Lady Gaga mi femme mi bête…de scène

Lady Gaga était invitée hier sur le plateau de l’émission X Factor sur M6. Ils voulaient du Lady Gaga, ils ont eu le droit à la totale.

On n’ose imaginer le prix de l’espace publicitaire hier soir sur M6 entre 20h40 et 21h30. La petite chaîne qui n’est plus vraiment petite, a reçu sur son antenne

et Lady Gaga. Des hôtes de choix dont les prestations étaient très attendues et qui ont donc attiré de nombreux publicitaires.

Gaga reine des charts c’est un fait, mais elle n’est pas vraiment dominatrice sur l’audience. Tandis que le Dr House récoltait 34,5% de la part d’audience, M6 atteignait difficilement la seconde place avec 11,4% de PDA. Un pari donc à demi réussi pour la chaîne.

Pourtant l’interprète de Born This Way a tout donné pour assurer le show. Affublée d’un synthétiseur en poils de yack, porté autour du cou, elle a fait son entrée sur scène. Elle-même vêtue d’une tenue tout en poils, Lady Gaga a réincarné le mythe de la «bête de scène». La chanteuse a entamé son medley avec son tout dernier titre Edge of Glory. Morte de chaud ou morte de honte, Lady Gaga s’est ensuite débarrassée de sa peau de bête pour retrouver son costume de scène préféré, c’est à dire des sous-vêtements et un collant résille. A noter également, sa crinière qui a gagné plus de 30 centimètres en l’espace de quelques heures depuis la sortie de son hôtel parisien, le Park Hyatt.

Ah… la magie du spectacle. Une fois redevenue «elle-même», la terrible Gaga est descendue de sa structure pour rejoindre sa troupe de danseurs sur scène. Entre les flammes et les corps ultra-musclés de ses compagnons, Gaga a interprété Judas.

Sandrine Corman, la présentatrice d’X Factor était en charge d’approcher la petite terreur américaine à la fin de son show. Lady Gaga, bloquée comme une statue de cire et pointant son plus beau bras d’honneur (juste pour la chorégraphie) au public, s’est laissée amadouer ou presque. Après avoir redit tout son amour à ses petits monsters français, la reine mère de la pop s’est retirée de la scène en se malaxant le fessier et en lançant un «I’ll be back soon… La France».

Gaga continue son circuit à Paris en se produisant jeudi soir au 1515 dans un show exceptionnel réservé à ses fans les plus addicts.

Découvrez sa prestation sur le plateau d’X Factor:

Laure Costey

Mercredi 15 juin 2011

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Amy Winehouse, 27 ans de rock

Ici en 2004, c’est une Amy Winehouse en forme(s) qui se rend à une soirée, complètement différente de ce que l’on a vu d’elle par la suite. Ses problèmes d’alcool n’empoisonnent pas encore sa vie.

Lors d’un concert en 2006, la chanteuse a perdu beaucoup de poids et a affiné son look de rockeuse, qu’elle ne quittera plus par la suite.

En 2005, Amy Winehouse rencontre Blake Fielder-Civil, un assistant-réalisateur de vidéo-clips. Leur première liaison dure un an et après une rupture, ils se retrouvent et se marient en mai 2007. Le couple ne cesse de déchaîner les tabloïds anglais, tant leur relation est tumultueuse. Ils plongent ensemble dans l’alcool et la drogue, ce qui leur vaut quelques ennuis avec la justice, notamment lorsqu’ils deviennent violents l’un envers l’autre.

Constamment poursuivie par les paparazzi, l’icône de la soul est photographiée à la moindre de ses sorties.

Amy Winehouse arrive au tribunal de justice de Westminster. Elle a agressé une femme qui avait voulu la prendre en photo lors d’un bal de charité en septembre 2008. La chanteuse a tout juste 25 ans.

Le père d’Amy Winehouse, Mitchell Winehouse, qui a lui-aussi toujours chanté, donne quelques concerts. Sa fille vient le soutenir en avril 2010, accompagnée par sa filleule Dionne Bromfield.

