Month: May 2020

Selon le quotidien les Echos, le Ministère de la santé a annoncé que les prix des génériques remboursables vont baisser de 5 % en 2009. Une baisse qui devrait s’appliquer aux médicaments qui arriveront sur le marché dès l’an prochain.

C’est le Comité économique des produits de santé (CEPS), chargé de la régulation des prix des médicaments remboursables, qui est à l’origine de cette décision. Le prix des génériques passerait ainsi à 45 % de celui de la molécule originale mise sur le marché sous une marque commerciale (princeps), contre 50 % aujourd’hui.
Cette mesure permettrait une économie de 75 millions d’euros pour l’Assurance maladie. Aujourd’hui, le marché des génériques représente 10 % des ventes de médicaments remboursables en valeur et 20 % en volume. Le chiffre d’affaires de ce secteur est de 2,1 milliards d’euros.
Source : Les Echos du 18 septembre 2008Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Le Ministère de la santé a ordonné un retrait des bouteilles d’eau Source des Oliviers et de sodas des marques Taillefine, Oasis, Grand Jury agrumes et Champion agrumes des magasins. En effet, des contrôles ont décelé des traces d’une contamination chimique.

L’origine de la contamination est l’eau de source utilisée pour produire ces bouteilles, à Chateauneuf de Gadagne dans le Vaucluse. Celle ci contenait de faibles quantités d’ETBE (Ethyl-Ter-Butyl-Ether), un additif qui est utilisé pour l’essence. L’origine de la contamination est encore inconnue.
Il y a, a priori, peu de risques pour la santé aux concentrations décelées, mais la réglementation impose l’absence totale de pollution. Les produits concernés sont précisément : EAU DE SOURCE “SOURCE DES OLIVIERS“ : La date limite d’utilisation optimale (DLUO) est comprise entre le 02/10/2009 et le 15/10/2009, suivie de l’heure de fabrication et de “G6“ (les autres lettres ne sont pas concernées)OASIS TROPICAL (2 litres) : La date limite d’utilisation optimale (DLUO) est comprise entre le 30/04/2009 et le 15/05/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées)OASIS TROPICAL (boîte) : DLUO entre le 06/10/2009 et le 15/10/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées)OASIS AGRUMES (2 litres) : DLUO au 30/03/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées) OASIS ORANGE (2 litres) : DLUO entre le 30/03/2009 et le 11/04/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées)OASIS ANANAS (2 litres) : DLUO au 31/03/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées)OASIS Pomme/Cassis/Framboise (boîte) : DLUO entre le 07/10/2009 et le 10/10/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées) OASIS Pomme/Cassis/Framboise (2 litres) : DLUO entre le 10/04/2009 et le 11/04/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées) OASIS MULTIFRUIT (2 litres) : DLUO au 05/04/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées) OASIS PÊCHE/ABRICOT (2 litres) : DLUO au 06/04/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées)GRAND JURY AGRUMES (2 litres) : DLUO au 31/03/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées)CHAMPION AGRUMES (2 litres) : DLUO au 31/03/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “G“ (les autres lettres ne sont pas concernées)TAILLEFINE FIZ PÊCHE ORANGE (1,5 litres) vendu uniquement chez AUCHAN : DLUO du 04/04/2009, suivie de l’heure de fabrication et du code “L3“ (les autres lettres ne sont pas concernées)TAILLEFINE FIZ FRUITS ROUGES (1,5 litres) vendu uniquement chez AUCHAN : DLUO du 04/04/2009, suivie de l’heure de fabrication et du code “L3“ (les autres lettres ne sont pas concernées)TAILLEFINE THE VERT MENTHE (1,5 litres) : DLUO au 03/04/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “L3“ (les autres lettres ne sont pas concernées)
TAILLEFINE THE PECHE (1,5 litres) : DLUO au 03/04/2009, suivie de l’heure de fabrication et de la lettre “L3“ (les autres lettres ne sont pas concernées)
Les produits ne portant pas ces numéros de lot ne sont pas concernés. Si vous avez acheté l’un de ces produit, il ne faut donc pas le consommer.Source : Communiqué du ministère de la santé, octobre 2008

De belles carottes bien droites, des courgettes toutes lisses ! C’est terminé ! Maintenant on trouvera dans les supermarchés des fruits et légumes moins jolis d’aspect, mais aussi bons et surtout moins chers !

