Month: April 2020

Pour répondre à une forte demande californienne, où le cannabis a été légalisé à des fins médicales il y a de nombreuses années, un lubrifiant à la marijuana va bientôt être commercialisé dans le Colorado, où cette drogue douce est en vente libre depuis peu.

Le lubrifiant Foria se vaporise directement sur les parties intimes, au moins 30 minutes avant l'acte sexuel.

Cette huile lubrifiante appelée Foria sera présentée lors des Winter X Games d’Aspen, qui se déroulent dans le Colorado du 21 au 25 janvier. Des soirées VIP seront organisées par son fabricant, Native Roots, tous les soirs au Crystal Palace de la station. À noter que les Winter X Games sont une compétition sportive réservée aux disciplines extrêmes hivernales.Un porte-parole de Floria nous a confié que l’entreprise ne prévoyait pas de commercialisation à l’international dans un avenir proche, mais que son produit avait suscité un tel intérêt – même au-delà des frontières américaines – qu’elle allait y réfléchir.Certaines propriétés bien connues du

cannabis, la relaxation et la sensibilité tactile, sont très adaptées à ce genre de produits.Native Roots rapporte que certaines utilisatrices de ce lubrifiant ont noté une chaleur accrue et des picotements dans les parties intimes après application, d’autres ont eu un orgasme plus facilement ou plus intense grâce à cette huile.Foria est à utiliser en application locale, il suffit d’en vaporiser directement sur les parties intimes, au moins 30 minutes avant l’acte sexuel.Un flacon de 30ml contient environ une trentaine de doses et coûte 88$.Plus d’informations sur: 

foriapleasure.comAFP/RelaxnewsClick Here: cheap Cowboys jersey

Dans un communiqué, la ministre de la Santé annonce qu’elle a pris connaissance de la décision rendue ce jour par la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) concernant l’exclusion systématique du don de sang des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes. Cette décision valide l’exclusion mais pose des conditions, notamment de se baser sur les comportements sexuels à risque et non plus sur l’orientation sexuelle.

La fin de l'exclusion des homosexuels au don du sang pour bientôt?

Les hommes ayant des rapports sexuels avec un homme sont automatiquement exclus du don du sang depuis 1983 car, suite à la pandémie du

sida, ils ont été considérés comme une “population à risque“. Cette

« incompatibilité » au don du sang  a été dénoncée comme une discrimination depuis des années par les associations.La levée de l’interdiction systématique du don de sang pour les homosexuels masculins a été annoncée comme étant proche à plusieurs reprises,

notamment en 2012 mais est restée sans effet à ce jour.Marisol Touraine soutient la levée des discriminations liées à l’orientation sexuelleDès 2013, la ministre de la Santé avait reçu un rapport rédigé à sa demande sur la

Filière du sang en France , qui préconisait de tenir compte des pratiques sexuelles des donneurs, plutôt que de leur orientation sexuelle et qui de ce fait, ouvrait la voie à la fin de l’exclusion systématique des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes.Début avril 2015, la Ministre de la Santé avait souligné à nouveau que “la discrimination des donneurs sur la base de leur orientation sexuelle était inacceptable et que seule la sécurité des receveurs pouvait justifier des limitations au don du sang“.La décision de la CJUE va dans le sens du souhait de la ministre de la SantéLa décision prise ce 29 avril par la CJUE a été générée par le cas de Geoffrey Léger, homosexuel qui, en juillet 2014, a attaqué l’EFS (Etablissement Français du sang) pour avoir refusé son don de sang au motif de son orientation sexuelle.Dans sa décision, la CJUE estime que le VIH peut être “détecté par des techniques efficaces“ et que, en l’absence d’un tel dispositif, “le questionnaire de l’entretien individuel avec un professionnel du secteur médical peuvent permettre d’identifier plus précisément les comportements sexuels à risque“, et demande de ce fait à la justice Française de “vérifier s’il n’existe pas de méthode moins contraignante que l’exclusion permanente du don du sang“, précise le 

Huffingtonpost.Autrement dit, la décision de la CJUE va dans le sens de la demande de la ministre de la Santé, Proposer un nouveau questionnaire et un nouvel arrêtéPour défendre sa position, Marisol Touraine s’était appuyé sur les préconisations de l’ANSM (Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) et de l’InVS (Institut de veille sanitaire) qui recommandait de “modifier le questionnaire proposé aux donneurs du sang en supprimant toute référence à l’orientation sexuelle, de ne citer que des comportements sexuels à risque et de substituer à l’exclusion définitive une exclusion temporaire de douze mois après le dernier comportement à risque“, précise le communiqué du ministère de la Santé.Aussi, à la fin du mois de mai, une réunion aura lieu avec les associations et autres parties prenantes pour proposer un nouveau questionnaire et un nouvel arrêté mais aussi en vue “d’organiser une meilleure information du donneur et de promouvoir l’information générale autour du don en France“, conclu le communiqué.Dr Jesus CardenasSources :Communiqué de presse du Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes daté du 29 avril 2015. “Décision de la Cour de Justice de l’Union Européenne du 29 avril 2015 concernant l’exclusion du don du sang des hommes ayant eu un rapport sexuel avec un homme“.

