Polynésie : des coraux menacés par le changement climatique

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !À Moorea en Polynésie française, le lagon est d’une richesse exceptionnelle, le lieu de reproduction de nombreuses espèces sous-marines. Mais depuis plusieurs semaines, un phénomène inquiétant est apparu : les coraux perdent leurs couleurs. “C’est beaucoup plus que les autres années (…) et ça parait beaucoup plus violent”, craint Laetitia Hédouin, chargée de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). La chaleur et la température de l’eau, à plus de 29°C, au-dessus de la normale, stressent les coraux qui expulsent les algues qui vivent dans leur tissu et les nourrissent. Alors affamés, ils blanchissent.L’espoir d’une baisse de la températureD’autres îles sont concernées par le phénomène. Les chercheurs essayent donc de trouver des coraux capables de résister à la chaleur. Les prochaines semaines seront cruciales. Si la température de l’eau baisse, les coraux ont encore une chance de survie, mais leur régénération prendra de toute façon plusieurs années.Le JT

  • JT de 12/13 du mardi 9 avril 2019 L’intégrale

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Fasciné par le Japon, le youtubeur Cyprien tourne un petit film à Tokyo

Les 13 millions d’abonnés à la chaîne du youtubeur Cyprien l’ont compris depuis longtemps : à l’instar du rappeur Orelsan dont le pseudonyme est constitué de son surnom (Orel) et du suffixe japonais “san” (Monsieur ou Madame), ce touche-à-tout autodidacte (comédien, scénariste, dessinateur) nourrit un appétit particulier pour l’archipel et ses créations qui l’inspirent.Pendant une semaine, il a tourné avec une équipe franco-japonaise un film d’une douzaine de minutes dont le thème – les tribulations d’un jeune Français qui veut devenir dessinateur de manga à Tokyo – est l’illustration même de ce tropisme Japon.“Depuis que j’ai des souvenirs, cette culture nous a été servie dans des histoires incroyables à travers les mangas, les dessins animés”, confie l’acteur entre deux prises à vélo, cheveux décolorés pour l’occasion, au milieu d’un quartier résidentiel de la capitale japonaise.Une inspiration puisée dans les mangas et les romans japonais“J’étais fasciné par le style, le dynamisme, la drôlerie”, raconte le jeune homme qui en est à son cinquième séjour à Tokyo. “Je me souviens très bien par exemple des premiers Dragon Ball qui étaient hilarants, et au fur et à mesure, j’ai continué à lire des mangas, plus pour ados puis adultes, et j’ai appris énormément sur la société japonaise grâce à cela.” Sa capacité à “raconter des histoires” lui vient aussi des auteurs de romans japonais qu’il a lus : “Même la littérature m’a influencé”, dit-il.Cyprien, qui aura 30 ans en mai et qui fut un des pionniers de la vidéo autoproduite en ligne, entre coups de gueule, parodies et caricatures sociales, ne voulait pas se contenter d’être touriste au Japon. “Je voulais revenir avec un projet plus large, travailler avec des Japonais, être davantage en contact avec eux.”Alors que des générations antérieures n’avaient d’yeux et d’oreilles que pour la culture américaine et, avaient du Japon l’image d’un “pays de fourmis” trimant jour et nuit, Cyprien appartient à cette jeunesse qui trouve autre chose dans l’archipel. “J’aime bien les vieux pays avec une forte histoire et avec des habitudes de vie très différentes des nôtres en Europe”, dit-il.”J’ai l’impression d’être sur la Lune”“Le Japon, c’est à la fois un pays capitaliste et très développé comme la France. Mais en même temps j’ai l’impression ici d’être sur la Lune, je m’y sens bien et n’ai pas l’impression d’être complètement paumé, mais en fait, je le suis quand même.”A sa façon, avec sa fausse-vraie naïveté, Cyprien, qui se moque aussi de ses balbutiements en langue nippone, s’amuse en outre à débusquer les petites particularités du Japon et des Japonais qui sont autant d’étrangetés pour les regards français. Les salutations répétitives dans les commerces, les toilettes électroniques, la visière des mamies à vélo…“Rien que de montrer le quotidien réel des Japonais, je trouve que c’est bien. Le vrai Japon est bien plus intéressant que les clichés. Je pourrais m’asseoir par terre et regarder les Japonais vivre.”Après le court-métrage et un vlog (vidéo-reportage) qui seront diffusés bientôt, le rêve suivant ? Un long film à Tokyo, ou un projet d’animation. “J’adore varier les plaisirs, YouTube étant la pierre angulaire de tout ça, mais j’aime bien essayer d’étonner et le Japon est une bonne matière première pour ça.”

