Les Français jugent leur système de santé en déclin

Une enquête conduite dans une douzaine de pays révèle que 71 % des Français considèrent notre système de santé comme l’un des plus performants au monde, mais ils sont 40 % à estimer que son efficacité s’est détériorée au cours des 5 dernières années.

Près de 4 Français sur 10 jugent que l'efficacité de leur système de santé s'est  détériorée au cours des 5 dernières années.

Un système de santé jugé performant mais en déclin
Si à une large majorité, 73 %, les Français considèrent toujours le système français comme un des meilleurs du monde, ils ne sont plus que 51 % à avoir une appréciation positive de ses performances, les plus critiques étant ceux qui en ont la moins bonne compréhension de son fonctionnement. “ Une meilleure communication et plus de pédagogie semblent nécessaires“ déclare Yves Jarlaud, Associé Conseil et Responsable du secteur Santé et des Sciences de la Vie chez Deloitte.
Pour près de 4 Français sur 10, l’efficacité du système de santé français s’est détériorée au cours des 5 dernières années, même si le jugement global sur la qualité des soins reste très positif. Seuls bémols : les Français sont déçus de leur expérience de “patient-consommateur“ et sont critiques sur le temps d’attente pour accéder à un service, manque d’attention portée au patient individuel…Les Français sont de plus en plus inquiets du coût de la santé
La moitié des ménages français déclarent avoir vu leurs dépenses de santé augmenter en 2011 par rapport à 2010. La crise a eu des conséquences sur leur budget santé, en particulier parmi les plus bas revenus et ceux ayant la moins bonne couverture d’assurance. Cette inquiétude est particulièrement importante en France (66 % de nos compatriotes) que dans les autres pays couverts par l’enquête. Elle se traduit par une interrogation sur leur capacité future à faire face aux dépenses de santé : 1/4 des ménages en moyenne pense ne pas être prêt à assumer ses frais de santé à venir (un sur trois pour ceux dont les revenus sont les plus modestes), et ce indépendamment de l’étendue de leur couverture santé. Si seuls 9 % des Français considèrent que leur couverture d’assurance est insuffisante, la pression économique fait qu’ils sont 2 sur 3 à affirmer avoir atteint ou dépassé leur limite budgétaire en matière de prime d’assurance santé.
Une courte majorité (55 %) juge que la qualité des soins pourrait être améliorée tout en réduisant les coûts.Les Français sont peu satisfaits de leur état de santé
Globalement, les Français sont pessimistes sur leur santé (moins de 40 % se considèrent en très bonne santé). Un sur quatre juge son état de santé médiocre et la même proportion estime également qu’il s’est dégradé au cours de la dernière année. Pour autant, peu semblent vouloir se prendre en main pour inverser la tendance : seul 10 % déclarent avoir participé à un programme visant à l’amélioration de son hygiène de vie et de son bien-être et le pourcentage est à peine plus élevé (11 %) pour ceux souffrant d’une maladie chronique…
Malgré l’affaire Mediator, le médicament reste un pilier important de “l’approche santé“ des Français, qui comptent toujours parmi les plus gros consommateurs de produits de prescription au monde (56 % des Français déclarent en consommer de façon régulière avec une prise quotidienne moyenne de 3 médicaments). 70 % d’entre eux restent convaincus de leur efficacité.La e-santé devra rassurer pour convaincre
Intéressés par les évolutions technologiques, les Français en sont des utilisateurs modestes. Si une faible majorité (51 %) est favorable à l’introduction du DMP électronique, seuls 6 % avouent avoir créé leur propre dossier médical électronique. Les principaux freins sont les risques “ressentis“ en matière de sécurité et de confidentialité. La mise en place de monitorings à distance ne séduit que la moitié des Français atteints de maladie chronique. Près de 90 % sont sceptiques quant à l’utilisation d’outils électroniques du type smartphone ou PDA pour le suivi à distance de traitements ou l’obtention d’informations relatives à leur santé.
Une autre enquête conduite par New London Consulting pour FairWarning (enquête en ligne non représentative de la population française) souligne l’importance que les Français accordent à la confidentialité de leurs données médicales… au point même d’en cacher certaines à leurs praticiens. Plus de la moitié des patients français (54,4 %) affirme avoir déjà tu des informations personnelles au personnel soignant par crainte d’atteinte à la vie privée. D’après ce sondage, 22 % personnes interrogées serait même prêt à décaler la recherche de soins médicaux par peur du non-respect de la vie privée et de la confidentialité. A contrario, 67 % affirment avoir confiance en la protection de leurs dossiers médicaux et de leur vie privée. Près de 93 % des sondés considérant même que les dossiers médicaux numériques présentent des avantages majeurs, tels que la facilité d’accès aux dossiers des malades (78,7 %) ou la mise à jour régulière des dossiers en question (75,7 %).David Bême
Sources :
Etude Deloitte conduite dans douze pays (Allemagne, Belgique, Brésil, Canada, Chine, Etats-Unis, France, Luxembourg, Mexique, Portugal, Royaume-Uni et Suisse) auprès de 15 735 consommateurs – janvier 2012. En France, l’enquête a été conduite par Ipsos auprès d’un échantillon représentatif de 1001 adultes français âgés de 18 ans et plus. Le questionnaire comportait 78 questions principales avec 29 questions potentielles d’approfondissement.
Sondage de 30 questions en ligne FairWarning Inc., leader des solutions de protection des données, restés 6 jours en ligne auquel 1002 personnes ont répondu.

