On les avait découverts, il y a un an, enlacés au premier rang de la Fashion Week parisienne. L’idylle entre le rappeur et la sculpturale Amber tourne au bestiaire ambulant.
Bling-bling à souhait, le magna du rap et sa délicieuse modeuse ne cachent pas leur goût pour les poils et s’exhibent volontiers emmitouflé de renards, chinchillas et autres écureuils de Russie…
Dan Matthews, le vice président de PETA (un groupe qui défend le «traitement éthique des animaux») tire à bout portant sur ces fashionistos sans scrupules: «Kanye ne peut pas s’empêcher d’avoir l’air idiot, que ce soit à une cérémonie de remise de prix ou à un défilé de mode. Lui et sa compagne ressemblaient à des créatures pathétiques, tout droit sorties d’un zoo».
Une offense bien méritée qui s’explique ainsi:
Lors des MTV Music Awards qui se tenait à New-York fin septembre, le boss du Hip-hop a joué les goujats avec la jeune Taylor Swift. Alors que la baby-doll de musique western recevait le trophée de vidéo de l’année (pour le clip de You Belong With Me), Kanye West est monté sur scène et a interrompu les remerciements de la lauréate. Gâchant le plaisir et interrompant la gloire de la princesse country, le richissime producteur a tout bonnement déclaré que la meilleure réalisation, une des meilleures de tous les temps d’ailleurs, était celle de Beyoncé. Abasourdie, désappointée, la jolie blonde c’est éclipsée, docilement.
Sexy, provocante, féline, la sublime Amber Rose, 26 ans, a tous les arguments pour séduire Kanye. Mannequin de son métier, créature de rêve à la silhouette élancée (1,82 m, tout de même) et à la bisexualité affichée (elle partageait la vie d’une top-modèle avant de rencontrer Yeezy, 32 ans), Amber attire aussi les flashes par ses tenues extravagantes qui laissaient apprécier toute la perfection de son anatomie. Mais férue de vair et inconsciente du massacres des petits-gris, la jolie tigresse au crâne rasé prend plaisir à arborer une (défunte) ménagerie.
C’est un problème, en effet, lorsque le ridicule se met à tuer…
J.B
Mardi 26 janvier 2010
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Starr parmi les stars immortelles. Le musicien rejoint des légendes du cinéma, comme Marilyn Monroe et et les petits nouveaux de la promenade: , Hugh Jackman, Cameron Diaz, Anjelica Huston et James Cameron.
Here Comes the Sun. L’ex-batteur des Beatles a désormais son nom gravé sur le Walk Of Fame. Richard Starkey (surnommé Ringo Starr parce qu’il arboré des bagues à chaque doigt) a reçu lundi son étoile sur le Boulevard de la Gloire.
Entouré de son épouse l’actrice Barbara Bach, des musiciens Jay Walsh et Ben Harper, du producteur Don Was, du réalisateur David Lynch et de l’acteur Noah Wyle, Ringo (verres fumés, barbe noire et quincaillerie plutôt discrète) a reçu le 2 401e astre de la célèbre avenue qui fêtait son 50e anniversaire.
Son ancien complice (et collègue de méditations transcendantales), Sir Paul McCartney, n’a, en revanche, pas assisté à la cérémonie.
A bientôt 70 ans, Billy Shears (le pseudo utilisé sur l’album Sergent Pepper’s) s’inscrit dans une constellation dont font partie les défunts John Lennon et George Harrison. Le mythique groupe de Liverpool, «plus connu que Jésus», a également sa plaque depuis 1998 sur ce trottoir incrusté d’étoiles rendant hommage à des personnalités du spectacle, qui attire environ dix millions de visiteurs chaque année.
«Les Beatles ne se reformeront pas tant que John Lennon s’obstinera à rester mort», affirmait le «quiet» George Harrison, cynique et drôle. C’était sans compter sur le marbre hollywoodien…
Un Prophète en son pays. Sacré sur La Croisette et en route pour l’Oscar, le film de Jacques Audiard a triomphé aux César.
Avec 13 nominations, le présage était bon. Mais le récit de l’ascension d’un jeune Beur en prison, un opus-choc signé Jacques Audiard, a été littéralement consacré samedi soir. Ce drame carcéral a été le grand vainqueur de la 35e cérémonie des Césars, avec neuf trophées dont celui du meilleur film français 2010.
Oracle aussi modeste que touchant, son interprète Tahar Rahim, 28 ans, a réussi un doublé historique en décrochant le titre de Meilleur Acteur et celui du Meilleur Espoir Masculin.
