Attention ! Faire dormir votre bébé dans un siège auto peut être dangereux

L’American Academy of Pediatrics recommande aux parents d’éviter de laisser leur bébé dormir dans des dispositifs destinés à laisser l’enfant assis (et non allongé), comme les transats ou encore les sièges-auto. Une nouvelle étude parue dans vient de montrer que l’usage d’un siège-auto en dehors du contexte de voyage accentuait le risque de mort subite du nourrisson.

Sommaire

  1. Les sièges-auto ne doivent être utilisés que dans un contexte de voyage
  2. Un risque réel mais des causes mal identifiées

Chaque année, plusieurs milliers d’enfants meurent dans des dispositifs destinés à les maintenir assis, comme les transats ou les sièges-auto. C ’est pour cette raison que l’American Academy of Pediatrics recommande aux parents de ne pas utiliser ces dispositifs pour faire dormir leur nourrisson. Les sièges-auto ne doivent être utilisés que dans un contexte de voyageSi l’usage d’un siège-auto est recommandé en voiture, il semblerait que de nombreux parents l’utilisent également comme alternative au berceau une fois à la maison. Selon une étude publié dans 

Pediatrics, 2/3 des cas de 

morts subite du nourrisson dans un dispositif d’assisse interviennent dans 

un siège-auto.En analysant les données du

National Center for Fatality Review and Prevention entre 2004 et 2014, les chercheurs ont mis en avant le fait que, sur les 11 779 morts d’enfants, 348 (3%) avaient eu lieu dans des dispositifs d’assise dont 62,9% dans un siège auto. Dans moins de 10% des cas, le siège-auto avait été utilisé en voiture ; plus de la moitié des morts d’enfants dans les sièges auto a eu lieu au domicile de l’enfant.L’étude a également mis en avant le fait que les morts d’enfants dans des sièges auto ont, plus souvent que dans les autres cas, eu lieu sous la surveillance d’un baby-sitter et non de celle des parents.Un risque réel mais des causes mal identifiéesSelon l’auteur de l’étude, Dr Jeffery Colvin, “la raison pour laquelle les siège-auto sont dangereux lorsqu’ils sont utilisés pour faire dormir l’enfant en dehors de la voiture n’est pas complètement claire. Un berceau ou un lit pour enfant est plus sécure parce que c’est plus plat et qu’il n’y a pas de ceinture pouvant potentiellement étrangler ou étouffer l’enfant.” Mais, selon le chercheur,  les parents ne doivent “absolument pas” s’inquiéter lorsqu’ils utilisent un siège-auto en voiture.

On a trouvé la limite de l'endurance humaine

Des chercheurs américains ont estimé une limite physiologique absolue à l’endurance humaine après avoir étudié les performances d’athlètes de divers sports, dont les coureurs de la course la plus extrême de la planète, 5.000 km aux Etats-Unis pendant cinq mois.

La limite de l'endurance est mesurée en fonction du métabolisme de base, qui est l'énergie minimum (en calories) dépensée par le corps pour faire fonctionner l'organisme chaque minute.