Implants PIP : plus de 2 220 ruptures signalées à fin mars

Plus de 2220 cas de ruptures de prothèses ont été rapportés par des femmes porteuses d’implants Poly implant prothèse (PIP) au 31 mars dernier, soit 241 cas supplémentaires par rapport à février. Des incidents qui surviennent dans près de la moitié des cas sur des implants de moins de 5ans.

Près de 4000 femmes porteuses de prothèses PIP ont été explantées préventivement à la fin mars 2012.

Le 18 avril, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) rapporte qu’au 31 mars 2012, 2 227 ruptures sur des implants PIP ont été déclarées, soit 241 de plus qu’en février 2012. “Le repérage de ces ruptures est favorisé par la sensibilisation des professionnels de santé et des patientes à la pratique de l’échographie (recommandations 2010 et 2011)“ précise le communiqué. Ce bilan intervient alors qu’une

étude anglaise estime que le taux de rupture de ces prothèses doit être revu à la hausse.Comme lors des bilans des mois précédents, les ruptures surviennent sur des implants récents, témoignant ainsi du caractère frauduleux de ces produits. “Ce nombre élevé de ruptures confirme les défauts documentés des prothèses PIP d’autant qu’elles surviennent de façon anormalement précoce : pour 43 % d’entre elles, moins de 5 ans après la pose des implants PIP“ (et 81 % dans un délai de moins de 8 ans). 2254 réactions inflammatoires sur prothèses ont été déclarées à l’agence dont 1 626 n’étaient pas associée à des ruptures. Au total, 45 cas d’adénocarcinomes mammaires ont été déclarés à l’agence chez des femmes porteuses de prothèses PIP, des chiffres qui selon l’Afssaps ne remettent pas en cause

l’avis de l’Institut National du Cancer de décembre 2011, qui estimait alors que “les données disponibles aujourd’hui permettent de conclure à l’absence de sur-risque d’adénocarcinome mammaire chez les femmes porteuses d’implants en comparaison avec la population générale. Il n’existe pas de donnée à ce jour pour conclure à un sur-risque d’adénocarcinome mammaire spécifique à la prothèse PIP en comparaison aux autres implants“.Le 23 décembre 2011, le Ministère de la Santé a recommandé l’explantation préventive des prothèses PIP (pas seulement celles victimes de rupture). Au 31 mars, 3 935 femmes y ont eu recours, soit 904 de plus qu’à la fin février 2012 (parmi elles, les prothèses ont été retrouvées intactes dans 81 % des cas). Néanmoins, l’Afssaps précise que “L’explantation préventive des prothèses PIP est d’autant plus recommandée que dans 19 % des cas, on retrouve un défaut de la prothèse qui n’avait pas engendré de symptôme clinique“.David BêmeSources :Mise à jour de la synthèse des données d’incidents déclarés chez les femmes porteuses d’implants PIP au 31 mars 2012 – 18 avril 2012Synthèse des signalements de matériovigilance transmis à l’afssaps à fin mars 2012 (

document accessible en ligne)Photo : BEBERT BRUNO/SIPAClick Here: Golf Equipment Online

Insuffisance cardiaque : les femmes moins bien traitées que les hommes

S’il est des inégalités contre lesquelles les femmes pourraient s’insurger, c’est bien celle-ci : une étude présentée au congrès de la Société européenne de cardiologie, qui s’achève le 29 août à Munich(Allemagne), montre qu’elles reçoivent moins de soins que les hommes lorsqu’elles sont hospitalisées pour une insuffisance cardiaque aiguë.

