$2OK Raised To Help NC Man Who Survived 1952 Lynching Attempt

HOLLY SPRINGS, NC — Lynn Council has experienced some terrible things in his 87 years — an attempted lynching nearly seven decades ago certainly qualifies — but the Holly Springs, North Carolina, octogenarian is now basking in the kindness of his neighbors.

Council was still a teenager in 1952 when he was wrongfully accused of robbery. He wouldn’t confess, even when a racist police chief in Apex, North Carolina, beat him.

So the chief recruited a couple of deputies from the Wake County Sheriff’s Office, who strung him up by his neck on an oak tree. He still didn’t confess, so the deputies cut him down.

Last year, Council finally got an apology for the lynching attempt and a bench named in his honor on the Apex Police Department lawn. Inscribed on the plaque are these words:

“We are indebted to you for speaking out and raising awareness of an incident that was all but lost to history. Your courage and resilience has brought a perspective to a time in our history that needed to be acknowledged and remembered.”

Council’s life went on after the terrifying encounter with police in 1952.

Now, he is being forced out of his Holly Springs home, where he has lived for 61 years, because an extension of North Carolina Highway 540 will cut right through his property. He’s closing on a new home he will share with his daughter, but was sitting on a pile of debt. He remodeled his house 20 years ago with a federal loan that targeted low-income senior citizens; the loan was forgivable as long as Council remained in the home, but upon moving, he would owe $20,000.

He didn’t have the money. But his neighbors did. A GoFundMe campaign raised the $20,000 and then some. A few of the more than 500 people who donated made triple-digit donations, but mostly the money was raised through contributions of $10, $25 and $50.

Holly Springs resident Garrett Raczek organized the crowdfunding campaign four days ago after officials from the NAACP Raleigh-Apex branch and Council’s attorney were unable to get the debt forgiven.

“It’s now up to our community to stand in solidarity with Mr. Council as he continues to face adversity in his later years,” Raczek wrote.

People not only gave their money but also offered to help Council move, Raczek wrote, noting, “a member of our community needed help and you stepped up.”

Council is beyond grateful.

“I sure thank the Lord for the gifts. Thank you, thank you, thank you. Thank you, Lord,” Council said at a news conference Monday, according to a WCTI report.

Raczek is grateful, too.

“My family has always taught me a simple yet profound idea that when someone needs help, you help them,” he told news station WTVD. “And it’s quite clear that there are many others in this community right now who also embrace that idea.”

GoFundMe is a Patch promotional partner.

Jaha Dukureh, nouvelle égérie L’Oréal Paris

La chef de file du mouvement mondial pour mettre fin aux mutilations génitales féminines (MGF) et au mariage des mineurs devient ambassadrice de la marque de cosmétiques française.

Première lauréate du programme L’Oréal Paris Woman of Worth, la Gambienne Jaha Dukureh devient la nouvelle ambassadrice internationale de L’Oréal Paris. Cette militante, candidate au prix Nobel en 2018, s’est illustrée pour ses combats contre les mutilations génitales féminines et le mariage des mineurs.“Nous sommes très honorés d’accueillir Jaha Dukureh au sein de la famille L’Oréal Paris en tant que porteparole internationale. Lauréate du prix Women of Worth et nominée pour un prix Nobel de la Paix, le militantisme sans peur de Jaha a changé la vie de plus d’un million de petites filles. Sa force a encouragé tant de personnes à lutter pour le droit à leur propre destin. Elle est une voix puissante qui incarne l’estime de soi tel que promeut L’Oréal Paris pour toutes les femmes”, a souligné Delphine Viguier-Hovasse, directrice générale internationale de L’Oréal Paris dans un communiqué.La nouvelle ambassadrice s’est réjouie de son nouveau rôle : “L’engagement avec la marque de beauté N ° 1 dans le monde conforte ma conviction – les MGF ne me définissent pas, ni aucune femme, même si nous vivons avec ses conséquences. Représenter L’Oréal Paris est un moyen de faire entendre ma voix aux femmes victimes et à la douleur qu’elles ont pu endurer. Je ne pourrais pas être plus fière de porter le message de L’Oréal Paris: croyez-en-vous, votre voix compte. Oui, vous le valez bien.”Click Here: san lorenzo de almagro camiseta

Les masques grand public, mode d'emploi

Pour éviter de propager le nouveau coronavirus, les Français sont désormais largement encouragés à porter un masque, en plus de la distanciation sociale. Mais pour qu’il soit efficace, quelques règles de bonne pratique s’imposent.