La relation passionnée mais violente entre la rockeuse et son mari s’achève par un divorce. Amy Winehouse se sépare de Blake Fielder-Civil en janvier 2009. Dès lors, la chanteuse, qui avait déjà connu des épisodes de dépression, replonge dans l’alcool et la drogue. Sa maigreur est extrême, et elle tient à peine debout quand elle sort à Londres. Ici en juillet 2010, elle sort dîner au restaurant avec des amis. Ses gardes du corps et ses amis ne la lâchent pas d’une semelle.

Amy Winehouse et son fiancé Reg Traviss sortent du bar « Shaka Zulu » dans le quartier de Camden Market en août 2010.

Enchaînant les séjours en cure de désintoxication, la chanteuse a bien du mal à relancer sa carrière artistique. En juin 2011, elle avait tenté un retour sur scène à Belgrade. Un échec. Complètement droguée, la jeune femme se montre incapable de chanter ses propres chansons et reconnaît à peine ses musiciens. Huée par 20 000 personnes, son état de santé trop fragile la contraint à annuler sa tournée. Samedi 23 juillet 2011, elle est retrouvée morte par son garde du corps dans sa résidence londonienne. Elle avait 27 ans.

Amy Winehouse ne chantera plus et ne nous enchantera plus. La chanteuse soul la plus trash du Royaume Uni s’est éteinte samedi 23 juillet, à l’âge de 27 ans. Connue pour sa puissante voix rocailleuse (presqu’)autant que pour ses frasques alcoolisées, elle avait lancé sa carrière artistique en 2006, avec son titre phare « Rehab ».

Née à Londres le 14 septembre 1983, Amy Jade Winehouse grandit dans une famille qui a le jazz collé à la peau. Pendant son enfance auprès de son père Mitchell, chauffeur de taxi, sa mère Janis, pharmacienne, et son frère Alex, elle entend souvent son père fredonner Frank Sinatra, ce qui lui donne le goût du chant. Toute sa jeunesse, elle chante, avec son groupe Sweet’N’ Sour à 10 ans, jusqu’à son intégration à la Sylvia Young Theatre School. Elle étudie ensuite à la BRIT School, école d’art, tout en se produisant dans un groupe de jazz en parallèle. C’est son petit-ami de l’époque qui envoie un jour une maquette à une maison de disque. Son talent est une évidence, elle signe, et sort son premier album en 2003, intitulé Frank. La critique salue cette voix aux accents d’Ella Fitzgerald et de Macy Gray.

En 2006 sort Back to Black, album de la consécration pour Amy Winehouse, qui se retrouve propulsée au rang de star internationale. A sa sortie au Royaume-Uni, il se place à la première position des charts anglais, et l’album sera six fois certifié disque de platine. En 2007, c’est l’album le plus vendu en Angleterre. Aux Etats-Unis, elle interprète son morceau Rehab à la soirée des MTV Movie Awards, sa prestation conquiert l’Amérique, et le Times élit son titre chanson de l’année. Son album lui vaut d’être nominée six fois aux Grammy Awards, et elle remporte 5 prix. Le 14 février 2007, elle remporte le Brit Award de la meilleure artiste féminine britannique. Mais ce succès est entaché par les problèmes d’alcool et de drogue régulièrement à la Une des tabloïds anglais.

Son rapport à la boisson et aux stupéfiants est tel qu’elle doit se faire hospitaliser à plusieurs reprises au cours des dernières années. Dans les rues de Londres, où elle sort dans les pubs pour des soirées très arrosées, les clichés de la star se multiplient, pas toujours à son avantage. Sa santé est si fragile qu’elle ne peut souvent pas tenir debout seule. Des comportements extrêmes liés à ses relations amoureuses, comme lors de sa séparation d’avec son grand amour -et mari- Blake Fielder-Civil, avec qui elle vivra la passion, et la déchéance, tout à la fois. Elle nous quitte aujourd’hui en laissant un grand vide dans l’histoire du rock’n’roll.

Maud Carlus

Lundi 25 juillet 2011

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Justice mission in Iraq to close

Justice mission in Iraq to close

Eight-year mission to close on 31 December.

