Grippe aviaire : quels vaccins en cas de pandémie ?

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A mesure que la grippe aviaire progresse dans le monde, le risque de voir le virus muter et provoquer une pandémie mondiale augmente. Face à une telle menace, plusieurs laboratoires s’attellent à développer un vaccin efficace.

Rien ne prouve actuellement que le virus aviaire va demain muter en un virus humain, capable de provoquer une pandémie. Néanmoins, le risque est réel et pour la première fois, le monde a décidé de se préparer à un tel fléau. L’arme ultime est sans conteste un vaccin efficace. Seul hic : le délai de fabrication…
Une course contre la montre
Issu d’Asie, le virus aviaire H5N1 infecte actuellement de très nombreux oiseaux et quelques humains, qui ont été en contact étroit avec ces animaux. Il est possible que ce virus mute en une souche capable de se propager d’homme à homme, causant ainsi une nouvelle pandémie. Face à une telle menace, le principal enjeu est de créer le plus rapidement possible un vaccin prophylactique, qui empêchera la propagation de l’infection.
La compagnie Sanofi-Pasteur a récemment annoncé la commande par le gouvernement américain d’une grande quantité de dose d’un vaccin prototype dit “prépandémique“ pour un montant de 150 millions de dollars. Dirigé contre le virus aviaire actuellement observé en Asie, ce vaccin pourrait être utilisé pour protéger d’une part les professionnels de santé qui traiteraient les personnes malades en provenance d’Asie, d’autre part les professionnels en contact avec un élevage français touché par le virus actuellement en circulation en Asie. En cas de pandémie, il ne serait cependant efficace que si le nouveau virus se révèle suffisamment proche du virus actuellement connu (H5N1).
Les techniques de fabrication du vaccin
Plusieurs techniques de fabrication sont actuellement étudiées pour produire au plus vite et avec le maximum de sécurité le plus grand nombre de vaccins.
– Utilisée pour la fabrication des vaccins contre la grippe saisonnière, la méthode traditionnelle utilise la culture du virus sur des oeufs fécondés. Le virus s’y multiplie, avant d’être recueilli, purifié et tué chimiquement pour fabriquer le vaccin. Mais cette technique se heurte à un nouveau problème : le virus est hautement pathogène et mortel pour les volailles, et donc pour les fragiles embryons contenus dans les oeufs. Une préparation préalable est donc nécessaire : un bricolage génétique qui va ôter au virus ces caractéristiques pathogènes tout en conservant ses autres caractéristiques. C’est ce nouveau virus (dit virus chimère) qui sera ensuite mis en culture et produira les antigènes tant recherchés. Si ce procédé bénéficie d’un recul de près de cinquante ans, il a le désavantage d’être lent et de nécessiter de fortes doses d’antigènes pour déclencher une réponse du système immunitaire (la production d’anticorps). Quatre à six mois seront nécessaires entre l’identification de la souche pandémique et la distribution de la première dose de vaccin. Cette technique peut être améliorée grâce à l’ajout d’un adjuvant – un composé chimique comme l’hydroxyde d’aluminium -capable de booster la réponse immunitaire. La dose de vaccin efficace pourrait alors être moins importante. Les fabricants produiraient ainsi plus de doses dans le même délai, qui cependant reste de 4 à 6 mois ;
– En cas de pandémie, la vaccination d’un milliard de personnes nécessiterait la culture préalable de plus de 4 milliards d’oeufs. Malgré l’assurance des fabricants, certains experts craignent une pénurie. Une autre technique propose de remplacer les oeufs par des cultures in vitro de cellules animales. Si elle permet de limiter le temps de culture, cette technique nécessite le stockage en grande quantité de cellules animales (comme des cellules canines de reins). Une stratégie coûteuse initiée par quelques laboratoires et universités américaines ;
– Plus futuriste, la recombinaison génétique vise à intégrer des bouts inoffensifs d’ADN du virus pandémique dans un banal virus du rhume. Cet assemblage permet la production d’antigènes par l’organisme qui seront efficaces en cas d’infection par “le vrai virus“. Deux équipes américaines indépendantes ont obtenu des résultats très intéressants en vaccinant efficacement des souris et des poulets(1,2) contre la grippe aviaire H5N1. Outre l’efficacité de cette technique, c’est surtout le délai de fabrication qui impressionne : seulement 36 jours !
– Dernière piste, des vaccins ADN court-circuitent les processus traditionnels de vaccination. Habituellement, l’injection d’un virus inactivé ou d’une protéine inactive du virus va induire la production d’anticorps efficaces contre le “vrai virus“. Mais cette nouvelle approche se borne à injecter une portion d’ADN contenant l’information d’une protéine du virus (plutôt que le virus lui-même) rattaché à une particule microscopique d’or. Injecté dans le corps par un pistolet électrique à air comprimé, l’ADN se sépare de la particule d’or. Il est alors converti en protéines qui vont induire la production d’anticorps. Le mode d’administration (pistolet au lieu de seringue) permettrait de gagner du temps en cas de vaccination de masse (moins de manipulation, moins de formation nécessaire à son utilisation). La petite société Powdermed a présenté des résultats encourageants bien que très préliminaires en décembre 2005(3).
Malgré tous ces progrès, on ne sait combien de mois seront nécessaires à une production de masse de tels vaccins, ni qui seront les premiers bénéficiaires (la population des pays producteurs ou les pays plus exposés du Tiers Monde), ni si les antiviraux permettront de faire face à une pandémie en attendant l’arrivée des premières doses… Toutes ces questions pourraient rapidement devenir cruciales. En septembre 2005, l’Organisation mondiale de la santé estimait que si l’épidémie intervenait aujourd’hui, la production actuelle d’antiviraux et de vaccins ne permettrait de couvrir les besoins que de 2 à 10 % de la population…
David Bême
1 – Lancet 2006 Feb 11 ;367(9509) :475-812 – J Virol. 2006 Feb ;80(4) :1959-643 – Results of Phase 1 Clinical Trial Presented at the Interscience Conference on Antimicrobial Agents and Chemotherapy (ICAAC), Washington, USA on the 17th December 2005Click Here: racing club camiseta

