Isabelle Adjani nimbée par Nicolas Sarkozy

Le président de la République n’apprécie pas qu’on épingle ses ministres (ou autre trésorier de l’UMP). Mais en tant que Grand maître de la Légion d’honneur, il prend un plaisir certain à accrocher des insignes sur les boutonnières de ses intimes et de ses adjuvants en politique.

Feux d’artifice et pluie de hochets. En 2008, le chef de l’Etat avait gratifié les artisans de son bonheur conjugal:

, magistral metteur en scène du coup de foudre présidentiel et Nicole Choubrac, magistrate aussi discrète qu’efficace de son divorce avec Cécilia. ?Toujours aussi fier et amoureux de sa Carlita, mais plus apaisé et épanoui, Nicolas avait pris comme résolution, l’année passée, de ne plus négliger ses «potes». Honneur, Patrie et Fraternité: une tradition qu’il perpétue en 2010.

Privé de Garden Party avec ses amis,

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a distribué les plus hautes distinctions nationales à tous ses proches. Non seulement ceux du showbiz, mais aussi ceux des médias, du Droit, et même les PDG et les banquiers…

Martin Bouygues, PDG du groupe de construction, de médias et de télécommunications, témoin du deuxième mariage de Nicolas Sarkozy et parrain de son plus jeune fils Louis a ainsi été élevé au grade d’officier.

François Pérol, ancien conseiller du chef de l’Etat porté en 2009 à la tête du groupe Banque populaire-Caisse d’épargne (BPCE,), est quant à lui fait chevalier. Cet ancien ministre de l’Industrie et secrétaire général adjoint de l’Elysée est parallèlement visé par une plainte des syndicats pour «prise illégale d’intérêt».

Dans le secteur financier, le directeur général du Crédit Agricole, Jean-Paul Chifflet est aussi fait chevalier. Jean-François Dehecq, président d’honneur du groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis, est promu grand officier tandis qu’Alain Juillet, ancien responsable de l’intelligence économique, est élevé au grade de commandeur à l’instar de Bertrand Collomb, l’ancien patron de Lafarge, leader mondial des matériaux de construction, et de l’économiste Michèle Saint-Marc.

Reporter au Figaro et présidente de l’Association des journalistes parlementaires, Sophie Huet est promue officier tandis qu’Emmanuelle Mignon, ancienne directrice de cabinet de Sarkozy, est faite chevalier. Cette dernière avait quitté ses fonctions en décembre 2009 pour retourner au conseil d’Etat.

Maryvonne Caillibotte, directrice des affaires criminelles et des grâces au ministère de la Justice et Margie Sudre,

et Renaud Dutreil, anciens ministres de la majorité sont aussi décorés.

Sur la liste publiée mercredi au Journal Officiel, figurent le grand résistant Raymond Aubrac ainsi que l’historien Jean Favier, spécialiste de Napoléon, seules personnalités élevées à la dignité de grand’croix.

Parmi les grands officiers, on retrouve le compagnon de la Libération Jean-Louis Crémieux-Brilhac, auteur d’un ouvrage de référence sur la France libre, ainsi que le philosophe et académicien Michel Serres. Sont également auréolés les médaillés d’or aux derniers JO d’hiver de Vancouver Vincent Jay (biathlon) et Jason Lamy-Chappuis (combiné nordique).

Le contingent du monde de la culture est très fourni avec notamment, parmi les nouveaux officiers, la chanteuse Mireille Mathieu, l’actrice Charlotte Rampling l’historien Pierre Rosanvallon, le scientifique Maxime Schwartz le compositeur de jazz Claude Bolling, l’homme de théâtre Antoine Bourseiller, la cinéaste Marcelline Loridan-Ivens, le président du musée du Louvre Henri Loyrette ou encore l’architecte Jean Nouvel.