En effet, l’Union européenne vient de dévoiler son projet de permettre la vente des légumes qui ne sont pas forcément lisses ou rectilignes. Car jusqu’à présent, seuls étaient autorisés à la vente les légumes de catégorie 1 ou 2 ou Extra, répondant à des normes strictes de calibre et d’aspect. Les autres partaient pour les préparations industrielles de type purées, confitures, conserves ou plats préparés. Un règlement assez illogique, puisque les légumes “tordus“ sont aussi bons que les autres.
Sont concernés par cette nouvelle réglementation :
Légumes :
Artichauts, asperges, aubergines, avocats, haricots, choux de Bruxelles, carottes, choux-fleurs, courgettes, concombres, champignons de couche, aulx, choux pommés, poireaux, oignons, pois, céleris à côtes, épinards, chicorées.
Fruits :
Abricots, cerises, noisettes en coque, melons, prunes, noix en coque, pastèques.Dix fruits et légumes resteront “beaux“ quoi qu’il arrive et échapperont à cette réglementation : pommes, agrumes, kiwis, laitues, pêches et nectarines, poires, fraises, poivrons, raisin et tomates.
En autorisant à la vente ces légumes, l’Union européenne espère en tout cas faire baisser les prix de manière significative. Reste à savoir si les distributeurs, qui achèteront les légumes et fruits moins chers, joueront le jeu et répercuteront cette baisse sur le prix de vente…
Plus d’excuse pour ne pas manger 5 fruits et légumes par jour, tordus ou non !Source : Union européenne, novembre 2008.Click Here: camisetas de futbol baratas

Courteney Cox va devenir la nouvelle ambassadrice d’Avon. L’ex-Friends va prêter ses traits au nouveau parfum de la marque, baptisé Spotlight. Une façon pour l’actrice, de rester sous les feux de la rampe.
C’est donc Courntey Cox que l’on retrouvera dans la prochaine campagne publicitaire d’Avon. L’actrice, âgée de 44 ans, succède ainsi à une autre star hollywoodienne : Reese Witherspoon.
Ce nouveau parfum aux notes orientales traduit la fascination qu’exercent les stars sur le monde, d’où le choix de l’héroïne de “Dirt“ qui, à l’écran, est directrice d’un journal People à scandales. La meilleure amie de Jennifer Aniston s’est déclarée “heureuse de faire partie de cette maison“ qu’elle a connu “toute sa vie“.Pour faire écho à son nom, le flacon du parfum a été choisi brillant, élégant et chic. Spotlight, la nouvelle fragrance d’Avon sera commercialisée à partir d’avril 2009 aux Etats-Unis. On attend encore sa date de lancement en France.Source : Avon – Décembre 2008

Passer une radio, un scanner ou une IRM est devenu presque banal. Pourtant, un examen d’imagerie est loin d’être anodin. Hygiène, prévention des risques infectieux, sécurité… sont autant d’aspects à prendre en compte. Comment est assurée la sécurité de ces examens ? Quelles questions doivent se poser les patients ? Principaux points.