Six semaines pour être en forme

C’est la promesse d’un ouvrage paru aux Editions Amphora qui entend être un véritable coach personnel.
Un programme jour par jour et semaine après semaine avec des exercices très précis à effectuer pour retrouver forme et vitalité. Pourquoi six semaines ? Car il a été établi qu’un cycle de six semaines est suffisant pour ressentir les bienfaits d’une pratique régulière d’exercices physiques. Cet ouvrage propose donc un programme clés en main pour retrouver la forme après un long hiver.
« 6 semaines pour être en forme » de Christophe Ruelle et Claude Salvaire aux Editions Amphora, 14,80 €.

3 Kansas City Police Officers Shot; Suspect Killed In Gunfight

KANSAS CITY, MO — Three police officers were shot Sunday afternoon by a gunman armed with a rifle on Kansas City’s East Side and the suspect was later fatally shot in a gunfight with officers. Around 12:15 p.m. Sunday, undercover and tactical officers were looking for clues near U.S. Route 40 and Interstate 435 in the killing of a 25-year-old University of Missouri student, who was slain earlier this month.

At one point, someone opened fire on them, police announced on Twitter. The location is near the Sky-Vu Motel.

Two officers were hit by gunfire and were hospitalized in stable condition, police said.

The gunman drove off and the vehicle was found a short time later. Around 1 p.m., the suspect again opened fire on officers, this time near 30th Street and Topping. A third officer was hit and was also hospitalized in stable condition.

Around 1:15 p.m., the armed suspect came out of a home and exchanged gunfire with officers. The suspect was shot and later declared dead by emergency crews.

As of 2p.m., officers were still trying to confirm the home was empty. Authorities believe the suspect was alone though and they are not looking for any other suspects.

The investigation stemmed from the July 6 robbery and killing of Sharath Koppu near Prospect Avenue and East 54th Street in the city’s Blue Hills neighborhood. Koppu, a student from India, was working at a restaurant at the time of the shooting, police said.