Huffingtonpost du 29 avril 2015.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

FORT COLLINS, CO – They called him The Man Of the North. The Fort Collins trail runner who was attacked on a trail by a juvenile mountain lion and managed to fend it off, killing the big cat, has recovered from his hospital-stay and spoke about the Feb. 4 attack on Thursday.

Travis Kauffman, 31, a trail runner who’s lived in Colorado for five years, was attacked from behind on the West Ridge Trail on Horsetooth Mountain Park outside Fort Collins. The cat bit and scratched him on the face and wrist and he suffered puncture wounds on his arms, legs and back, Colorado Parks and Wildlife said.

Kauffman, a Mountain Home, Arkansas, native and avid mountain biker and athlete, was about halfway through his planned 12-mile trail run to the top of Arthur’s Rock, a local foothill landmark in Lorry State Park. Although the trial was icy, the first clue that something was unusual was the sound of a disturbance behind him in the pine needles, he said.

“If I had earbuds in, I might have missed that,” he said Thursday. He turned his head and saw the male lion, about 50 lbs. and four feet long, behind him on the trail. Disbelief turned to fear, which turned to a fight for survival, he said.

Kauffman waved his arms, trying to appear larger than he was and yelled in his “barbarian yell,” but the lion pounced, attacking his face and neck with its claws and teeth. The cat then grabbed his wrist with its teeth and would not let go. “I heard the sound of my tendons and muscles snapping,” he said. The thought that he might never use his fingers again flashed through his mind.

As he struggled with the animal, the two rolled off of the path. First Kauffman tried to stab the cat’s face with sticks, trying to release its grip on his wrist, he said. Eventually he picked up a nearby rock and tried to smash its head, trying to get it to release his wrist, he said.

As he pushed the cat onto its back, Kauffman said his recent experience with a new pet cat at home warned him that the lion’s back legs could slash his abdomen or groin. He held them down with his legs until finally, he was able to get his foot on the lion’s neck and suffocate the animal.

The whole experience took about ten surreal minutes, Kauffman said. His biggest fear was that the juvenile’s mother or another adult mountain lion might be nearby.

“I was just worried that there might be another cat,” Kauffman said. He began to run back to the trailhead, and met another hiker, who helped him get back to the park entrance. Another couple helped get him to Poudre Valley Hospital in Fort Collins.

Kauffman ended up with more than 20 stitches in his face and damage to his wrist, but nothing was seriously broken or severed he said. He also had puncture wounds on his neck and legs.

His girlfriend Annie Bierbouer said she got an odd message on her cellphone, “‘I’m Ok, but I just got attacked by a mountain lion,'” which she thought was a joke, she said.

After the attack, park officials closed the park for a week and Colorado Parks and Wildlife rangers using bait and game cams found two other juvenile mountain lions at the park. Those were caught and taken to a rehabilitation center, said said Ty Petersburg, area wildlife manager for Colorado Parks and Wildlife. They will be released, he said.

Mountain lion attacks are not common in Colorado. Juveniles are more aggressive, and it’s possible the lion’s hunting instants were triggered by the runner. “This could have had a very different outcome,” Petersburg said.

Kauffman, who works as an environmental consultant for oil and gas companies said he’s spent a lot of time in the wilderness. “But I’m mainly worried about rattle snakes,” he said.

Since the attack and his release from the hospital, he has been running a couple times, but he thinks he’ll be running with a buddy if he does any trail runs in the future. He’s still planning to participate in a Rocky Mountain trail race this summer called the Dirty 30, he said.

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Watch the press conference live below:

If You Encounter a Mountain Lion

The CPW offers these tips to survive a big-cat attack:

“People rarely get more than a brief glimpse of a mountain lion in the wild. Lion attacks on people are rare. Most of the attacks were by young lions, perhaps forced out to hunt on their own and not yet living in established areas. Young lions may key in on easy prey, like pets and small children.”

Image via Colorado Parks and Wildlife

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An attorney for Robert Kraft shed light on how Kraft’s legal team plans on fighting soliciting prostitution charges, accusing Florida law enforcement of acting illegally and asking the state attorney to investigate. Kraft, 77, pleaded not guilty to two misdemeanor counts of soliciting another to commit prostitution stemming from visits to the Orchids of Asia Day Spa in Jupiter, Fla., the day before and morning of the AFC Championship Game in January.

