Italie : Crémone fait résonner les violons de Stradivarius

C’est le moment où toute une ville s’arrête. La ville de Crémone dans le nord de l’Italie, et ses 72 000 habitants se figent. Pendant huit heures par jour dans le quartier historique, le calme est obligatoire pour que résonne, dans l’absolu silence, les instruments façonnés par Stradivarius, l’enfant du pays. Dans l’auditorium, où même le souffle de la climatisation a été coupé, Antonio De Lorenzi joue d’un violon qui date de 1727.Une parenthèse musicale enchantéePendant un mois, quatre musiciens doivent faire résonner toutes les notes possibles et reproduire tous les enchaînements. 32 micros vont saisir le son dans sa pureté originelle. C’est pour ce projet qu’un silence absolu est requis. Dans les rues voisines, des panneaux informent la population que les routes sont désormais fermées. Les habitants de Crémone sont plutôt fiers de participer à cette parenthèse enchantée. Les enregistrements témoins de ces violons inestimables doivent être réalisés maintenant, avant qu’ils ne s’abîment.Le JT

  • JT de 13h du lundi 4 février 2019 L’intégrale

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Algérie: des femmes en campagne contre le port du voile

Depuis début février 2019, une campagne a fait son apparition sur les réseaux sociaux attestant de la montée d’un nouveau mécontentement dans la société algérienne.Sous le hashtag “Les prisonnières du voile en Algérie”, des femmes ont lancé une campagne d’émancipation vestimentaire rappelant celle en cours depuis quelques mois en Iran ou qui couve en Arabie Saoudite.”Notre société opprime les femmes… et les hommes”Même si en Algérie, le port du voile relève, en principe, d’un choix personnel, elles dénoncent désormais un diktat social qui les contraint à porter ce qu’elles estiment être un instrument d’oppression.“Je soutiens cette campagne contre le port du hijab en Algérie. Lève mon chapeau à toutes celles qui osent exister de par elles-mêmes et revendiquer leur liberté. Je vous aime”, a écrit le 10 février 2019 Djemila Benhabib sur son compte Twitter.

A 47 ans, cette journaliste, écrivaine et conférencière algéro-canadienne est également “marraine de l’observatoire de la laïcité de Saint-Denis” en France, d’après son profil qui affiche plus de 30 000 abonnés.Jointe par franceinfo Afrique au Canada, elle précise qu’elle est aussi vice-présidente de la Fondation Raïf Badawi, du nom du blogueur saoudien condamné à 10 ans de prison et 1 000 coups de fouets pour “insulte à l’islam”, dont la femme Ensaf, réfugiée à Québec, est devenue une amie.“Notre société est en fait une société qui opprime les femmes, mais elle opprime  aussi les hommes. Et ce hijab fait partie d’un processus de déshumanisation de la société, parce qu’il fait des femmes des masses et des hommes des frustrés. Je refuse que ma société, celle dans laquelle j’ai grandi, puisse arriver à ce degrés de déshumanisation”, explique Djemila.Certes, reconnaît-elle, “le hijab n’est pas obligatoire dans les lois, mais en réalité la pression sociale est telle ! Les femmes finissent par le porter sous la pression de la rue, de la famille et de la société”.Des dizaines de femmes suicidées avec leur foulardSelon elle, c’est “le travail de sape de l’islamisme, ces trente dernières années, qui a fait en sorte que malgré l’absence de loi, le port du hijab s’est généralisé”, dit-elle. “Pour moi c’est un enjeu politique de premier ordre”, commente-t-elleCe qui l’a convaincue d’adhérer à ce mouvement et le soutenir, c’est un reportage diffusé par la chaîne algérienne al-Chourouk, plutôt islamiste, relatant le suicide de dizaines de femmes algériennes avec leur hijab.“La mixité est tellement diabolisée et la ségrégation des sexes est quelque chose qui fait son chemin, explique-t-elle. Résultat, “il y a de l’inceste dans les familles. Il y a des relations sexuelles qui peuvent être consentantes, mais l’homme s’en va après et la femme se retrouve seule. Et comme le tabou de la virginité reste très présent, les femmes finissent par se suicider”.Active sur les réseaux sociaux, Djemila Benhabib a posté une photo d’elle flanquée du drapeau algérien et arborant un panneau sur lequel il est écrit : “Moi, Algérienne, contre le hijab” en trois langues, arabe, anglais et français. Elle relaye méthodiquement les messages de personnes ou groupes s’exprimant sur la question.Celui d’une certaine Celia qui écrit: “Ca n’existe pas une femme qui se voile par choix. Même si personne ne l’oblige, il y a tout un environnement social ou familial qui la pousse à ça. Aucune femme au monde n’a envie de s’enterrer sous des mètres de tissu, quoi qu’elle dise”. Ou encore celui de Sarah qui s’est vue imposer le hijab par son père.Mon père m’a forcée à porter hijab à 13 ans, il m’a menacé de me sortir de l’école et me marier sachant qu’il est enseignant universitaire. J’ai tout haï, pensé même au suicide à 15 ans. J’ai 27 ans maintenant et je suis toujours forcée de le porter. #سجينات_الحجاب_في_الجزائر — Sarah (@sarahbleuazur) 10 février 2019