Les calculs sont un peu techniques mais l’étude, publiée mercredi par la revue

Science Advances, met le doigt sur une qualité unique des humains parmi les primates: leur endurance extraordinaire, héritage probable des chasseurs-cueilleurs depuis deux millions d’années. Aucun singe ne peut rivaliser avec un humain sur une longue durée.La limite de l’endurance est mesurée en fonction du métabolisme de base, qui est l’énergie minimum (en calories) dépensée par le corps pour faire fonctionner l’organisme chaque minute.Cette limite est d’environ 2,5 fois ce métabolisme de base, conclut l’équipe de scientifiques menée par Herman Pontzer, de l’université Duke (Caroline du Nord).Dans des performances sportives “courtes” –des courses allant de quelques heures à quelques semaines, comme un triathlon, un marathon ou le Tour de France– les sportifs pourront augmenter leur métabolisme à cinq ou dix fois leur métabolisme de base.Mais au bout d’un moment, la performance va forcément redescendre vers une limite de trois environ, expliquent les chercheurs. Impossible pour des humains de garder un régime supérieur au-delà de quelques semaines.Pour parvenir à ce chiffre, ils ont suivi cinq coureurs et une coureuse de l’extrême, participants de la Race Across the USA de janvier à juin 2015: 4.957 km entre Los Angeles et la capitale Washington, soit l’équivalent d’un marathon par jour, six jours par semaine pendant 20 semaines.”Même ces coureurs finissent par dépenser plus de calories qu’ils n’arrivent à en remettre dans leurs corps“, explique Herman Pontzer à l’AFP. “Tous ces gens perdent du poids, ils brûlent plus de carburant qu’ils n’arrivent à en remettre“.”Quel est le point auquel on arrive à absorber autant de calories qu’on en perd chaque jour ? C’est 2,5 fois le métabolisme de base. Environ 4.000 calories“, dit le chercheur. Fous d’humainsLes fous de la “Course à travers les Etats-Unis” consommaient huit litres d’eau par jour dans la première semaine, et 6.000 calories par jour.Mais ils ont continué à perdre du poids jusqu’à la fin, sans jamais trouver l’équilibre.”Vous ne pouvez pas absorber plus de 4.000 calories par jour“, poursuit Herman Pontzer. “Vous pouvez en consommer plus que cela, mais vous perdrez du poids tous les jours. Cela ne pourra donc pas durer pour toujours. Vous pouvez le faire quelques jours, quelques semaines, mais pas à l’infini“.Selon lui et ses collègues, la limite est liée aux fonctions digestives des humains, et non aux muscles ou au système vasculaire, car c’est in fine le plus petit dénominateur commun de toutes les activités étudiées : cyclisme, course à pied et triathlon font appel à des muscles différents, mais évidemment le même système digestif.Si les humains sont les meilleurs primates, d’autres animaux sont candidats à des endurances supérieures, comme les oiseaux migrateurs. Mais ce n’est pas aussi bien étudié.Et Herman Pontzer relève une différence entre humains et animaux : “Les autres animaux sont trop intelligents pour faire des choses aussi folles que ce que font les humains“.Click Here: geelong cats guernsey 2019

Travailler plus de 10 heures par jour de façon prolongée expose au risque d'AVC

Travailler plus de dix heures par jour de façon prolongée, au moins cinquante jours par an, est associé à un risque d’AVC supérieur à celui encouru en travaillant moins, selon une étude.

Le risque de survenu d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) apparaît doublé chez ceux qui ont été exposés pendant au moins dix ans à un travail prolongé, selon l'étude parue jeudi.

Le risque de survenu d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) apparaît doublé chez ceux qui ont été exposés pendant au moins dix ans à un travail prolongé, selon l’étude parue jeudi dans le journal spécialisé Stroke, revue de l’American Heart Association.L’étude sur l’association entre temps de travail prolongé et risque d’AVC a été réalisée par une équipe française de l’hôpital Raymond-Poincaré (AP-HP à Garches, dans les Hauts-de-Seine), des universités de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines et de Paris-Saclay (région parisienne) avec l’Inserm. Ce travail s’appuie sur les données de la cohorte française Constances (sur l’âge, le sexe, le temps de travail et le fait de fumer ou non) qui regroupe 200.000 personnes âgées de 18 à 69 ans consultant des centres d’examens de santé.Un entretien médical complémentaire a permis d’identifier d’autres