Insuffisance cardiaque : les femmes moins bien traitées que les hommes

L’i

nsuffisance cardiaque est la première cause de mortalité cardiovasculaire devant l’

infarctus et l’

hypertension artérielle. Elle peut être due à de multiples causes dont les deux plus fréquentes sont la maladie coronaire (faisant notamment suite à un infarctus) et l’hypertension artérielle. Les symptômes de cette maladie sont très handicapants mais restent méconnus du grand public : fatigue extrême, oedème des chevilles, essoufflement à l’effort et au repos. Des signes qui ne trompent pas et qui sont liés à une défaillance du muscle cardiaque.Avec ses collègues, le Dr John T. Parissis  a voulu voir s’il existait des différences entre les hommes et  les femmes admis à l’hôpital pour une insuffisance cardiaque aiguë. L’étude qu’il a présentée au congrès de l’ESC portait sur près de 5 000 patients, dont 37 % de femmes, hospitalisés en cardiologie ou dans des unités de soins intensifs suite à une insuffisance cardiaque aiguë. Les données ont été collectées auprès de plus de 600 hôpitaux de 9 pays dans le cadre d’une enquête, l’Acute Heart Failure Global Registry of Standard Treatment (ALARM-HF).Les chercheurs ont observé des différences significatives au niveau du tableau clinique, des maladies associées, des facteurs aggravants et, étonnamment, de la prise en charge. Ils n’ont en revanche pas observé de différences en termes de durée d’hospitalisation et de mortalité à l’hôpital.Pas le même tableau clinique :– Au niveau clinique, l’insuffisance cardiaque aiguë apparaît à un âge plus avancé chez les femmes que chez les hommes ;- Les femmes ont deux fois moins de risque de présenter un choc cardiogénique (défaillance aiguë de la pompe cardiaque) que les hommes, mais deux  fois plus de risque d’avoir une insuffisance cardiaque droite ;- Les femmes admises à l’hôpital ont une pression systolique et un rythme cardiaque supérieurs à ceux des hommes. Elles présentent également une fraction d’éjection ventriculaire gauche élevée et la majorité d’entre elles ont une fraction d’éjection préservée ;Des comorbidités différentes– Concernant les comorbidités, les femmes souffrent plus souvent que les hommes d’une

fibrillation auriculaire, d’une

valvulopathie, d’un

diabète sucré, d’une

obésité, d’une

anémie et d’une

dépression. Elles sont en revanche moins nombreuses à

fumer et à présenter une 

cardiomyopathie, une maladie coronaire, une dyslipidémie, un

asthme ou une

bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Les taux d’hypertension artérielle et d’artériopathie oblitérante des membres inférieure (AOMI) sont, quant à eux, similaires chez les hommes et chez les femmes.- Quel que soit le sexe du patient, le facteur aggravant le plus fréquemment retrouvé est le syndrome coronaire aigu. Néanmoins, les femmes ont moins tendance que les hommes à en souffrir, alors qu’à l’inverse, elles sont plus nombreuses à avoir une infection ou une valvulopathie aggravante.Les traitements médicamenteux ou chirurgicaux indispensables moins proposés aux femmes– D’un point de vue thérapeutique, une plus faible proportion de femmes sont sous antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II, sous

bêtabloquants, sous

aspirine ou sous

clopidogrel à leur admission. Elles sont en revanche plus volontiers sous

digoxine ou sous

anti-vitamine K, comme traitement de leur

fibrillation auriculaire. La prise en charge proposée par les médecins est ensuite assez différente selon que le patient est un homme ou une femme : si la pression positive continue et la ventilation mécanique sont autant proposées aux uns et aux autres, la pose d’un