Further details, including the names and ages of those involved, weren’t immediately released.

The shooting comes hours after a police officer was shot to death in Weymouth, Massachusetts.

Photo credit: Shutterstock

Man Injected Heroin Before Fatal Ice Cream Shop Hit And Run: Cops

An elderly retiree had just stopped at his favorite ice cream shop when a driver, who’d just injected heroin, pulled around a vehicle that had stopped in the intersection and ran him over. The driver then sped away from the scene, authorities said.

Police arrived to the scene and found the 70-year-old lying face-down and unconscious in the roadway with head and leg injuries, the DA’s office said. He was taken to St. Mary Medical Center, where he was pronounced dead less than an hour later.

After a week’s investigation, Anthony M. Woods, 41, of Nottingham Court was arrested and charged with third-degree murder and related counts in the incident.

The incident occurred at around 9 p.m. on Aug. 21 as Emanuel Weintraub, 70 was crossing the street after getting ice cream at JoJo’s on New Falls Road in Levittown, the DA’s office said.

Woods was arraigned Monday and held without bail, the DA’s office said. He is slated for a preliminary hearing on Sept. 11, according to the DA’s office.

It was all caught on surveillance video and had multiple witnesses, authorities allege.

An affidavit for probable cause says that Weintraub was crossing the two-lane roadway in a crosswalk when a four-door sedan crossed a double-yellow line to pass another car that had stopped at the intersection to let Weintraub get by safely.

The passing vehicle struck Weintraub, throwing him at least 20 feet in the air, and drove off without stopping, the affidavit said.

When initially interviewed by Falls Township Police, the affidavit said Woods told investigators that he had broken the windshield of his car while “copping drugs” in Philadelphia, and that the windshield was repaired by an auto glass business in Trenton.

The owner of the repair shop told police that Woods, after speaking to investigators, had contacted him, telling him not to talk to police and asking him to throw away the receipt from the work done on Woods’ car, according to the affidavit.

On Monday, police executed a search warrant at Woods’ home, finding empty heroin bags and a receipt from the auto-glass repair shop for a new windshield on his 2007 Nissan Altima, the affidavit said.

Woods’ father told police that his son had called him and admitted to killing the victim, saying he would turn himself in today.

In a second interview today with police, Woods admitted being the driver of the car that struck Weintraub, the affidavit said.

Woods told police that he believed he had struck a child instead of an adult, and that he did not stop because he believed he had drugs in his system, the affidavit said.

The case has been assigned for prosecution to Deputy District Attorney Robert D. James, chief of the Homicide by Vehicle Division. It is being investigated by the Falls Township Police Department.

Image via Bucks County District Attorney’s Office

Médicaments : changer de comportement

Enfin, nous consommons de moins en moins d’antibiotiques… et ce sont plus de 11,6 millions de traitements inutiles qui ont été ainsi évités au cours des trois derniers hivers. Après avoir remis en cause le réflexe « infections courantes = antibiotiques », l’Assurance maladie s’intéresse au bon usage des antibiotiques. A partir du 22 octobre 2005, une nouvelle campagne de sensibilisation s’attaque ainsi aux idées reçues avec notamment de nouveaux outils pédagogiques dont “L’ABC des petites maladies de la vie courante“ pour les jeunes parents.
Mais cette année, l’Assurance maladie entend s’intéresser à la surconsommation générale de médicaments. Les résultats d’une étude inédite sur “Le rapport des Français et des Européens à l’ordonnance et aux médicaments“ permettent de mettre en lumière une évolution des attitudes qui privilégient la prévention au tout-médicament. Selon cette enquête, explication, information et conseils, arrivent en tête des attentes exprimées par les patients à l’égard de la consultation ; bien avant la prescription de médicaments. Fort de ces résultats, l’Assurance Maladie a souhaité engager le dialogue avec les médecins lors de débats dans 10 régions. La confrontation des résultats de l’étude avec leur pratique, le recueil de leur ressenti et de leurs propositions concrètes ouvre la voie à une évolution des comportements vis-à-vis du médicament. Source : Communiqué de l’Assurance maladie du 18 octobre 2005Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Médicaments et phytothérapie : gare aux interactions !