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Updated

The European Union’s mission to improve Iraq’s criminal-justice system will end on 31 December, eight years after it was created.

The closure of the mission’s offices in Baghdad, Basra and Erbil will also mark the end of a phase in Iraq’s post-war reconstruction, as the mission – EUJUST LEX-Iraq – was the last international mission in the country focused on training the upper echelons of Iraq’s judiciary, police and prison services. The United States and the United Nations continue to provide advice and training, but through specific projects, rather than missions inside Iraq.

The EU intends to continue efforts to improve the rule of law, but a plan to replace the mission with a European Commission programme has faltered. The Commission says that it hopes that a replacement multi-year programme will be operational in mid-2014.

Long-term efforts

All the member states had agreed that, eight years after its creation, the mission should no longer be viewed as a crisis response, and that long-term efforts in the area should be managed by the Commission. Faced with the possibility of a gap before a Commission programme was in place, a large majority of member states argued that the mandate of the mission, which was seen to be performing well, should be extended. Prolongation, though, required unanimity.

Whatever programme is established by the Commission, it will be smaller, cheaper and less ambitious than the mission, with a significant change in focus. The Commission says that it has budgeted €10 million annually for activities that the current 66-member mission carried out at a cost of €27m. However, it also expects to spend €11m to develop public administration, with possible indirect benefits for the judiciary, police and prison services.

Security concerns, which are again mounting because of an upsurge in violence this year, also raise the possibility that all training would be provided in Europe.

For most of its life, poor security meant that EUJUST LEX-Iraq brought Iraqi officials out of the country for training in Europe, though it provided some training in Erbil in the relatively secure northern region of Kurdistan and on the edges of the ‘green zone’, the highly protected quarter of Baghdad in which international offices are based.

Since 2011, the situation has been deemed safe enough for the mission to be based inside Iraq, under the leadership of László Huszár, a top-ranking official in the Hungarian prison service. The mission has in recent years moved increasingly from providing training to mentoring and advice.

Authors:
Andrew Gardner 

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Valenciano top Socialist for Spain

Valenciano top Socialist for Spain

PSOE has chosen former MEP Elena Valenciano as its lead candidate for the European Parliament elections.

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2/11/14, 4:55 AM CET

Updated 1/15/16, 5:42 PM CET

The Spanish Socialist Workers Party (PSOE) has chosen Elena Valenciano as its lead candidate for the European Parliament elections on 25 May.

Valenciano was an MEP from 1999 to 2007, before representing Madrid in the Spanish Parliament. She has recently been at the forefront of the party’s campaign against a proposed new law on abortion in Spain.

The PSOE sits with the Party of European Socialists (PES) in the European Parliament. Martin Schulz, the PES candidate for European Commission president, spoke highly of Valenciano in a statement today (11 February). “I have known Elena for years, she is a hard working, dedicated person,” he said.

“There are many challenges ahead to reconcile Spanish citizens with the European Union and they have justified high expectations and I am happy that Elena will lead the Spanish Socialists’ drive towards a new Europe.”

PSOE is currently the second biggest Socialist party delegation in the European Parliament’s S&D Group, with 23 MEPs.

Authors:
Dave Keating 

Barroso casts doubt on Scottish EU accession

Barroso casts doubt on Scottish EU accession

President of the European Commission says it would be “extremely difficult, if not impossible” for an independent Scotland to join the EU.

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2/16/14, 11:20 AM CET

Updated 8/6/14, 5:42 PM CET

José Manuel Barroso, the president of the European Commission, said today (16 February) that it would be “extremely difficult, if not impossible” for an independent Scotland to get unanimous approval to join the European Union. He suggested that Spain would veto the accession.

Asked by the BBC’s Andrew Marr whether an independent Scotland would be welcome in the EU, Barroso said: “Of course it will be extremely difficult to get the approval of all the other member states to have a new member coming from one member state.”

“We have seen Spain has been opposing even the recognition of Kosovo, for instance. So it is to some extent a similar case because it’s a new country and so I believe it’s going to be extremely difficult, if not impossible, a new member state coming out of our countries getting the agreement of the others.”