stent, d’une pompe à ballonnet intra-aortique ou un

pontage aorto-coronarien sont davantage des interventions réalisés sur des hommes.Une mortalité à l’hôpital similaire– Malgré cette différence dans la prise en charge des patients, la durée de l’hospitalisation est la même pour les deux sexes, tout comme la mortalité à l’hôpital. Pour le Dr Parissis, “la présence d’une fraction d’éjection plus élevée chez les femmes et une moindre prévalence de la maladie coronarienne peut avoir un impact positif sur la survie“. Il ajoute que, “d’un autre côté, l’existence d’autres co-morbidités graves et la moindre prescription de médicaments indispensables comme les bêtabloquants peuvent contrebalancer cet effet positif sur la survie à l’hôpital. Ceci peut expliquer le taux de mortalité similaire chez les deux sexes“.Et le cardiologue de conclure qu’il existe peut-être des différences dans la physiopathologie de l’insuffisance cardiaque aiguë entre les femmes et les hommes dont devraient tenir compte les médecins. “Au final, une application plus rigoureuse des recommandations concernant la prise en charge de l’infarctus du myocarde est nécessaire afin de rendre optimaux les médicaments pouvant sauver des vies, particulièrement chez les femmes“.Amélie PelletierSource :  “Women with acute heart failure have similar in-hospital mortality to men but are less treated“ – Congrès ESC 2012, Munich.Click Here: Kangaroos Rugby League Jersey

Box-office US : démarrage canon pour “Twilight 4 : 1ère partie”

“Twilight – Chapitre 4 : Révélation 1ère partie” cartonne au box-office américain avec 139,5 millions de dollars de recettes pour son premier week-end d’exploitation, soit le cinquième meilleur démarrage de tous les temps.

La saga Twilight plus populaire que jamais. Pour preuve, Twilight – Chapitre 4 : Révélation 1ère partie vient de provoquer un petit séisme au box-office américain en totalisant 139,5* millions de dollars de recettes pour son premier week-end d’exploitation. Il s’agit du cinquième meilleur démarrage de tous les temps, juste derrière… Twilight – Chapitre 2 : tentation et ses 142,8 millions de billets verts. Pour rappel, le trio de tête du meilleur démarrage est composé de Spider-Man 3 (troisième avec 151,1 millions), The Dark Knight, Le Chevalier Noir (deuxième avec 158,4 millions) et Harry Potter et les reliques de la mort – partie 2 (premier avec 169,1 millions).

Très loin derrière, les pingouins de Happy Feet 2 en 3D engrangent 22* millions de dollars de recettes, soit près de moitié moins que les 41 millions de dollars de recettes totalisés par Happy Feet en 2006. Quant à la comédie dramatique The Descendants, emmenée par George Clooney et autre nouveauté du week-end, elle est à créditer d’1,2 millions de dollars de recettes.

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Clément Cuyer avec www.boxofficemojo.com et www.boxofficeguru.com

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Norris: McLaren needs more than Mercedes engines to win

Lando Norris says Mercedes’ engines will add to McLaren’s performance next season but insists many improvements will be necessary for the Woking-based outfit to be able to compete for race wins.

McLaren’s three-year partnership with Renault will end at the end of the current season after which the team will switch to Mercedes power, the pair reviving the successful relationship they enjoyed in the late 90s and 2000s.

The move was greeted with a great deal of enthusiasm at Woking, but Norris says the German power unit alone won’t thrust McLaren into the winner’s circle.

“It’s something to look forward to,” said Norris on Wednesday, shortly after enjoyinh his Supercars Eseries debut

“It’s what we believe will be an addition and something to help us step forward. But it’s not going to be everything.”

    McLaren won’t ‘waste time’ protesting Racing Point charger

Norris highlighted the progress that McLaren’s MCL35 chassis still required to put itself in the mix.

“There’s a lot of time that we still need to find in the chassis itself and not just rely on the engine.

“So it’s a help and it’s a step forward but there’s a lot of things in Formula 1, so many things that are part of making a Formula 1 car to go quickly and this is just one of hundreds of thousands.

“So it’s good, it’s something we look forward to, something that we definitely think is going to be helping us.

“We have to get this season out of the way and work as hard as we can for now and then look forward to it next year.”

©McLaren

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Looking ahead at the hypothetical start of the 2020 season in Austria in early July, Norris reckons drivers are going to be “busy” over the summer in races that will also be physically taxing.

“It’s going to be busy. I think as soon as we do get back racing they want to fit a lot of races in,” he commented.

“So it’s going to be tough physically to jump back in a Formula 1 car, one of the fastest cars in the world, the most physical cars to drive.