Tout examen de radiologie nécessite la mise en place d’une politique d’évaluation et de prévention des risques au sein des établissements qui les pratiquent.
L’examen d’imagerie, un acte non anodin
Il ne faut pas banaliser les examens d’imagerie. Radiologie et imagerie médicale sont confrontées à de nombreux défis. Tout d’abord parce que la technologie perfectionne constamment les appareils, ensuite parce que les usages eux-mêmes changent, l’imagerie médicale faisant l’objet d’applications nouvelles. Cela suppose aussi des financements permettant aux établissements d’acquérir ces machines, de former les utilisateurs, de garantir un usage sûr de ces technologies.
Ainsi, passer un examen d’imagerie suppose d’être correctement informé, sur l’examen lui-même, mais aussi sur l’établissement et sur les conditions de sécurité. De nouvelles craintes sont apparues récemment, depuis les accidents de radiothérapie survenus à Epinal et Toulouse (1).
Radioprotection et prévention des infections nosocomiales
Le centre d’imagerie est un espace sous haute surveillance. Il s’agit de protéger les patients et le personnel d’exposition excessive aux radiations. C’est la radioprotection. L’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a mené très récemment une campagne de contrôles inopinés dans 8 % des cabinets de radiologie du Sud de la France. Ces contrôles ont mis en évidence des lacunes à corriger, même s’ils montrent un respect global des mesures de radioprotection.
Mais il faut aussi prévenir les infections nosocomiales. Du fait du nombre important de passages de patients, les services d’imagerie médicale peuvent receler de nombreux micro-organismes. Même si les risques d’infections nosocomiales dans ces services sont peu documentés, la nécessité de désinfecter ces dispositifs d’imagerie au service du patient (par exemple les sondes d’échographie) a été mise en évidence (2). Aujourd’hui, une dizaine de sites d’imagerie ont engagé une certification Iso à type de certification d’entreprise ou de service : la certification Iso 9000 a pour objectif de réaliser un examen radiologique en contrôlant le processus de réalisation et en prévenant les risques.
Imagerie médicale : les questions à se poser
Les questions que le patient doit se poser, avec son praticien, portent à la fois sur le bien-fondé de l’examen, mais aussi sur les garanties apportées par l’établissement qui le pratique (3).
Sur l’examen :
Un examen utile est un examen dont le résultat, positif ou négatif, modifiera la prise en charge du patient ou confortera le diagnostic du clinicien. Il importe donc de se demander :
– L’examen a-t-il déjà été pratiqué ?
Par exemple dans un autre hôpital, dans un service de soins externes, aux urgences. Tout doit être mis en oeuvre pour obtenir les résultats des examens précédents. Attention à la multiplication des examens.
– Ai-je besoin de l’examen ?
Non si les résultats ne sont pas susceptibles de modifier la prise en charge, soit parce que le résultat positif attendu est généralement sans impact sur la décision thérapeutique, soit parce qu’un résultat positif est très improbable.
– Ai-je besoin de l’examen maintenant ?
C’est-à-dire avant que la maladie n’ait pu progresser ou guérir.
– Est-ce l’examen le plus indiqué ?
Les techniques d’imagerie évoluent vite. Il convient de privilégier les techniques non irradiantes lorsque c’est possible. L’existence d’une grossesse, un allaitement, des antécédents d’intolérance aux produits utilisés, l’âge peuvent influer le choix des techniques d’imagerie.
– Ai-je bien posé le problème ?
Des informations cliniques inappropriées et une mauvaise formulation des questions censées être résolues par l’imagerie peuvent conduire à réaliser un examen inadapté.
Sur l’établissement :
– Est-il certifié ?
Le fait qu’un centre d’imagerie ait engagé une démarche d’amélioration de la qualité de prestations et de la sécurité est un gage de confiance supplémentaire pour le patient, du moins lorsque cette démarche a été évaluée par organisme agréé.
– Le centre d’imagerie dispose t-il des appareils les plus avancées, les moins irradiants ?
Le cycle de renouvellement des appareils d’imagerie médicale est généralement de 7 à 10 ans. Vous pouvez vous assurer auprès du prescripteur de l’examen et auprès du centre lui-même que les équipements sont de dernière génération, donc théoriquement les plus efficaces et les plus sûrs.
– Les équipes sont-elles formées et les équipements adaptés au type d’examen dont j’ai besoin ?
Essayez de savoir si le centre pratique couramment ce type d’examens, demandez conseil à votre médecin pour savoir si le centre d’imagerie choisi applique les dernières recommandations relatives à cet examen et s’il émet des publications scientifiques.
– Ai-je la certitude que je pourrai me faire expliquer les résultats par un médecin ?
Cela fait normalement partie des obligations de transparence vis-à-vis du patient. Un planning surchargé n’excuse pas l’absence de dialogue autour des résultats d’un examen. C’est au centre d’optimiser son organisation pour laisser aux médecins le temps de dialoguer avec les patients.
– Aurai-je accès à toutes les informations me concernant et concernant mes résultats d’examen ?
Là-aussi, il s’agit d’un droit. Vous devez pouvoir accéder à tout moment aux informations sur votre identité, vos antécédents, vos précédents examens, visites, enregistrés par le centre. Vous avez aussi droit d’accéder à la totalité des résultats de votre examen.
Anne-Sophie Glover-Bondeau – 15 décembre 2008
1 – Radiothérapie et radiologie utilisent les mêmes rayons X, mais la radiothérapie les utilise à des fins thérapeutiques alors que les examens radiologiques ont une visée diagnostique et utilise des rayons d’une énergie moins grande. Passer une radiographie, une échographie ou un scanner n’expose donc pas aux mêmes risques de sur-irradiation que la radiothérapie. Il ne faut pas pour autant laisser la sécurité de côté.2 – Suite à des défauts d’hygiène suspectés par des inspecteurs de la Ddass fin 2007 dans un centre d’imagerie médicale, dans le cadre de l’usage de sondes d’échographie endorectales et endovaginales, l’Institut de veille sanitaire (InVS) a été saisi d’une demande d’analyse des risques infectieux liés à ces pratiques.3 – Guide du bon usage des examens d’imagerie médicale, Société Française de RadiologieClick Here: camiseta river plate