The devolved Scottish government, controlled by the Scottish National Party (SNP), has insisted that it will not have to apply for EU membership but rather could continue its existing membership using article 48 of the Treaty of the European Union. In its white paper on independence, the SNP said it would become an EU member state within 18 months of a ‘yes’ vote in the referendum.

The SNP has made EU membership a central part of its case for independence. Given its small size, it is unclear whether Scotland could be a viable state if it were not allowed to join the EU.

Barroso has long insisted that Scotland would have to apply to join. But today is the first time he has acknowledged that Spain may veto such an accession.

Barroso added that it was up to the Scottish people to decide on independence and he did not want to interfere in the independence referendum, which will be held on 18 September.

Following Barroso’s comments, John Swinney, Scotland’s finance minister, described the Commission president’s comments as “pretty preposterous”.

“He’s set out his position linking and comparing Scotland to the situation in Kosovo,” he said. “Scotland has been a member of the EU for 40 years – we’re already part of the European Union.”

“The Spanish foreign minister said if there is an agreed process within the United Kingdom by which Scotland becomes an independent country then Spain has nothing to say about the whole issue,” he added. “That indicates to me quite clearly that the Spanish government will have no stance to take on the question of Scottish membership of the European Union.”

Earlier this month José-Manuel García-Margallo, Spain’s foreign minister, told the Financial Times that the country would not interfere in Scotland’s referendum. But he refused to comment directly on whether Spain might veto Scottish accession.

Authors:
Dave Keating 

Legal life in the slow lane

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Legal life in the slow lane

11/13/13, 8:15 PM CET

Updated 4/23/14, 9:37 PM CET

It’s almost enough to justify a trip to Luxembourg. On 26 November, the judges of the European Court of Justice are scheduled to deliver a judgment on whether their colleagues, the judges of the General Court of the ECJ, took too long to deliver a judgment.

More even than usual, this case is full of opportunities for lawyers to calculate how many angels can dance on the head of a pin. In 2005, the European Commission imposed fines totalling €290 million on makers of industrial bags, having found that they operated a cartel. Three companies, Groupe Gascogne, a French paper and packaging company, and its German subsidiary Gascogne Sack Deutschland, and Kendrion NV, a Dutch manufacturer of electromagnetic systems and components, appealed against the Commission’s decision in early 2006. It took until the end of 2011 for the General Court to rule on the appeals: the court sided with the Commission and upheld the fines.

The companies complained that the time taken to rule on the appeal was so long that it had infringed their rights. Less than two years later, the ECJ is to rule.

Eleanor Sharpston, an advocate general of the ECJ, has drafted a judgment recommending that the ECJ should find against the General Court. She calculates that the case dragged on for 20 months too long. She recommends that the ECJ make a statement to that effect, so that the companies can bring a case for damages against the General Court, to be heard at the General Court. In such a case, it would, she said, be for the European Commission, as defender of the EU’s interests (and of the EU’s budget), to represent the General Court. So the companies would be pitched against the Commission, eight years after the facts. On second thoughts, maybe that trip to Luxembourg could be delayed…

MEPs to vote on extra budget funds

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MEPs to vote on extra budget funds

Commission appeals to MEPs to avoid ‘payment gap’ by holding emergency vote on €2.7 billion in additional money.

The European Parliament has agreed to take an emergency vote tomorrow (24 October) on a €2.7 billion top-up of the current budget.

The prospect of a ‘payment gap’ was raised by José Manuel Barroso, the president of the European Commission, in an early-morning phone call to Martin Schulz, the president of the Parliament, on Monday (21 October). The call, and the language reportedly used by Barroso, caused dismay among MEPs, many of whom felt bullied into approving the extra money.

Alain Lamassoure, a centre-right French MEP who chairs the Parliament’s budgets committee, said that the Commission had not raised the prospect of a shutdown during last week’s budget talks. “Apparently the Commission only realised it was on the verge of insolvency over the weekend,” he said.

Barroso rejected that interpretation in an ill-tempered ad-hoc debate in plenary this morning (23 October). “Since the beginning of the year we are saying loud and clear that without amending budgets there will be a rupture of payments,” he said.

