’infections au nouveau coronavirus, ils restent les moins vulnérables car leurs systèmes de santé sont les mieux préparés du continent, selon la revue The Lancet.

Le continent africain, où les systèmes de santé sont parfois vétustes, a de forts liens commerciaux avec la Chine, rappelle la revue médicale  The Lancet en rendant publique mercredi une modélisation.Aujourd’hui, un seul cas confirmé de maladie a été détecté en Afrique, annoncé vendredi en Egypte.  L’Egypte, précisément, l’Algérie et l’Afrique du Sud représentent les portes d’entrée probables du nouveau coronavirus en Afrique du fait de l’importance des échanges aériens avec les provinces chinoises contaminées. “Les carences sanitaires font craindre une diffusion rapide”Mais ils ne sont pas pour autant les pays les plus vulnérables face à la maladie: “Ces pays sont aussi parmi les mieux équipés du continent pour détecter rapidement les nouveaux cas et les prendre en charge”, précise un communiqué de presse de l’Inserm (organisme français de recherche médicale) qui a participé aux travaux de modélisation publiés dans The Lancet.Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont évalué le risque d’importation du virus en Afrique pays par pays, et les capacités de chaque pays à le détecter et à y faire face.“Dans d’autres pays d’Afrique, le risque d’importation du virus est plus faible mais les carences sanitaires font craindre une diffusion rapide”, notent les auteurs qui citent notamment le Nigeria, l’Éthiopie, le Soudan, l’Angola, la Tanzanie, le Ghana et le Kenya.Ce travail “permet d’alerter les pays les plus exposés sur la nécessité de se préparer à l’éventualité d’introduction du virus”, explique Vittoria Colizza, directrice de recherche Inserm. “Pour plusieurs pays africains ayant de faibles ressources pour gérer une épidémie, les risques sont importants de ne pas disposer de l’organisation et des infrastructures pour la détection, le confinement, la prise en charge des malades, ce qui fait craindre un risque d’épidémie sur le continent”, poursuit-elle.Le bilan de l’épidémie à coronavirus a dépassé mercredi les 2.000 morts. Le nombre de contaminations en Chine continentale a atteint mercredi 74.185. Ailleurs dans le monde, environ 900 personnes contaminées ont été recensées dans une trentaine de pays.Click Here: Golf special

Conférence nationale sur le handicap : Emmanuel Macron annonce une série de mesures

Plus d’assistants d’élèves en situation de handicap, un numéro unique d’appui, plus de places dans les structures d’hébergement spécialisées… Lors de la conférence nationale sur le handicap qui s’est déroulée mardi 11 février, le président de la République a annoncé la mise en place d’une dizaine de mesures visant à mieux inclure et prendre en charge les personnes touchées.

Sommaire

  1. “Plus aucun enfant handicapé sans solution de scolarisation” à la rentrée 2021
  2. Création du 360, numéro unique d’appui aux personnes handicapées
  3. Un “plan de prévention des départs en Belgique”
  4. Vers une meilleure prise en charge de l’autisme
  5. Une campagne nationale de sensibilisation au handicap