facteurs de risques cardiovasculaires et de précédents

AVC. Les personnes employées à temps partiel et celles qui avaient déjà eu un AVC avant d’avoir un temps de travail prolongé ont été exclues de l’étude.Sur les plus de 140.000 patients retenus, 0,9% ont rapporté un AVC, 29,6% (42.542) des temps de travail prolongés et 10,1% (14.481) des temps de travail prolongés sur plus de dix ans, indique l’Assistance Publique des hôpitaux de Paris dans un communiqué.La notion de temps de travail prolongé a été définie comme étant de dix heures minimum par jour pendant au moins 50 jours par an.Ainsi, le temps de travail prolongé a été associé à un risque de survenue d’AVC 29% plus important dans la population concernée que dans celle travaillant moins, selon l’AP-HP.”Etre exposé à un temps de travail prolongé sur dix ans minimum est fortement corrélé à la survenue d’AVC, avec un risque doublé dans cette population par rapport à celle travaillant moins“.L’association est plus significative chez les moins de 50 ans après prise en compte des facteurs de risque habituels, remarquent les chercheurs qui n’ont relevé aucune différence entre les femmes et les hommes.L’étude ne permet pas de conclure à un lien de causalité. Néanmoins, elle montre “une association significative” entre risque de survenue d’AVC et temps de travail prolongé sur une période égale ou supérieure à dix ans et confirme ainsi les conclusions d’une méta-analyse (analyse d’une série d’études, ndlr), publiée en 2015 dans la revue médicale The Lancet, sur l’excès de risque d’AVC lié à un travail prolongé.Les nouveaux résultats pourront être utilisés pour la “prévention individuelle et globale”, notent les auteurs même s’ils “devront être approfondis par des études complémentaires”.Click Here: Cardiff Blues Store

Chlamydia : de premiers résultats encourageants dans la quête d'un vaccin

Les femmes pourront-elles un jour se vacciner contre l’infection à chlamydia, maladie sexuellement transmissible courante qui rend parfois stérile ? Des travaux préliminaires sur un vaccin ont donné des résultats encourageants, même si le chemin est encore long, selon une étude publiée mardi.

Sommaire

  1. L’infection à chlamydia, fréquente et potentiellement grave 
  2. “Le besoin d’un vaccin est réel”

Publiés dans la revue The Lancet Infectious Diseases, ces travaux montrent qu’un vaccin en cours d’élaboration est “sûr et capable de provoquer une réponse immunitaire“.Mais même si ces éléments sont “encourageants“, on n’en est encore qu’à un stade très préliminaire : d’autres recherches seront en effet nécessaires “pour déterminer si la réponse immunitaire provoquée protège efficacement contre l’infection à chlamydia“, selon l’étude.L’infection à chlamydia, fréquente et potentiellement grave Il s’agit du premier vaccin contre cette infection bactérienne à être testé dans le cadre d’un essai clinique (il en est à la phase 1, le stade le plus préliminaire).Chaque année, 131 millions de personnes dans le monde contractent une infection à la bactérie chlamydia, selon des estimations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces estimations pourraient être en-dessous de la réalité, car quelque 70% des femmes infectées ne ressentent aucun symptôme et ignorent qu’elles ont contracté cette infection sexuellement transmissible (IST).Elle est plus fréquente chez les femmes de 18 à 25 ans que chez les hommes du même âge. Chez les femmes, elle peut entraîner des complications sévères, parmi lesquelles des inflammations pelviennes, des grossesses extra-utérines voire la stérilité.En outre, elle augmente les risques de contracter d’autres IST, comme la gonorrhée ou l’infection au VIH, le virus du sida.”Le besoin d’un vaccin est réel”L’infection à la bactérie chlamydia peut être soignée grâce à un traitement antibiotique. Mais “vu l’impact de cette épidémie sur la santé des femmes, sur la santé reproductive, sur la santé des enfants en cas de transmission (…), le besoin d’un vaccin est réel“, estime l’un des auteurs de l’étude, le professeur Peter Andersen, de l’institut de recherche danois Statens Serum Institut.Les chercheurs ont mené l’étude sur 35 femmes qui n’avaient pas été infectées par la chlamydia, en utilisant deux formulations différentes du vaccin.Quinze femmes ont reçu l’une de ces formulations (administrée en cinq fois, par piqûres dans le bras puis vaporisations dans le nez), quinze autres ont reçu la seconde (également en cinq fois), et les cinq dernières ont reçu un placebo.Les deux formulations du vaccin ont provoqué une réponse immunitaire (c’est-à-dire la production d’anticorps) chez toutes les femmes testées.Pour autant, les performances de la première formulation étaient meilleures car elle a permis de produire davantage d’anticorps. C’est donc elle qui a été choisie pour la suite des recherches.”Bien que de nombreuses années supplémentaires de recherche soient nécessaires, nous prévoyons de passer au prochain state, l’étude clinique de phase 2“, a expliqué l’une des scientifiques, Helene B. Juel.Click Here: All Blacks Rugby Jersey

Moustique tigre : 9 nouveaux départements en vigilance rouge

Le nouveau bilan des données de surveillance du moustique tigre de Santé Publique France annonce 9 nouveaux départements en vigilance orange.

