Pour son 20e anniversaire, Disney a demandé à Lily-Rose, la fille de Sébastien Chabal, d’être la marraine de la rose Princesse Disney. Le baptême a eu lieu jeudi soir, lors de l’inauguration de Jardins jardin aux Tuileries, en présence également de Mélissa Theuriau.
Il flottait enfin un petit air de printemps jeudi soir au jardin des Tuileries. De nombreuses personnes avaient fait le déplacement pour profiter du doux soleil de la fin de la journée dans le magnifique cadre de ce parc situé entre le Louvre et la Concorde, mais aussi pour assister à l’inauguration de Jardins jardin, une manifestation horticole autour des jardins et du design. Disneyland Paris a profité de cet événement qui se déroule jusqu’au 3 juin pour baptiser une rose célébrant son 20e anniversaire, déjà fêté en grande pompe en avril dernier.
Et comme marraine, Disney a choisi une personne au prénom prédestiné, Lily-Rose, et qui n’est autre que la fille de Sébastien Chabal. Munie d’un petit arrosoir vert, la fillette âgée de 7 ans a baptisé cette fleur qui répond au nom de Princesse Disney. Devant une cohue de badauds, de photographes et de caméramen, le rugbyman et Lily-Rose se sont prêtés au jeu du photocall et le sportif a même accepté de répondre à quelques-unes de nos questions. Pour ne pas traumatiser sa fille, Chabal, très protecteur, a lancé un impératif «allez c’est bon!» pour signifier aux journalistes que la séance était terminée.
On ne peut pas en dire autant de Mélissa Theuriau: la journaliste s’est esquivée très rapidement après avoir posé à côté de Mickey le temps de quelques photos souvenirs.
Les rosiers Princesse Disney sont en vente au parc Disneyland Paris et, pendant tout le week-end, au jardin des Tuileries. A l’occasion de la fête des mères, dimanche, les mamans portant un prénom de fleur pourront repartir avec un rosier gratuit. Gala.fr vous propose de revivre l’événement.
Rencontre avec le réalisateur et scénariste Stéphane Brizé à l’occasion de la sortie en salles de “Quelques heures de printemps”. Un drame familial poignant, porté par Vincent Lindon et Hélène Vincent, abordant entre autres la question du suicide assisté.
Rencontre avec Stéphane Brizé, réalisateur entre autres des remarqués Mademoiselle Chambon et Je ne suis pas là pour être aimé. Avec Quelques heures de printemps, le cinéaste va encore plus loin dans son exploration de l’intime et de l’émotion à l’état pur, en filmant un foyer -une mère et son fils, incarnés par Vincent Lindon et Hélène Vincent- chez qui la communication est devenue impossible. Le film aborde également la question du suicide assisté…
AlloCiné : Vous présentez depuis quelques jours le film en avant-première et à la presse. Comment appréhendez-vous cette étape de la vie du film ?
Stéphane Brizé : C’est une étape, qui me permet, alors que j’ai bien creusé le sujet avant, d’accéder à un autre niveau de compréhension de certaines choses du film. Pas sur la thématique principale qui concerne le fils et la mère, mais plus philosophiquement sur la question du suicide assisté… On rentre dans le débat, et ça je ne pouvais pas le prévoir au moment de l’écriture.
J’ai pu accéder à toutes les composantes de ce débat. Mon regard est beaucoup plus clair aujourd’hui qu’il ne l’était auparavant grâce à ce contexte. Et s’il y a bien quelque chose que je constate, c’est ce que ça va être très très compliqué ! Tout le monde est très à vif. Quand j’entends les gens s’exprimer, les susceptibilités qui surgissent immédiatement au moindre quart de mot qui est dit ou que les gens interprètent comme étant une attaque frontale. L’important, c’est de s’écouter.
Mais au final, en alimentant ce débat, on s’éloigne un peu du film et du thème principal du film… Si le film est militant de quelque chose, il est militant de « s’il vous plait, parlez-vous ! Dites-vous l’essentiel ». C’est vraiment la chose qui a été posée en premier. Je ne peux pas partir du sujet du suicide assisté car justement c’est un sujet. Je ne suis pas un intellectuel : je ne pars que d’une intuition ou d’une sensation. Je pars de quelque chose de très organique. Et la chose organique qui m’habite depuis tout le temps et qui traverse mes films, c’est la douleur du manque de lien entre un parent et un enfant.