«Fier», «heureux», mais aussi déconcerté par une telle reconnaissance des gens du métier alors qu’il affrontait des figures confirmées du 7e Art comme
,
et
, le comédien s’en est remis à son mentor.«Je ne te remercierai jamais assez, Jacques, de m’avoir invité à bord, de m’avoir mis en première classe. Ces deux années passées à tes côtés resteront à jamais gravées là, donc merci!», a-t-il déclaré, ému.
Ce film noir haletant le suit sous les traits de Malik El Djebena. Matricule 35114T, Malik vient d’arriver en centrale. Sa première fois en taule. C’est une petite frappe. Il a l’air plus fragile et nerveux que les autres prisonniers. Il a 19 ans. Il ne connaît personne. Il ne sait ni lire ni écrire. Condamné à six ans de détention, il va tenter de survivre à travers ses quatre murs de béton, son lit en fer, sa fenêtre minuscule et son lavabo crado.
Analphabète mais intuitif, Malik va très vite apprendre à sauver sa peau. Sans famille, ce truand en herbe est une page vierge sur laquelle vont s’inscrire les codes brutaux de la captivité. En deux heures et demie, cette petite frappe pactise avec le diable, devient le larbin d’un parrain corse, un «prophète», une fascinante crapule qui capte l’attention.
César du Meilleur Acteur dans un Second Rôle, le charismatique et bougon Niels Arestrup a tenu à saluer le talent de son jeune partenaire. «Conscient du privilège» d’avoir tourné deux films avec Jacques Audiard, l’acteur d’origine danoise a remercié le cinéaste «pour tout ce sang neuf qu’il propose dans le cinéma français». «C’est important et réjouissant», s’est-il exclamé, de glace. Car Niels, que les jurés ont préféré au rappeur Joey Starr en lice pour le Bal des Actrices, reste sceptique face aux accessits. Comme il l’a répété aux journalistes, «être artiste est incompatible avec le fait d’être évalué et mesuré aux autres». Et l’homme à la chevelure immaculée de savourer avec circonspection voire amertume ce «bon point» décerné par l’Académie.
Plus sensible aux «preuves d’amour du cinéma français», Jacques Audiard ne s’est pourtant pas délecté avec effusion de son succès. «Je remercie mes acteurs chéris», a-t-il dit, avant de rendre hommage aux «nombreux anciens prisonniers qui jouent des rôles de figuration et qui l’ont aidé à recréer une atmosphère pénitentiaire réaliste».
Puis le réalisateur d’Un Héros Très Discret a fait de la scène du théâtre du Châtelet une tribune politique: «Il y a des gens qui demandent juste un titre de séjour (…) ce serait bien que les pouvoirs les regardent mieux et acceptent de recevoir le collectif des cinéastes pour les sans-papiers», a-t-il lancé à l’adresse notamment du ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, assis dans la salle.
Sanctifié sans surprise, Un Prophète partait largement favori, quatre ans après le précédent triomphe d’Audiard aux César 2006 où son film De Battre mon Coeur s’est Arrêté avec Romain Duris avait raflé huit trophées , dont celles de meilleur film et du meilleur réalisateur. Avec 1,2 million de spectateurs dans les salles où il est sorti fin août, Un Prophète a déjà remporté un vrai succès tant public que critique, accumulant les récompenses: Lauréat du Grand Prix au dernier Festival de Cannes, Prix Louis-Delluc («Goncourt du cinéma») en 2009, ou encore meilleur film au Festival de Londres.
Polar d’exception primé hier aussi pour son scénario, sa photo, son montage et ses décors, Un Prophète, coup de poing tout en grâce, est en lice pour l’Oscar du meilleur film étranger qui sera décerné le 7 mars prochain à Hollywood. Chose prédite, chose due?
Même s’il réalise près de 630 000 entrées pour sa deuxième semaine, “Madagascar 3” doit laisser sa place de leader à “Blanche-Neige et le chasseur”, qui réalise plus de 700 000 entrées pour ses débuts dans les salles françaises.
France – Etats-Unis : même combat ! Il n’aura en effet fallu qu’un seul tour de piste à Blanche-Neige et le chasseur pour presqu’égaler le score réalisé par son rival depuis ses débuts. Avec 706 260 pour sa première semaine d’exploitation, le film de Rupert Sanders prend la tête de notre box-office, et il ne devrait pas avoir de mal à atteindre 816 756 de celui de Tarsem Singh. Il s’en est pourtant fallu de peu pour que l’ancien leader, Madagascar 3, conserve sa couronne, mais ses 627 438 nouveaux tickets déchirés (pour un cumul de 1 763 594) n’ont pas été suffisants.