At the end of this morning’s debate, the plenary accepted the recommendation from the budgets committee, which had approved the extra funds last night, to hold an emergency vote tomorrow, defeating a motion by Liberals and Greens to hold a vote early in November. MEPs insisted that tomorrow’s vote should be preceded by a proper debate.

The Council of Ministers approved the extra money, which will come from member states’ treasuries and is needed to make up for shortfalls in revenue from VAT and excise duties, in an emergency procedure on Monday. This became necessary after MEPs last week refused to approve another set of top-up funds – €3.9bn, the second installment of a request made by the Commission in the spring – because they felt that the Council of Ministers had acted in bad faith in endorsing the top-up at ambassadors’ level only.

Authors:
Toby Vogel 

Anne Parillaud, brisée par le départ de Jean-Michel Jarre

«Jean-Michel Jarre et sont aujourd’hui séparés et vivent dans deux appartements distincts, leur divorce étant la suite logique de cette rupture», indiquait le communiqué, en novembre dernier. Une claque, un coup de canif, une meurtrissure pour celle qui a appris la séparation d’avec «l’homme de sa vie» par presse interposée.

Pour France 2, elle sera La Brinvilliers, Marquise des Ombres, dans un téléfilm diffusé mercredi 9 février.Mais si elle joue à merveille les intrigantes, (une rebelle mystique, empoisonneuse et parricide qui sévit sous le règne Louis XIV), Anne Parillaud est à la ville, une femme blessée. Délaissée alors qu’elle pensait avoir trouvé «le grand amour, le vrai, l’unique», qu’elle souhaitait plus que tout s’épanouir au sein d’une famille heureuse et recomposée, l’actrice, «sensible, profonde, complexe», a confié «sa douleur» au magazine Paris-Match.

A cœur perdu, en quête d’authentique et de sincérité, elle explique: «Je n’ai aucune confiance en moi, aucune vision de moi. Je ne me porte aucune valeur, aucun amour. Je suis dans une totale dépendance du regard de l’autre pour pouvoir exister. Je suis un être vivant prêt à tout pour sentir et ressentir. Dans mon métier et dans ma vie, je ne veux absolument pas me protéger, ni émotionnellement ni physiquement. Je prends tout. Même le destructeur me construit. Munie de ma passion, de mon désir absolu et de ma démesure, je suis capable de tout, mais cette dimension exige une totale réciprocité et complicité: le partage des secrets, sans fard, sans duperie, sans crainte, sans jugement, avec l’acceptation des faiblesses.»

et Anne Parillaud ont eu le coup de foudre juste après la liaison entre le musicien et

. Après sept ans d’amour et cinq ans de mariage, le «pape» de la musique électronique grand public a décidé de mettre un terme à leur relation. L’interprète de Nikita s’est sentie manipulée. «Pour la première fois de ma vie, le mariage n’était plus un concept mais un vœu, un sacrement dont les préceptes, entre autres, celui de la fidélité, pouvaient non seulement devenir une évidence mais aussi un désir. Je ne me suis mariée qu’une seule fois, pour m’apercevoir en finalité que vraisemblablement tout était faux, que tout n’avait été qu’illusion.»

Car cet engagement, complet, était inespéré: «Je pensais que je n’étais pas capable d’aimer. J’avais la passion du cinéma, la passion d’être mère, l’amour ne me faisait pas rêver, je n’étais pas en quête du bonheur, je n’y croyais pas.»

Anne Parillaud et Jean-Michel Jarre

A la veille de passer devant les tribunaux, d’affronter son cher et tendre, Anne Parillaud est au fond du gouffre. «Comme quelqu’un de structure fragile, blessé, vulnérable et crédule… proie idéale et aisément manipulable pour une sorte de prédateur sans pitié. Je ressens un sentiment d’injustice et d’échec de ne pas avoir trouvé l’âme sœur. De plus, je n’aurais pas à répondre à certaines de vos questions aujourd’hui et tout serait resté dans la sphère de l’intime, si mon mari n’avait pas étalé dans les médias notre vie privée de façon choquante. Face à cette rupture annoncée, galvaudée, je me suis sentie obligée de le faire pour interrompre et ne pas cautionner un système fondé sur l’abus et la lâcheté.»