Elle relaie aussi un tweet des Femmes insoumises qui s’insurgent contre les incohérences : “Vous criez que porter le voile est une liberté, mais vous faites vivre l’enfer à celles qui le retirent”.“Je me sens partie prenante de la libération des femmes” et “en harmonie avec une revendication légitime qui me touche”, dit-elle, faisant la jonction avec les mouvements similaires en Iran et en Arabie Saoudite.Sortir les femmes de leur isolement et de l’indifférenceSur le mouvement en Algérie, elle estime que “ce qui compte, c’est qu’il existe, à un moment particulier de notre histoire. Parce que si je fais un parallèle avec ce qui se passe en Iran : au début, elles n’étaient qu’une poignée, mais après deux années de ce mouvement anti-hijab, la chape de plomb commence à éclater petit à petit”, assure-t-elle.“On sait ce qui se passe en Iran, en Arabie Saoudite et dans le golfe. On surveille tous ces mouvements qui sont latents, qui sont comme des volcans, mais qui en même temps nous disent beaucoup sur les rapports de forces dans notre société”, ajoute-t-elle. L’objectif est de “sortir les femmes de leur isolement et de l’indifférence qui les tuent”.“Il y a beaucoup de femmes qui se sentent seules, explique-t-elle. En fait, elles vivent leurs histoires comme des histoires individuelles, or la liberté des femmes n’est jamais individuelle, elle est un mouvement collectif”.Pour Djemila Benhabib, toutes ces femmes, en Algérie, au Moyen-Orient et en Iran sont mobilisées pour “une libération de leur corps et la liberté d’aller tête nue”. “Si elles se sentent rattachées à quelque chose de collectif, je me dis que ça va leur donner de l’espoir, de la force pour tenir tête au frère, à l’oncle et même à la mère, parce qu’on sait dans ces pays combien les mères peuvent être aussi dans le camp des oppresseurs”, déplore Djemila.

Pour l’heure, cette amorce de révolte contre l’avancée du voile en Algérie a reçu un début de soutien d’hommes. Des Algériens ont en effet posté sur les réseaux sociaux des photos de leur tête couverte du hijab, en signe de solidarité.Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Bande-annonce : “House at the End of the Street” avec Jennifer Lawrence! [VIDEO]

La bande-annonce du film fantastique “House at the End of the Street” avec Jennifer Lawrence vient d’être dévoilée !

La bande-annonce du film fantastique House at the End of the Street de Mark Tonderai vient d’être dévoilée! Dans le long métrage emmené par Jennifer Lawrence, Elisabeth Shue et Max Thieriot, une mère et sa fille emménagent dans une nouvelle demeure située juste à côté d’une maison qui fut le théâtre d’un double meurtre. House at the End of the Street sortira sur nos écrans le 26 septembre prochain. Jennifer Lawrence est actuellement à l’affiche d’Hunger Games.


House at the End of the Street





Laëtitia Forhan

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Mercedes innovative DAS device banned for 2021

Mercedes’ innovative Dual Axis System has been outlawed by the FIA for 2021, a move destined to protect F1 teams from a costly investment at a time of crisis for the sport.

The decision was approved by the World Motor Sport Council on Tuesday along with a raft of emergency measures justified by the global coronavirus pandemic and its financial impact on F1.

Among the rule changes for next season is the obligation for teams to carry over to next year their 2020 chassis designs, a decision that could have potentially allowed Mercedes to keep its DAS advantage.

    FIA approves more reg changes for F1 amid COVID-19 crisis

The system, which allows drivers to tweak the toe angle of a car’s front wheels, is an intricate part of the front suspension of the Silver Arrow W11.

However, Mercedes accepted not to fight the regulation change which bans its DAS.

“The re-alignment of the steered wheels must be uniquely defined by a monotonic function of the rotation of a single steering wheel about a single axis,” stipulates the new article in the revised 2021 technical regulations.

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“Furthermore, the inboard attachment points of the suspensions members connected to the steering system must remain a fixed distance from each other and can only translate in the direction normal to the car centre plane.”

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Frontex contributions ‘should be compulsory’

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Frontex contributions ‘should be compulsory’

Commission proposal would allow Frontex to purchase or lease its own assets.

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2/24/10, 10:04 PM CET

Updated 5/21/14, 11:28 AM CET

Member states’ contributions of officials and boats to Frontex, the European Union’s border management agency, would become compulsory under a proposal made by the European Commission yesterday (24 February). 

The proposal would also allow Frontex, which co-ordinates member states’ operations against illegal migration, to purchase or lease its own assets. Currently, Frontex relies on voluntary contributions of personnel, boats and surveillance aircraft from member states.

Cecilia Malmström, European commissioner for home affairs, said that she would not seek additional funds for Frontex under this year’s budget, but that the agency would become more efficient if member states’ assets contributions were to be made available more predictably.