Sommaire

  1. Quels masques ?
  2. Règles d’utilisation
  3. Lavage et repassage

Quels masques ?Les masques de protection sanitaire (chirurgicaux ou FFP2) sont toujours destinés en priorité au personnel soignant.Pour la population générale, des centaines d’entreprises textiles reconverties ont lancé la production de “masques grand public” ou “masques barrières”, principalement en tissu, qui sont en train d’arriver dans les pharmacies et seront prochainement disponibles dans la grande distribution.Ces masques, qui seront notamment obligatoires dans les transports en commun ou les collèges après le déconfinement, répondent à des recommandations de l’Agence du médicament (ANSM) et d’autres experts, rassemblées dans le guide de référence de l’association de normalisation AFNOR.En “bec de canard” ou “à plis”, ils doivent ainsi filtrer au moins 70% des particules de 3 microns émises par le porteur, tout en permettant une “respirabilité” suffisante.Pour recevoir l’homologation, délivrée par la Direction générale de l’Armement et l’Institut français du textile et de l’habillement, ils doivent être soumis à un protocole de tests pour garantir leur niveau de protection.Mais le guide de l’AFNOR, qui propose depuis mardi un modèle pour enfants à partir de 7 ans, est également décliné en tutoriels vidéos par de nombreux sites internet, pour tous les Français encouragés par le gouvernement à se mettre à la couture.Pour les défenseurs des masques, n’importe quel modèle est toujours mieux que rien.Mais l’AFNOR appelle toutefois à être “vigilant” pour les masques avec des coutures “verticales, le long du nez, de la bouche et du menton“, qui comportent un risque de fuite par cette couture.L’association recommande aussi l’utilisation d’au moins deux ou trois couches d’un ou plusieurs tissus souples, d’éviter les tissus trop chauds ou irritants, et de ne pas ajouter de matériaux comme des sacs aspirateur ou des filtres à café.Règles d’utilisationIl ne faut pas faire porter de masque aux moins de trois ans, en raison de risques d’étouffement. Le gouvernement l’interdit d’ailleurs à la maternelle.Pour les enfants plus grands et les adultes, le masque ne dispense pas des gestes barrière et de la distanciation sociale. Et il faut aussi apprendre à l’utiliser de façon adéquate, pour ne pas risquer de se contaminer en touchant la face avant, potentiellement souillée par des postillons.Avant de le mettre, il faut se laver les mains (eau et savon, ou gel hydroalcoolique), puis appliquer le masque sur le visage en recouvrant le nez et la bouche, et enfin mettre en place les brides ou les élastiques.L’AFNOR recommande une peau nue, le port de la barbe pouvant “réduire l’efficacité de filtration“.Pour le retirer, lavage des mains aussi, avant et après. Il faut l’enlever par les attaches, surtout sans toucher l’avant potentiellement contaminé.Plus délicat, pendant toute la durée d’utilisation, il faut réprimer le réflexe de le toucher, sous peine de devoir se relaver les mains, à chaque fois. Il ne faut pas non plus le laisser pendre à son cou comme un foulard.Même pour les masques en tissu, la durée maximale d’utilisation recommandée est de 4 heures.Pour une personne passant la journée dehors, l’AFNOR suggère donc de partir avec trois masques, un pour le matin, un pour l’après-midi et un de secours.L’association note toutefois que le masque peut servir plusieurs fois avec une durée d’utilisation cumulée de 4 heures, s’il est retiré et remis en respectant les consignes, et stocké ou accroché avec le moins de contact possible pour éviter sa contamination.Lavage et repassageQuel que soit le modèle, l’ANSM recommande un lavage en machine de minimum 30 minutes à 60°C, suivi d’un séchage en sèche-linge ou à l’air libre, puis d’un repassage à une température adaptée au tissu.Les masques souillés (qui peuvent être stockés dans un contenant fermé pour éviter de les laver un à un) peuvent être lavés avec d’autres textiles comme les serviettes ou les draps qui supportent un cycle à 60°C, note l’AFNOR.Pour se débarrasser du virus, le micro-onde ou le congélateur ne sont pas recommandés. Et faire bouillir le masque dans l’eau risque de le dégrader. Quant au sèche-cheveux, il peut seulement aider à finir le séchage, après lavage, en évitant une température trop élevée qui dégraderait le tissu, selon l’AFNOR.Même lavable, le masque en tissu n’est pas utilisable indéfiniment. Les versions industrielles doivent pouvoir passer sans encombre 5 lavages, mais certains peuvent supporter 20 ou 30 lavages. Les masques cousu main sont a priori moins résistants.Dans tous les cas, au moindre signe d’usure, il faut le jeter. Préférablement en le plaçant dans un double emballage, préconise l’AFNOR.

