Le yoga Bikram plus tendance que jamais

Le yoga à 40°C ou “yoga Bikram“ est en vogue. Imaginé par le “gourou“ Bikram Choudhury, venu de Los Angeles et dénué de spiritualité, ce sport essaime partout en France et rend accros ceux qui l’essayent.

Le yoga Bikram plus tendance que jamais

Une fois qu’on a commencé, c’est comme une drogue“, affirme Felixe. A 60 ans, elle pratique parfois deux fois par jour ce sport qui lui donne le sentiment d’avoir “à nouveau 40 ans“.Short-brassière pour les filles et maillot de bain pour les garçons sont la tenue de rigueur de ces nouveaux “yogis“. Pendant les 90 minutes de la séance, ils transpirent dans une salle chauffée à 40 degrés et humide à 40% tout en enchaînant, dans un ordre précis et immuable, 26 postures (“asanas“) et deux exercices de respiration profonde.Face à un grand miroir, qu’ils soient novices ou expérimentés, âgés de 17 ou de 75 ans, tous se contorsionnent avec plus ou moins de bonheur pour tenter de reproduire les postures aux noms évocateurs de “demi-lune“, “lapin“ ou bien encore de “cobra“. La chaleur est là pour renforcer la capacité d’étirement des plus raides.“La première fois, j’ai vraiment cru mourir“, se souvient Alain Cadet, qui a découvert cette pratique en 2004. Très vite devenu accro à ce sport, en 2010, il a quitté son poste dans le marketing des produits de luxe pour devenir enseignant de ce yoga avant d’ouvrir en 2012 un studio à Bordeaux.En deux ans, une dizaine de salles se sont ouvertes à travers la France, un phénomène qui avait touché les Etats-Unis, dans les années 90. Les articles de la presse people sur Madonna, Lady Gaga ou Jennifer Aniston devenues adeptes de yoga Bikram ont largement contribué à populariser cette méthode mise au point par le professeur Bikram Choudhury.A 67 ans, il est milliardaire grâce aux contrats de franchise d’exploitation signés avec le millier de salles qu’il compte à travers la planète.“La même méthode““L’une des forces du concept est que partout dans le monde, on retrouve exactement la même méthode“, estime Alain Cadet, qui propose chaque semaine un cours en anglais, destiné aux Américains installés à Bordeaux.C’est ce côté “marketing“ et “occidentalisé“ qui, au départ, a rendu sceptique Florence Delmas, professeur à Bordeaux de yoga swasthya, le plus ancien des 108 types de yogas répertoriés.Après avoir poussé les portes du studio bordelais, comme quelque 1.300 personnes depuis son ouverture il y a onze mois, elle dit avoir “compris les effets bénéfiques“ à tirer de cette méthode. A l’automne, elle est partie à Los Angeles où, moyennant 10.000 euros, elle a suivi durant 9 semaines une formation pour devenir à son tour professeur de yoga Bikram.“La magie du Bikram c’est qu’à travers cet enchaînement des postures, qui est toujours le même, on peut voir les améliorations“, souligne Florence Delmas, qui dispense désormais 25 à 30 cours par mois.Marie-Hélène Bralerait, professeur de yoga d’adaptation, appelé “viniyoga“, aime également le yoga chaud, qui lui permet notamment de “travailler la conscience du corps et du souffle“ et dit apprécier “le fait de transpirer et d’éliminer les toxines“.Pour sa part, Audrey Coutreras, 27 ans, hôtesse au sol à Biarritz, vient deux fois par semaine à Bordeaux suivre des cours qui “lui apportent un bien être physique et mental, grâce à un renforcement musculaire et l’amélioration de sa capacité respiratoire“.Un enthousiasme que ne partage pas entièrement Alain Rouvillois, cadre de santé à l’institut de formation en masso-kinésithérapie à Bordeaux et entraîneur national. Si ce concept de yoga est intéressant, notamment pour les 26 postures qui “font appel à la concentration et l’équilibration“, il estime que “tout le monde ne peut pas y accéder“.“Il y a des précautions à prendre car faire des exercices intensifs sous la chaleur demande un minimum d’entraînement“, souligne M. Rouvillois, tout en relevant les risques d”“hyperthermie“ et d’“accidents cardiaques“ liés à la forte chaleur.Source : RelaxnewsClick Here: camiseta rosario central

Birmingham Police Officer Shot And Killed Outside Nightclub

BIRMINGHAM, AL – A Birmingham police officer was shot and killed and another officer was wounded outside a downtown nightclub early Sunday morning. One man has been arrested and another man – who was shot by police – is hospitalized.