Ce n’est pas parce que l’été touche à sa fin que les moustiques tigres, eux, prennent des vacances bien au contraire ! La publication des dernières données de surveillance du

moustique tigre par Santé publique France, le 2 septembre, révèle 9 nouveaux départements en alerte rouge. Désormais la totalité de l’Ile-De-France est concernée. Voici les 9 nouveaux départements : Ain, Aisne, Alpes de Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardèche, Ariège, Aude, Aveyron, Bas-Rhin, Bouches du Rhône, Charente Maritime, Corrèze, Corse du Sud, Côte d’Or, Dordogne, Drôme, Essonne, Gard, Gers, Gironde, Haute-Corse, Haute-Garonne, Hautes-Alpes, Hautes-Pyrénées, Haut-Rhin, Hauts-de-Seine, Hérault, Indre, Isère, Landes, Loire, Lot, Lot-et-Garonne, Lozère, Maine-et-Loire, Nièvre, Paris, Puy-de-Dôme, Pyrénées-Atlantiques, Pyrénées-Orientales, Rhône, Saône-et-Loire, Savoie, Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis, Tarn, Tarn-et-Garonne, Val-de-Marne, Var, Vaucluse, Vendée.Chikungunya, Dengue, Zika… la plupart des cas en Ile-de-FranceLes données sont recueillies du 1er mai au 30 novembre chaque année depuis l’implantation du moustique tigre en France, elles comprennent notamment le nombre de cas de Dengue,

Chikungunya et virus Zika transmis par le moustique tigre, Aedes albopictus de son nom scientifique. Pour l’instant jusqu’au 30 août 2019, 362 cas de dengue, 36 de Chikungunya et 4 cas de virus Zika ont été importés depuis l’ile de la Réunion où sévit actuellement une épidémie de grande ampleur. Parmi ces cas, 112 cas de dengue, 13 de Chikungya et 1 de virus Zika se concentrent uniquement dans la région Ile-de-France ce qui explique la vigilance particulière appliquée dans cette zone de l’Hexagone. A noter également “qu’il n’y a désormais plus de départements en simple veille sanitaire. Tous les départements qui ne sont ni en vigilance orange, ni en vigilance rouge passent en vigilance jaune, ce qui signifie qu’ils sont en veille entomologique” révèle Vigilance Moustique.Click Here: Putters

COP24. Pucerons, méduses, tiques… Ces bestioles qui profiteront de la hausse des températures