L'IVG médicamenteuse autorisée jusqu'à 9 semaines à domicile

L’accès à une interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à domicile est étendu jusqu’à neuf semaines pendant la crise liée au coronavirus afin de limiter les consultations en milieu hospitalier tout en garantissant le droit à l’avortement, selon un arrêté paru mercredi au Journal officiel.

Eu égard à la

situation sanitaire (…), les

interruptions volontaires de grossesse pratiquées par

voie médicamenteuse par un médecin ou une sage-femme peuvent être réalisées jusqu’à la fin de la septième semaine de grossesse (ou neuf semaines d’aménorrhée, date des dernières règles), dans le respect du protocole établi par la Haute Autorité de santé publié sur son site internet”, précise cet arrêté du ministre des Solidarités et de la Santé.L’IVG médicamenteuse, qui peut être prescrite par un médecin libéral, une sage-femme ou être réalisée à l’hôpital, était jusqu’à présent accessible jusqu’à sept semaines d’aménorrhée pour les pratiques à domicile et neuf semaines en milieu hospitalier.La Haute autorité de santé (HAS), saisie en urgence par le gouvernement, avait donné son feu vert vendredi à une extension, la justifiant par “la nécessité de garantir le droit des femmes à l’IVG durant la période d’épidémie de Covid-19 en évitant autant que faire se peut d’aller en établissement de santé”.Elle avait toutefois insisté sur la nécessité de prévenir la douleur en prescrivant du paracétamol associé à l’opium ou à la codéine au lieu de l’ibuprofène, et d’éviter dans la mesure du possible que la femme ne soit seule à domicile.L’arrêté du 14 avril officialise en outre la possibilité pour les médecins et sages-femmes de prescrire et de suivre des IVG médicamenteuses en téléconsultation.Plusieurs associations s’étaient récemment inquiétées des

difficultés d’accès à l’avortement, alors que le système hospitalier est débordé par la crise du coronavirus, s’alarmant que des femmes dépassent le délai légal autorisé.Chaque année, quelque 220.000 avortements ont lieu en France. Environ un quart des IVG sont réalisées hors de l’hôpital.Click Here: nrl league jerseys

Défi sportif à la maison : séance d'abdos avec Cristiano Ronaldo

Nike a initié ce week-end de nouveaux défis sportifs à domicile qui permettront aux amateurs de sport de se mesurer aux athlètes les plus connus de la planète.

Nike a fait appel à son ambassadeur portugais Cristiano Ronaldo pour un nouveau défi sportif en ligne.<br />
©FRANCK FIFE / AFP

Cette nouvelle série d’entraînement en ligne intitulée “The Living Room Cup” (La Coupe du salon) est la dernière initiative lancée par l’équipementier pour encourager les

personnes confinées à faire du sport.Pour ce faire, Nike a fait appel à ses célèbres ambassadeurs qui lanceront chaque semaine des défis aux internautes. Le premier défi de cette série est proposé par le footballeur Cristiano Ronaldo. Il a partagé un défi d’abdominaux sur son compte 

Instagram. Les fans de Ronaldo (et d’abdos) ont une semaine pour battre son meilleur score, à savoir 142 répétitions du même mouvement en 45 secondes (et avec le sourire). 

Voir cette publication sur Instagram Hey guys, I have a new challenge for you to stay active: the Living Room Cup . Can you step up and beat my core crusher record? Show me what you got and use #livingroomcup #playinside @nike @cristiano so I can you! Une publication partagée par Cristiano Ronaldo (@cristiano) le

Un autre sportif de l’écurie Nike lancera un autre défi aux internautes dans une semaine.Pour s’entraîner à relever le défi, la marque propose son application Nike Training Club qui permettra de se préparer de manière graduelle.Les personnes qui veulent relever le défi peuvent poster leurs vidéos et leurs scores sur leurs comptes Instagram en utilisant les hashtags #playinside et #thelivingroomcup.Click Here: Cheap Golf Golf Clubs

Règles : découvrez Gina la box de protections bio

Envie de passer à des protections hygiéniques éthiques et bio? C’est le moment de tester Gina! Zoom sur cette nouvelle marque certifiée GOTS par Ecocert.