Cinglante à l’endroit de son ex-mari, de leur love story, elle tacle: «On mesure quelle a été la dimension d’une histoire d’amour à la façon dont elle se termine, quand disparaissent tendresse, respect, grâce, communication, vécu… »

?Alain Delon, Luc Besson, puis le compositeur d’Oxygène… La gracile brune aux yeux océan chercherait-elle encore son Pygmalion?

«J’aime les hommes brillants, talentueux et ambitieux. Evidemment que je pourrais tomber amoureuse d’un homme qui ne serait pas puissant, important ou connu, mais par rapport à mon problème d’absence de jugement sur moi-même, son regard n’aurait pas la même valeur que celui d’un très grand acteur ou d’un très grand metteur en scène. Ces êtres-là, en s’intéressant à moi, en me choisissant parmi d’autres, me donnent une belle identité, une existence. Leur reconnaissance me rassure.»

Aujourd’hui notre Antigone entrevoit le célibat comme une nécessité. «Cela ne m’est encore jamais arrivé mais je sens cette étape comme faisant partie d’un travail de deuil qui me permettra peut-être de redéfinir mes priorités.» Entière, sombre et émouvante, Anne Parillaud.

J.B

Mardi 8 février 2011

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Cindy Crawford: 45 ans, et alors?

Les années passent et … nous agace! Elancée, sublime, souriante, cette féline à la peau lisse vient de fêter son anniversaire… au top!

C’est en famille, dans un chalet douillet de la station d’Aspen que cette businesswoman accomplie a soufflé ses bougies, dimanche 20 février. Toujours branchée, Cindy Crawford a posté sur Twitter: «Merci à tous pour vos vœux d’anniversaire! Je n’arrive pas à croire que j’ai 45 ans!!! A cette occasion, j’ai dîné dans un restaurant thaïlandais et j’ai passé une super journée sur les pistes de ski! Je me suis prélassée dans un jacuzzi avant un massage exquis».

Silhouette sculptée et teint parfait, l’ex-madame

n’est pas du genre à se lamenter du poids des années. «Quand on n’a rien à faire de sa vie, évidemment on peut se soucier des rides et du processus du vieillissement. Mais quand on a un foyer, un travail, des amis et une envie d’aider les autres, on est suffisamment occupée pour ne pas se ronger les ongles (…) Rester debout face à un miroir et me plaindre, je trouve ça pénible», vient-elle de confier.

Epouse d’un richissime homme d’affaires dont elle semble toujours aussi éprise après 13 années de mariage, maman épanouie de Presley Walker, 12 ans et Kaya Jordan, 10 ans, l’ancien mannequin vedette affiche toujours décolleté ravageur, chute de rein à tomber et démarche chaloupée. C’est d’ailleurs en vamp irrésistible que la fatale quadra (parée de Louboutin, Dolce & Gabanna et

) vient de poser devant l’objectif d’Andrew Macpherson, une séance de photos destinée (excusez du peu) à la Une du magazine de mode FutureClaw.

Enervante, dites-vous?
Click Here: cheap south sydney rabbitohs jerseyCourbes sexy, chevelure en cascade, jambes infinies… Sacrée reine du sex-appeal dans les eighties, cette belle plante (1m75, taille 40) est toujours un exemple à suivre.

Star de l’agence Elite dès l’âge de 17 ans, l’ancienne rivale de Claudia Schiffer, Naomi Campbell et Linda Evangelista a effectué une reconversion des plus réussies. Après des années à parcourir le monde au rythme des défilés, la ravissante native de l’Illinois a commencé par donner des cours de fitness en vidéo. En maillot, Miss aérobic a fait un carton!