Parmi les couronnés chevaliers, on retrouve l’écrivain Calixthe Belaya, le réalisateur serbe Emir Kusturica, le musicien camerounais Manu Dibango, le philosophe Jacques Bouveresse, le peintre Philippe Cognée, l’écrivain Joël Schmidt, l’administratrice de la Comédie-Française Muriel Mayette et enfin la sublime Isabelle Adjani. Consécration suprême, cette distinction vient s’ajouter au César que la belle a obtenu cette année pour son rôle dans La Journée de la Jupe.

J.B

Jeudi 15 juillet 2010

Haas ‘won’t make the same mistakes’ pledges Steiner

Haas F1 Team principal Guenther Steiner has insisted that the squad won’t make the same sort of mistakes that plagued its 2019 campaign.

Having made its debut on the grid in 2016, the American team peaked in fifth place in the 2018 constructors championship, only to slump to ninth at the end of last year following a series of problems with the VF-19.

But Steiner said that Haas had learned valuable lessons from the experience and had adjusted its approach for 2020 as a result.

“I’m taking things on board,” he told the media this week. “We are not going to make mistakes like last season.

  • Magnussen: Albert Park track ‘doesn’t suit my driving style’

“We are working a little bit different,” he continued. “There can still be mistakes, but I think if I would say we didn’t learn our lesson and be stupid like last year that wouldn’t make me feel great.

“We learned our lesson. We are humble, and we’ll try to be like two years ago again. Let’s speak about two years ago.”

Steiner was happy that his drivers Romain Grosjean and Kevin Magnussen were making “the right noises” about this year’s car.

“Obviously a driver is never happy, and especially if you think what happened to us last year,” he acknowledged. “We were very happy with it, then it is ended up not to be good!

“Everybody’s very cautious. We are very cautious in our prediction for this season,” he noted. “We don’t want to be, ‘It’s all good, it’s all good’ and then fall hard.

“We do a diligent job and try to do the best and see where it takes us,” he said, adding that last season’s slump might even work in the team’s favour when it comes to the this year’s campaign.

“We are a little bit of a dark horse because we play it different,” he pointed out. “We change around a lot of things. Normally here there is a pattern in it, and we’re changing the pattern a little bit.”

©Haas

Grosjean said he was looking forward to getting back to work again after the winter lay-off.

“I love the Albert Park circuit and I love Australia and the city of Melbourne. To me it’s one of the best races of the season. I’m happy to go down to Australia every year.

“I’ve had some good qualifying sessions there, I’ve always been pretty much in the top 10, with a couple of exceptions.

“The races, yes, my luck hasn’t been good in Australia,” he admitted. “I’ve got the feeling things will be different this year and I’m looking forward to it.”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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Cos launches new jewelry collection featuring recycled silver

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Swedish fashion brand Cos—which is known for its minimalist styles and
commitment to ethical fashion—has launched a new collection of sustainable
jewelry as one of its latest endeavors towards a more environmentally
responsible future in fashion. According to an announcement from the
H&M-owned brand, this is its first collection featuring recycled sterling
silver.

The process for the Cos’ sustainable pieces involves taking salvaged
second-hand silver products, which are sourced from around the world. The
silver in each piece is refined until its purity is brought back to 99.9
percent. Then, it is reworked into new, design-driven pieces.

The recycled sterling silver collection is available in Cos
stores—including all of its Los Angeles locations—as well as on the brand’s
online retail site.

Images: Courtesy of Cos

Pamela Anderson s’attaque à Vladimir Poutine

, on le sait, n’a pas froid aux yeux. Ni ailleurs. Ainsi, la sirène n’a pas hésité à s’adresser directement à pour défendre la cause des phoques au Canada, dont la Russie se sert pour fabriquer des fourrures. Et même lorsqu’il s’agit de banquise, Pamela donne chaud.

Ambassadrice de la PETA, Pamela Anderson, sirène d’Alerte à Malibu connue pour sa plastique incroyable dans son petit maillot de bain rouge, n’en finit plus d’affoler les gens.
Mais il ne s’agit plus désormais de son célèbre tour de poitrine. Non, désormais la sirène donne l’alerte pour une tout autre cause, celle des phoques provenant de son pays natal, le Canada.