“It’s not going be easy. But I’m very excited. I want to get back racing as soon as possible, as soon as it’s safe to do so and I can’t wait to get the opportunity.”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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Condé Nast College of Fashion & Design Launches ‘Fashion & Image’ Online Course

Condé Nast College of Fashion & Design is delighted to announce the first online course, Fashion & Image, which will commence on 1st June 2020. The 6-week course is now open to applicants worldwide.

The ‘Fashion & Image’ course gives an insight into the fashion industry and explores how it is influenced by culture and communicated through image – a perfect introduction for those fascinated and inspired by fashion and image.

About the Fashion & Image online course

Each week, students can enjoy live lectures from industry professionals, as well as sessions with renowned industry experts including; Ben Evans, Art Coordinator, British Vogue, Ruth Marshall-Johnson of Do Your Research, and Art Director, Timothy Rennie.

“We are excited to launch our first online course, which offers students an incredible opportunity to gain an introduction into the world of Fashion & Image. The unique thing about this course is that it gives the opportunity for students to access imagery from the Vogue Archive and hear from Condé Nast’s network of professionals, industry experts and our Condé Nast College academics,” said Lisa Mann, Director of Post-Graduate & Professional Programmes.

The course works through a variety of modules to build up learners’ knowledge and understanding, across a 6-week period. It has been designed by the Condé Nast College of Fashion & Design’s experienced academics. This inaugural online course will be followed by a host of more advanced online courses, reflective of our physical course offering.

“The Fashion & Image course will allow participants to gain an unrivalled insight and understanding into how the fashion industry and the medium of image have evolved over time. Participants will learn, enjoy and benefit from undertaking this rigorous programme of study. This new programme is also a great complement to our existing portfolio of outstanding Masters and Bachelor’s degrees, Foundation programme and other Condé Nast courses,” said Nick Isles, CEO of Condé Nast College of Fashion & Design.

Who is this online course for?

The Fashion & Image course is offered at an introductory level and works as an excellent precursor for further studies at the Condé Nast College. It is also suitable for those who simply wish to gain a deeper understanding of the inner workings of the Fashion Industry.

Join us for a journey through Fashion & Image that you won’t forget.

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About Condé Nast College of Fashion & Design

The Condé Nast College of Fashion & Design was opened in 2013 by the global media giant. It combines the unrivalled industry expertise of the Faculty with rigorous academic learning in a unique, industry-led educational offering.

Today, the College provides students with a world-class fashion education with exclusive access to the brightest minds in the industry, including the Condé Nast magazine teams at world-renowned titles such as; Vogue, LOVE, Glamour, Wired and GQ.

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Our courses offer creativity with sound business knowledge for students to take into the workplace. We explore the many diverse roles that make up the fashion and media industries including styling, journalism, buying, marketing, branding, graphic design, PR, ecommerce, business, digital strategy and entrepreneurship, proving that there really is a role for everyone in the business. The College strives continuously to meet the changing needs and expectations of our stakeholders both in the industry and those who study with us.

Airlines trash middle-seat social distancing

Passengers might hate getting jammed into the middle seat on planes but leaving it empty is not going to lower their risk of catching coronavirus, argues an industry group of the Continent’s largest airlines.

That was their message ahead of Wednesday’s virtual meeting of EU transport ministers on how to restore travel amid the pandemic, which has grounded 90 percent of Europe’s air traffic.

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In a letter to the ministers dated Monday, lobby group Airlines for Europe (A4E) said: “Social distancing is neither necessary nor viable on board an aircraft.” Both Lufthansa and easyJet have promised to keep some seats free as a temporary measure while the industry gets back up and running.

But Brussels’ major aviation lobby (which represents 16 airlines, including Lufthansa and easyJet) argued it is impossible for flight crews to operate an aircraft maintaining a 2-meter distance from passengers or each other, and that there is no financially viable model for any airline that is forced to fly a plane only two-thirds full.

Ryanair CEO Michael O’Leary called the idea “idiotic” and said if his budget airline is required to fly with the middle seat vacant, the carrier will either charge the government for the seat or it won’t fly. “We can’t make money on 66 percent load factors,” he told the FT last week. “Even if you do that, the middle seat doesn’t deliver any social distancing, so it’s kind of an idiotic idea that doesn’t achieve anything anyway,” he said.

That doesn’t mean airlines have a clear idea as to how they will start making money again.