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Alors que s’ouvre dimanche 2 décembre la COP24 en Pologne avec, au cœur des négociations, la lutte contre le réchauffement climatique, nombre de scientifiques s’alarment de l’effondrement de la biodiversité et la disparition de milliers d’espèces. Si certaines d’entre elles sont vouées à disparaître avec la hausse des températures, d’autres pourraient y trouver une sacrée opportunité.Des pucerons voracesIl faudra d’abord compter sur une variété plus importante d’insectes, qui seront en outre plus voraces. Une hausse de 2 degrés pourrait ainsi, si l’on en croit une étude publiée le 31 août 2018 dans la revue Science, favoriser le développement d’un certain nombre de ravageurs à l’appétit plus solide : leur métabolisme, selon les chercheurs de l’université de Washington, du Colorado, et de Stanford, auteurs de l’étude, s’accélère en effet alors que les températures augmentent. Ils se reproduiraient par ailleurs plus rapidement. Parmi les grands gagnants, le puceron russe du blé, petit insecte vert de moins de deux millimètres qui se régale de blé et d’orge, et a la particularité de se reproduire à une vitesse ahurissante : un puceron femelle naît déjà porteuse de ses filles, lesquelles sont elles-mêmes enceintes…  Des moustiques et des mouchesLes hivers plus tempérés et les étés plus chauds sont en effet une aubaine pour la prolifération des mouches et des moustiques, qui auront survécu aux vagues de froid hivernales. Sans compter que le réchauffement climatique avance leur cycle de reproduction au printemps. Parmi les volants, citons Drosophila suzukii, une mouche originaire du Sud-Est de l’Asie, qui s’attaque aux pommes : avec le réchauffement global de la planète, on l’a vue quitter son Asie natale pour s’établir, par exemple en Italie et en Espagne. Chez ces insectes qui ont quitté ou agrandi leur aire de répartition initiale, les variations climatiques ont par ailleurs favorisé de rapides changements génétiques, dont leur résistance au froid. Dans le cas des mouches, notons qu’à l’état larvaire, ces dernières sont assez peu résistantes aux vagues de chaleur : un écart de cinq degrés provoque chez les populations étudiées une significative baisse de leur fertilité.Davantage de tiquesArthropode honni des randonneurs, à qui elle peut transmettre la maladie de Lyme après leur avoir sucé le sang, la tique pourrait profiter elle aussi des hausses des températures. Les Ixodes Ricinus rencontrées en France sont en effet actives dès sept degrés, mais pas en dessous. Avec des hivers plus doux, elles pourraient donc proliférer et sévir toute l’année durant.De longues processions de poils urticantsRedoutée pour les brûlures que provoquent sur la peau ses poils urticants, la chenille processionnaire gagne encore du terrain, et pourrait déjà commencer sa conquête de Paris. Il y a dix ans, l’insecte perdait lors des hivers les quelques kilomètres qu’il avait gagnés. Avec l’adoucissement des températures, on le voit avancer au nord à raison de quelque quatre kilomètres par an, là où il se cantonnait à la frontière nord de la Loire. On le retrouve désormais dans le Massif central, les Pyrénées et les Alpes, autrefois épargnés.De dangereuses médusesDans les océans, le réchauffement climatique, en plus de modifier la température des eaux, modifie aussi les courants, emportant ainsi vers de nouveaux ailleurs des espèces autrefois inconnues. C’est le cas de la méduse à crinière de lion, qui évoluait dans les eaux glacées antarctiques et scandinaves, et que l’on retrouve désormais en Irlande et au Pays de Galles. Avec ses deux mètres de diamètre, c’est la plus grosse méduse connue à ce jour. Elle est aussi l’une des plus redoutées sous nos latitudes : ses filaments, longs d’une trentaine de mètres, provoquent de sévères irritations, parfois des crampes, et, dans certains cas, un arrêt respiratoire.Des espèces hybrides pourraient voir le jourCertaines espèces, confrontées à une modification de leur habitat, pourraient migrer sur d’autres territoires et rencontrer d’autres espèces, avec lesquelles elles pourraient, sous certaines conditions, se reproduire. Parmi les espèces notablement concernées, les phoques, baleines et ours, qui fuient leur habitat devenu trop chaud pour des glaces plus propices. Éventuellement amusante pour le lecteur, cette perspective est inquiétante pour la survie de ces espèces : si l’accouplement entre espèces proches est possible, les animaux issus de ces croisements sont souvent infertiles, ou génétiquement fragilisés.ECOUTEZ LE PODCAST DE RADIO FRANCE “AGIR POUR MA PLANÈTE” :A l’occasion de la COP24, retrouvez toutes les émissions et les chroniques sur le changement climatique, par les antennes de Radio France. Quel est l’impact du réchauffement climatique sur l’environnement ? Quels dangers, quelles solutions ? A retrouver sur iTunes, sur Deezer ou en fil RSS.Click Here: New Zealand rugby store

#MoisSansTabac : inscrivez-vous dès maintenant pour multiplier par 5 vos chances d’arrêter

Le 1er octobre marque l’ouverture des inscriptions pour la 4ème édition de #MoisSansTabac, qui se déroulera en novembre prochain, à l’initiative du Ministère de la Santé et de Santé publique France. L’occasion de rappeler les bénéfices de 30 jours de sevrage tabagique.