Près de 2 800 élèves de 16 ans dans 202 établissements français ont été interrogés en 2007 dans le cadre de l’enquête ESPAD (European School Survey on Alcohol and Other Drugs), menée simultanément dans 35 pays européens. Les résultats de ce questionnaire sur les usages, attitudes et opinions relatifs aux substances psychoactives montrent une hausse de la consommation d’alcool et un recul confirmé du tabagisme quotidien. L’usage de cannabis a tendance à diminuer également.Les résultats montrent une baisse continue de l’expérimentation du tabac entre 1999 et 2007 : 6 adolescents sur 10 ont déjà fumé une cigarette, contre près de 8 sur 10 en 1999. Concernant l’usage quotidien (1 ou plusieurs cigarettes par jour), il est passé de 31 % en 1999 à 17 % en 2007, baisse plus marquée chez les filles qui sont passées de 24 % à 16 % entre 2003 et 2007 (de 20 à 18 % chez les garçons, soit une baisse de 2 points seulement).

90 % des élèves ont déjà bu de l’alcool à 16 ans, ce qui peut paraître normal. Par contre ils sont déjà 13 % à en boire régulièrement (au moins 10 fois par mois, les garçons buvant 2 fois plus que les filles). Des chiffres en nette augmentation par rapport à 1999 (8 %) et 2003 (7 %), alors que chez les adultes la tendance est plutôt à la baisse. A l’inverse, les ivresses sont stables, 4 jeunes sur 10 déclarant avoir bu plus de 5 verres en une même soirée lors des 30 derniers jours. La répétition de ces ivresses – et donc le ‘binge drinking’ – reste rare.L’expérimentation du cannabis a également légèrement baissé depuis 1999, concernant 31 % des élèves en 2007, contre 35 % en 1999. Les usagers réguliers seraient aussi moins nombreux, 3,4 % en 2007 versus 6,1 % en 2003. Il y a davantage de fumeurs de cannabis que de fumeuses, même si ces dernières diminuent moins rapidement leur consommation que les garçons.L’expérimentation globale de ces 3 substances est également en baisse, passant de 33 % (1999) à 29 % (2007). La consommation régulière de plusieurs produits diminue aussi, de 8 % (1999) à 5 % (2007).Enfin, cette étude a cherché à évaluer le mode de vie, les pratiques de loisirs et la perception de l’école. Sans surprise, 82 % des jeunes interrogés surfent au moins une fois par semaine sur internet (70  quotidiennement) et 87 % utilisent un téléphone portable. Leur premier loisir reste le sport, suivi par les jeux vidéos. 91 % des élèves sont allés au cinéma lors de la dernière année, loin devant le fait d’assister à une rencontre sportive (60 %), d’aller à un musée ou à une exposition (44 %), un concert (43 %) ou au théâtre (34 %). L’école est appréciée par 44 % des élèves, mais 27 % l’aiment “peu ou pas du tout“.Cette enquête fouillée montre donc des jeunes qui ont adopté les nouvelles technologies et qui suivent les usages de consommation de substances psychoactives enclenchés chez les adultes, à savoir commencer à moins fumer du tabac et du cannabis (bien que le statut illégal de cette dernière substance peut faire s’interroger sur la sincérité des déclarations des jeunes à son sujet…). Le niveau élevé de consommation d’alcool reste par contre toujours aussi préoccupant, même si les mesures contenues dans la future loi sur l’hôpital (interdiction de vente d’alcool aux mineurs et des opens bars) devraient contribuer à diminuer cette alcoolisation précoce.Sources :
Communiqué de presse de l’OFDT et de l’Inserm, 2 février 2009
La 3e enquête Espad 2007 (après celles de 1999 et de 2003) a été menée en France sous la responsabilité scientifique de l’Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies (OFDT) et de l’unité 669 de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).
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Le grand instant de bonheur qu’est la traditionnelle séance d’ouverture de votre boîte mail ne sera plus votre exercice préféré au bureau. Découvrez vite un nouveau concept de gym en ligne mis au point par des experts en santé !

