VIDEO. Ryanair critiqué pour ne pas avoir expulsé de l’un de ses vols un passager qui avait proféré des insultes racistes

Des paroles d’une extrême violence. Une vidéo montrant un passager proférant des insultes racistes à l’encontre d’une passagère d’un vol Barcelone-Londres de Ryanair suscite des commentaires outragés sur les réseaux sociaux. La scène a été filmée par un autre passager, David Lawrence, avant le décollage du vol, vendredi 19 octobre. Il a ensuite posté la vidéo sur ses réseaux sociaux, où elle a par exemple été vue plus de 5 millions de fois sur Facebook, lundi à 18 heures.Sur ses images, on peut voir un homme blanc, plutôt âgé, assis près d’un hublot, se disputer violemment avec une dame noire assise à côté de lui. Il lui ordonne de changer de place et lui lance des injures racistes à deux reprises (“mocheté de bâtarde noire”). Une autre femme, présentée par la presse britannique comme la fille de la dame, intervient, criant à l’homme d’arrêter ses invectives : “Ne pensez même pas lui crier dessus ! Taisez-vous !” Ryanair assure avoir prévenu la policeUn steward de Ryanair et un passager assis derrière eux essaient de calmer la situation, sans grand succès. “Si vous ne changez pas de siège, c’est moi qui vais vous en faire changer”, s’exclame par exemple le passager. Finalement, le steward change la passagère de place et prévient l’homme qu’il va alerter son “supérieur”. Lorsque la vidéo s’arrête, le passager est toujours à bord.De nombreux internautes ont critiqué la réaction de la compagnie aérienne, estimant qu’elle aurait dû expulser l’homme de l’avion plutôt que de changer la victime de place.This elderly black woman should have never been MOVED. He should have been kicked off the flight.Salute the brother that stood up. HEROAlso, I’m a Muslim trying to change the world one friend at a time. Follow me ❤️ — StanceGrounded (@_SJPeace_) 20 octobre 2018

La compagnie a réagi par un tweet, dimanche, dans lequel elle dit être “au courant” de cette vidéo et avoir “confié cette affaire à la police de l’Essex”, le comté de l’aéroport de destination de l’avion, Londres Stansted.Click Here: cheap all stars rugby jersey

Cancer du côlon : le dépistage précoce permet de guérir 9 cas sur 10

Le cancer du côlon tue chaque année plus de 18 000 personnes en France. Or, dans 9 cas sur 10, ce cancer, détecté à un stade précoce, pourrait être guéri.Pour sensibiliser le grand public, une campagne d’informations et de dépistage sera lancée le 1er mars 2017 par l’institut du cancer. Mobilisation du 7 au 14 mars lors de la campagne Colon Days à l’initiative du Conseil national professionnel d’hépato-gastrorntérologie (CNP-HGE).

Réalisé à la maison, le test immunologique de dépistage est disponible via le médecin.

Profiter de Mars Bleu et au-delà pour se faire dépisterDans le cadre de Mars Bleu, mois du dépistage, et de la Journée nationale de la prévention du

cancer colorectal le 1er mars, les gastro-entérologues proposent des dépistages gratuits dans les cabinets, cliniques et hôpitaux.

Le dépistage organisé du cancer du côlon  est aujourd’hui  proposé en France chez les patients à risque moyen de cancer colorectal (80 % des cas), c’est-à-dire, aux personnes âgées de plus de 50 ans, sans histoire familiale, ni antécédents personnels de cancer colorectal ou d’adénome (

polype) et ne présentant pas de symptôme évocateur.Dans le cadre de la campagne “Attention, vous êtes peut-être assis sur un cancer“, les gastro-entérologues souhaitent mettre en avant un récent dispositif de dépistage, présenté en mai 2015 par la ministre de la santé Marisol Touraine.Un test immunologique à domicile