The EU’s home affairs ministers are to discuss the Commission’s draft directive on Frontex in Brussels today (25 February) and hear a presentation of the agency’s work programme for 2010. The meeting will approve an internal security strategy for the EU. Ministers will also decide to establish a standing committee on operational co-operation on internal security, whose main role is to co-ordinate police, customs and judicial co-operation between member states, including work on border protection.

Level of involvement

Under Malmström’s proposal, Frontex would signal to member states a year in advance what operations it was planning and what kind of equipment and personnel it would need to carry them out. It would then be up to each member state to determine the level of its contribution.

Once such a pledge were made, however, it would become a binding commitment, and the Commission would have the right of redress against member states that reneged on their pledges.

Frontex was set up in 2005 and is based in Warsaw. Its budget has grown from €19 million in 2006 – its first full year of operations – to €88m in 2009.

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Authors:
Toby Vogel 

ACTA text to be published

ACTA text to be published

No mandatory internet cut-offs, say negotiators of anti-counterfeiting agreement.

The draft text of a controversial Anti-Counterfeiting Trade Agreement (ACTA) is to be made public on Wednesday (21 April), negotiators agreed at the latest round of international talks.

The negotiating process had been criticised for its secrecy by civil-liberties groups and internet service providers, who fear that the agreement could lead to stricter controls on content on the internet. MEPs have also criticised the process. ACTA will regulate responses to various forms of piracy and counterfeiting on- and off-line.

In a joint statement released today (16 April), negotiators meeting in Wellington, New Zealand said that there was “a general sense that negotiations have now advanced to a point where making a draft text available to the public will help the process of reaching a final agreement”.

The statement said there was “unanimous agreement that the time [was] right for making available to the public the consolidated text coming out of these discussions”.

Negotiators said there has been “substantial progress” in this week-long round of talks (12-16 April), which was attended by officials from Australia, Canada, the European Commission, Spain as the holder of the rotating presidency of the Council of Ministers, Japan, Korea, Mexico, Morocco, New Zealand, Singapore, Switzerland and the United States.

The statement also responded to fears about internet privacy and access. It said that “no participant is proposing to require governments to mandate a ‘graduated response’ or ‘three strikes’ approach to copyright infringement on the internet”.

This was the eighth round of negotiations on the proposed agreement.

The next negotiating round is to take place in Switzerland in June. The countries concerned hope to complete negotiations this year.

 

Authors:
Toby Vogel 

Saks Fifth Avenue donates 600,000 dollars to COVID-19 relief

Saks Fifth Avenue is contributing to COVID-19 relief efforts
through its Saks Fifth Avenue Foundation. The Foundation usually
focuses its aid on making mental health a priority in every community,
and now will make an emergency grant of 600 thousand dollars to
support patient care address urgent mental health needs in response to
the pandemic.

“Now is the time to stand together to support our community, our
customers and all those affected both physically and mentally by the
COVID-19 pandemic,” said Marc Metrick, president of Saks Fifth Avenue,
said in a statement. “Whether it’s medical workers on the frontlines,
hospitals that require more essential supplies and resources, or those
experiencing stress or anxiety about the virus, we know donations
through the Saks Fifth Avenue Foundation will provide vital relief to
those in need during this challenging and uncertain time.”

The Foundation’s donation will go to three organizations:
NewYork-Presbyterian, Bring Change to Mind and Girls Inc. Each has
reported an increased need for services and resources to do their
work.

The NewYork-Presbyterian COVID-19 Patient Care Fund will receive
250 thousand dollars of Saks’ contribution. This will go towards
general patient care needs, such as the purchase of ventilators and
personal protective equipment, as well as hiring additional clinical
staff.

Bring Change to Mind will receive 200 thousand dollars from Saks,
which it will use to create virtual programs for high school students
during this time of isolation, in order to keep students connected and
supported.

The remainder of Saks’ donation will go to Girls Inc. The
organization will expand its virtual resources to provide programming
to girls in the absence of its in-person program, and offer resources
for social and emotional support for girls affected by the
pandemic.

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China takes EU to WTO

China takes EU to WTO

Beijing takes dispute over footwear duties to international trade body.

By

2/4/10, 9:50 AM CET

Updated 4/12/14, 7:02 PM CET

China has complained to the World Trade Organization (WTO) about anti-dumping duties that the EU has imposed on some imports of leather footwear from China and Vietnam.

The complaint will set in motion a consultative process under the aegis of the WTO, which supervises international trade. Consultations are the first step in the WTO’s trade-dispute settlement procedure.

The anti-dumping tariffs – 16.5% in the case of China and 10% for Vietnam – apply to leather shoes for adults. Children’s shoes and sports shoes are exempt.

The tariffs were introduced in 2006 and, at the recommendation of the European Commission, EU member states in December extended them for 15 months, starting in January.

This is only the second time that China has taken the EU to the WTO over anti-dumping measures. Last year, China initiated a procedure over EU anti-dumping tariffs on imports of iron and steel fasteners from China.

A spokesperson for the Commission said that it had “scrupulously followed the terms of the WTO Anti-Dumping Agreement and the applicable Community rules in that respect”.

He said that the measures had been taken in order to fight unfair trade practices and that there was “clear evidence” that Chinese products had been dumped on EU markets.

Authors:
Toby Vogel