Photos : “Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie”! [PHOTOS]

Deux photos de “Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie” ont été dévoilées !

Deux photos de Twilight – Chapitre 5 : Révélation 2e partie mis en scène par Bill Condon ont été dévoilées. L’ultime volet de la saga vampirique sortira sur nos écrans le 14 novembre prochain.


Kristen Stewart & Robert Pattinson – © SND


Taylor Lautner – © SND

Laëtitia Forhan

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Feuilleton ( 4/5) : la planète à bicyclette

Dans le tumulte urbain du Caire (Egypte) où les voitures font la loi dans les rues de la ville, Amira a le courage d’enfourcher son vélo. Les périls sont pourtant nombreux sur la route pour la jeune femme : véhicules trop pressés, chiens errants au milieu de la chaussée, priorités grillées…pédaler ici requiert une attention maximale. Mais, au-delà des dangers de la circulation, il faut aussi affronter les regards réprobateurs, dans une ville où le vélo est souvent considéré comme un mode de transport exclusivement masculin. Des sorties émancipatrices et caritativesComme Amira, elles sont de plus en plus nombreuses à vouloir pédaler en paix. Deux fois par mois, elles se réunissent pour rouler ensemble dans les rues du Caire. Le groupe s’est surnommé “Les petits lézards à bicyclette”. Une femme de 29 ans est à l’origine de la création du groupe, il y a trois ans. Elle n’aurait jamais cru qu’autant de femmes se joindraient à elle. Les sorties collectives ont aussi un but caritatif. Dans les quartiers défavorisés du Caire, les jeunes femmes viennent distribuer des repas aux plus démunis, notamment en période de ramadan. Le JT

  • JT de 13h du jeudi 9 mai 2019 L’intégrale

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Fair access to all areas?

Fair access to all areas?

The EU has to find a balance between getting access to other markets and building up its own.

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3/16/11, 10:58 PM CET

Updated 4/12/14, 9:01 PM CET

The European Commission’s new trade strategy, adopted last November, takes less than three paragraphs to get to the point. After referring to the role of trade policy in making the EU more competitive and the potential benefits of trade in general,  the strategy turns to the notion of ‘reciprocity’. 

“Trade policy will not gain public support in Europe if we do not have fair access to raw materials, or if access to public procurement abroad is blocked,” the paper says. “The EU will remain an open economy but we will not be naive,” it says. “In particular, the Commission will remain vigilant in defence of European interests and European jobs.”

Ensuring reciprocity is at the core of the trade agenda, following the recognition advertised nowhere, but plain for all to see, that the Doha round of world trade talks is unlikely to be concluded in the foreseeable future. But not everyone believes that this is a good idea.

Fredrik Erixon, the director of the European Centre for International Political Economy (ECIPE), a think-tank based in Brussels, says that the new agenda looks more like a strategy devoted to market access than to trade. “This is primarily about getting access to other markets without opening our own,” he says. The problem, in his view, is that the main driver of growth is not exports, but imports – because they increase competition, which forces domestic firms to adapt and innovate.

While advocating the enforcement of existing trade rules, Erixon is also sceptical about the trade defence instruments – including retaliation – that are a central ingredient of this new agenda. The EU is currently contemplating ramping up anti-subsidy actions against China (see panel, bottom) – but this approach is not, he suggests, the best way of handling commercial relations with China, because the EU has too much at stake there. Many of the goods imported to the EU from China are actually made by European firms in China, and around two-thirds of imports are of intermediary goods which are then used in EU-made products. In 2009, the EU exported goods worth €82 billion to China, and EU exports to China have more than doubled over the past five years.

“Escalating tit-for-tat strategies is not really in our interests,” Erixon says. “A strategy based on diplomatic negotiations would be far better.”