En France, une personne sur cinq est concernée par le

handicap… et donc inévitablement par l’exclusion sociale. Afin de véritablement considérer les personnes handicapées “comme des citoyens à part entière” et de garantir une meilleure prise en charge de ces dernières, Emmanuel Macron a annoncé la mise en place de plusieurs mesures lors de la cinquième conférence nationale du handicap qui s’est déroulée à l’Elysée le mardi 11 février.“Plus aucun enfant handicapé sans solution de scolarisation” à la rentrée 2021Premier grand défi : “réussir l’école inclusive”. Alors que des milliers d’enfants handicapés ne vont pas à l’école faute de moyens adaptés, le président de la République souhaite que “plus aucun enfant handicapé” ne se retrouve “sans solution de scolarisation à la rentrée de septembre 2020”. Pour ce faire, 11 500 assistants d’élèves en situation de handicap (AESH) supplémentaires seront embauchés “d’ici à 2022”. Par ailleurs, il affirme qu’à la fin de l’année, “tous les nouveaux enseignants seront formés pour mieux prendre en compte les besoins éducatifs particuliers” des personnes handicapées.Création du 360, numéro unique d’appui aux personnes handicapéesAutre promesse : la création en 2021 d’un numéro unique d’appui aux personnes en situation de handicap et aux familles, le 360, afin d’ “organiser l’inconditionnalité de l’accompagnement et rompre l’isolement” : “Les appels seront pris en charge par une équipe de proximité en charge de trouver une solution d’accompagnement aux personnes, éventuellement d’abord temporaire et jusqu’à la solution définitive, en mobilisant les acteurs du territoire, notamment médico-sociaux. 400 équipes seront créées d’ici 2022”, explique Emmanuel Macron. Un “plan de prévention des départs en Belgique”Parmi les mesures phares, il y a également celle de stopper l’exil des personnes handicapées en Belgique. Aujourd’hui, 6500 adultes et 1500 enfants handicapés français seraient hébergés là-bas, faute de places dans les structures d’hébergement spécialisées de l’Hexagone. Un “plan de prévention des départs en Belgique” entraînera ainsi la “création de 1 000 places dans trois régions prioritaires (Île-de-France, Hauts-de-France, Grand-Est), en plus des 2 500 places déjà programmées pour 2021-2022 sur tout le territoire”.Vers une meilleure prise en charge de l’autismeLe président de la République souhaite par ailleurs “rattraper le retard de la France sur le champ de

l’autisme au sein des troubles du neurodéveloppement”. Le

forfait d’intervention précoce, aujourd’hui réservé aux enfants de 0 à 7 ans, sera étendu aux 7-12 ans en 2021. “Cet accompagnement permettra de lutter contre les échecs d’apprentissage, qui mettent en difficulté les enfants, mais aussi les familles et les professionnels.” Un accompagnement qu’il souhaiterait également étendre à “

tous les dys-”, notamment les enfants dyslexiques. La création de 45 unités d’enseignement autisme supplémentaires est aussi prévue.Avant 2022, les parcours de soins de “rééducation” des enfants handicapés devraient être mieux pris en charge par l’Assurance maladie, “sans reste à charge pour les familles. Elle permettra une plus grande qualité dans les parcours, grâce notamment à la coordination des professionnels autour des enfants, en situation de handicap, atteints d’un cancer ou connaissant des suites opératoires lourdes.”Une campagne nationale de sensibilisation au handicapEnfin, une campagne nationale de sensibilisation au handicap sera lancée, afin “d’accélérer le changement de représentations associées au handicap” : “La société inclusive ne pourra pas se faire sans les personnes en situation de handicap mais elle ne pourra pas se faire non plus sans nous”, affirme Emmanuel Macron.Click Here: camiseta river plate

Kylie Jenner collabore avec sa fille de deux ans pour sa dernière collection de make-up

La fille de Kylie Jenner n’aura pas attendu longtemps avant de faire son entrée dans le milieu de la beauté. Stormi, à peine deux ans, a déjà son mot à dire sur les choix esthétiques de la marque de sa mère.

La femme d’affaires, fondatrice de Kylie Cosmetics, a informé ses 156 millions de followers sur Instagram que Stormi Webster, la fille qu’elle a eue avec Travis Scott, l’aide dans ses choix concernant sa prochaine collection de maquillage.Les clichés montrent Stormi en train de regarder un nuancier intitulé “Kylie Cosmetics Valentines Day Collection 2020” et une feuille de papier rose aux motifs papillons affichant le nom Stormi. La star des réseaux sociaux a simplement légendé le tout “Coming soon”, laissant entendre que la petite fille aura bientôt sa collection éponyme. Encore un beau coup marketing pour la soeur cadette du clan Kardashian/Jenner.