Son côté glamour a également séduit de nombreuses marques qui en ont fait leur égérie: Revlon, Pepsi, Omega, Wella… A la fin des années 90, la piquante brune est devenue incontournable. Après une histoire tumultueuse avec l’acteur William Baldwin, sa vie privée s’est stabilisée en 1998 lorsqu’elle a dit «oui» à Rande Geber. Mais devenir rentière, très peu pour elle! La pulpeuse retraitée (au grain de beauté qui fait mouche) a décidé de créer une marque de cosmétiques, Meaningful Beauty, en collaboration avec le Docteur Sebague, qu’elle consulte depuis ses 29 ans pour des injections de vitamines. Elle s’est mise également au parfum avec une fragrance éponyme.

En 2008, cette working-girl a diversifié ses activités en lançant, au Canada, une ligne de décoration composée de meubles en bois exotiques et de cuirs précieux. Sportive épicée made in USA, Cindy Crawford a su faire de ses formes et de son galbe un atout financier. Amoureuse, elle coule aujourd’hui des jours heureux (et hyperactifs) sur la plage de Malibu et gagnerait plus de 15 millions d’euros par an. Happy birthday!

Justine Boivin

Mercredi 23 février 2011

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Le jour où Rama Yade a dit non au JT de M6

Le président de M6 raconte au Parisien que l’été dernier, il a proposé à de présenter le journal télévisé de sa chaîne. Une sollicitation à laquelle l’ancienne secrétaire d’Etat n’a pas donné suite.

Ambassadrice plutôt que présentatrice: Rama Yade a choisi. Un choix plutôt cohérent et logique de la part d’une femme qui s’est engagé en politique. Mais l’ancienne secrétaire d’Etat, et désormais actuelle ambassadrice de France auprès de l’UNESCO, a bien failli atterrir dans un studio de télévision pour présenter le JT. C’est en tout cas ce que raconte Nicolas de Tavernost, président de M6, dans Le Parisien de vendredi, confirmant l’information publiée par L’Express jeudi.

L’idée lui est venue l’été dernier, lorsqu’avec les autres responsables de la chaine, ils réfléchissaient à la création d’un journal télévisé du soir, sur le modèle de celui du midi. «J’ai proposé à Rama Yade la présentation du 19 h 45 quand il n’existait pas encore et qu’on préparait son lancement» raconte-t-il. L’ancienne Secrétaire d’Etat aux sports étaient alors une piste parmi tant d’autres: «A cette époque, nous avons vu beaucoup de monde, notamment Patrick Poivre d’Arvor, mais nous n’avons pas souhaité lui confier le poste».

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En revanche, l’envie de voir Rama Yade dire «Bonsoir, voici les titres de ce journal» était bien réelle chez Nicolas de Tavernost. Ce dernier, pensait «que c’était le bon moment» car la jeune femme «vivait alors une période embrouillée avec le gouvernement» (mésentente avec sa ministre de tutelle

, déclarations qui dérangent, épisode de la coupe du Monde de football…). Malgré toutes ces bonnes raisons qui auraient pu la pousser à quitter le gouvernement et se convertir, Rama Yade a décliné la proposition et refusé le JT. Nicolas de Tavernost explique: «elle n’a pas souhaité le présenter. Elle ne m’a pas demandé de délai de réflexion, elle a dit non tout de suite, sans équivoque, en me répondant: « Je suis engagée dans les affaires politiques, le journalisme n’est pas mon métier »».

En homme de conviction qu’il est, le dirigeant de M6 insiste auprès de cette «femme jolie et compétente»: «Je lui ai expliqué qu’une période consacrée à une carrière politique n’empêchait pas de vivre ensuite une carrière consacrée à la télévision et vice-versa. Cela n’a rien changé à sa réponse. Elle m’a répondu qu’elle n’en avait pas envie».

Devant le succès de son 19.45, présenté par Xavier de Moulins, Nicolas de Tavernost ne nourrit sans doute aucun regret. A-t-il donné à Rama Yade des envies de télé? Peut-être, puisqu’elle est chaque semaine sur LCI dans l’émission Think Tank où elle débat avec Olivier Ferrand. Ce qui redonne de l’espoir au président de M6: «Si un jour Rama Yade veut devenir journaliste sans pour autant présenter le journal, elle sera la bienvenue…»

Jean-Christian Hay

Vendredi 11 mars 2011

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