Ce test immunologique , disponible via un médecin, vise à déceler la présence de traces de sang humain dans les selles, généralement invisibles à l’oeil nu. Ce test récent, simple, rapide et efficace est à faire chez soi. Moins contraignant, il permet de détecter sur un seul échantillon 2 à 2,5 fois plus de cancers et 3 à 4 fois plus d’adénomes avancés (lésion précancéreuse) que le test précédent. Remboursé à 100 % par l’assurance maladie, le test est à renouveler tous les 2 ans.Pour mieux faire connaître ce nouveau test auprès des Français, la ligue contre le cancer organise un “côlon Tour“ qui traversera 160 villes du 25 février au 17 octobre 2016.Une coloscopie avant 50 ans en cas d’antécédentsEn cas d’antécédent personnel, familial de cancer colorectal ou de

maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), les médecins conseillent vivement de faire une

coloscopie de prévention dont le but n’est pas de dépister un cancer, mais d’éviter de déclarer la maladie. Ces personnes présentent 1,5 à 10 fois plus de risques de développer un cancer colorectal que celles à risque moyen.L’examen, réalisé sous anesthésie générale, permet de vérifier l’intérieur de la paroi du côlon et de détecter la présence de polypes (tumeurs bégnines) qui peuvent être retirés à cette occasion. Souvent redouté par les patients, les médecins insistent sur sa grande efficacité en réduisant le risque de cancer de 70 à 90 %.La maladie touche 42.000 personnes chaque année en France. Pour trouver un centre près de chez soi :

www.colon-day.fr

Autisme : la maladie détectée par prise de sang grâce à un algorithme

Des chercheurs américains ont réussi à dépister les troubles du spectre de l’autisme (TSA) par une prise de sang, en utilisant un algorithme mathématique, capable de traiter l’association de plusieurs molécules impliquées dans la maladie. Une première, qui ouvre la voie au dépistage précoce de ce trouble du comportement qui touche 650.000 personnes en France. Ces travaux sont publiés dans la revue .

Les troubles du spectre de l'autisme (TSA) peuvent être détectés par une prise de sang, en utilisant un algorithme mathématique.

Une méthode fiable à 97 %Cet algorithme qui scanne 24 molécules sanguines peut prédire de manière fiable, dans près de 97 % des cas, si une personne souffre d’

autisme et à quel degré, indique une étude menée par l’Institut polytechnique Rensselaer de New York, spécialisé dans les domaines de la science et de la technologie.Jusqu’à présent, les études portant sur le diagnostic de l’autisme par voie sanguine ont découvert de manière isolée un biomarqueur, un métabolite ou un gène qui identifiait la maladie, mais de manière non significative, souligne l’étude.Une méthode pour comprendre les phénomènes biologiquesL’algorithme développé ici par les chercheurs repose sur des données mathématiques et statistiques récoltées à partir d’échantillons sanguins de 149 patients (dont la moitié de sujets sains), qui permettent de comprendre et analyser les phénomènes biologiques. Concrètement, le mécanisme a étudié de manière précise les interactions des molécules entre elles et leur action sur la cellule.Deux processus biologiques liés à la maladie ont été mis en évidence : la modification de l’

ADN et la réduction de la production d’un puissant antioxydant le glutathion, qui diminue le stress oxydatif.Un diagnostic et une intervention plus précocesCes travaux, publiés dans la revue Plos One, ouvrent la voie à un diagnostic plus précoce de la maladie, qui est actuellement posé à l’âge moyen de 4 ans.Une intervention précoce dès l’âge de 2 ans pour aider les parents à communiquer avec leur enfant autiste permettrait de diminuer les symptômes de l’autisme, avec des résultats qui persistent six ans après la fin de la prise en charge.Un nouveau-né sur 100 atteint de la maladieSelon l’association de parents

SOS Autisme, un nouveau-né sur 100 serait atteint de troubles du spectre de l’autisme (TSA) et “650 000 personnes, dont 250 000 enfants”, seraient concernées en France et environ 3 millions aux États-Unis.

Quatre cancers sur dix seraient évitables

Une nouvelle campagne, lancée ce mardi 5 septembre par l’Institut national du cancer (INCa) et le ministère de la Santé nous invite à prévenir notre risque de cancer en améliorant notre mode de vie. Outre l’hérédité et les facteurs environnementaux, 40% des cas seraient évitables en supprimant l’alcool et en adaptant nos choix nutritionnels, indique l’INCa dans un communiqué.

Sommaire

  1. Manger plus de fibres
  2. Privilégier les antioxydants
  3. Faire 30 minutes de sport par jour

Sur les 355 000 cancers diagnostiqués chaque année en France, environ 140 000 pourraient être évités, soit environ 40 % des cas, indique l’Institut national du cancer (INCa) qui lance ce mardi 5 septembre une nouvelle campagne de prévention en partenariat avec le ministère de la Santé.80 % des cancers de l’œsophage, 20 % des cancers du côlon et 17 % des

cancers du sein sont dus à la consommation d’alcool en France, qui fait plus de 15 000 décès chaque année. Consommer de l’alcool augmente “fortement le risque de développer les cancers de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’

œsophage, du

côlon-rectum, du sein et du

foie“.