Under pressure

This analysis is confirmed by a leading European company that is considering legal action against China for what it sees as unfair practices. “We’re seeing prices well below the level that would allow them to make money without illegal subsidies,” a company representative said on condition of anonymity. But, he added, the company felt constrained in pressing its case because of its extensive operations in China. That, he suggested, was frustrating for the Commission, which wants to see someone file a case.

Laurent Ruessmann, who heads the European trade practice of Crowell & Moring, a law firm, agrees that there has been a “noticeable shift in emphasis” in the EU’s trade strategy away from dialogue toward enforcement. Ruessmann attributes this shift partly to the personality of Karel De Gucht, the European commissioner for trade since February 2010.

“De Gucht has taken a stricter approach to market access reciprocity,” he says. But that, he stresses, is the beginning, not the end, of a diplomatic process. “You take some steps to signal firmness,” he said, “and then you see what the other side does.”

Several ongoing cases could soon prove whether that is the strategy behind the Commission’s new agenda.

Authors:
Toby Vogel 

IAF urges solidarity in apparel supply chain

In the face of the Covid-19/Corona crisis the International Apparel Federation (IAF) calls on the
apparel supply chain and its stakeholders to enact sufficient supply chain solidarity. As stores close
around the globe and orders stop, loss of income throughout the supply chain is unavoidable. No
buyer can be expected to sacrifice its own existence or the jobs of its employees to save its
suppliers. But collaboratively searching for ways to reduce the damage to suppliers is not only an
urgent need, but feasible. Solidarity in the face of this crisis means collaborating with industry
members to bridge the income gap for workers and the demand gap for business. Operating with
the objective of moving as much of the pain upstream in the supply chain will create breaches of
trust that will be difficult to repair when we emerge from this crisis, IAF stated. “Choices made
now will be scrutinized later”, IAF secretary general Matthijs Crietee said today.

The Covid-19/Corona crisis is an unprecedented shock to this supply chain creating a dramatic
domino effect of revenue losses. In Germany, offline fashion retail’s sales in the first three weeks of
March dropped by 42% compared to the same period the year before, and in Bangladesh orders
cancelled in the past few days already represent a value of over 2 billion euros. Representing
predominantly small and medium sized apparel brands, apparel manufacturers and their
associations, and global suppliers to the industry in nearly 50 countries, the IAF represents directly
and indirectly hundreds of thousands of companies. The apparel and textile industries are made up
of the world’s longest and most globally dispersed supply chains, employing tens of millions of
workers in total.

“Each individual company will have to determine what line of buying behaviour it does not want to
cross if it can in any way avoid it”, Crietee said. It is IAF’s view that the global normative framework
that has become available in the form of the UN Guiding Principles on Business and Human Rights
and translated into the practice of the apparel and footwear industries by the OECD’s Due Diligence
Guidance can help make companies make these choices. “In the past few years, we have seen strong
and public commitments from leading brands and retailers for responsible purchasing practices in
the supply chain in line with recommendations from OECD due diligence guidance. This climate is
the most important and public test of those commitments.”

Supply chain solidarity is crucial but not sufficient in the light of this crisis. International solidarity is
needed from governments and citizens to help financially support the tens of millions of workers
that make our clothing. So in addition to calling on the industry to enact supply chain solidarity, the
IAF is urgently asking the appropriate multilateral organisations and the financial support of national
governments to step in to quickly make an industry-wide support plan for the most vulnerable parts
of the global apparel and textile industries.

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Rock holds promise of riches for Poland

Rock holds promise of riches for Poland

The US has benefited from exploiting its shale-gas resources, and Poland could follow suit.

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Thanks to a revolution in shale-gas exploration, the United States has become the world’s top producer of natural gas, overtaking Russia last year. Is the revolution  about to be replayed in Europe?

Radoslaw Sikorski, Poland’s foreign minister, certainly thinks that is possible. “Production of shale gas in Europe can change its energy paradigm,” Sikorski told an international seminar on shale gas in Warsaw in April. The fact that Warsaw was the venue for this year’s Global Shale Gas Summit, the most important gathering of industry and government experts on ‘unconventional’ gas, was itself evidence of the excitement generated by the possibility that Poland’s large resources could now be exploitable.