«Le gouvernement canadien a refusé de changer d’avis sur ce sujet, malgré les protestations généralisées et l’interdiction des autres pays d’importer des peaux de bébés phoques. J’ai rassemblé des milliers de signatures et transmis la pétition au Parlement sans résultat», expliquait l’actrice dans Elle.

Du coup, la starlette remonte à la source et s’attaque désormais à l’un des plus grands consommateurs des peaux de bébés phoques: la Russie. Car si la demande faiblit, l’offre réduira forcément aussi.

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Fin avril, Pam’ a donc écrit, puis envoyé, une lettre au Premier ministre russe, Vladimir Poutine. «Vous avez interdit de tuer les bébés phoques en Russie et je vous écris pour vous demander d’interdire les importations de la peau des phoques de mon Canada natal, où les phoques tués ont tous moins de trois mois», a-t-elle plaidé.

Une réclamation à laquelle Poutine serait «très sensible», selon le porte-parole de ce dernier, qui semble avoir toujours tenu à préserver la nature, défendre les bébés phoques, les ours polaires et même les léopards.

Chassés sur les glaces polaires du Canada, les bébés phoques constituent une énorme source de revenus pour les Inuits notamment, mais Pamela est fin prête à faire cesser ce «massacre barbare».

Digne héritière de son idole Brigitte Bardot, l’ancien mannequin à l’impressionnant tour de poitrine a à son tour pris sa plume, et démontré qu’elle savait décidément bien s’y prendre avec les hommes. Et nul ne doute que Poutine sera sensible aux arguments de l’ancienne playmate

Vendredi 4 juin 2010

Michel Sardou: son renouveau en vidéo!

égal à lui-même? Jamais! Et c’est bien cela qui ne change pas chez lui. Sinon, il a balayé ses femmes des années 80 avec le DJ Laurent Wolf et nous propose un clip (que vous pouvez découvrir avec Gala.fr, ci-dessous) en attendant l’album, dans les bacs et sur les plateformes de téléchargement ce vendredi.

« J’ai fait 15 textes en 11 jours, ça venait comme ça (…). Quand tu te fatigues sur une chanson, au bout d’un moment tu commence à la truquer pour en finir et ce n’est pas bien… Tandis que là, pour cet album, ça venait tout seul. » C’est ainsi que Michel Sardou évoquait la genèse-express de son nouvel album, Etre Une Femme 2010, chez

Jean-Jean sur RTL Une galette toute fraîche, disponible dès ce vendredi 30 août, qui s’illustre déjà par un clip…
Lesquels ne passeront pas inaperçus, et non seulement grâce aux appétissantes créatures qui y apparaissent, mais aussi par ce Etre Une Femme 2010, « la même chanson qu’en 80 mais avec d’autres paroles », comme le souligne Michel Sardou. Un « remix » textuel qui fleure les désillusions…”l’amour, elle n’y pense plus, juste un amant qu’elle ne revoit plus… Question salaire, ça ne va pas mieux, celui d’un homme coupé en deux”.

« Pour ce titre je me suis dit: «Voilà ce qu’elles ont voulu dans les années 80, commente Michel Sadou. Aujourd’hui est-ce qu’elles l’ont eu ? Est-ce qu’elles sont déçues ? Ou alors heureuses ? … Bon je ne l’ai pas fait en étant trop sérieux, c’est même plutôt une chanson joyeuse, rien de méchant, quelques petites vannes car je ne peux pas m’empêcher d’être provoc’ », s’amusait encore l’artiste. Lequel a confié le son au DJ français Laurent Wolf qui a donné son punch au morceau dans son studio de Miami d’où il envoyait les fichiers musicaux à Sardou par internet.