Cette campagne de sensibilisation est l’occasion de rappeler que l’

alimentation est, elle aussi, déterminante dans la prévention des risques du cancer. Près d’un quart (20 à 25%) des cancers sont attribuables aux facteurs nutritionnels, selon l’INCa.La consommation de fruits, de légumes (non féculents), légumineuses (lentilles, haricots secs) et de fibres alimentaires diminue les risques de plusieurs cancers notamment ceux de la bouche, de l’œsophage, du côlon et de l’estomac.

Manger plus de fibres”Il est conseillé d’intégrer dans son alimentation quotidienne les céréales complètes, pâtes complètes, pain complet, riz complet et autres céréales comme le quinoa ou le seigle pour leur apport quotidien en fibres, vitamines B ou minéraux notamment”, recommande l’Inca. Selon la dernière étude “INCA 3” de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), publiée le 12 juillet dernier, les quantités de

fibres absorbées par les adultes (20 g/j) en France demeurent trop faibles par rapport aux recommandations (30 g/j).Le surpoids augmente les risques de cancer Les graisses et notamment le surpoids sont un facteur de risque de presque tous les cancers (foie et pancréas surtout), car elles jouent sur les hormones. Par exemple, après la ménopause, les femmes qui prennent du poids ont un risque de cancer accru.


Par ailleurs, on sait aujourd’hui que la

charcuterie et la viande rouge augmentent le risque de cancer de l’intestin et de l’estomac, comme l’indiquent les derniers rapports de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ils doivent rester des aliments plaisir à consommer à hauteur de 25 g par jour, selon les autorités sanitaires.Privilégier les antioxydantsAssocier des anti-oxydants (découvrez notre

liste d’aliments antioxydants) comme les fruits et les légumes diminuent cet effet aggravant, indiquait Marie-Christine Boutron-Ruault, directrice de recherche Inserm à l’Institut Gustave-Roussy, dans une interview donnée à Relaxnews le 4 février, à l’occasion de la journée mondiale du cancer. Faire 30 minutes de sport par jourEnfin, la prévention du cancer inclut une activité physique régulière : monter des escaliers, marcher, faire du vélo, nager…durant au moins 30 minutes par jour permet de se maintenir en forme et de diminuer le risque de plusieurs cancers.Là encore, les Français peuvent s’améliorer : un tiers des enfants et des adultes combinent inactivité physique et sédentarité, selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses).Click Here: West Coast Eagles Guernsey

“Millenium” : Rencontre avec Daniel Craig & Rooney Mara. [VIDEO]

“Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes”, l’adaptation du roman de Stieg Larsson par David Fincher sort ce mecredi 18 janvier sur nos écrans. Rencontre avec les comédiens Daniel Craig & Rooney Mara.

Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes, l’adaptation du roman de Stieg Larsson par David Fincher sort ce mecredi 18 janvier sur nos écrans. Rencontre avec les comédiens Daniel Craig & Rooney Mara.

Laëtitia Forhan

Motorsport’s heartfelt tributes pour in for Sir Stirling Moss

It’s a sad Easter weekend for the world of motorsport which mourns the passing of Sir Stirling Moss, one of the sport’s greatest heroes.

Moss’ legendary status in the sporting world at large never wavered since he was forced to retire retired from racing in 1962.

Needless to say, it’s been a steady stream of tributes since Sunday morning’s sad announcement, with a host of motorsport personalities from all horizons honoring Moss’ memory and life.

Click Here: essendon bombers guernsey 2019

Sir Stirling is survived by his third wife Susie and two children, son Elliot and daughter Allison.

— Mercedes-AMG F1 (@MercedesAMGF1) April 12, 2020

Freelancers in fashion during coronavirus crisis: Hair and Makeup Artist

Due to the ongoing coronavirus pandemic, many people in the fashion
industry are currently unable to carry out their usual work. Freelancers
are also particularly affected.

FashionUnited has asked several of them – from a safe distance, of
course – what the current situation looks like for them and how they deal
with it. After the set, styling and model have already been set up, the
brushes are being swung today – it’s off to Sanne Schoofs for make-up.

editorial for Bad to the Bone Magazine. Photo by Petrovsky &
Ramone, Hair styling by Sanne Schoofs

The hair and make-up artist has been working as a freelancer for twelve
years. Schoofs works for fashion magazines such as Kaltblut or Enfnts
Terribles, has already made up techno star Charlotte de Witte for the cover
of the music magazine Mixmag and makes her own headgear for artistic
projects. In addition, there are occasional advertising campaigns. As an
independent artist she is not represented by an agency.