As the rate of infections decreases across Europe, governments are looking to reopen their economies, but they have to temper that by ensuring the virus does not spread. Those efforts largely center on keeping people physically distanced and avoiding groups in confined spaces — something that’s impossible on a plane.

Policymakers, regulators and the industry are busy coming up with a plan that could minimize risk for travelers and crew as some air travel is slated to return. EU aviation regulator EASA is drawing up safety guidelines for the industry, and in the meantime airports are working on their own best practices that require changes in disinfection routines, installing coronavirus testing facilities and temperature checks, and reorganizing gates to ensure space between people.

On Monday, Italy issued guidelines for air transport, including mandatory masks, temperature checks for passengers and “one-way” corridors for arriving and departing passengers at airports to prevent crowding.

Can’t stay away

Lufthansa is for now keeping the middle seat empty on all flights, but with 90 percent of its fleet grounded and rock-bottom demand, that’s relatively easy to achieve.

A poll commissioned by global airline lobby IATA found that 40 percent of respondents are willing to wait up to six months before getting on a plane. About 60 percent said they could expect to be on a flight within the next two months.

Once demand returns, a distancing policy will be hard to maintain. And budget airlines including Ryanair need the plane to be full in order to be profitable.

Mandatory social distancing on aircraft would be “the end of cheap air travel,” Alexandre de Juniac, IATA’s director general, said in a call with reporters last week.

“There is no viable airline model with social distancing (of any kind) in place onboard the aircraft,” A4E told POLITICO in an email.

Instead, airlines want airports to take responsibility for spotting any health risks at departure. “Public health safety should be approached like aviation security — with passenger screening carried out on the ground in order to ensure safety on board,” A4E said.

It suggests screening procedures and facilities should be paid for by governments.

The sector is also asking EU ministers to ensure that any changes are coordinated. Brussels and the industry have warned national capitals that if restrictions ease in the haphazard way they were imposed, it could take even longer for airlines to start flying again.

“We cannot afford to exit this crisis the way we got into it,” Jost Lammers, the CEO of Munich airport and president of airport lobby ACI-Europe, said in a statement Tuesday.

“There must also be coherence when it comes to the operational measures that both airports and airlines will need to comply with. This is going to be essential if we want these measures to be not only effective — but also to secure public confidence,” Lammers said.

This article is part of POLITICO’s premium policy service: Pro Mobility. From the digitization of the automotive sector to aviation policy, logistics and more, our specialized journalists keep you on top of the topics driving the Mobility policy agenda. Email [email protected] for a complimentary trial.

How To Cook Thanksgiving Turkey Without Burning Down House

ANNAPOLIS, MD — While it’s become popular with adventurous cooks in recent years, firefighters discourage home chefs from trying to cook their Thanksgiving turkey with oil fryers. Common mistakes such as having too much oil in the pot, or kicking the temperature up too high can lead to catastrophic fire and injuries. Watch the video at the bottom of this story for an example.

Turkey fryers filled with oil heated to 350 degrees often overflow when the bird is placed inside, say insurance experts. The spilling oil hits the heating flames below, causing an instant fire. Another hazard, experts say, is that turkey fryers are often unstable and easy to tip over. Lastly, many of these fryers lack adequate thermostat control and have the potential to overheat the oil to the point of combustion, warns IMT Insurance.

Large meals are a way to bind a family or friends together in celebration of the holidays. The Annapolis Fire Department urges you to practice safe cooking, not only in this holiday season, but year round. Cooking fires are the leading cause of home fires in the United States. Below are some safety tips from the Annapolis Fire Department and the National Fire Protection Association to help you stay fire safe in the kitchen.

Cooking Safety Tips

Turkey Fryers

In recent years deep-frying turkeys has become increasingly popular especially during the holiday seasons. Annapolis Fire Chief David L. Stokes Sr. warns of the dangers of deep-fat turkey fryers.

“These devices can be very dangerous as they have a high risk of tipping over, overheating, or spilling hot oil that could lead to fires, burns, or other injuries,”Stokes warned in a news release. “In deep frying, oil is heated to temperatures of 350 degrees Fahrenheit or more. Cooking oil is combustible, and if it is heated beyond its cooking temperature, its vapors can ignite.”

This is a fire danger separate from the burn danger inherent in the hot oil. Overheating can occur if temperature controls, which are designed to shut off the fryer if the oil overheats, are defective, or if the appliance has no temperature controls.