Autres titres de ce nouvel l’album concocté par Michel Sardou-2010: Voler (en duo avec

), Chacun Sa Vérité, Elle Vit Toute Seule, Ça Viendra Forcément, Rebelle, Une Corde Pour Se Noyer, Soleil Ou Pas, L’Humaine Différence, Les Nuits Blanches A Rio et Lequel Sommes-Nous.

Quant à la pochette, digne de figurer dans un « diner » hanté par des pilotes de l’US Air Force, elle n’a pas atterri par hasard sur la couverture de ce nouvel opus. « J’étais dans ma classe de pilote, et il y avait une lithographie avec une pin-up accrochée, racontait Michel Sardou sur RTL. Le dessinateur était Romain Hugault. Je me suis dis, pourquoi ne pas l’appeler pour la pochette et les illustrations des titres ? Ça fait 20 ans que je fais la gueule sur les pochettes donc pour une fois cela changera! »

Un album, un clip et bien sûr une tournée en 2011 dont Gala.fr vous propose de découvrir les dates:

Janvier :
13/01/2011 au 06/02/2011 >>> Paris – L’Olympia

Février :
11/02/2011 >>> Saint-Etienne – Le Zénith
12/02/2011 >>> Cournon – Le Zénith d’Auvergne
16/02/2011 >>> Lyon – Halle Tony Garnier
17/02/2011 >>> Riorges – Le Scarabée
18/02/2011 >>> Geneve – Arena
23/02/2011 >>> Marseille – Le Dome
25/02/2011 >>> Toulouse – Le Zénith
26/02/2011 >>> Pau – Le Zénith

Mars :
01/03/2011 >>> Bordeaux – Patinoire Meriadeck
02/03/2011 >>> Angouleme – Parc des expos
03/03/2011 >>> Limoges – Le Zénith
04/03/2010 >>> Châteauroux – Tarmac
05/03/2010 >>> Orléans – Le Zénith
08/03/2011 >>> Angers – Amphitea
09/03/2011 >>> Nantes – Le Zénith
11/03/2011 >>> Le Mans – Antares
12/03/2011 >>> Caen – Le Zénith
15/03/2011 >>> Rouen – Le Zénith
16/03/2011 >>> Lille – Le Zénith
17/03/2011 >>> Bruxelles – National Forest
22/03/2011 >>> Epernay – Le Millesium
23/03/2010 >>> Metz – Les arênes
24/03/2011 >>> Strasbourg – Le Zénith
25/03/2011 >>> Nancy – Le Zénith
26/03/2011 >>> Dijon – Le Zénith
28/03/2011 >>> Montbelliard – L’axone
29/03/2011 >>> Chambery – Le Phare

Avril :
02/04/2011 >>> Amiens – Le Zénith

Regardez la vidéo:

Jean-Frédéric Tronche

Jeudi 29 juillet 2010

Clip : Norah Jones chante “Everybody needs a best friend” pour “Ted”

Extrait de la bande-originale de “Ted”, le très jazzy “Everybody needs a best friend” par Norah Jones a désormais son clip. La vidéo comprend de nombreux extraits du film dont les héros sont Mark Wahlberg, Mila Kunis et bien sur l’ours en peluche Ted !

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Découvrez le nouveau clip de Norah Jones, Everybody needs a best friend, extrait de la bande-originale de Ted, qui sortira sur les écrans français le 10 octobre 2012.

BB

L’obsession de Michelle Williams

Depuis la mort de , le père de sa petite Matilda, 5 ans bientôt, masque son chagrin derrière des personnages intenses. Mais pas seulement…

Le 22 janvier 2008, Hollywood apprenait le décès de l’un de ses acteurs les plus prometteurs, Heath Ledger. Joker schizophrène et flamboyant dans Batman, cowboy homosexuel bouleversant dans Brokeback Mountain, l’Australien aimait les paradis artificiels. On a reconnu son talent d’interprète, magistral, on l’a parfois traité de junky, sans suffisamment évoquer l’amour infini qu’il portait à Matilda

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, sa fillette née de son union avec Michelle Williams.