Le personnage que joue Vincent Lindon est habité par une colère qui est la mienne, qui s’est apaisée avec le temps. Si je n’avais pas eu un instinct de survie ou des rêves supérieurs à ma colère, je ne sais pas où j’en serai aujourd’hui. Je crois que j’ai filmé le chemin que je n’ai pas pris finalement dans la vie.
Ce n’est pas un hasard si dans chacun de mes films, il y a vraiment quelque chose qui ne passe pas entre les parents et les enfants. Ca va bien, je me soigne ! Mais mes personnages sont automatiquement habités par ça, et c’est justement parce que c’est apaisé aujourd’hui en moi, que je peux en parler et le regarder très frontalement. Sinon, on est encombré par sa propre peine.
La mort est un outil dramaturgique extrêmement puissant. Ces deux personnes dont on va découvrir qu’elles ont évidemment quelque chose à se dire et qu’elles sont peut être prêtes à se le dire, il y a un moment auquel on sait que la mort sera là. C’est comme dans un polar où il y a une bombe qui va exploser à telle heure et le héros doit la retrouver avant qu’elle n’explose… C’est le même principe dramaturgique ! C’est fait pour émouvoir les gens. Je veux créer de l’émotion ; je veux faire pleurer les gens. Et si les gens repartent de la salle avec quelque chose d’une idée, d’une pensée, d’une réflexion, j’en serai secrètement content. Je pense que c’est possible si le premier support est l’émotion.
Justement, atteindre une tel niveau d’émotion à l’écran est complexe. Comment travaillez-vous, abordez-vous un film ?
Je travaille à l’instinct, l’intuition. C’est l’écho de ma nécessité. Je vais aller d’instinct vers telle ou telle histoire ou tel ou tel personnage, puis c’est relayé par une pensée, une réflexion. Il y a toujours une boussole qui est l’instinct, l’intuition, mais continuellement avec des allers retours vers une pensée très construite. Je fonctionne beaucoup sur des oppositions. Par exemple, sur le tournage, j’ai besoin d’un cadre précis : je sais où je vais, les scènes sont écrites. Mais je dis aux acteurs : ne l’apprenez pas par cœur. Ensuite, je ne leur donne aucune indication et on ne répète pas. Donc il y a quelque chose de posé et, en même temps, je ne sais pas exactement comment je vais y aller. Les acteurs vont m’y aider. A la question « comment dirigez-vous vos acteurs », je réponds « je les choisis ».
Dans une précédente interview, vous employiez la formule « mes seuls effets spéciaux, ce sont les acteurs »… Oui, c’est ça. Ce ne sont pas les mouvements de caméra qui pourront faire croire que je suis un réalisateur. Ce n’est pas que je n’en suis pas capable, mais c’est la matière vivante des acteurs qui m’intéresse.
Je n’ai pas de “kiff” dans la vie supérieur à celui que d’être sur un plateau avec des acteurs. A ce moment-là, j’ai l’impression d’être totalement. Et j’ai appris avec les années à ne rien dire. Lorsque je suis sur le plateau, en ayant bien choisi les acteurs en amont, et en ne faisant pas trop parler les personnages, je trouve qu’il y a quelque chose de plus vrai qui se passe.
Parlons justement du choix des acteurs… Vincent Lindon faisait partie de ma famille d’imaginaire. Ca fait très longtemps ; je crois même avant que je ne fasse des films ! Je trouve qu’il vieillit bien. Ce n’est pas facile de faire les bons choix. Ca demande du courage. Vincent aurait pu être l’acteur populaire qui enchaîne les comédies jusqu’à en devenir pathétique. Il a dû avoir des propositions. Le sens qu’il donne à tout ça est bien au-delà qu’un gros chèque. Son exigence de vie fait écho à la mienne.
Et Hélène Vincent ? Je ne la connaissais pas. J’avais l’image d’une femme assez démonstrative. Et surtout pas l’image d’une femme fermée, sèche, douloureuse, qui n’exprime rien (Ndlr. le personnage d’Yvette, la mère de Vincent Lindon). Dans la vie, elle est le contraire. Quand on a cherché l’actrice qui devait avoir entre tel et tel âge, j’ai dit à la directrice de casting de me proposer des gens : Hélène Vincent faisait partie de cette liste.
Hélène m’a emmené à destination avec ce qu’elle est. Tout ce que vous voyez à l’écran était déjà là dès la première prise du casting. Elle est capable de faire exister son personnage dans les silences. Elle m’apporte en creux la profondeur du personnage. Il n’y a que les grands acteurs qui sont capables de faire ça. Ils jouent, tout en révélant l’invisible du personnage. Et c’est cet invisible qui fait qu’on peut être touché par cette femme.