“There was no human trafficking and law enforcement knows it,” William Burck told ESPN Friday night. “The video and the traffic stop were illegal and law enforcement just doesn’t want to admit it. The state attorney needs to step up and do the right thing and investigate how the evidence in this case was obtained.”

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The video Burck referenced shows Kraft paying for sex acts at the Orchids of Asia Day Spa & Massage in Jupiter, Fla., authorities said. A Florida sheriff who led the human trafficking sting said Thursday the videos “are probably going to get released.”

After Kraft’s first visit, the vehicle he was in was pulled over by police. The officer asked for Kraft’s identification, despite Kraft being in the front-passenger seat.

Burck’s statement was the first to come out of Kraft’s camp since a spokesperson for the Patriots owner denied Kraft did anything illegal the day the charges were announced.

Multiple outlets reported this week Kraft was rejecting a plea offer from prosecutors that would have dropped his case had he admitted he would have bee found guilty if the case went to trial. A source told The Boston Globe Kraft was adamant about never admitting guilt.

Les articles de sport sont devenus des accessoires de mode au cours de ces deux dernières décennies. Et pourtant, les Français les choisissent désormais pour leur fonction première : le sport. Une étude du NPD Group, que Relaxnews révéle en avant-première ce lundi 3 novembre, précise les ventes de vêtements et de chaussures utilisés pour la pratique d’un sport ont augmenté de 26% depuis 2009.

Les femmes préfèrent les chaussures de course quand les hommes choisiront plutôt celles dédiées au basket-ball.

“Après s’être longtemps diversifiées et avoir cherché à cibler des consommateurs au-delà des pratiques sportives, les marques misent sur l’usage premier de leurs articles. Depuis 2009, c’est vraiment la pratique sportive, technique qui est le moteur de croissance des ventes de vêtements et de chaussures. L’explosion du sportswear dans la vie de tous les jours, évidente dans les années 90, s’est ralentie depuis 2009 en France, malgré l’apparition de nombreux articles sportifs sur les podiums“, analyse Renaud Vaschalde, analyste sport chez NPD Group.En détails, plusieurs rayons de sport sont adulés pour leurs équipements. Chez les hommes, le basket et le running ont le plus de succès, avec des ventes annuelles respectives en hausse de 21% et de 11%. Ces dames, quant à elles, adorent courir (+11%) et aller dans une salle de gym (+5%).Pour autant, les sportifs ne mettent pas leur goût et leurs envies de mode au placard. Ceux qui adorent le running choisissent du bleu (+80% des ventes en 2014 chez les hommes). Les femmes optent pour du rose. Les volumes des ventes de ces modèles ont été multipliés par trois depuis un an.Source : RelaxnewsClick Here: All Blacks Rugby Jersey

En France, le traitement préventif anti-VIH n’est pas autorisé. Pourtant, de nombreuses personnes dépistées par Aides ont partagé leur intérêt à l’occasion d’une vaste enquête menée cette année par l’association de lutte contre la maladie. Résultat : peu de sondés connaissaient l’existence de ce traitement.

36,7% des personnes dépistées par Aides seraient prêts à prendre le traitement préventif anti-VIH.

Du 31 mars au 13 avril 2014, Aides a mené l’enquête auprès de 3.000 personnes correspondant à différents types de populations vulnérables face au VIH. L’association, qui lutte contre le Sida depuis 1984, précise en effet qu’il “n’existait pas de données en France sur les caractéristiques (genre, âge, pratiques, etc.) des personnes qui seraient potentiellement intéressées par cet outil“. Pour l’heure, une minorité de personnes dépistées avait connaissance de ce traitement préventif. Les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres personnes de leur sexe sont les plus nombreux (19,7%) à connaître l’existence de ce dispositif, moins les hétérosexuels (6,1% des femmes et 5,7% des hommes). Et pourtant, 36,7% des sondés seraient prêts à prendre ce traitement, dont 11,1% sans hésiter. En réalité, 1.109 personnes sauteraient sur l’occasion dès qu’une autorisation interviendrait. À noter que certaines personnes ont déjà recours à ce traitement préventif en l’absence de cadre légal. 4,5% de l’échantillon sont concernés, dont surtout des homosexuels (74%).AFP/RelaxnewsSource : Dossier de presse Aides – novembre 2014

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Aujourd’hui, les produits sans gluten sont partout. Destinée à la base aux personnes allergiques à la protéine végétale complexe, l’offre “sans gluten“ se généralise dans les rayons pour répondre à une demande croissante.

Environ 4% de la population française pratiquerait un régime sans gluten. Ils seraient même 7% en Allemagne, 6% en Espagne et 8% en Italie. 