Les thérapies alternatives et notamment la phytothérapie ne sont pas toujours considérées comme des traitements à proprement parler. Mais ce n’est pas parce que l’on peut les obtenir sans prescription qu’ils sont sans effet. Attention aux interactions de ces produits avec vos médicaments.

Compléments alimentaires à base de réglisse, d’aubépine, de millepertuis… ces petites pilules peuvent interagir avec des traitements classiques. Pour éviter les mauvaises surprises, parlez-en avec votre médecin.
Des médecines de plus en plus populaires
Hier encore décriées, les médecines dites douces tentent actuellement de plus en plus de patients et les scandales réguliers autour des médicaments plus classiques sont d’ailleurs largement vecteurs de ce phénomène. Si le recours à l’automédication caractérise le plus souvent l’homéopathie et la phytothérapie, ces médecines alternatives sont également conseillée par le pharmacien et reste ignorée par le médecin…
En effet, quoi de plus simple que de demander à son pharmacien un cocktail de plantes pour les petits maux quotidiens ou même de le commander sur Internet ?
En parler avec votre médecin traitant
Ceux qui fréquentent toujours la même pharmacie n’ont en théorie pas de gros souci à se faire. Conscient des différents médicaments pris par le patient, le pharmacien aura à coeur d’éviter à son patient une interaction dangereuse. Mais se reposer sur la seule mémoire de son pharmacien n’est pas sans poser de risques quelle que soit la conscience professionnelle de ce dernier. Dans la même officine, un changement de personne peut entraîner un oubli de votre anti-hypertenseur qui interagit avec bien des plantes en vente libre !
La véritable solution réside aussi dans le fait de parler de tout avec son médecin traitant et de bien lui signaler que vous prenez d’autres pilules ou vitamines en parallèle de votre traitement. Pas de mystère pour éviter une interaction parfois dangereuse et plus rarement fatale, il faut en parler !
Les interactions les plus fréquentes
Il serait fastidieux et bien difficile de citer toutes les interactions entre les médecins douces et les médecines plus traditionnelles. Découvrez les principales :
– Traditionnellement utilisé dans les dépressions légères, le millepertuis (ou herbe de Saint-Jean) interagit avec de très nombreuses substances. L’exemple le plus courant étant l’interaction avec les contraceptifs oraux : le millepertuis empêche votre pilule de marcher normalement lui faisant perdre sa capacité contraceptive. Mais il agit également lorsqu’on prend de la digoxine ou de la warfarine molécules prescrites pour les troubles du rythme cardiaque ;
– Le ginseng présent dans de nombreuses préparations énergisante réduit également les effets de la warfarine ;
– Les baies d’aubépine peuvent être dangereuses lorsque l’on est traité pour le coeur donc là-aussi méfiance ! On trouve ces fameuses baies dans la plupart des médicaments et produits de phytothérapie contre les insomnies comme SPASMINE ®, EUPHYTOSE ® ou encore TRANQUITAL ®.
– Enfin la réglisse, elle, a des propriétés expectorantes mais affecte aussi la pression sanguine et notamment lorsqu’on est hypertendu elle est formellement déconseillée car elle retient l’eau.
– Le Ginkgo biloba (GINKOR FORT ® ou encore TANAKAN ®) est également mentionné dans les substances qui peuvent interagir avec de nombreux médicaments dans des études récentes, entre autre avec l’ibuprofène (1) ou encore l’oméprazole (2), mais bien d’autres molécules sont concernées. Cette plante est connue pour ses effets sur l’oxygénation du cerveau, elle est utilisée pour les troubles d’origine vasculaire et la prévention de certaines maladies.
N’oubliez pas que toutes les plantes peuvent avoir un effet sur vos traitements habituels, et les interactions sont rarement recensées alors n’hésitez plus : parlez-en à votre médecin et à votre pharmacien !
Anne-Aurélie Epis de Fleurian – Pharmacienne
Source : Etude de l’American Heart Association – Raymond H. Chan M.D, Kevin Kwan, M.D – Doctors should know what alternative therapies their patients are on. 17 novembre 2005
1 – Meisel, C., Johne, A. and Roots, I. (2003). Fatal intracerebral mass bleeding associated with Ginkgo biloba and ibuprofen, Atherosclerosis, 167, 367.2 – Yin,O.Q., Tomlinson, B., Waye, M.M. et al. (2004). Pharmacogenetics and herb-drug interactions : experience with Ginkgo biloba and omeprazole, 14, 841-850.Click Here: camiseta seleccion argentina