Quant à Emmanuelle Seigner, je n’y aurais pas forcément pensé tout seul, mais à partir du moment où son nom a été évoqué, c’est devenu une révélation. Elle donne de l’épaisseur au personnage.
On sait peu de choses sur vos influences, ce qui vous a donné le goût du cinéma. D’où vient-il ?
Je ne sais pas non plus. Le jour où j’ai arrêté d’essayer de le comprendre, ça m’a enlevé un gros poids ! J’ai cherché longtemps pourquoi je suis là : fils de facteur et de mère au foyer… Problème de légitimité. Pourquoi ce désir a grandi ? Pourquoi j’ai pris un billet de train pour Paris ? Il n’y a rien de rationnel. Pendant des années, ça m’encombrait. La réponse qui est arrivée, c’est “arrête de te poser la question” !
Maintenant j’essaye de voir un film par jour. Mais cette nécessité est assez récente, ça a moins de 10 ans. Quand je vois des articles, des références parfois extrêmement élogieuses, ça me fait très plaisir, mais ce ne sont pas des gens qui sont dans mon ADN.
Si l’on évoque Claude Sautet, est-ce que cela vous parle?
Oui, dans l’attention qu’il a à l’être humain. Ce qui est très émouvant pour moi, c’est que Jean-Louis Livi qui a coproduit le film, a produit pour Claude Sautet. De pouvoir partager des choses avec lui, qui a partagé des choses avec Claude Sautet, Romy Schneider, Dewaere et Depardieu… Il a partagé leur intimité d’acteurs, leurs moments de doute, je trouve ça génial. Vincent Lindon a tourné avec Claude Sautet et il me racontait des choses sur lui.
Plus généralement, je pense que si j’avais vu certains films trop tôt, cela m’aurait encombré. Je m’en rends compte a posteriori. Aujourd’hui, je regarde ; ça me nourrit mais ça ne m’encombre pas.
Un dernier mot sur la musique du film. Nick Cave et Warren Ellis sont crédités. Est-ce une musique composée pour le film ? Non, il s’agit de la bande-originale d’un autre film, L’ Assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford. C’est un procédé assez rare ; Jean-Luc Godard y a déjà eu recours par exemple. La musique collait parfaitement au film. Nous avons demandé l’accord aux compositeurs, même si nous avons appris après que cela n’était pas obligatoire. Ils ont accepté. Ils ont adoré le film !
La bande-annonce de “Quelques heures de printemps” :
Quelques heures de printemps
Propos recueillis par Brigitte Baronnet, à Paris, le 14 septembre 2012
J-4 avant la fête des pères. Une date que Michelle Obama marque d’une pierre blanche en montrant au monde entier à quel point son mari est un papa de rêve.
Première épouse et amoureuse des Etats-Unis. Michelle Obama que l’on sait déjà acquise à la cause politique de son mari, lui redonne également son soutien en tant que bon père de famille. Pour la fête des pères, la First Lady a donc ouvert au monde son album de photos mettant en scène son héros de mari.
Adepte de Facebook depuis longtemps, arrivée sur Twitter avec le soutien de la Maison Blanche, voilà que Michelle Obama s’est aussi inscrite sur Pinterest. Le site de partage de photos héberge maintenant les plus beaux moments de joie de la famille présidentielle. Dans album intitulé Father’s Day, Michelle a ajouté sept photos inédites. Sous un cliché en noir et blanc, où l’ont peut apercevoir les sourires d’un clan heureux, la première dame qui ne devait avoir que quelques années sur cette photo, commente aujourd’hui son bonheur «d’avoir deux père exceptionnels dans ma vie. Mon mari et mon papa, Fraser Robinson». Pour accompagner les clichés de Malia et Sacha avec leur papa, Michelle précise à l’envie «qu’avec tout ce qu’il a à faire, Barack prend toujours du temps pour ses filles». Super président mais toujours super papa. Et pour ceux qui en doutait encore, madame Obama et ses filles sont «les plus grandes fans de ce papa, chacune et chaque jour».Si vous aussi, vous êtes fan, Michelle vous propose de signer avec elle la carte de vœux de la fête des pères qu’elle lui offrira dimanche.