La marque de protections périodiques s’occupe de vous pendant vos règles avec des tampons, serviettes et autres protège-slips en coton 100% bio.Comment ça fonctionne ? Gina propose des assortiments de tampons, de serviettes pour le jour et pour la nuit ou un mix des deux. Vous passez commande et recevez tous les deux mois votre box Gina. Vous êtes donc tranquille pour deux cycles.Au-delà des produits, Gina s’engage ! Pour chaque achat, la marque fait un don de produits d’hygiène féminine aux femmes sans abris ou mal logés à l’association

Règles Elémentaires.Mais ce n’est pas tout, parce que la parole autour des règles est encore parfois difficile, l’équipe de Gina a créé un 

blog. A travers son “Vigipedia” disponible dans les box livrés mais aussi sur son site internet, Gina délivre aussi des informations précieuses :  règles douloureuses, comment bien mettre un tampon…Un espace sans tabou !Box Gina :A partir de 13€ la box de tampons pour 2 cyclesA partir de 19€ la box de serviettes pour 2 cyclesAbonnement :

https://www.heygina.fr/Click Here: cheap nsw blues jersey

Asthme : l’ANSM met en garde contre les effets neuropsychiatriques associés au montélukast

Si ces effets sont déjà connus et mentionnés sur la notice des médicaments à base de montélukast (Singulair® et génériques), le lien entre la survenue des troubles et la prise de ceux-ci est parfois établi tardivement, ce qui retarde la bonne prise en charge des patients.

Sommaire

  1. Cauchemars, troubles de la mémoire, idées suicidaires…
  2. L’ANSM appelle à la vigilance des patients et des médecins

Prescrit chez les enfants et les adultes dans le

traitement de l’asthme léger à modéré, le

montélukast (Singulair® et génériques) n’est pas dénué d’effets secondaires. Ses risques neuropsychiatriques sont bien connus et figurent tous dans la notice des médicaments. Pour autant, les patients présentant de tels symptômes et les médecins ont parfois du mal à faire le lien avec la molécule. Afin d’améliorer leur prise en charge, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) appelle patients, proches aidants et professionnels de santé à être attentifs à ces risques dans un communiqué publié le 24 février.

Cauchemars, troubles de la mémoire, idées suicidaires…La liste des effets indésirables neuropsychiatriques, classés selon la fréquence de survenue, est la suivante :

  • Peu fréquent : Rêves anormaux, cauchemars, insomnie, somnambulisme, anxiété, agitation (incluant agressivité ou comportement hostile), dépression, hyperactivité psychomotrice (incluant irritabilité, fébrilité, tremblements).
  • Rare : Troubles de l’attention, troubles de la mémoire, tic.
  • Très rare : Hallucinations, désorientation, idées suicidaires avec tentatives de suicide, symptômes obsessionnels compulsifs,

    dysphémie.

L’ANSM appelle à la vigilance des patients et des médecinsL’ANSM demande aux patients de surveiller “toute modification du comportement ou de l’humeur” et d’informer rapidement leur médecin ou celui de leur enfant “si de tels changements apparaissent en cours de traitement”. Son intérêt pourra être réévalué.Quant aux professionnels de santé, ils sont tenus d’informer le patient, les parents ou les aidants de la possible survenue de ces effets indésirables en cas d’initiation d’un traitement par un médicament à base de montélukast ainsi que du “suivi médical à instaurer le cas échéant”. Le rapport bénéfice-risque du traitement devra être évalué “avec attention”.“Ces effets indésirables régressent généralement après l’arrêt du traitement”, précise l’ANSM, qui ajoute que la notice a été renforcée et une lettre adressée aux professionnels de santé.

Douleur chronique : des propositions pour moins de patients "en errance"

Plusieurs mois pour obtenir un rendez-vous, des patients "en errance", des traitements pas toujours soutenus par les autorités… Les centres spécialisés pour la douleur chronique sont "victimes de leur succès", estiment des spécialistes de ce symptôme qui touche environ un quart des Français.

La douleur chronique touche "20% à 30% de la population.