Au moment de disperser les cendres de son ancien compagnon dans l’Océan Pacifique, la jolie «Jen» de Dawson a perdu pied. Comment refaire surface quand l’homme de sa vie vient de partir en solitaire pour son dernier voyage? ?Terrassée par cette tragique disparition, la star a retrouvé la force d’apparaître en public, de moins pleurer, puis de sourire… Jusqu’à incarner l’éblouissante Dolorès Chanal dans Shutter Island de Martin Scorsese.

Teint de porcelaine, moue mutine et regard pétillant, la belle a trouvé du réconfort dans les bras du réalisateur Spike Jonze, l’ancien mari de la réalisatrice Sofia Coppola. Mais le regard aimant, l’affection, l’attention que ces deux enfants du cinéma se portaient n’a pas pansé pas les plaies et l’idylle a fait long feu.

Aujourd’hui, la Blondinette souffre encore. Elle se défonce… sur son ordinateur!

Accro au clavier. Michelle Williams vient de confier sa dépendance informatique au magazine américain W. «J’essaie tant bien que mal de rester déconnectée, mais je suis l’esclave de ma machine. Je ne pense pas que ce soit bien – est-ce que Tolstoï aurait écrit à Anna Karenine s’il y avait eu Internet? Je me déteste lorsque j’envoie des emails. C’est comme une drogue – vous attendez toujours un message en retour. Je suis une toxicomane du Web», confie l’actrice qui rêverait de rédiger de longues lettres manuscrites. Une manière de se cacher, derrière cette Toile qui fait écran… ?

Justine Boivin

Mercredi 15 septembre 2010

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Naomi Campbell, sous le charme de Nicolas Sarkozy

Oublié les crêpages de chignons et les rivalités de tableaux de chasses. se fait tout miel pour évoquer sa partenaire de mannequinat, Carlita, et son adorable petit mari…

Sublime en Une du magazine américain Interview (un fanzine dédié aux arts et aux célébrités créé par Andy Warhol en 1969), la déesse des podiums se livre dans un entretien fleuve.

A 40 ans (dont 25 ans de carrière sur les catwalks), la féline Naomi Campbell fait le point sur sa vie d’égérie. Star de papier glacé, et harpie à ses heures, la ravissante furie aurait calmé ses ardeurs et trouvé l’apaisement grâce à la Kabbale. Et sur le plan amoureux, c’est, ô surprise, de son adoration pour le couple Sarkozy dont elle a choisi de parler.

Et la lionne ne tarit pas d’éloges:« J’ai toujours beaucoup aimé Carla, c’est une femme étonnante, une grande amie et une vraie confidente. Aussi loin que je me souvienne, elle a toujours dégagé cette même élégance», s’est épanché le top-model. «Nous voyageons beaucoup, donc nous n’avons pas l’occasion de nous voir très souvent, mais nous restons en contact», a précisé la panthère aux yeux verts.

D’ailleurs la belle aux parures controversées a récemment eu l’occasion de dîner à l’Elysée. Et ce n’est ni les diamants de la première dame, ni les dorures du Palais qui l’ont séduite, mais le romantisme et la passion qui anime le chef de l’Etat. «Je suis subjuguée par la façon dont le président Sarkozy parle de son épouse. C’est merveilleux de voir qu’il évoque Carla avec autant d’amour, d’admiration et de fierté»!

Devenir First Lady et être traitée «comme une reine», de quoi donner des idées à la miss Campbell? Détrompez-vous! Croqueuse d’hommes (et tombeuse, entre autres, de

,

, Flavio Briatore, Gerard Butler, Usher et Eric Clapton), notre jolie porteuse de pierre précieuse roucoule depuis plus d’un an avec le milliardaire russe Vladislav Doronin.

Si Nicolas est l’homme idéal, ce n’est pas une raison pour le prendre dans ses griffes… Seulement l’occasion de se réjouir pour sa «copine». Métamorphosée, Naomi!