Dany Boon et Diane Kruger deviennent mari et femme, pour le meilleur et pour le pire, dans “Un plan parfait”, nouvelle comédie de Pascal Chaumeil, à qui l’on doit le film à succès “L’Arnacoeur”. Découvrez-en une nouvelle bande-annonce complètement inédite…
Pascal Chaumeil et Laurent Zeitoun, respectivement réalisateur et co-scénariste de L’Arnacoeur, reviennent le 31 octobre avec Un plan parfait, une comédie romantique portée par Dany Boon et Diane Kruger. L’histoire d’une femme qui choisit par hasard un mari afin de conjurer le sort familial et ensuite épouser l’homme qu’elle aime vraiment. Car dans sa famille, tous les premiers mariages se soldent par un échec… Dany Boon et Diane Kruger vont s’embarquer dans un périple nuptial… pour le meilleur et surtout pour le pire… Tout de suite la nouvelle bande-annonce !
Le succès de la saga Harry Potter semble être monté à la tête de son auteur, J.K. Rowling. Alors que son prochain roman devrait être disponible le 27 septembre prochain en Angleterre, l’écrivain a refusé de donner son manuscrit pour traduction à certaines maisons d’éditions étrangères.
Être une auteure au succès planétaire doit forcément créer un sentiment de paranoïa. Depuis 2007 –année de la sortie de son dernier opus Harry Potter-, J.K. Rowling a mûri son nouveau projet littéraire. Un ouvrage réservé cette fois aux adultes, qui a su entretenir le mystère depuis l’annonce de sa publication à venir. A tel point que très peu d’informations ont filtré sur ce livre événement de la rentrée: on connaît le titre anglais, The Casual Vacancy, sa traduction française, Une place à prendre, et le pitch: un village anglais ne se remet pas de la mort de Barry Faiweather, un conseiller municipal.
Et par peur de fuites, J.K. Rowling qui a multiplié la sécurité de ses manuscrits, a tout simplement refusé de les envoyer dans certains pays européens pour les faire traduire à temps pour la date de sortie mondiale, soit le 27 septembre en Angleterre, le 28 pour la France. Ses lecteurs italiens, slovènes ou encore finlandais seront obligés d’attendre les fêtes de fin d’année pour lire dans leur langue la nouvelle prose de Rowling. Le vrai problème est que les traductions devront être réalisées dans un temps record, au risque de dénaturer le contenu, voire de le négliger. «Nous allons être obligés d’accélérer la traduction et d’employer plusieurs traducteurs pour pouvoir être dans les délais», a confié un éditeur slovène Andrej Ilc au Publisher Weekly.
Autre tracas: cet écart entre la disponibilité du livre en anglais et dans les pays européens blacklistés risquent d’avoir des impacts financiers considérables sur sa sortie, privilégiant les maisons d’édition américaines. Il semblerait que la sortie de The Casual Vacancy mette en exergue un affrontement de longue date, plus fort qu’Harry Potter et Voldemort: les éditions anglophones contre leurs traductions à travers le monde.
Le projet d’adaptation de Bienvenue chez les chtis à Hollywood ne verra pas le jour. Faute de trouver une version du scénario qui le séduisait, Dany Boon a décidé de reprendre ses droits et de mettre un terme à sa collaboration avec Will Smith qui voulait produire le film.
Le Maroilles et la chicorée ont eu raison des Américains. Ces derniers n’ont visiblement pas su retranscrire sur le papier ce que ces deux produits du terroir représentaient aux yeux des habitants du nord de la France. Ils n’ont surtout pas réussi à trouver l’équivalent aux USA pour inspirer des gags et des répliques du calibre de ceux qui ont fait le succès de Bienvenue chez les Chtis sur notre territoire. L’adaptation du film aux USA ne verra donc pas le jour alors que le projet semblait bien lancé.
Will Smith, interpellé par les 20,4 millions d’entrées de Bienvenue chez les Chtis en France, avait racheté les droits afin d’en produire une adaptation pour les Américains, rétifs à voir des films étrangers en version originale. Les deux acteurs s’étaient rencontrés, leurs familles aussi, Dany Boon avait même choisi de s’installer à Los Angeles pour mieux travailler sur le projet. Le titre était trouvé, Welcome to the sticks, et le pitch annonçait l’histoire d’un homme d’affaire débarquant dans un village perdu d’un Etat de l’Amérique profonde. On parlait alors de Steve Carell dans le rôle principal.