Celebrity chefs such as Emeril Lagasse have helped popularize the fried turkey, says IMT Insurance. The only problem is that the turkey fryers used to create this dish are unsafe and not certified by Underwriters Laboratory.

The NFPA discourages the use of outdoor, gas-fueled turkey fryers and warns that the use of turkey fryers by consumers can lead to devastating burns, other injuries and property damage. NFPA officials urge fans of fried turkey to dine out grocery stores, specialty food retailers, and restaurants that prepare the dish, or consider a new type of “oil-less” turkey fryer.”

If you use deep-fat turkey fryers the Annapolis Fire Deparment shares these safety reminders:

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For more information about cooking safety, call the Annapolis Fire Department at 410-263-7975, or visit the website at www.annapolis.gov.

PHOTO: Alameda County California firefighter Bob Perez lowers a 13 pound turkey into a pot of boiling oil during a safety demonstration. Serious home fires and fatalities have been linked to deep-frying turkeys in homes on stivetops. Turkey fryers should be used outdoors, a safe distance away from buildings and other combustible materials. (Photo by Justin Sullivan/Getty Images)

Llama Rescued From Patuxent River: Howard County Officials

HOWARD COUNTY, MD — Crews in Howard County helped a llama to safety after the animal got stuck in a flooded pasture overnight. Emergency personnel performed the rescue in the Mink Hollow area near the Patuxent River, the Howard County Department of Fire and Rescue Services reported.

The call for help came around 8:30 a.m. on Sunday, Dec. 16, officials told the Howard County Times. Rescuers connected a rope to the llama’s harness and walked with the creature through the flooded pasture, the newspaper reported.

Rain saturated the region overnight, steadily falling from Saturday through Sunday. About 3.79 inches of rain had fallen in the Highland area by 7:45 a.m. on Sunday, based on preliminary data submitted to the National Weather Service.

Several roads were flooded in Howard County as a result, government officials reported.

Photo of the llama rescue courtesy of the Howard County Department of Fire and Rescue Services.

Lutte anti-tabac : les 10 propositions radicales d'Yves Bur

Dans un rapport sans concession rédigé à la demande du ministre de la Santé, qu’il lui a remis le 1er mars, le député UMP Yves Bur propose 10 axes d’action pour réduire de moitié la proportion de fumeurs d’ici 2025 et revenir ainsi à des taux de consommation proches de ceux du Royaume-Uni, du Canada, de la Nouvelle-Zélande ou encore de la Thaïlande.

Le député UMP Yves Bur propose 10 mesures radicales pour réduire de moitié le tabagisme d'ici 2025.

Chaque année, le tabac tue plus de 60 000 personnes en France. Après plusieurs années de baisse de sa consommation, celle-ci est repartie à la hausse entre 2005 et 2010, atteignant 29 % de la population. Une proportion encore plus forte chez les 20-25 ans où elle atteint 42,8 % chez les jeunes hommes et 39 % chez les jeunes femmes de cette tranche d’âge.La mauvaise gestion politique pointée du doigtDans son rapport, Yves Bur n’hésite pas à mettre en cause la gestion politique de la

lutte contre le tabac, dénonçant “des moyens dérisoires consacrés au contrôle du tabac“, une “fluctuation de la volonté politique au cours du temps, avec des prises de décision contradictoires“ au cours des dix dernières années. Et le député d’incriminer une gestion économique et non sanitaire de la situation, “avec une prise en main par le budget de décisions qui devraient revenir à la santé“.Yves Bur rappelle par ailleurs que, contrairement aux idées reçues, les “recettes fiscales du tabac de 11 milliards d’euros ne couvrent pas, loin s’en faut, le coût de l’assurance maladie“ qui est de 18 milliards d’euros. Au total, le coût social du tabac est estimé à 47 milliards d’euros par an, soit 3 % du PIB de la France, souligne le député.Sa première recommandation concerne donc la mise en place d’un interlocuteur unique, désigné par le Premier ministre, pour piloter la politique de lutte contre le tabac.Augmentation de 10 % du prix du tabac