During the lockdown, Schoofs spends most of her time with her family in
her hometown of Brussels. If she does not keep her children happy, she
hides in her studio. What she does there, she told us in an interview.

Editorial for Schön! magazines. Photo by Annabelle Foucher, Hair
styling by Sanne Schoofs

What is the current coronavirus situation like for you?

Since lockdown, all shootings have been canceled: So there are no jobs
at the moment. Fortunately, my husband is still working.

I have two daughters, 8 and 10 years old. I spend a lot of time with them
right now and I really enjoy it. The lack of stress at school and at work
gives me the opportunity to make more of the day and use it more
actively.

However, I am also aware of what the situation is like for people in the
health sector or in the food industry. Among them are parents who cannot
offer their children this time. It must be difficult and stressful at the
same time. We are fortunate that no one in our country is ill and the
coronavirus therefore still seems “far away”.

image: Mask in progress (right) for Iris van Wees collection
(left, photo by Darren Smith)

What does your everyday life look like right now?

As in my “normal” life, I do not want to plan my days and weeks too
tightly: I see what each day brings.

In this situation, every shopping trip becomes a full-day excursion. I also
have my children and a household that keeps me busy every day. I would like
to have more time to spend in my studio.

I like designing masks: during a shooting I create them directly on the
model’s face. When I am alone, I design them from my mind and hope to use
them for a production one day. Right at the beginning of the lockdown I
started working on a mask, but the process is rather slow.

Im Atelier

How busy are you with the future right now?

My feeling is quite positive despite these circumstances – I am aware that
I am very lucky: I have my house, a garden and my family is in good health.
This situation varies greatly from person to person and situation to
situation.

Are you aware of any help measures for freelancers in the current
economic situation? Do you feel well informed or rather a little
helpless?

I am not a person who is quick to worry about job losses. In our sector you
never have the certainty of having a job, and for me it has always been
positive so far. I’ve been a freelancer for twelve years – but, I agree
that this time is different. It will be a long time before the shootings
can be organised as before.

Fortunately, there is a financial support from the government and it is not
complicated to apply for it. Of course it doesn’t cover the normal income,
but it’s better than getting nothing.

What is your current favorite distraction?

In this weather, sometimes it feels like a holiday: I do homework with the
kids and keep them busy. At the same time, I try to be creative in the
studio and prepare upcoming productions – that’s what my days off look like
the rest of the year.

Read more of the series:

  • This article was originally published on FashionUnited.DE, translated and edited to English.

    Photos: Sanne Schoofs

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    The Extraordinary Steps Dems May Use To Get Russia Probe Details

    WASHINGTON, DC — They’re talking at the Capitol about jailing people. Imposing steep fines. All sorts of extraordinary, if long-shot measures to force the White House to comply with Democratic lawmakers’ request for information about President Donald Trump stemming from the special counsel’s Russia investigation. This is the remarkable state of affairs between the executive and legislative branches, unseen in recent times, as Democrats try to break through Trump’s blockade of investigations and exert congressional oversight of the administration.

    “One of the things that everybody in this country needs to think about is when the president denies the Congress documents and access to key witnesses, basically what they’re doing is saying, Congress you don’t count,” said Rep. Elijah Cummings, chairman of the House Oversight and Reform Committee.

    “We cannot — we simply cannot — have a presidency that is run as if it were a king or a dictator in charge,” said Cummings, D-Md.

    Trump’s blanket refusal to engage in oversight — and Democrats’ unrelenting demand that he do so — is testing the system of checks and balances with a deepening standoff in the aftermath of Robert Mueller’s investigation.

    Trump derides the oversight of his business dealings and his administration as “presidential harassment” and has the backing of most Republicans in Congress. With Mueller’s work completed, Trump wants closure to what he has long complained was a “witch hunt.”

    “No more costly & time consuming investigations,” Trump tweeted.

    Stunned by the administration’s refusal to allow officials to testify or respond to document requests, lawmakers have been left to think aloud about their next steps against the White House.

    Rep. Jerrold Nadler, the House Judiciary Committee chairman, has given Attorney General William Barr a Monday deadline to comply with a subpoena demanding an unredacted version of Mueller’s report, along with its underlying evidence, or face a contempt charge.