Selon Le Parisien, Dany Boon aurait jeté l’éponge et décidé de reprendre ses droits. Selon un source citée par le quotidien, «aucune version hollywoodienne n’aurait trouvé grâce aux yeux du Français». Certainement très exigeant et soucieux de réussir ce que les autres Français ont raté avant lui, comme avec Les Visiteurs en Amérique, Dany Boon préfère s’arrêter avant qu’il ne soit trop tard et stopper net une aventure qui pourrait vite se transformer en cauchemar. Il peut se consoler malgré tout en se disant que son histoire et son humour ont su dépasser le simple cadre de nos frontières puisque la version italienne de Bienvenue chez les Chtis, intitulée Benvenuti al Sud, a cartonné chez nos voisins transalpins. Et tant pis pour les Américains!
Enora Malagré, chroniqueuse au côté de Cyril Hanouna dans Touche pas à mon poste, vient d’être élue femme la plus craquante de l’année, par le magazine Têtu. Une récompense méritée pour cette Bretonne pétillante promise à un brillant avenir.
Têtu propose un classement pour le moins original, et surtout très sympathique, puisqu’il désigne la femme la plus craquante de la télévision. Et c’est Enora Malagré qui s’impose avec 22% des voix. Peu connue du grand public, cette piquante blonde aux yeux bleus et au large sourire commence à se faire un nom, et un visage, dans le PAF puisqu’elle est chroniqueuse de l’émission qui cartonne en ce moment, Touche pas à mon poste, présentée par le bondissant Cyril Hanouna.
L’émission explose maintenant qu’elle est programmée sur D8 et met dans la lumière tous ceux qui y participent. Dont Enora Malagré et c’est tant mieux. Car non contente d’être la plus craquante, elle montre chaque soir qu’elle n’est pas que la potiche blonde de service. Cette Bretonne de 32 ans, qui vit avec le DJ Cut Killer, a du caractère et du répondant. Peu avant les résultats définitifs, alors que la tendance la donnait déjà gagnante, Enora Malagré écrivait sur sa page Facebook officielle: «Mes amours je vais être élue (…) femme télé la plus craquante 2012 dans le magazine Têtu, magazine respecté et génial. Merci je suis très émue et honorée et c’est une fois de plus grâce à vous et votre soutien».
Enora Malagré succède au palmarès à Alessandra Sublet et s’impose d’une courte (mais jolie) tête devant Julia Vignali, présentatrice des Maternelles sur France 5, toutes deux très loin devant Marie Labory, Anne-Sophie Lapix, Virginie Guilhaume et Aïda Touhiri.
La chroniqueuse de TPMP voit donc l’année 2012 se terminer en beauté. 2013 s’annonce de bon augure pour Enora Malagré qui présentera à partir du 15 janvier Nouvelle star, ça continue, le direct qui suivra le prime, présenté lui par Cyril Hanouna. Mais pour l’instant, la nouvelle star, c’est elle.
Blues boss Frank Lampard has confirmed that his top goalscorer is nursing a niggling knock, while an American forward remains stuck on the sidelines
Tammy Abraham has joined Christian Pulisic and N’Golo Kante on the treatment table at Chelsea, with Frank Lampard confirming that a niggling ankle complaint will rule the striker out of his immediate plans.
The Blues are preparing for a Premier League clash with Bournemouth on Saturday and Abraham, who saw 29 minutes off the bench in a midweek 3-0 Champions League defeat to Bayern Munich, will play no part against the Cherries.
The England international, who has 15 goals to his name this season, has joined those stuck on the sidelines after aggravating a previous problem in a warm down at Stamford Bridge.
More teams
Lampard told reporters when offering a fitness update: “Pulisic is injured. Kante injured, Abraham injured. We are trying to find a solution with Tammy. It’s the same.
“At the moment he is not doing anything active for a couple of days. But we don’t know the length.”
While Abraham has been in and out of the side over recent weeks, United States international Pulisic has not been seen since New Year’s Day.
Lampard added on the 21-year-old, who has an adductor injury: “It has been longer. It was to be a lot less. But I had a similar injury when I was a player, so I can sympathise. I know it can be a delicate injury.
“The way he was playing, the hot patch, the ability to go past players.”
One man who is back in contention after spending a long time out of action is Ruben Loftus-Cheek.
Lampard said of the highly-rated midfielder, who is looking for his first competitive minutes of the season: “Ruben is in the squad again. It would mean a lot for him. It is a lonely place to be injured. With the ability that he has got he is one of the most exciting English midfield players.”
Chelsea will face Bournemouth at the Vitality Stadium looking to cement their standing inside the Premier League’s top four.
They are only three points clear of the chasing pack at present and need to raise their spirits after suffering a morale-sapping reversal against Bayern.