J.B

Mercredi 20 octobre 2010

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Maverick minister

Maverick minister

Alan Shatter, Ireland’s minister for justice and equality, and for defence

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Ireland’s general election of 2007 took an alien twist in the constituency of Dublin South, where voters received an unorthodox campaign leaflet. It showed a picture of the American actor William Shatner, in his most famous guise as James T. Kirk, captain of the Starship Enterprise in the television show “Star Trek”. Next to Shatner was Alan Shatter, one of the candidates in the election, dressed in identical Star Trek clothing. The message on the campaign leaflet read: “Only one of these men needs your vote.” Voters were warned that their candidate “needs your No 1 vote or he may resort to phaser weapons”.

Clearly the man who is now Ireland’s minister for justice and equality, and for defence, has a streak of eccentricity. The leaflet may have given a misleading impression that he was not serious about politics. But it was accurate in implying that he is combative, even without phaser weapons.

Shatter is in charge of some of the most important changes being demanded by Ireland’s international lenders, the International Monetary Fund, the European Central Bank and the European Commission. He has been in government since the centre-right Fine Gael party formed a coalition with Labour in February 2011, and he has pushed through some deeply unpopular reforms. He has closed police stations across the country, and is determined to shake up the legal profession. He is not afraid to take on Ireland’s most powerful people. He recently became embroiled in a row with the country’s judges, who have accused the government of attacking their independence.

He distances himself from the cosy conservatism characteristic of most of his colleagues in Fine Gael, the larger party in the ruling coalition.

“As a minister he is pretty abrasive, but he is getting things done,” says Gary Murphy, head of law and government at Dublin City University. “I can see why his acerbic nature would annoy some people, but I find it refreshing, considering Irish politics is riddled with the mediocre.”

Shatter’s style probably owes a lot to his background. Born to Jewish parents, he was in a minority from the start: there are fewer than 2,000 practising Jews in Ireland, and he is the country’s only Jewish member of parliament. He attended Protestant schools and Trinity College Dublin, where he studied law. He qualified as a solicitor in 1976 and joined a law firm, becoming a partner a year later. “While he was still in his late 20s, he wrote the definitive text on family law in Ireland,” says Harry McGee, political correspondent with the Irish Times.?

A weekly slot giving legal advice to listeners on one of Ireland’s most popular radio programmes brought him to public attention. It was the launchpad for a political career, and he won a seat in the Irish parliament, the Dáil, in the 1981 general election. From the start it was clear that Shatter would not be content to play political games – he wanted to get things done. He held a number of spokesman positions while Fine Gael was in opposition, including on law reform, environment, health, children, and justice, and introduced a number of private member’s bills – some of them taken up by the government.?

Shatter seemed uninterested in breaking into the inner circle of the Fine Gael leadership. Close observers say that even today he has few friends among the political classes. “He is not the kind of person who would be down in the bar drinking with the other guys,” says McGee.

Shatter has stuck to certain principles, including a determination to combat animal cruelty. That commitment earned him demotion from the opposition front bench in 1993 when he ignored the party line and voted in favour of a ban on hare-coursing.?

During his time as a member of parliament he continued to practise law, and it was then that he had a tangle with the legal profession that has left lingering bitterness. Shatter argued that it was his right to argue on behalf of clients in court, even though he is a solicitor and the role was usually reserved to senior barristers. A war of words ensued, with the body representing barristers rebuffing Shatter’s attempts to change the system.

Shatter’s assertiveness on a number of subjects meant he has always maintained a high public profile. “People vote for him because he is intelligent rather than because he is popular or likeable,” says McGee. But in 2002 even his intelligence was insufficient to save him, and he lost his seat in an election that proved catastrophic for Fine Gael.

During his five years out of frontline politics, Shatter returned to private law practice, which allowed him to spend more time with his wife and two children, as well as enjoying his hobbies – going to the cinema and following the fortunes of the English football team Tottenham Hotspur. Alongside his book on family law, he has also published a novel called “Laura”, based on a legal battle about adoption.