    Barr could face another subpoena to appear before Nadler’s committee after skipping a hearing Thursday in a dispute over the rules for questioning him. Nadler, D-N.Y., also has subpoenaed testimony from former White House counsel Don McGahn.

    Cummings is considering what to do on several fronts, including about testimony from Carl Kline, the White House’s personnel security director. Cummings said Kline declined last week to answer specific questions in a closed-session hearing about the security clearances granted for White House advisers Jared Kushner and Ivanka Trump, the president’s son-in-law and daughter. Also, the House Ways and Means Committee is being refused access to Trump’s tax returns.

    Republicans are largely declining to join Democrats in pursuing the investigations any further.

    “It is over,” said Sen. Lindsey Graham, chairman of the Senate Judiciary Committee, as Barr testified last week before the committee. Graham, R-S.C., has asked Mueller to respond to Barr’s testimony, particularly after the disclosure of a letter the special counsel sent Barr complaining about attorney general’s summary of the 400-plus page Russia report.

    The rejection of oversight is the latest and perhaps most high-profile example of the new normal in the Trump era. Gone are the daily White House press briefings, once a fixture in Washington. Top department vacancies go unfilled, leaving fewer officials to respond to congressional requests. Agencies across the government seem more insular than before.

    Princeton professor Julian E. Zelizer said what’s unfolding between the White House and Congress “fits in a long history of bad moments when the branches clash over vital information.”

    While other presidents, including Barack Obama, have resisted congressional oversight in certain situations, including during Attorney General Eric Holder’s blockade of the “Fast and Furious” gun-running investigation, Zelizer said “Trump is going further by saying no to everything.”

    To Zelizer, “certainly there are echoes of Watergate when the administration did everything possible to stonewall Congress as they undertook legitimate investigations and hearings into presidential corruption.”

    He said presidents with “too much power” can easily make decisions that undermine government operations in everyday lives. “Should citizens care? Of course, the restraint of presidential power is an essential part of our Constitution and the health of our democracy,” Zelizer said.

    Impeachment is being shelved, for now. House Speaker Nancy Pelosi, D-Calif., and her leadership team are taking a step-by-step approach to the White House standoff, declining any rush to impeachment proceedings, as some in her party want, for a more incremental response.

    Pelosi did note this past week that obstructing Congress was one of the articles of impeachment against President Richard Nixon.

    “Impeachment is never off the table, but should we start there?” Pelosi said Friday. “I don’t agree with that.”

    Short of that, lawmakers are considering options for Barr and others. There’s a long history of lawmakers holding officials in contempt. They can sue for compliance with the threat of fines. Some lawmakers are suggesting censuring the attorney general or impeaching him. Others have called for Barr to resign.

    And then there’s talk of jail time.

    Capitol Hill has been buzzing about the unlikely prospect of using a jail that some say exists somewhere in the Capitol and that was used in the past to detain those in contempt of Congress.

    But the House and Senate say no such facility exists.

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    “No evidence suggests that any room in the Capitol was ever designated for use as a jail,” says an entry on the House website’s historical pages.

    During the Civil War, some Confederate soldiers and others were held at a brick building on the site of what’s now the Supreme Court, across the street from the Capitol, that was often referred as the “Capitol Prison” or “Old Capitol Jail,” according to the history page.

    Otherwise, those found in contempt “were almost certainly held temporarily in the offices of the Sergeant at Arms, locked in committee anterooms, or put under guard at local hotels,” it says.

    Senate Historian Betty Koed said in the past, the District of Columbia’s jail facility has also been used for detentions. “There is no Senate jail,” she said.

    Lawmakers remain undeterred. Rep. David Cicilline, D-R.I., a member of party leadership, said lawmakers have “a whole range of options.”

    By LISA MASCARO AP Congressional Correspondent

    ICYMI: App Gives Domestic Violence Victims Stronger Legal Cases

    PRINCETON, NJ — A Princeton-based company is addressing harassment and domestic violence with an app designed to bolster victims’ testimony in court, according to a release. VictimsVoice, founded by Princeton area resident Sheri Kurdakul, is currently available for download for free.

    VictimsVoice asks its user to document incidents of domestic violence, LGBTQ harassment and abuse, elder abuse, bullying, stalking and others and to answer a few questions, the app’s about page says.

