En novembre dernier, à Charleville-Mézières (Ardennes), Issad Rebrab venait annoncer la création de 1 000 emplois dans une usine de retraitement des eaux. Mais Issad Rebrab, l’une des premières fortunes d’Algérie, est aujourd’hui en prison. La police algérienne lui reproche des mouvements de capitaux suspects. Dans le contexte de la révolution en cours, plusieurs hommes d’affaires ont été arrêtés, ils sont accusés de transférer des fonds à l’étranger.12 000 salariésMais contrairement à des proches de Bouteflika, Issad Rebrad est l’un des seuls milliardaires à soutenir les manifestants algériens. Dans les Ardennes où se trouve l’usine de retraitement des eaux qu’il a rachetée, son arrestation suscite des interrogations. Issad Rebrab avait déjà investi en France en 2014 avec le rachat de l’entreprise Fagor Brandt. Son groupe, Cevital, emploie 12 000 personnes dans le monde. Des salariés qui s’interrogent aujourd’hui sur leur avenir.Le JT
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Grand Soir 3 du mardi 23 avril 2019 L’intégrale
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