Sommaire

  1. Un “défi collectif”
  2. Bien se préparer au #MoisSansTabac
  3. Le tabac tue 75 000 personnes chaque année en France

En novembre, on arrête ensemble” : c’est l’objectif fixé par le Ministère de la Santé et Santé publique France, en partenariat avec l’Assurance Maladie, qui organisent pour la quatrième année consécutive le

#MoisSansTabac. Les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes pour les fumeurs qui souhaitent bénéficier d’un “accompagnement au

sevrage tabagique, jour après jour”, afin de se préparer dès maintenant à la réussite de ce défi.Un “défi collectif”Un défi “collectif” qu’ont accepté de relever plus de 580 000 personnes depuis 2016. En s’inscrivant via la

plateforme dédiée, les participants pourront profiter gratuitement d’un kit d’aide à l’arrêt, d’un accompagnement par mail et via l’application e-coaching ou encore d’un suivi téléphonique assuré par des tabacologues en composant le 39 89. Les proches, qui “peuvent être d’une grande aide face à ce changement de vie”,

peuvent également participer et sont invités à afficher leur soutien au travers de messages postés sur les réseaux sociaux. Et les bénéfices sont avérés : selon les initiateurs, “un sevrage tabagique de 30 jours multiplie par 5 les chances d’arrêter de fumer définitivement”, un mois sans tabac suffisant à “diminuer largement la dépendance et les symptômes de manque (nervosité, irritabilité)”.

Bien se préparer au #MoisSansTabacPour se préparer au défi #MoisSansTabac, les tabacologues conseillent ainsi de :

  • Choisir sa stratégie : le fumeur peut avoir recours à plusieurs méthodes pour

    arrêter de fumer de manière confortable. A lui de choisir celles qui seront les plus adaptées à son rapport au tabac et à sa façon de vivre. Les traitements adaptés au niveau de dépendance et le recours à un accompagnement par un professionnel sont des méthodes qui ont été évaluées et qui ont prouvé leur efficacité.

  • Prévenir son entourage : pouvoir compter sur ses proches face à ce changement de vie peut être d’une grande aide. Il peut être ainsi très utile de les informer de cette démarche et de s’assurer de leur soutien.
  • Préparer son domicile : avant sa date d’arrêt, jeter ses briquets, ses cendriers, tout ce qui pourrait rappeler le tabac !

Le tabac tue 75 000 personnes chaque année en FranceRappelons que le tabac reste la première cause de mortalité évitable :

cancers,

maladies cardiovasculaires,

pathologies pulmonaires… Chaque année, en France, il est responsable de 75 000 décès. 

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Etats-Unis : les overdoses réduisent l'espérance de vie, comme le sida en 1993

Les overdoses ont précipité la première baisse majeure d’espérance de vie aux Etats-Unis depuis l’épidémie du sida au début des années 1990, selon des statistiques publiées mercredi. Les Américains ont perdu près de quatre mois d’espérance de vie depuis 2014.

Les overdoses, mais aussi les suicides et la hausse du nombre de morts de la maladie d'Alzheimer, sont responsables de l'érosion de l'espérance de vie, qui est beaucoup plus marquée chez les hommes que chez les femmes.

C’est la première grande baisse depuis 1993, à l’époque c’était principalement dû à l’épidémie du virus du sida“, dit à l’AFP l’autrice principale du rapport, Renee Gindi, statisticienne du Centre national des statistiques de santé (NCHS).Un Américain né en 2017 pouvait espérer vivre 78,6 ans en moyenne, contre 78,9 ans en 2014, selon ce rapport qui confirme des chiffres publiés auparavant. Cela se traduit par près de quatre mois de moins.C’est certes bien plus élevé qu’à aucune autre période de l’Histoire. Jusqu’aux années 1960, l’espérance de vie était inférieure à 70 ans.Mais la récente baisse illustre l’urgence de santé publique créée par les drogues et les