Dix trucs contre les nausées matinales durant la grossesse

Les nausées, vous connaissez depuis que vous êtes enceinte. Elles touchent la moitié des femmes dès les premières semaines de grossesse. Et parfois celles-ci peuvent réellement gâcher ces premiers moments de bonheur. Certains vous diront de prendre votre mal en patience, car elles disparaissent généralement à la fin du premier trimestre. Mais il existe aussi des trucs pour réduire leur intensité. Nos conseils…

Voici 10 règles d’or pour éviter les nausées liées à la grossesse…1 – Du calme !
Si vous commencez à vous exciter à peine levée, que vous stressez et courez partout pour ne pas être retard au travail, vous augmentez les symptômes des nausées. En plus, le stress est mauvais pour le bébé ! Alors faites tout dans la sérénité et prenez votre temps, à commencer par le levé : tout doux pour sortir du lit !
2 – Mangez doucement et régulièrement.
Gare aux longues périodes sans rien dans le ventre. Prenez un vrai petit déjeuner, une collation à 11 h, un déjeuner, un goûter et un dîner (plus éventuellement un encas un peu avant de vous coucher). Le ventre vide est le meilleur moyen d’avoir des nausées. Et ne faites pas d’excès. Il vaut mieux faire de petits repas fractionnés.
3 – Faites un peu d’exercice quotidiennement.
Si vous restez au lit toute la journée, vous risquez de favoriser la survenue de nausées. Trouvez des activités… sans vous bousculer !
4 – Evitez les odeurs trop fortes.
Exit les fromages trop faits et les plats trop riches, les sauces épicées et les plats exotiques.
5 – Mettez le futur papa à contribution…
Faire la cuisine ou le ménage sont des activités à haut risque… de nausées. Alors il serait temps que Monsieur s’investisse un peu plus !
6 – Prenez des féculents.
Pâtes, riz, pain, céréales (complètes) vous apporterons de l’énergie sans vous soulever le coeur.
7 – Le potage, c’est plus sage.
Optez également pour des soupes, idéal pour consommer des légumes et être rassasié sans nausée.
8 – Pas de remèdes de grands-mères.
Ne prenez pas de tisanes “anti-nausées“ et autres compléments alimentaires ou remèdes de grands-mères sans en parler avec votre médecin. Celui-ci pourra vous prescrire des vitamines et parfois du Primpéran.
9 – Evitez les lieux enfumés.
Non seulement la cigarette risque de vous donner des nausées, mais en plus c’est très nocif pour votre futur bébé.
10 – Gare à la pause café.
Evitez la caféine et notamment le café chaud. Certaines mamans préconisent d’ailleurs les boissons gazeuses pour limiter les nausées. A vous de juger.
Si les nausées sont vraiment handicapantes ou persistent au-delà du premier trimestre, il ne faut pas hésiter à en parler au médecin qui vous suit.
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Préparez la contraception de votre été !

Bientôt les vacances ! Le billet est réservé, les cartes sont dépliées et le maillot de bain est déjà choisi. Mais n’avez-vous rien oublié ? Alors que la libido est boostée pendant l’été, peu de femmes pensent à leur contraception. Alors soyez armée contre les risques de grossesses et de maladies sexuellement transmissibles !