Parmi les mesures fortes que propose Yves Bur, celle de l’augmentation de 10 % des taxes et du prix des produits du tabac est certainement le signal le plus fort. S’appuyant sur les conclusions de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de la Banque Mondiale, le député estime qu’une telle hausse des prix entraînera une réduction de la consommation du tabac de 2,5 à 5 %, notamment chez les

jeunes, plus sensibles au facteur prix. En écrivant que la fixation des objectifs des prix du tabac doit être motivée “uniquement pas des considérations de santé publique“, Yves Bur dénonce en filigrane les motivations davantage pécuniaires que sanitaires des politiques qui ont prévalu jusque-là, avec une  augmentation des recettes fiscales obtenues par des hausses trop faibles des prix.Yves Bur souhaite par ailleurs “rendre au tabac sa véritable image“ de tueur ; il soutient pour cela l’idée d’un

paquet neutre standardisé qu’il défend depuis 2010, et suggère de mettre fin aux stratégies marketing de l’industrie du tabac qui banalisent et normalisent le tabac (paquets ludiques, design, utilisation d’arômes…).Interdiction du fumer dans tous les lieux publics où se trouvent des enfantsBien qu’il existe un cadre réglementaire contre le tabagisme actif et passif depuis plusieurs années, force est de constater qu’il est mal appliqué ou insuffisant pour protéger les jeunes et les enfants, estime le député du Bas-Rhin. Il demande donc de renforcer les contrôles concernant l’interdiction de vente aux mineurs, l’interdiction de publicité et de promotion sur les lieux de vente et propose, en cas d’infraction grave, “des sanctions dissuasives comme la révocation de licence“. Yves Bur souhaite également que la France se mette “en conformité avec les recommandations internationales“ et s’attaque à la non-conformité des terrasses de cafés, bars et restaurants qui hésitent de moins en moins à braver l’

interdiction de fumer dans les lieux publics et lieux de travail. Il préconise aussi de supprimer la possibilité de fumoirs et propose d’introduire la vente des produits du tabac “sous le comptoir“.Alors que Nice a inauguré le 20 février 2012 sa première plage sans tabac, Yves Bur va plus loin et suggère, pour protéger les enfants, d’“élargir le champ d’interdiction de fumer à l’ensemble des lieux publics ouverts ou fermés où les enfants peuvent se trouver comme les jardins d’enfants, les plages, les véhicules privatifs“.Prise en charge à 100 % des aides au sevrage pour certaines populationsDans son rapport, le député rappelle que le soutien à l’

arrêt du tabac est plus coût-efficace que le traitement des

maladies liées au tabac ; il recommande, par conséquent, la prise en charge intégrale des

aides au sevrage pour les populations vulnérables (

femmes enceintes, bénéficiaires de la CMU, Affections Longue Durée) et une prise en charge modulée pour le reste de la population. Cette aide au sevrage nécessite également l’implication des professionnels de santé, qui doivent pour cela recevoir une formation spécifique, suggère Yves Bur.Enfin, le député s’attaque aux lobbies des fabricants de tabac, au niveau national mais aussi européen. Yves Bur n’y va pas par quatre chemins et dénonce “les stratégies et les comportements malveillants“ mis en œuvre par l’industrie du tabac. Et de citer la désinformation du public via des campagnes savamment orchestrées, la corruption de chercheurs, l’organisation de la contrebande… Il propose donc, comme pour les médicaments, de mettre fin aux conflits d’intérêt qui existent chez certains représentants de l’État et qui nuisent à la lutte contre le tabac.Enfin, il suggère de revoir le statut des buralistes, pour ne plus lier leur rémunération au volume de ventes de tabac. Pour l’instant, ils touchent 8,5 % brut du prix des paquets qu’ils vendent. 80 % reviennent à l’État et le reste aux fabricants. Mais dans ce domaine, Yves Bur ne donne aucune solution.Pour Emmanuelle Béguinot, directrice du Comité National de lutte Contre le Tabagisme (CNCT), “ce rapport fera date. Le sujet est posé comme il le fallait, avec des mesures concrètes“. Et de conclure : “Aucun responsable politique ne peut désormais ignorer que des mesures efficaces peuvent être prises. En ne les prenant pas, ils sont responsables de morts prématurées évitables“.Amélie PelletierSources– Propositions pour une nouvelle politique de lutte contre le tabac, Rapport au Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé, remis le 1er mars 2012 à Xavier Bertrand.- Interview d’Emmanuelle Béguinot, directrice du Comité National de lutte Contre le Tabagisme (CNCT), le 2 mars 2012.- Communiqué du CNCT, le 2 mars 2012.Crédit photo : Yves Bur, IBO/SIPA