    The app, available at the Google Play Store and as a web app, meets the Daubert Standard for admissibility in court, meaning those who use it will be able to present the information as evidence.

    Kurdakul is herself a survivor of domestic violence, the release from VictimsVoice says, and she aspired to help other victims seek legal justice. “It took me years to overcome and navigate the complexities of abuse survival and the court system,” she said in the release.

    “While the #MeToomovement has increased the conversation about harassment and abuse, victims are still not being believed, reports are not being turned into cases, and cases are not being taken to court,” Kurdakul said.

    The release cites the Bureau of Justice Statistics in saying 80 percent of reported cases of domestic violence are dismissed due to lack of evidence.

    See VictimsVoice’s video below:

    “Victims tend to not be able to remember specific details of the past when they’re suffering from PTSD and other traumas, and therefore cannot produce enough evidence to present a case,” says Kurdakul. “During the Kavanaugh Senate hearings in September 2018, Dr. Christine Blasey Ford could not remember many of the specific details of her assault and because of this, her case would not have been prosecutable. We want to address this huge problem.”

    Information input into the app is encrypted and stored permanently, preventing the data from being found or destroyed, the app’s about page says.

    It’s not available on Apple, a public relations worker for VictimsVoice told Patch, because they “could not come to terms with Apple wanting us to relinquish control of our data to them.”

    You can see the VictimsVoice website here.

    Cancer du côlon : le dépistage précoce permet de guérir 9 cas sur 10

    Le cancer du côlon tue chaque année plus de 18 000 personnes en France. Or, dans 9 cas sur 10, ce cancer, détecté à un stade précoce, pourrait être guéri.Pour sensibiliser le grand public, une campagne d’informations et de dépistage sera lancée le 1er mars 2017 par l’institut du cancer. Mobilisation du 7 au 14 mars lors de la campagne Colon Days à l’initiative du Conseil national professionnel d’hépato-gastrorntérologie (CNP-HGE).

    Réalisé à la maison, le test immunologique de dépistage est disponible via le médecin.

    Profiter de Mars Bleu et au-delà pour se faire dépisterDans le cadre de Mars Bleu, mois du dépistage, et de la Journée nationale de la prévention du

    cancer colorectal le 1er mars, les gastro-entérologues proposent des dépistages gratuits dans les cabinets, cliniques et hôpitaux.

    Le dépistage organisé du cancer du côlon  est aujourd’hui  proposé en France chez les patients à risque moyen de cancer colorectal (80 % des cas), c’est-à-dire, aux personnes âgées de plus de 50 ans, sans histoire familiale, ni antécédents personnels de cancer colorectal ou d’adénome (

    polype) et ne présentant pas de symptôme évocateur.Dans le cadre de la campagne “Attention, vous êtes peut-être assis sur un cancer“, les gastro-entérologues souhaitent mettre en avant un récent dispositif de dépistage, présenté en mai 2015 par la ministre de la santé Marisol Touraine.Un test immunologique à domicile

    Ce test immunologique , disponible via un médecin, vise à déceler la présence de traces de sang humain dans les selles, généralement invisibles à l’oeil nu. Ce test récent, simple, rapide et efficace est à faire chez soi. Moins contraignant, il permet de détecter sur un seul échantillon 2 à 2,5 fois plus de cancers et 3 à 4 fois plus d’adénomes avancés (lésion précancéreuse) que le test précédent. Remboursé à 100 % par l’assurance maladie, le test est à renouveler tous les 2 ans.Pour mieux faire connaître ce nouveau test auprès des Français, la ligue contre le cancer organise un “côlon Tour“ qui traversera 160 villes du 25 février au 17 octobre 2016.Une coloscopie avant 50 ans en cas d’antécédentsEn cas d’antécédent personnel, familial de cancer colorectal ou de

    maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), les médecins conseillent vivement de faire une

    coloscopie de prévention dont le but n’est pas de dépister un cancer, mais d’éviter de déclarer la maladie. Ces personnes présentent 1,5 à 10 fois plus de risques de développer un cancer colorectal que celles à risque moyen.L’examen, réalisé sous anesthésie générale, permet de vérifier l’intérieur de la paroi du côlon et de détecter la présence de polypes (tumeurs bégnines) qui peuvent être retirés à cette occasion. Souvent redouté par les patients, les médecins insistent sur sa grande efficacité en réduisant le risque de cancer de 70 à 90 %.La maladie touche 42.000 personnes chaque année en France. Pour trouver un centre près de chez soi :

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