Over the past decade, new techniques have made accessible natural gas found in tightly layered, sedimentary formations of rock known as shale. The technological and financial challenge of tapping into this ‘unconventional’ natural gas remains substantial, but the industry – encouraged in part by tax incentives – has rushed to drill in Poland, which is believed to hold Europe’s most significant reserves of shale gas.

The US firms ConocoPhillips, Exxon-Mobil, Chevron and Marathon, and Canada’s Talisman Energy, have all won concessions, and Polskie Górnictwo Naftowe i Gazownictwo SA (PGNiG), Poland’s state gas company, has also begun drilling with assistance from Schlumberger, a services firm.

If the estimates of Polish shale-gas reserves are confirmed, the effects would be dramatic. Poland could become self-sufficient for decades. The EU’s proven reserves of natural gas would grow by half. And, as a result, Europe’s dependence on natural gas from Russia, Algeria and other potentially troublesome suppliers would fall dramatically.

It will, though, be years before accurate estimates of the potential are available, either in Poland or elsewhere in Europe.

Poland is striking a note of caution, but still foresees a big change in its supplies of energy, two-thirds of which currently comes from Russia. Donald Tusk, Poland’s prime minister, suggested earlier this month that Russia’s contribution could fall to one-third.

Another third would be covered by shipments of liquefied natural gas (LNG), primarily from Qatar, through a new terminal near the German border that Poland hopes to open in 2014. The last third, he suggested, would come from domestic production – more, if the promise of shale gas is realised.

Different approaches

The US is taking a very active interest in Poland’s potential. Poland is one of three partner countries – along with China and India – in a new State Department scheme to assist other countries to identify and use their unconventional gas resources, the Global Shale Gas Initiative.

The EU is taking a more cautious, wait-and-see stance. A stocktaking paper presented by the European Commission in May, at the launch of a public consultation on the EU’s new energy strategy for 2011-20, mentions shale gas only in passing. So far, there is no specific policy framework guiding decision-making on shale gas in the EU.

To date, Poland is the only EU member state that appears determined to reap the perceived benefits of large-scale production.

Its hopes could yet be diminished substantially by environmental concerns, particularly the possibility that chemicals and water used in the drilling process could enter drinking-water supplies.

But however little Europe develops its shale gas-fields, the huge growth of shale-gas production in the US – from virtually zero a decade ago to around one-fifth of the US’s natural-gas production – is already re-shaping its own, and the global, gas market, especially for LNG. “Because we have discovered and we have the technology to develop efficiently large quantities of gas from shale, global prices of LNG have decreased,” David L. Goldwyn, the State Department co-ordinator for international energy affairs, said this summer.

As a result, several projects for LNG terminals in the Netherlands and Germany’s North Sea coast have been cancelled in the last couple of years, most recently at Eemshaven.

Authors:
Toby Vogel 

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Algérie, on écrit sur les murs…

Dans les rues d’Alger, la resistance s’organise.Depuis le début du mouvement, les slogans algériens ont fait le tour du monde. La créativité s’exprime sur les banderoles… mais aussi sur les murs.Ces jeunes expriment leur rejet du système, pinceaux et pots de peinture à la main.Imad, 22 ans, est l’un d’entre eux.« Ce sont des couleurs symbole du drapeau algérien. Et l’élan créatif fait la fierté des Algérois.”Je ressens beaucoup d’émotions, de joie, de choses profondes parce que il y a quelque chose qui se réveille dans l’âme de beaucoup.
Parce que trop longtemps les l’élan vital des gens était enfermé, prisonnier, et maintenant c’est libéré. Et ça va durer c’est profond.”«Ces jeunes nous ont rendu l’espoir, et vraiment chapeau. Mon Algérie est de plus en plus belle. »Après les opérations de nettoyage, puis d’embellissement de leurs quartiers ,les jeunes algériens se sont fixé un nouveau défi : des opérations de réhabilitation d’espaces publics dans la capitale.Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Irlande du Nord : une jeune journaliste qui couvrait les violences à Londonderry tuée par balles

Une femme de 29 ans a été tuée, dans la nuit du jeudi 18 au vendredi 19 avril, au cours d’échanges de tirs à Londonderry, en Irlande du Nord. Cette mort, survenue dans le quartier de Creggan, situé dans le nord de la ville, est traitée “comme un acte terroriste” par la police locale. “Une enquête pour meurtre a été ouverte”, a précisé sur Twitter le commissaire en chef adjoint de la police nord-irlandaise, Mark Hamilton.