Shatter won back his parliamentary seat in the 2007 election – with or without the help of the Starship Enterprise – and immediately threw himself into controversial issues, notably investigating the deaths of children in state care. In defiance of an attempt by the then government to restrict information on the subject, he published a report into the tragic case of one young girl, citing public interest. “He was very effective in opposition on justice matters,” says one political observer.

Shatter backed Enda Kenny in 2010 when a challenge was made to Kenny’s leadership of Fine Gael, and his loyalty was rewarded when Kenny became prime minister, and Shatter was given his current portfolio.

Shatter’s work ethic and intelligence are beyond doubt, but he does not court popularity. Spats with the judiciary and the legal profession – more recently over attempts to reduce judges’ pay and regulate solicitors and barristers – may not have diminished his public standing, but his confrontational style risks making reform harder to secure. Many attribute the loss in 2011 of a referendum on setting up parliamentary inquiries to Shatter’s dismissing as “nonsense” the concerns of a group of former legal advisers to Irish governments. “If it were a rugby game, Shatter would be the guy who would come on just to get a yellow card,” says McGee. “He just does not care if people like him or not.”?

His defence of the Israeli government and the put-downs he has traded with journalists and other politicians – “ignorant buffoon” is just one of the insults he has aimed at other members of parliament – may not win him friends. But his profile as one of the most effective ministers assures his position on the front bench. “We were told for years that things could not be done in a number of areas in justice,” says one campaigner for prison reform. “But overnight, with the stroke of a pen, things have happened. He has been very effective in a very short time.”

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Curriculum vitae

1951: Born, Dublin

1973: Law degree, Trinity College Dublin

1976: Qualified as a solicitor

1981-2002: Member of parliament

2007-: Member of parliament

2011-: Minister for justice and equality, minister for defence

Authors:
Judith Crosbie 

Barnier plans 300-strong bank resolution agency

Barnier plans 300-strong bank resolution agency

Commissioner does not rule out future treaty change but says single resolution mechanism should not wait.

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Michel Barnier, the European commissioner for the internal market, today proposed the setting up of a eurozone-wide bank resolution agency with 300 members of staff that would have the power to recommend that ailing banks be wound up or restructured.

The plan, part of a single bank resolution mechanism proposed today, would hand the final decision over whether any of the eurozone’s 6,000 banks need to be wound up to the European Commission after the agency’s recommendation.

The agency’s main decision-making board would be made up of representatives of existing national resolution authorities, the European Central Bank and Commission, and a chairman and vice-chairman appointed by the European Union’s Council of Ministers following approval by the European Parliament.

In due course it will have recourse to a central resolution fund of about €70 billion – pooling together existing national resolution funds in the eurozone and contributions from the eurozone banking sector. However, this is to be built up gradually and is unlikely to reach that total for about ten years. In the meantime, taxpayers could still be forced to contribute to bank bail-outs.

The Commission wants the single resolution mechanism to start work in January 2015. It however would not be able to enforce losses on creditors – under a system agreed by finance ministers last month – until 2018.

Today’s proposal, which must be approved by member states and the European Parliament before it can become effective, is expected to be met with opposition, particularly from Germany.  

Yesterday Wolfgang Schäuble, Germany’s finance minister, warned that the Commission’s plans risked causing “major turbulence” if the draft legislation did not “stick to the limited interpretation of the given treaty”.

Germany believes that any move to take the decision about when to use public money away from national governments could be in breach of current EU treaties. Under today’s proposal the resolution authority would not be able to force bank resolution or restructuring if it meant that public money was necessary.

“I’m not ruling out in the future a possible treaty change,” Barnier said today. “If there’s some subsequent change to improve or consolidate this system then we’re prepared to consider this, but we have immediate responsibilities. “We know what the problems are and we have to tackle them. There’s a way in the current treaty.”

Authors:
Ian Wishart 

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