Très loin derrière ce duo de tête, Prometheus et Men In Black III se maintiennent dans les hauteurs du classement, avec respectivement 223 414 et 175 473 entrées supplémentaires, pendant que De rouille et d’os (5ème) enfonce le clou. Déjà sacré “plus gros succès” de Jacques Audiard, son nouveau film continue de grapiller des spectateurs et affiche aujourd’hui un total de 1 632 789.
Seul représentant français parmi les cinq premiers de ce Top, ce long métrage devance le dernier de Jean Becker, un habitué des bons résultats dont la dernière oeuvre, Bienvenue parmi nous, ne rassemble que 100 361 spectateurs en première semaine, ce qui est toujours mieux que le score de Quand je serai petit, qui a sans doute pâti d’un faible nombres de copies (105). Notons enfin que si 21 Jump Street et Dark Shadows continuent de résister à la concurrence, il n’en va pas de même d’Arrête de pleure Pénélope, qui passe de la 7ème à la 19ème place. Difficile de sécher ses larmes dans ces circonstances.
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Maximilien Pierrette avec CBO Box Office et Ecran Total
Convincing the public of the safety of reactors and the safe storage of waste remains among the biggest challenges for supporters of nuclear power.
The attraction of nuclear energy has increased because of concern for climate change: compared to hydrocarbon fuel, nuclear energy boasts low carbon emissions.
But the drawbacks of nuclear energy have not disappeared. There have long been safety concerns about operating with radioactive fuel, and the safe disposal of decommissioned plants and spent fuel is still a headache.
The Fukushima disaster has increased attention to the downside risks, even though the nuclear industry in Europe has been keen to stress that Fukushima was not an accident caused by human or mechanical error, but rather by a natural disaster. Most areas of Europe are not at risk of an earthquake or a tsunami.
The stress tests conducted by national regulators in the wake of the Fukushima disaster delivered an all-clear verdict on the safety of Europe’s nuclear plants.
Nevertheless, the possibility of an accident cannot be excluded. If something did go wrong, with some nuclear energy plants as close as ten kilometres from European cities, the consequences would be profound. Any nuclear meltdown would pose serious risks to public health.
That said, the industry has made improvements in the past two decades. The Fukushima disaster was rated a maximum level seven on the International Nuclear Events Scale – the same as that for Chernobyl in 1986. However, in February the French Institute of Radioprotection and Nuclear Safety estimated that the radiological equivalent of radiation released by the Fukushima accident is “about 10% of the corresponding equivalent of Chernobyl”. The total area that has been contaminated by Fukushima is about 5% of the area contaminated by Chernobyl.
Although the EU does not have competence over member states’ choice of energy mix, the European Commission does have the power to regulate nuclear safety through the Euratom treaty.
The treaty gives the EU the responsibility to protect citizens from the dangers arising from ionizing radiations, and to monitor radioactivity levels. It does this through the Basic Safety Standards directive (due for a simplification and revision), the nuclear safety directive, and the radioactive waste directive passed last year. But legislation in this area can be difficult to pass because it requires unanimity among the member states. The European Parliament has no say in Euratom matters.
Nuclear waste
The safe disposal of nuclear waste is a continuing challenge. The EU creates about 40,000 cubic metres of radioactive waste per year, 80% of which is short-lived low-level radioactive waste. France and the UK are the only countries that reprocess their nuclear waste. This reprocessed material is used as fuel domestically and also exported to Belgium, Germany and Switzerland.
Permanent solutions for disposing of the toxic material have not yet been implemented. Today, member states store radioactive waste and spent fuel in above-ground storage that needs continuous maintenance and oversight, and remains at risk of accidents. Bulgaria and Hungary export their waste to Russia.
Safe storage
The European Commission proposed rules on the storage of radioactive waste that would ban the export to non-EU countries, but member states rejected the idea. The final directive, adopted last July, would allow exports to countries with “similar safety standards”.
The environmental campaign group Greenpeace has complained that this vague provision essentially maintains the status quo. But Günther Oettinger, the European commissioner for energy, said last year that because no third country could meet the standards, he expects exporting to end within five years.