The shooting happened just before 2 a.m. in the 900 block of Fifth Avenue North outside the 4 Seasons Bar & Grill, according to a report by Alabama Media Group. Officers were working a special detail dealing with a rash of car break-ins in that area, when an undercover officer spotted at least two suspects who appeared to be trying door handles to see if they were locked. The officer called for backup, and the sergeant arrived.

The officer and the sergeant approached one suspect and patted him down where they found what they believed to be a weapon, reports say. The officers asked the suspect about it, and he reportedly armed himself and fired upon the officers.

Birmingham Fire and Rescue Service transported all three shooting victims to UAB Hospital’s Trauma Center. (For more updates on this story and free news alerts for your neighborhood, sign up for your local Patch morning newsletter.)

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The officer has been identified as Sgt. Wytasha Carter. Carter was just promoted to the rank of sergeant 11 months ago, and was a husband and father.

“This is one of the roughest hours of your career.” said Birmingham Police Chief Patrick Smith. “There’s not a chief, not an officer that ever wants to have to deal with this. This is a very very difficult thing for the family, and for the department.”

Smith said he did not immediately know the condition of the suspect who was wounded. The second suspect is under arrest. “We’re not absolutely certain right now if we have one outstanding suspect but we have other possibilities and the investigation is ongoing.”

Dozens of officers are keeping vigil in the emergency room area and later saluted as the mortuary transport van left the hospital.

Image via Shutterstock

Gérard Lanvin et Olivier Marchal à propos des “Lyonnais”

Gérard Lanvin et Olivier Marchal nous évoquent leur nouvelle collaboration, “Les Lyonnais”, un polar sur l’odyssée criminelle des fameux gangsters des années 70, en salles ce 30 novembre.

Synopsis : De sa jeunesse passée dans la misère d’un camp de gitans, Edmond Vidal, dit Momon, a retenu le sens de la famille, une loyauté sans faille, et la fierté de ses origines. Il a surtout conservé l’amitié de Serge Suttel. L’ami d’enfance avec qui il a découvert la prison à cause d’un stupide vol de cerises. Avec lui, inexorablement il a plongé dans le Grand Banditisme, et connu l’apogée du GANG DES LYONNAIS, l’équipe qu’ils ont formée ensemble et qui a fait d’eux les plus célèbres braqueurs du début des années soixante dix. Leur irrésistible ascension prend fin en 1974, lors d’une arrestation spectaculaire…

Propos recueillis par Guillaume Martin – Montage : Seb Olland

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McLaren won’t ‘waste time’ protesting Racing Point charger

McLaren F1 boss Andreas Seidl has no intention of disputing the legality of Racing Point’s 2020 car which has been labeled a Mercedes clone by many.

The pink squad’s RP20 drew the scrutiny of Racing Point’s mid-field rivals when it was rolled out in Barcelona during pre-season testing as many similarities with Mercedes’ championship winning W10 were noted.

Racing Point tech boss Andy Green defended the team’s car, insisting that while it had indeed taken part of its inspiration from the Silver Arrows’ contender, its design was similar but not the same.

    FIA visited Racing Point factory to validate ‘pink Mercedes’

Green also revealed last week that the FIA had visited Racing Point earlier this year to rubber-stamp the team’s design.

However, Renault boss Cyril Abiteboul – who called Racing Point’s RP20 a piece of “forged artwork” – isn’t dismissed a protest against the Silverstone-based outfit when the season gets underway.

But Seidl, whose team like Racing Point will be powered by Mercedes from next season, certainly won’t follow Renault’s lead.

“McLaren is an independent racing car manufacturer, and we want to stay that way,” said the McLaren boss in a video conference with the media last week.

“We pursue ambitious goals and we want to achieve them with hard work. I am sure that everything about this car is legal.

“I see no basis for a protest. And besides, I don’t have time to waste my energy on it. For me, other issues are more important – like the upcoming budget limit.”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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