Voir cette publication sur Instagram coming soon.. ☺️ Une publication partagée par Kylie ✨ (@kyliejenner) le 2 Janv. 2020 à 1 :15 PST

Mais ce n’est pas la première fois que la petite, qui fêtera ses deux ans en février, inspire sa maman. En février 2018, juste après sa naissance, Kylie Jenner avait dévoilé sa “Weather Collection” comprenant deux palettes appelées “Eye of the Storm” et “Calm Before the Storm”, qui faisaient directement référence au prénom de sa petite princesse.
On sait que le clan Kardashian/Jenner aime travailler en famille, mais la petite Stormi devient la plus jeune de la famille à être associée à la marque Kylie Cosmetics. Sa maman s’était précédemment associée à sa grande soeur Kim Kardashian West pour une gamme de fragrances sortie par la marque KKW Fragrance, elle a aussi plus d’une collaboration de maquillage à son actif avec sa soeur Khloe. Kylie avait recruté son autre soeur Kourtney pour une mini-collection en 2018, alors que sa mère Kris Jenner a pris la pose pour plusieurs de ses collections.Une collection Stormi assurerait un beau début d’année à Kylie Cosmetics, suite à une année 2019 record. En novembre dernier, le géant Coty a annoncé qu’il allait devenir actionnaire majoritaire (51%) du catalogue de la pin-up qui comprend les marques Kylie Cosmetics et Kylie Skin.

Syndrome du Bébé secoué : 1 200 cas entre 2015 et 2017

Santé Publique France a dévoilé les chiffres des cas probables de bébés secoués en France. Cette forme grave de maltraitance, parfois difficile à diagnostiquer a fait plus de 1 200 petites victimes entre 2015 et 2017.

Sommaire

  1. Un syndrome difficile à diagnostiquer
  2. Repérer les bébés secoués
  3. Comment prévenir ce type de maltraitance ?

Tout adulte peut être exaspéré par les pleurs d’un bébé et son incapacité à les calmer. Cette exaspération est normale et compréhensible mais il est important de la maîtriser. Si l’adulte n’arrive pas à se contrôler, il passe à l’acte et secoue le bébé violemment. C’est cela

le syndrome du bébé secoué ou Traumatisme Crânien Infligé par Secouement (TCIS).  C’est une forme grave de

maltraitance qui peut être difficile à diagnostiquer par les professionnels de santé.Les données hospitalières du Programme de médicalisation des systèmes d’information en médecine, chirurgie, obstétrique  (PMSI-MCO) ont été analysées sur la période 2015-2017 afin de connaitre le nombre d’enfants hospitalisés présentant des lésions caractéristiques du syndrome du bébé secoué. Ainsi, sur le territoire français, hors Mayotte, 1 215 enfants ont été sélectionnés : 512  cas probables et 703 cas possibles.Un syndrome difficile à diagnostiquer Ce type de traumatisme relève de la maltraitance et de l’infraction pénale, mais les signes cliniques ne sont pas spécifiques et les victimes, âgées de 1 à 11 mois, ne sont pas en capacité de parler. De plus, selon la Haute autorité de santé, “les secouements sont perpétrés le plus souvent en l’absence de témoins neutres.”Le données ont été récoltées suite à l’hospitalisation de bébés âgés de moins d’1 an et présentant des lésions intra-crâniennes (hémorragie traumatique sous-durale ou sous-arachnoïdienne) et/ou d’une hémorragie rétinienne et/ou des signes mauvais traitements.Repérer les bébés secouésSelon Santé Publique France, les bébés secoués sont majoritairement de sexe masculin, et – pour deux tiers – âgés de mois de 6 mois. Dans la plupart des cas qualifiés de probables de secouement, il est constaté plusieurs séjours à l’hôpital, une hémorragie rétinienne dans plus de 52% des cas, souvent en association avec des symptômes de sévices physiques ou autres mauvais traitements, ou des fractures.Comment prévenir ce type de maltraitance ?Les recommandations sont très simples. Appliquez-les vous-même et expliquez-les à toutes les personnes à qui vous confiez votre bébé.