Selon plusieurs médias, la victime serait une journaliste. “Je me tenais à côté de cette jeune femme quand elle est tombée à côté d’une Land Rover”, a tweeté la journaliste du Belfast Telegraph Leona O’Neill. “J’ai appelé une ambulance mais la police l’a mise à l’arrière du véhicule et l’a emmenée à l’hôpital où elle est décédée.”Sur son compte Twitter, Leona O’Neill a relayé des vidéos et des photos pour expliquer que la police avait été la cible de tirs et de jets de cocktails Molotov au cours d’une opération de sécurité dans le quartier.Fireworks thrown at police vehicles during rioting in Creggan in #Derry pic.twitter.com/1Hb6dcBcOG — Leona O’Neill (@LeonaONeill1) 18 avril 2019

Ces violences surviennent en amont du week-end de Pâques, au cours duquel les Républicains célèbrent le soulèvement survenu à Dublin en 1916, qui a abouti à la la proclamation d’une république d’Irlande, le lundi de Pâques.”Une attaque contre le processus de paix”Arlene Foster, la cheffe du parti unioniste nord-irlandais DUP, a rapidement condamné les faits, évoquant un “acte insensé” et des “nouvelles déchirantes”. “Ceux qui ont porté des armes à feu dans nos rues dans les années 70, 80 et 90 avaient tort”, a-t-elle écrit en référence à la période des “Troubles”, ces violences qui ont déchiré la province britannique pendant trois décennies, entre républicains nationalistes (catholiques), partisans de la réunification de l’Irlande, et loyalistes unionistes (protestants), défenseurs du maintien dans la Couronne britannique. “C’est toujours aussi mal en 2019. Personne ne veut retourner [aux Troubles]. Mes pensées vont également aux officiers courageux qui ont défendu leur communauté.”Le parti nationaliste irlandais Sinn Féin a également condamné “sans réserve” ces faits, qualifiant le décès de la jeune femme d’“attaque contre toute la communauté, contre le processus de paix, et contre l’Accord du vendredi saint”, signé en 1998 pour mettre fin aux Troubles. “Nous restons unis dans notre détermination à bâtir un avenir meilleur et pacifique pour tous”, a déclaré dans un communiqué Michelle O’Neill, la cheffe du Sinn Fein.Située à la frontière avec la République d’Irlande, Londonderry, aussi appelée Derry, est tristement célèbre pour le “Bloody Sunday” du 30 janvier 1972. Des soldats britanniques avaient alors ouvert le feu sur des participants à une marche pacifique, faisant 14 morts, au plus fort des “Troubles”, qui ont fait 3 500 morts en trois décennies. En janvier, l’explosion d’une voiture piégée avait déjà fait craindre une nouvelle flambée de violence venant des groupes paramilitaires, en pleine tension sur le Brexit, un dossier dans lequel la frontière irlandaise constitue l’un des principaux points d’achoppement.Click Here: Geelong Cats Guernsey

Algérie : une arrestation qui inquiète la France

En novembre dernier, à Charleville-Mézières (Ardennes), Issad Rebrab venait annoncer la création de 1 000 emplois dans une usine de retraitement des eaux. Mais Issad Rebrab, l’une des premières fortunes d’Algérie, est aujourd’hui en prison. La police algérienne lui reproche des mouvements de capitaux suspects. Dans le contexte de la révolution en cours, plusieurs hommes d’affaires ont été arrêtés, ils sont accusés de transférer des fonds à l’étranger.12 000 salariésMais contrairement à des proches de Bouteflika, Issad Rebrad est l’un des seuls milliardaires à soutenir les manifestants algériens. Dans les Ardennes où se trouve l’usine de retraitement des eaux qu’il a rachetée, son arrestation suscite des interrogations. Issad Rebrab avait déjà investi en France en 2014 avec le rachat de l’entreprise Fagor Brandt. Son groupe, Cevital, emploie 12 000 personnes dans le monde. Des salariés qui s’interrogent aujourd’hui sur leur avenir.Le JT

  • Grand Soir 3 du mardi 23 avril 2019 L’intégrale

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