Sea, sex and sun… chantait Serge Gainsbourg à la fin des années 1970. Et depuis, le succès de cocktail ne se démord pas. Libido qui explose, rapports sexuels et partenaires qui se multiplient… En vacances, la sexualité des femmes change, mais toutes ne se protègent pas en conséquence.
Holidays in the sin…
Pendant les vacances, l’activité sexuelle est décuplée. Raison de plus pour redoubler de vigilance face aux risques de grossesse non désirée et d’infections sexuellement transmissibles. Mais les femmes sont-elles conscientes de ces dangers de l’été ? Pour le savoir, l’enquête internationale Summer Loving Survey (1) dresse un tableau de la sexualité estivale. Cette enquête confirme que la sexualité des femmes change dès lors qu’elles ont l’occasion de laisser leurs habitudes loin derrière elles (2).
Près de la moitié d’entre elles (47 %) affirment qu’elles sont sexuellement plus actives en vacances. Un quart se sentent plus sexy. Et plus d’un tiers (37 %) jugent les relations sexuelles plus satisfaisantes. Celles qui partent en couple vivent une vie amoureuse plus intense ; Enfin, près d’une femme interrogée sur cinq (19 %) a déjà connu une aventure d’un soir, dont une sur dix (10 %) lors des dernières vacances.
Vacances, j’oublie tout !
Mais parmi les femmes qui ont une aventure d’un soir, 15 % n’ont alors utilisé aucun moyen de contraception et 27 % n’ont pas utilisé de préservatif pour se protéger d’infections sexuellement transmissibles. Par ailleurs, 17 % des femmes ont eu des rapports non protégés avec leur compagnon alors qu’elles n’avaient pas planifié de grossesse. Cette enquête révèle également que de nombreuses femmes ne connaissent pas le bon usage de la contraception :
– Une femme sur quatre (26%) ignore le type de pilule qu’elle prend ;
– Un quart des femmes ne mesure pas l’importance de prendre la pilule dans une fenêtre de temps définie ;
– 15 % des femmes ignorent qu’il faut prendre en compte le décalage horaire ;
– Près de la moitié (48 %) d’entre elles ne savent pas que l’efficacité de la pilule peut être affectée par des vomissements ou la prise de certains médicaments ;
– Plus d’un quart des femmes (27 %) pensent qu’elles sont encore plus enclines à oublier leur pilule en vacances. Or, dans ce cas, seule une minorité des femmes prend les mesures nécessaires pour éviter une grossesse.
Au total, près d’une femme sur 10 déclare avoir été confrontée pendant ses vacances à un risque de grossesse, telle qu’une rupture de préservatif ou un rapport non protégé suivant un oubli de pilule. Des craintes qui, de leur propre aveu, peuvent gâcher leurs vacances, voire même altérer la relation avec leur partenaire.
J’ai mis dans ma valise…
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Alors puisque l’été approche, autant préparer au mieux vos vacances. Pour éviter les risques, ne négligez pas votre santé sexuelle :
Planifier votre contraception. Pour choisir l’option qui vous convient le mieux, un rendez-vous chez votre gynécologue deux ou trois mois avant le départ s’impose. Et les solutions sont aujourd’hui nombreuses : pilule, pilule sans interruption (qui peuvent supprimer momentanément les règles), patch, anneau, implant, stérilet…
Connaître les facteurs limitant l’efficacité de la contraception. Un vomissement ou la prise de certains médicaments peuvent interrompre ou affecter l’absorption de la pilule, et des précautions supplémentaires doivent alors être prises. Attention également aux produits à base huileuse comme les écrans solaires ou la vaseline qui peuvent endommager les préservatifs ;
Tenir compte du décalage horaire. La meilleure astuce consiste à laisser sa montre à l’heure du pays d’origine jusqu’à leur arrivée. Si la nouvelle heure se situe au milieu de la nuit, il est préférable d’avancer l’heure de la prise et non de la reculer, par sécurité ;
Prévoir l’imprévu. Emmener quelques contraceptifs en plus (une plaquette supplémentaire dans le sac à mains – en cas de vol de bagages, des préservatifs NF ou BS EN 600 en cas d’oubli de pilule, une boite de contraception d’urgence à prendre le plus rapidement après un oubli de contraception dans les 72 heures…).
David Bême
1 – Plus de 5 700 femmes, âgées de 16 à 40 ans et réparties dans dix pays, ont participé à l’enquête conduite par Harris Interactive pour le compte d’Organon au cours des mois d’août et de septembre 2005.2 – Conférence de presse des laboratoires Organon du 15 mars 2006

Huîtres : attention danger ?