The directive lays down specifics for temporary storage and recommends that nuclear waste should be permanently stored in deep geological repositories. But campaigners say such repositories are vulnerable to long-term shifts in the earth’s crust. So far, no permanent storage facility has been built. Sweden , Finland and France are planning to build repositories between 2020 and 2025.
Research is still going on into how nuclear waste, which will survive for thousands of years, could be permanently stored without posing a risk to human beings. Some possible solutions have been found already but have yet to be put into practice. Jean-Pol Poncelet, director general of nuclear industry association Foratom, says there is just a lack of political will to implement them.
“The scientific community has already introduced some solutions. What we are still missing are decisions from governments,” he said. “Decisions have been made in Finland and Sweden. They have chosen a location for long-term storage. It’s really significant to see that in both countries they have strong support for nuclear energy, because the public feels safer when these decisions are taken.”
With its decision to phase out nuclear energy, Germany will have a huge amount of waste to deal with. The country is searching for a site for this waste, having abandoned plans to expand a temporary storage site in the town of Gorleben last year. Investigations for a suitable long-term site will begin this year and last until 2020.
Germany is also considering setting up a public fund to manage the disposal of the waste, after environmentalists raised concerns that the owners could declare bankruptcy in order to get out of decommissioning costs.
But controversies about where to locate such waste storage sites indicate the not-in-my-backyard attitude the public tends to have about nuclear power. Even in the UK and Scandinavia, where there is public support for nuclear energy, people are still uncomfortable with the idea of having either a nuclear plant or a waste storage site near their town. Despite reforms and improvements, nuclear safety is still a toxic topic for politicians.
Barroso calls for “immediate measures” to improve the civil service and public contracts.
The European Commission today urged Romania to step up reforms of its civil service and its administrative rules or risk losing EU funding.
The warning came in a meeting between the Commission’s president, José Manuel Barroso, and Romania’s Prime Minister Victor Ponta that also covered a political crisis in Romania that has forced the Commission to extend its special monitoring programme for the country.
The meeting had been instigated by Ponta, in response to a decision by his political rival, President Traian Băsescu, to ask for meetings with Barroso and Herman Van Rompuy, the European Council’s president.
Băsescu met the two EU leaders on Friday (14 September) for what one diplomat described as an opportunity to “re-acquaint” himself with them following his reinstatement as president in August.
Ponta successfully manage to persuade the Romanian parliament to suspend Băsescu in July, but his attempt to impeach Băsescu failed in August when the constitutional court concluded that less than 50% of the electorate had turned out to vote in a 29 July referendum to remove the president from office.
The war between Ponta and Băsescu in July prompted an unprecedented intervention by Barroso, who obliged the Romanian government to make 11 pledges of concrete action to reassure the EU that his government was committed to the rule of law, including independence of the judiciary. It also led the Commission to bring forward, to the end of the year, the next report on Romania’s progress since accession. The post-accession monitoring mechanism – the ‘co-operation and verification mechanism’ – was set up specifically for Romania and Bulgaria, which joined the EU in 2007.
After his talks with Ponta, Barroso issued a statement in which he called on Romania’s political elite “to set their focus very firmly on the urgent need to restore institutional and political stability” ahead of parliamentary elections scheduled for November. He indicated that the Commission is especially anxious about the possible politicisation of nominations to the country’s anti-corruption body.
However, Barroso also took the opportunity to talk about the state of Romania’s finances and reforms of its civil service. Romania is currently under an international programme that includes a stand-by agreement enabling it to draw on roughly €5 billion in financial support from the International Monetary Fund and the European Union. At the same time, however, the country is proving incapable of spending money already allocated to it by the EU from its normal budget.
According to the European Commission, Romania’s absorption capacity – its ability to spend money effectively – is just 7.4%, a figure that Barroso has previously described as “painfully low”. On this occasion, he identified the country’s public-procurement rules as a specific problem, in addition to its “administrative capacity”.
In all, Romania was allocated around €20 billion in the EU’s seven-year budget, which ends in 2013.
Ponta has previously said that Romania could forfeit €100 million this year, and more than €1bn next year.
Under EU rules, money can be released only to approved projects and only if a country is able to meet its obligation to contribute to EU-funded projects – the ‘co-financing’ requirement. The funds must then be spent within a specific time period. Auditors can also prevent the release of funds if they deem that a project fails to meet their criteria.
Romania has significant problems on all counts. In February, the Commission temporarily halted billions of euros of payments after Romania’s audit office found irregularities.
Barroso today said that the government should take “immediate measures”.