Lampard added on a thrilling battle for Champions League qualification: “When you look around and the form of [Manchester] United, a strong unit and spent well last summer, similar with Tottenham and you can’t write off Arsenal.
“Wolves and Sheffield United, you have to respect them, they are good teams. We have a fight on. Anyone who is in range has a chance.”
L’écrivain Robert Sabatier est décédé jeudi à l’âge de 88 ans en région parisienne. L’auteur des Allumettes suédoises était le doyen de l’Académie Goncourt et en plus de ses nombreux romans, il avait rédigé une imposante Histoire de la poésie française.
La famille de Robert Sabatier a annoncé jeudi le décès de l’écrivain, survenu dans sa 88ème année. Une information révélée par Le Figaro. Robert Sabatier, pour le grand public, c’est avant tout Les allumettes suédoises, ce roman paru en 1969 qui s’est vendu à des millions d’exemplaires à travers le monde. Il le déplorait presque, confiant: «Je suis pour toujours l’auteur des Allumettes suédoises. C’est difficile d’apparaître autrement, alors que j’ai toujours refusé d’être étiqueté». Malgré tout, l’écrivain a ensuite donné sept suites aux aventures d’Olivier, notamment Trois sucettes à la menthe en 1972 et Les noisettes sauvages en 1974, jusqu’au dernier, Les trompettes guerrières paru en 2007.
Robert Sabatier était né en 1923. Orphelin dès l’âge de 12 ans, il vit à Paris, d’abord sur la butte Montmartre, puis dans le quartier du canal Saint-Martin, deux quartiers qui servent souvent de décors à ses histoires. Il intègre la Résistance pendant la Seconde Guerre Mondiale et se marie avec la fille d’un industriel de Roanne. Le mariage est un échec, Robert Sabatier rentre alors à Paris pour s’adonner à sa véritable passion, la littérature. Il publie son premier livre Alain et le nègre en 1953 et en écrira un peu plus d’une vingtaine tout au long de sa carrière, incluant les sept du roman d’Olivier. Il rate le Goncourt d’une voix en 1958.En parallèle de ses romans, Robert Sabatier se consacre à la poésie. Il écrit de nombreux poèmes qu’il publie dans plusieurs recueils qui lui valent en 1969 le Grand Prix de poésie de l’Académie Française. Robert Sabatier se lance ensuite dans une œuvre beaucoup plus vaste, une Histoire de la poésie française, parue en 1976, composée de neuf volumes et que beaucoup considèrent comme son chef-d’oeuvre. Il rejoint le jury du Prix Goncourt en 1971 dont il était le doyen.
Evénement jeudi matin au musée Grévin qui accueillait Penélope Cruz. Pas l’actrice en chair et en os, qui n’a pu trouver le temps de venir à Paris, mais son double de cire qui trône désormais au milieu de ses collègues George Clooney ou encore Brad Pitt.
Bonne idée de la part des responsables du musée Grévin que d’avoir inauguré le double de cire de Penélope Cruz jeudi matin dès 9h. Au moins, la chaleur accablante qui pèse sur la capitale depuis le début de la semaine ne risquait pas de faire fondre la statue. Ceux qui vont fondre en revanche, ce sont les admirateurs de la belle Ibère. Ils peuvent désormais visiter le célèbre musée parisien pour voir ce fameux mannequin et le photographier.
Malheureusement pour les journalistes présents à l’inauguration et pour les fans de Penélope, l’actrice espagnole n’avait pas fait le déplacement pour assister à l’événement. Un tournage devait la retenir quelque part dans le monde, à moins que ce ne soit la grossesse, dont tout le monde se fait l’écho depuis quelques jours, qui l’ait incitée à rester discrète.
Eric Saint-Chaffray, le sculpteur, et la maquilleuse Valérie Merceron étaient en revanche bien présents. Les équipes qui ont œuvré sur la statue de la compagne de Javier Bardem ont utilisé 15 kg de cire et il leur a fallu six mois pour obtenir le modèle exposé, vêtu d’une magnifique robe bleue, coiffée d’un chignon et parée de boucles d’oreilles. Penélope Cruz rejoint ses camarades acteurs d’Hollywood George Clooney, Brad Pitt, Nicolas Cage, ou Scrat le célèbre écureuil de L’âge de glace.
Les deux prochains pensionnaires du musée Grévin seront la chanteuse Nolwenn Leroy et l’acteur Omar Sy, deux artistes qui chacun dans leur catégorie ont su toucher un large public l’an passé.