Les 243 structures labellisées “douleur chronique” ont fait nettement progresser le diagnostic et le traitement de ces douleurs persistant au-delà de plusieurs mois et rebelles aux traitements usuels. Mais “il faut les désengorger”, par exemple en formant mieux les médecins généralistes, explique à l’AFP Frédéric Aubrun, président de la Société française d’étude et de traitement de la douleur (SFETD).Cet organisme vient de publier un “Guide de bonnes pratiques” formulant 50 recommandations pour améliorer la situation.Alors que la douleur chronique touche “20% à 30% de la population” selon la définition retenue, seuls 400.000 patients par an passent par ces structures spécialisées. Résultat, “beaucoup de patients sont en errance diagnostique ou thérapeutique”, déplore le Pr Aubrun, anesthésiste-réanimateur à Lyon.”Les recommandations pour une bonne prise en charge de la douleur chronique, en particulier l’usage des morphiniques, sont mal connues, et les médecins généralistes qui ont une expertise poussée dans ce domaine ne sont pas très nombreux“, ajoute-t-il.La SFETD suggère de renforcer la formation sur le sujet pour l’ensemble des soignants et propose que des médecins généralistes sensibilisés à la question voient les patients “en amont”, pour n’adresser aux “structures douleur chronique” que ceux dont “la situation n’est pas maîtrisée”.Inversement, des “coupe-file” seraient créés pour certains patients prioritaires pour éviter les six à sept mois d’attente pour une consultation.“Se mettre autour de la table”La SFETD demande aussi que les infirmiers “ressource douleur” puissent participer davantage à la prise en charge du patient, en concertation avec le médecin, pour alléger les consultations médicales. Cela passerait par une meilleure “valorisation financière” de leur activité et la création d’un diplôme d'”infirmier en pratique avancée” dans le domaine de la douleur.Plus largement, le guide recommande de désormais mettre les patients “au centre des préoccupations”.”Aujourd’hui, tout le monde travaille en silo, chacun fait son travail mais il n’y a pas d’interactivité entre les professionnels. Une meilleure coordination ferait gagner du temps pour concevoir une stratégie thérapeutique efficace“, observe le Pr Aubrun.Et de souligner l’importance du rôle des psychologues ou des médecins du travail, “acteurs essentiels dans la prévention de la désinsertion professionnelle“, un risque élevé chez ceux souffrant de douleurs chroniques.”Il faut se mettre tous autour de la table“, confirme Gérard Mick, neurologue et médecin de la douleur à Voiron (Isère), évoquant les acteurs de la prise en charge sanitaire, mais aussi la dimension sociale, professionnelle, psychologique…”Il faut voir le patient comme une personne, respecter son projet de vie” au-delà de l’addition de ses symptômes, résume-t-il.Pour “harmoniser” la qualité des consultations et des soins dispensés dans ces centres, le guide liste aussi des préconisations, “un fil rouge pour accompagner celles et ceux qui y travaillent“, explique le Pr Aubrun.Outre une formation spécifique pour tous les médecins exerçant dans ces structures, la société savante recommande aussi, avant de prescrire “un traitement comportant des opioïdes pour une douleur non cancéreuse“, d’informer “le patient sur la possibilité de survenue d’une dépendance“. Et si des facteurs de risques sont identifiés, “un suivi personnalisé devra systématiquement (en) découler“.Certains traitements comme la kétamine ou la toxine botulique peuvent par ailleurs être recommandés dans le traitement de douleurs chroniques résistantes aux traitements conventionnels, mais à certaines conditions, selon elle.Pour avoir prescrit ces médicaments hors de leur AMM (les indications pour lesquelles ils ont été mis sur le marché), certaines structures “douleur chronique” sont dans le collimateur des contrôles des autorités sanitaires. La société savante défend “une démarche d’expertise, pour expliquer aux agences sanitaires les raisons” pouvant justifier, dans certains cas, l’utilisation de tel ou tel médicament.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

F1 steps up talks with Hockenheim after Silverstone doubts

Formula 1 chiefs are hastening talks with Hockenheim after doubts emerged this week over Silverstone’s ability to host the British Grand Prix this summer.

The UK’s decision not to exempt F1 – or any other elite sports – from the country’s upcoming 14-day quarantine measures has likely dealt a massive blow to Silverstone’s plans to stage two races at the British track at the end of July and in early August.

The UK’s stringent measures, the details of which have yet to be finalized, would prevent teams returning from the season-opening Austrian Grand Prix to prepare for the pair of Silverstone rounds.

F1 is subsequently considering a contingency plan that would involve all teams and personnel remaining in Europe after Austria and racing in Hockenheim, the home of the German Grand Prix which fell off the sport’s calendar this year.

    F1 unlikley to be exempt of UK quarantine measures!

Hockenheim boss Jorn Teske confirmed to Motorsport.com that talks with Liberty Media had ramped up this week although there remained a lot of ground to cover for the two parties.