A Romanian diplomat today said that “the Commission and Romania are working on finding solutions” and that Romania is “confident” that it will avoid losing the money allocated to it.
One possibility mentioned in the past is that the Commission would reduce the co-financing requirement. The EU has already changed the co-financing requirement to Romania’s advantage as part of its effort to help EU countries whose economies are under international ‘adjustment programmes’.
Le Premier ministre russe a témoigné son soutien à une femme décédée.
Après avoir chassé le lion, dansé le hip-hop, et refourgué une jeep à son pote Berlusconi, l’ex-agent du KGB se lance dans les (grandes) pompes funèbres. Hommage détonnant.
Vladimir Motyl, 82 ans, réalisateur du premier western («eastern», en l’occurrence) soviétique, Le Soleil Blanc du Désert, que les cosmonautes russes regardent toujours avant de partir dans l’espace, conformément à la tradition, a succombé lundi à une pneumonie.
«Vladimir Motyl a laissé un héritage éclatant, brillant dans notre cinéma et dans la culture russe», a déclaré Vladimir Poutine dans un message publié sur le site du gouvernement. «C’était un vrai maître, un artiste subtil et une personne dotée d’un talent incroyablement généreux», a-t-il ajouté. Poutine aurait pu s’arrêter là, mais non. L’ancien chef du Kremlin a exprimé «toute sa compassion à l’épouse du cinéaste», une veuve à laquelle il s’est d’ailleurs vanté d’avoir écrit une lettre de condoléances.
L’attention était louable… mais la femme en question est décédée… il y a quelques années!
La méprise n’a pas manqué d’être relayée sur le Web. Et les blogueurs ont raillé le «dilettantisme» de Vlad. Car le chef du gouvernement russe s’enorgueillit de se maintenir dans une excellente forme physique et ne s’est pas privé d’étonner le monde avec une série d’exploits très médiatisés au cours des dernières années. On l’a vu torse nu pêcher au harpon, traquer les tigres de Sibérie en tenue de camouflage, dans le cockpit d’un avion de combat, descendre des torrents en rafting, jouer les Crocodile Dundee au volant d’un 4X4 ou encore les cow-boys à dos d’étalon… Du surmenage, donc.
Alizée, Jean-Louis Aubert, Bénabar, Amel Bent, Patrick Bruel, Francis Cabrel, Julien Clerc, Thomas Dutronc, Patrick Fiori, Liane Foly, Garou, Jean-Jacques Goldman, Grégoire, Jenifer, Michael Jones, Gérard Jugnot, Patricia Kaas, Claire Keim, Lââm, Catherine Lara, Michèle Laroque, Maxime Leforestier, Nolwenn Leroy, Lorie, Renan Luce, Christophe Maé, Mimie Mathy, Jean-Baptiste Maunier, Maurane, Kad Merad, Pascal Obispo, Hélène Ségara, Mc Solaar, Natasha St-Pier, Patrick Timsit, Christophe Willem et Zazie, Guy Delacroix et ses musiciens…
Le 12 mars sur TF1 et RTL, retrouvez Les Enfoirés… La Crise de Nerfs, une soirée extraordinaire pour lutter contre l’exclusion.
Voilà 25 ans qu’ils se retrouvent pour chanter en chœur:
«Aujourd’hui, on n’a plus le droit Ni d’avoir faim, ni d’avoir froid Dépassé le chacun pour soi Quand je pense à toi, je pense à moi Je te promets pas le grand soir Mais juste à manger et à boire Un peu de pain et de chaleur Dans les restos, les Restos du Cœur… »
Cette année, la crème de la Variété s’est retrouvée au Palais Nikaia de Nice pour piquer une sacrée crise de nerfs.
Pour faire ce show époustouflants 37 célébrités, 7 musiciens sur scène et 360 bonnes âmes en coulisses ont répondu présent et rallié les rangs du combat initié par Coluche.
Tout au long de ce spectacle, les Enfoirés voyagent à travers les époques et les styles musicaux. Mise en scène, décors, costumes, tubes français et internationaux: tout est là pour faire de cette crise de nerfs un moment magique d’émotion et d’humour.
Dès le lendemain de la diffusion, retrouvez le double CD et le DVD, dont chaque unité vendue permettra à l’association de distribuer 18 repas.
Tom Nicon, 22 ans, est mort. Le mannequin français est tombé de la fenêtre du 5e étage de son hôtel en Italie. Il s’agirait d’un suicide.