2014 ne marque pas l’année de découverte des Français pour les produits étiquetés “sans gluten“. Ces dernières années, le rayon bio a fait place à une offre dédiée aux patients

intolérants à cette protéine végétale complexe que l’organisme ne sait pas

digérer. Les librairies fourmillent de livres de recettes faisant l’apologie du

sarrasin, du

manioc et des

légumineuses. Car 4% de la population française pratiquerait un régime sans gluten. Ils seraient même 7% en Allemagne, 6% en Espagne et 8% en Italie. Le “sans gluten“, un effet de mode ?Ainsi, 2014 aurait pu être une année comme les autres, mais c’était sans compter sur l’organisation du Mondial de l’alimentation (Sial). En octobre dernier, les industriels de l’agroalimentaire affluent de tous horizons pour rejoindre Paris Nord-Villepinte. Sur place, ils dégainent des pâtes, des croissants sans gluten et toute une ribambelle d’innovations alimentaires qui zappent la protéine végétale. Toutes les nationalités étiquettent leur propre version du “sans gluten“. La tendance n’est pas un épiphénomène. Elle est le leitmotiv des nouvelles idées sucrées et salées des fabricants.À l’occasion de la présentation du Sial, Xavier Terlet, expert-référent en matière d’innovation alimentaire et président du Cabinet XTC World Innovation, parle d’un effet de mode à laquelle adhère un nombre conséquent de consommateurs soucieux de leur santé. Comprendre : les patients atteints de la

maladie coeliaque ne sont plus les seuls à se nourrir de produits “sans gluten“. Désormais, on fuit le gluten comme on évitait les matières grasses dans les années 90. La dernière étude du cabinet Xerfi, qui publie régulièrement des enquêtes sectorielles, prend alors tout son sens. Sur la période 2015-2016, les offres “sans gluten“ contribueront au succès du marché des produits diététiques, dont les ventes devraient progresser de 3,5%, contre 2% en 2014.Le “sans gluten“, tout le monde s’y metAu-delà des statistiques, les consommateurs font face à une offre sans gluten qui se développe. De nouveaux concepts créent la tendance en surfant sur ce phénomène, à l’image du bar à gaufres Yummy & Guiltfree ou des recettes sans gluten et sans

lactose du BHV, à Paris.Kitsuné propose également une pause café sans gluten depuis janvier 2014, date à laquelle elle s’est installée sous les arcades des jardins du Palais-Royal. Les blogueurs culinaires n’ont pas tardé à tester et à commenter ce nouveau repaire, qui s’est offert la caution du précurseur parisien en la matière : le restaurant Noglu, situé dans le 2^e arrondissement. Ce dernier a ouvert en 2012, avant d’ajouter une boutique pour la vente à emporter en mai dernier.Toutes les occasions sont bonnes pour évincer le gluten et Noël n’y échappe pas. L’Hôtel Fouquet’s Barrière, par exemple, se démarque de ses concurrents cette année avec une

bûche en forme de couronne et surtout sans gluten.Et preuve que cette tendance prend de l’ampleur, Paris a récompensé, à l’occasion du Prix des meilleurs artisans de bouche, fin novembre, la boulangerie Chambelland, située dans le 11e arrondissement et considérée comme la première à remplir ses corbeilles en pains à base de farine de riz.Le sans gluten porte même un visage désormais. Le joueur de tennis Novak Djokovic a accepté de promouvoir les bienfaits des produits Gerblé, une des marques distribuant des produits dénués de cette protéine. AFP/Relaxnews

Phénomène de mode, les objets connectés de santé ne relèvent plus seulement du futur et 13% de Français s’imposent comme des précurseurs de cette tendance. D’après une étude Phr/Ifop, publiée jeudi 12 février, les jeunes âgés de 18 à 24 ans sont les premiers utilisateurs de ces nouveaux accessoires intelligents.

Les jeunes âgés de 18 à 24 ans sont les premiers utilisateurs des objets connectés santé. 

Vérifier son taux de glycémie sur son smartphone, être alerté de la prochaine prise de médicament grâce à un pilulier intelligent… Aujourd’hui, toutes les inventions possibles et inimaginables se bousculent au rang des dernières innovations développées pour la santé. Et les Français ne sont pas contre. Ils identifient bien les avantages de ces nouveaux accessoires, à commencer par la facilité d’échange avec un professionnel de santé (73%). Plus encore, 79% reconnaissent que le suivi de leur santé peut être optimisé. Aussi, 59% estiment que ces objets connectés peuvent même améliorer la prévention. Les patients n’ont donc rien contre la progression de la connectivité dans leur relation avec les médecins ou les pharmaciens. 77% sont prêts à partager leurs données santé avec ces derniers. Encore faut-il que les professionnels de santé fournissent un décryptage médical. Seuls 10% des personnes interrogées se déclarent capables d’interpréter les informations délivrées par les objets connectés. AFP/RelaxnewsSource : Cette étude a été réalisée du 8 au 13 janvier 2015, auprès de 1.001 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus.Photo : ©Alexey Boldin/shutterstock.com