opiacés, a fortiori les opiacés de synthèse, comme le fentanyl, dont quelques milligrammes, saupoudrés dans des comprimés imitant des médicaments et facilement envoyés par un vendeur dans une enveloppe, suffisent à tuer. 32.000 personnes en sont mortes l’an dernier, selon des chiffres provisoires.Les Etats-Unis sont au 28e rang des pays de l’OCDE pour l’espérance de vie. La différence est de quatre années avec la France (82.6 ans).Les overdoses, mais aussi les suicides et la hausse du nombre de morts de la maladie d’Alzheimer, sont responsables de l’érosion de l’espérance de vie, qui est beaucoup plus marquée chez les hommes que chez les femmes.Entre les années 1992 et 1993, au pic de l’épidémie du sida, l’espérance de vie avait brusquement baissé, de l’équivalent de ce qu’on a observé dans le pays ces dernières années.A l’époque, dit Renee Gindi, “ce fut retentissant, cela montra qu’il fallait s’occuper d’un problème qui, comme aujourd’hui, tuait des gens dans les groupes d’âges plus jeunes“.Inégalités racialesLes overdoses touchent tous les groupes d’âge, mais les plus touchés sont les 25 à 44 ans.En 2018, le nombre d’overdoses semblait se stabiliser aux Etats-Unis, selon des chiffres distincts et préliminaires publiés récemment par les Centres de contrôle et de prévention des maladies.Le chiffre exact de l’espérance de vie aux Etats-Unis pour l’année 2018 sera publié en novembre.Le gouvernement américain compile des statistiques détaillées par “race” ou “origine”, et les inégalités restent criantes, hier comme aujourd’hui.Les Noirs (74,9 ans) vivent trois ans et demi de moins que les Blancs (78,5 ans) et près de sept ans de moins que les Hispaniques ou Latinos (81,8 ans). Le “paradoxe hispanique” est que ces populations vivent plus longtemps, malgré un niveau socioéconomique plus bas que celui des Américains blancs. Des chercheurs ont suggéré que ce pourrait être lié à l’immigration, qui sélectionnerait les individus en meilleure santé.Le rapport publié mercredi fait le point tous les ans sur les tendances de santé de long terme de la nation américaine.On y apprend par exemple que le nombre d’Américains vivant sans couverture maladie, après avoir baissé fortement durant le mandat de Barack Obama, est reparti à la hausse depuis 2016, l’année précédant l’arrivée au pouvoir du républicain Donald Trump. En 2018, 13,3% des adultes américains et 5,2% des mineurs étaient non assurés.On observe aussi que depuis une quinzaine d’années, un Américain sur dix prend au moins cinq médicaments sur ordonnance; il s’agit principalement des sexagénaires et plus âgés. Mais parmi les 45-64 ans, les deux tiers prennent désormais au moins un médicament.Click Here: cheap all stars rugby jersey

Le box-office détient toujours “La Vérité” !

“La Vérité si je mens 3” reste en tête du box-office français pour la troisième semaine consécutive avec plus de 740 000 nouveaux spectateurs et un cumul de 3,7 millions d’entrées.

Le box-office détient la vérité pour la troisième semaine consécutive. Avec plus de 740 000 nouveaux spectateurs, La Vérité si je mens ! 3 reste en tête du box-office français et cumul 3,7 millions d’entrées. Le film d’aventure Voyage au centre de la Terre 2 : L’île mystérieuse, emmené par Dwayne Johnson, débute sa carrière dans l’hexagone en attirant près de 434 000 spectateurs. Le podium est complété par le film d’animation Zarafa qui, avec près de 305 000 nouveaux billets vendus, cumule 560 000 entrées. Au quatrième rang, Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres dépasse la barre des 2 millions d’entrées. A noter enfin les démarrages modestes de Ghost Rider : L’Esprit de Vengeance, La Dame de fer et La Vie d’une autre, respectivement crédités de 276 000, 238 000 et 179 000 entrées.

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Clément Cuyer avec CBO Box Office

CCTV Visuals Of Delhi Photographer Killed By Lover’s Family Emerges, Shows Him Making Frantic Phone Calls

Security camera visuals from the spot where a 23-year-old photographer was stabbed to death by the family of his alleged lover last week in Delhi has now surfaced.

The CCTV footage, dated February 1, showing Ankit’s last few minutes before he was attacked. In the video, Ankit is seen wearing a leather jacket, making frantic phone calls.

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