Un de plus… Après la Coréenne Daul Kim l’an dernier, puis Alexander McQueen en février (tous deux se sont pendus), et Ambrose Olsen (visage d’Armani en 2007, mort en avril), la liste des «fashion victims» ayant mis fin à leurs jours s’allonge.
Vendredi, Tom Nicon, un jeune mannequin français de 22 ans, a été retrouvé mort devant son hôtel de Milan. Le jeune homme, visage de Burberry, est tombé de la fenêtre de sa suite, située au cinquième étage. Mais s’agit-il d’un accident ou bien était-ce volontaire?
Venu participer aux défilés de mode à Milan, à l’occasion de la Men’s Fashion Week qui a débuté samedi, Tom, un jeune Toulousain titulaire d’un BTS de diététique, était tout à fait normal le matin du drame.
«Il a fait des essayages, puis était censé se rendre à son agence, mais n’y est jamais allé. Je ne sais pas si c’est un suicide ou s’il est tombé» , confiait l’un de ses proches.
Selon le Daily Mail, la police pencherait vers la thèse d’un suicide. «Il a récemment rompu avec sa copine, et déprimait», ont expliqué ses proches au journal.
«Ces quelques derniers jours, il était de plus en plus triste. C’était un garçon doux et sensible. Vendredi matin il essayait des vêtements pour Versace, mais il était parfaitement normal. Je ne comprends pas ce qui lui a pris. Nous n’aurions jamais pensé qu’il ferait une chose pareille. Mais moi, en tant que femme et que mère, j’aurais dû sentir que quelque chose n’allait pas», confie Donatella Versace.
Tom avait rompu il y a peu d’un commun accord avec sa fiancée italienne. Un chagrin d’amour dont celui qui a défilé pour Vuitton, Burberry, Saint Laurent, et Versace, ne se remettait apparemment pas.
Sexe, religion, et rock’n’roll: une combinaison visiblement gagnante pour , qui aborde les trois sujets ce mois-ci dans l’édition à sortir le 19 août du magazine Rolling Stone. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la jolie brune a des arguments chocs.
«Sexe, Dieu, et Katy Perry», voici le titre du prochain numéro du magazine Rolling Stone, dont Katy Perry fait la couverture ce mois-ci. Topless, ultra-sexy avec une moue faussement ingénue, la chanteuse a de quoi envoyer les lecteurs au septième ciel. Car oui, on se damnerait pour avoir (mesdames), un tel physique, et pour contempler(messieurs), les formes avantageuses de la star sur papier glacé.
La starlette, en pleine promotion de son nouvel album Tennage Dream, n’a pas hésité à poser une nouvelle fois topless et en sous-vêtements en une d’un magazine. Elle l’avait déjà fait dans le magazine anglais Esquire fin juin, et se montre entièrement nue sur la pochette de son nouvel album.
Et malgré sa plastique à faire pâlir d’envie n’importe quelle midinette, Katy Perry trouve qu’elle n’a pas vraiment de chance. Eh oui, fille de deux pasteurs, la belle a été éduquée de façon très stricte. «Parfois, nous avons dû manger grâce à la banque alimentaire. Nous avons aussi eu l’habitude de nourrir notre congrégation, et cela m’a vraiment embarrassée», confie-t-elle dans Rolling Stone, avant d’ajouter: «Je n’ai jamais pu dire que j’étais chanceuse, car ma mère préférait dire que nous étions bénis, elle pensait que les chanceux étaient assimilés à Lucifer». Et bien qu’elle joue souvent la carte de la provoc’, celle qui a grandi dans la foi, s’est fait un tatouage à l’effigie de Jésus sur le poignet, et a réalisé un premier album d’inspiration chrétienne, ne comprend pas tellement les écarts de conduite de sa collègue Lady GaGa: «Je pense qu’on ne peut pas mélanger le sexe et la spiritualité, ou sinon il nous arrivera de mauvaises choses. Oui, j’ai dit que j’avais embrassé une fille, mais je ne l’ai pas fait alors que je couchais à moitié avec un crucifix!».
Fiancée (et bientôt mariée) au bad boy Russell Brand (ancien sex-addict), Katy Perry ne vit certes pas sa foi de façon très conventionnelle, mais on lui donnerait le bon Dieu sans confession avec un minois pareil… Quoi qu’il en soit, si elle offre un voyage dans l’espace à son chéri, Katy Perry peut se targuer de faire son job correctement: elle nous met des étoiles plein les yeux.