Deux personnes seraient mortes près avoir consommé des huîtres du bassin d’Arcachon. C’est en tout cas ce que laisse penser les décès d’un homme de 61 ans et d’une femme de 77 ans au centre Hospitalier de la ville. Attention, il convient d’être prudent, tant que la cause de la mort n’est pas confirmée.
La consommation des huîtres du bassin d’Arcachon est interdite depuis le 31 août dernier par arrêté préfectoral. La raison ? La présence de substances toxiques, certainement liées à une micro-algue. Le danger lié à la consommation de ces fruits de mer a été révélé par le test courant de l’administration d’extraits des glandes digestives d’huîtres à des souris, qui a provoqué la mort des rongeurs. Avec cette suspicion d’intoxication humaine mortelle, la levée de l’interdiction de consommation des huîtres ne devrait donc pas se faire avant plusieurs semaines.
Un dispositif d’alerte a d’ailleurs été mis en place par l’Institut de Veille Sanitaire pour détecter d’autres cas d’intoxication alimentaire. En attendant, si vous avez consommé des huîtres et que vous éprouvez des maux de ventre ou autres troubles inhabituels, appelez sans tarder le Samu (15).Source : Communiqué des ministères de la santé et de l’agriculture, septembre 2006

Rougeole, oreillons, rubéole… Vaccinez votre enfant !

L’Assurance Maladie a lancé sa campagne d’incitation à la vaccination rougeole, oreillons, rubéole avec un slogan qui devrait interpeller tous les parents : « N’attendez pas que ça devienne plus méchant. Vaccinez votre enfant dès un an ». L’objectif : augmenter le taux de couverture vaccinale, actuellement trop faible pour permettre l’élimination de ces maladies et changer le regard sur des pathologies que nombre de parents considèrent comme bénignes.
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Avec 86,3 % d’enfants de deux ans vaccinés, la France demeure un mauvais élève de l’Europe. Depuis leur apparition et la mise en place de campagnes de vaccination, ces maladies ont évolué. Aujourd’hui, l’augmentation continue de l’âge moyen des enfants touchés et la gravité qui en résulte, sont préoccupantes. En effet, plus ces maladies sont contractées tardivement, plus elles sont dangereuses. Il est donc important de vacciner les enfants le plus tôt possible.
Il faut rappeler que la rougeole est une maladie virale qui tue encore. En 2000, sur 960 000 cas de rougeole en Europe, 7 000 ont été mortels. Pour les oreillons également, les complications ne sont pas rares. Elles sont d’autant plus graves que la maladie est contractée tardivement. En France, 10 % des cas se produisent chez un adulte. Les oreillons peuvent entraîner une surdité complète et irréversible, des complications neurologiques, une pancréatite aiguë, une atteinte ovarienne et, après la puberté, une orchite (inflammation du testicule), pouvant aboutir à une atrophie testiculaire unilatérale, voire à une stérilité. Pour la rubéole, les complications sont rares et la mortalité, quasi nulle. Mais la gravité de la maladie tient à la possibilité d’une contamination foetale chez une femme non immunisée, infectée durant sa grossesse.
Pour protéger votre enfant et éviter de faire courir des risques inutiles aux autres, pensez à la vaccination. Côté pratique, sachez qu’il est possible de vacciner simultanément contre ces trois maladies, avec une seule injection et que le vaccin est pris en charge à 100 % par l’Assurance Maladie. Vous n’avez donc plus aucune excuse !Source : Communiqué de l’assurance maladie du 9 novembre 2006