  • Que faire si un bébé pleure et que vous n’arrivez pas à arrêter ses pleurs ? Vous avez vérifié qu’il n’a pas faim, que sa couche est propre, qu’il n’a pas trop chaud, pas de fièvre, vous lui avez fait un câlin et pourtant il continue de pleurer. 
  • Surtout ne le secouez pas pour essayer de le calmer ! Le mieux est de le coucher sur le dos dans son lit et de quitter la pièce en le laissant pleurer. Encore une fois, pleurer est un mode d’expression normal pour un bébé. Il est beaucoup moins dangereux pour lui d’être sur le dos dans son lit que dans les bras d’un adulte exaspéré.
  • Vous pouvez après avoir quitté la pièce demander de l’aide. N’hésitez pas à consulter. 

Click Here: Bape Kid 1st Camo Ape Head rompers

La listériose mise à nu !

La listériose est une infection alimentaire due a unebactérie : la Listeria monocytogenes. Sousl’égide de l’institut Pasteur, le patrimoinegénétique de cet agent vient d’êtreentièrement décrypté par une équipeeuropéenne. Cette découverte devrait permettre denombreuses avancées, notamment dans la détection dela bactérie et l’étude de sesréactions.
Mais les scientifiques ne se sont pas arrêtéslà ! Ils ont également comparé leurdécouverte au génome d’un agent inoffensif dumême genre : la Listeria innocua. Ils ont ainsi pu identifierprès de 300 gènes présents uniquement dans laforme responsable de la maladie. Les chercheurs devraient ainsiidentifier les mécanismes de la virulence de la Listeria etl’origine de ses facultés d’adaptation.
La listériose est une infection contractée parl’ingestion d’aliments contaminés (produits laitiers,charcuteries…), notamment à la suite d’unerupture de la chaîne du froid. Elle se manifeste par desméningites, des septicémies, des avortements, desinfections périnatales et des gastro-entérites. Elletouche préférentiellement les femmes enceintes, lesnouveau-nés, les personnes âgées ou atteintesde maladies graves. L’infection est mortelle dans 20 à30 % des cas. Plusieurs milliers de cas sont signalés dansle monde chaque année, dont 200 en moyenne en France.
Source : Institut Pasteur et Science, octobre 2001: vol. 294 : p. 849-52.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

McLaren rebound in 2019 changed Ricciardo’s sentiment

McLaren boss Zak Brown says the team’s productive 2019 season and its defeat of Renault in F1’s midfield battle convinced Daniel Ricciardo to change his mind about the Woking-based outfit’s prospects and switch his allegiance to the team for 2021.

Ricciardo had initially been courted by McLaren during the summer of 2018 when the Aussie – racing for Red Bull at the time – was weighing his options for the following year.

Ricciardo ultimately declined Browns’s offer, believing his interests would be better served by joining forces with Renault, a full works outfit, rather than driving for a team that appeared to struggle to find its footing following a period of massive underperformance.

    Brown: Ricciardo ‘capable of winning title immediately’

But twelve months later, the French team was chasing a rejuvenated and competitive McLaren in F1’s fierce midfield. By the end of the 2019 campaign, Ricciardo’s perception of the papaya squad had significantly changed.

“We went after him a couple of years ago before he made the decision not to join us,” Brown told Sky F1.

“I’ve talked to him about it since and he went ‘you were coming off a pretty poor season’ – which was putting it politely – ‘but also there was a lot of this is what we’re going to do to rebuild the team’.

While McLaren’s restructuring plans had been put on their rails in July 2018, the team’s future still lacked clarity with regard to the organization of several key departments.

“I hadn’t brought in yet Andreas Seidl or James Key or restructured the leadership team.

“So there were a lot of promises and, coming off such a bad season, I could see how he would go ‘oh, let’s see how this plays out’,” added Brown.

“He likes how it’s played out. I’ve liked how it’s played out.

“He’s seen the changes we’ve made, the leadership Andreas has brought, the backing we have from our shareholders, going to the Mercedes engine, we’re a team on the move and I think he’s going to help get us to the next level.

“Getting a grand prix winner like Daniel definitely is a sign we’re going in the right direction.”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

Keep up to date with all the F1 news via Facebook and Twitter