Chaque jour, grâce à un coach virtuel, vous exécuterez devant votre ordinateur des petits mouvements qui vous aideront à entretenir votre forme. Se muscler derrière son ordinateur, n’a jamais été aussi simple ! Dites bye-bye aux méfaits de la sédentarité.Chaque jour, suivez une séance d’entraînement de 6 à 8 minutes. C’est simple comme bonjour : enchaînez des exercices d’échauffement, de musculation et de relaxation selon les parties du corps que vous souhaitez travailler (ventre, dos, jambes).Pour ceux qui ont peur de paraître ridicule devant leur collègue, exécutez vos exercices pendant la pause déjeuner… Cette petite séance incognito va vite devenir votre nouveau réflexe forme !Source : Communiqué Gymstill – avril 2009Click Here: cheap nrl jerseys

Depuis plus de 40 ans, Special Olympics organise des épreuves sportives dédiées aux enfants et adultes atteints de handicap mental. Cette année, l’édition aura lieu à Sophia Antipolis du 26 au 28 juin. Elle accueillera des sportifs venus de 150 pays. L’occasion pour Essilor de mettre en place un grand dépistage visuel.

Les Special Olympics, c’est plus de 1000 athlètes qui s’affronteront pendant 2 jours autour de 7 disciplines sportives : basket, natation, judo, football, pétanque, parcours moteurs et football unifié (équipes composées de joueurs valides et déficients).Lors de l’événement, l’un des parrains de Special olympics, Essilor va organiser gratuitement un grand bilan visuel complet pour tous les athlètes présents. Les professionnels (opticiens, ophtalmologistes, orthopédistes) bénévoles auront pour mission de fournir la meilleure correction visuelle possible aux sportifs qui en auraient besoin.Source : Communiqué Essilor – Juin 2009Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Robert De Niro et John Travolta se donneront la réplique dans le long métrage “Killing Season” que mettra en scène Mark Steven Johnson (“Ghost Rider”, “Daredevil”).

Robert De Niro et John Travolta se donneront la réplique dans le long métrage Killing Season (anciennement intitulé Shrapnel) que mettra en scène Mark Steven Johnson (Ghost Rider, Daredevil). Dans ce film d’action qui devait au préalable être réalisé par John McTiernan, Robert De Niro incarne un vétéran de l’armée qui vit retiré dans les montagnes des Appalaches jusqu’au jour où un touriste européen, interprété par John Travolta, vient lui rendre visite. les deux hommes se lient d’amitié, mais bien vite le vétéran se rend compte que son visiteur est en réalité un ancien soldat serbe venu se venger. Une traque sans merci débute alors. Le tournage de Killing Season débutera le 16 janvier 2012.

L’affiche promotionnelle

Laëtitia Forhan avec ComingSoon

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