“It is indeed true that we are still in ongoing talks with Formula 1,” said Teske. “We’ve moved from a casual conversation mode to a mode of sounding things out.

“We are sounding out under which conditions such a thing could be possible – [such as] the approval situation, infection situation, track availability. And, of course, economics. These are all important issues.”

In the face of F1’s disrupted season and the cancellation of the first ten rounds of the world championship, Hockenheim offered itself to F1 last month as a possible replacement venue.

Teske says the circuit’s candidature to host an event behind closed doors will stand even if F1 and Silverstone receive a saving grace from the British government.

“It does indeed look as if the political decision on the subject of quarantine exemptions in England could have an impact on the European racing calendar and therefore on us,” said the German.

“However, this does not necessarily mean that we will automatically be out of the race if the British Grand Prix takes place.”

Formula 1 is working tirelessly to try and rebuild a semblance of a calendar, but the complexities associated with the coronavirus situation and each individual country’s safety and lockdown measures are challenging the sport’s efforts.

“I can imagine that there will be a provisional calendar with a few asterisks,” Teske indicated.

“That is especially true because the legal situation in some countries cannot yet be seriously assessed.

“The topic of coronavirus with various regulations is very much in a state of flux. What is valid today may not be valid tomorrow.”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

Keep up to date with all the F1 news via Facebook and Twitter

Click Here: geelong cats guernsey 2019

LI Coronavirus: Photographer Snaps Happy Moments In Trying Times

SYOSSET, NY — If a picture is worth a thousand words, then what photographer Oksana Pali Federico of Syosset is doing around her Long Island community during the “age of the coronavirus” is beyond beautiful. With camera in hand, Pali Federico is on a mission: to capture happy moments of families during some obviously trying times.

“I’ve been getting a lot of positive feedback, and people are so excited to take part in something like this, they feel like they are giving back and getting memories in the process,” Pali Federico said.

Click Here: Cardiff Blues Store

After the coronavirus outbreak led to the cancellation of Pali Federico’s scheduled photo shoots this month, like many people, she began to worry how she would make ends meet while still remaining calm in the midst of chaos.

“I was really getting stressed out and upset,” she said. “I knew I was going to be affected by this, but I didn’t know to what level. It was really getting depressing for me.”

However, she refused to stay drowning in her self-pity party for long. She quickly turned a negative into a positive. Since last week, Pali Federico has been taking “porch-raits” of families stuck in self-isolation due to the coronavirus. It’s just one of the ways she believes she can help lift peoples’ spirits as many, like her, cope with stress, isolation and the uncertainties brought on by COVID-19.

“People get so excited that I stop by. It gives them an opportunity to dress up,” she said. “They’re sharing their photos, and their friends are now calling me. There’s a big demand for it. Honestly, I didn’t think it was going to be that big. I was just like, let me put it out there and see what happens.”

So far, there’s been no shortage of families reaching out to her. The photo shoot is free and so are the photos; however, there is a small catch. After the photos are taken, Pali Federico asks that folks make a donation, big or small, to one of three charities listed on her website:

“Every single person has donated so far. It’s all based on an honor system,” Pali Federico said. “After they have donated, some of them have been taking a screenshot of the amount they’ve donated and then post it on my Facebook page.”

So far this week, Pali Federico said she has 12 families lined up for one of her free photo shoots. While she takes joy in providing this free service, she admits it comes with a few challenges. To make sure she and the families stay safe, she snaps the photos from about ten feet away.

“It’s not the easiest photography because I have very little control with what’s going on,” she said. “I can’t pose them really. I can’t touch anything. It’s still fun. It kind of gets me out of what I normally do, so it helps me creatively with how I approach the situation.”

While Pali Federico isn’t making a dime from these photos sessions, her compensation comes in a non-traditional form. She benefits by making new contacts. For her, it also serves as a form of therapy.

“I set out to give, but I’m getting so much out of it, too,” she said. “I’m not just dwelling on things and thinking of things. It really keeps my mind busy by doing something not for yourself. It changes your mental state.”

According to Pali Federico, she plans to keep offering her front-step photo shoots as long as many families are forced to stay indoors and practice social distancing. In the future, she said she is looking at the possibility of offering free photo shoots to businesses impacted by the coronavirus.

Anyone interested in Pali Federico taking their “porch-traits” can sign up at this link.


To keep up to date with coronavirus developments in New York, sign up for Patch news alerts and newsletter.