#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !1Trier et réutiliserLa première solution pour éviter le gaspillage serait de réutiliser les affaires de l’année précédente. Les ciseaux et autres stylos fonctionnels peuvent être réutilisés tout comme les classeurs et les pochettes en bon état. “Pour les cahiers déjà utilisés, je peux arracher les pages usagées pour garder le reste du cahier pour l’année prochaine“, explique Fleur, étudiante et bénévole à La Maison du Zéro Déchet. Pour toutes les fournitures à jeter, il existe des points de collecte qui permettent de les recycler. 2Fabriquer soi-même ses couvre-livresLes films plastifiés qui servent à protéger les manuels scolaires et les cahiers ne sont pas du tout écologiques. Une alternative moins polluante serait de tout simplement utiliser du tissu. Pour bien faire tenir, fixer avec des agrafes.3Acheter d’occasion”Si on doit racheter des fournitures, on peut privilégier celles d’occasion en se rendant dans un Emmaüs ou dans une ressourcerie“, conseille Fleur. De plus, les articles sont proposés à petits prix. Par exemple, il est possible de trouver des paquets de feuilles neuves, jamais utilisés mais bien moins chers que dans le marché. “L’avantage, c’est de donner une seconde vie à des objets qui sont encore en bon état“, précise une employée de la ressourcerie Le Cercle.4Acheter éco-responsableSi le supermarché se présente comme la seule alternative possible, il est malgré tout possible d’acheter éco-responsable. Par exemple, certains cahiers sont en papier recyclé ou en papier issu de forêts gérées durablement. De plus, pour éviter de jeter du plastique inutilement, se diriger de préférence vers des feuilles emballées dans du carton. Click Here: geelong cats guernsey 2019
Month: March 2020
Face à des écologistes “pas très majoritaires”, les chasseurs veulent “cajoler l’opinion publique, qui ne connaît pas bien la chasse”
#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Alors que la chasse ouvre dimanche 8 septembre dans 46 départements, le lobbyiste et conseiller politique de la Fédération nationale des chasseurs Thierry Coste explique que, “autant le président de la Ligue de protection des animaux (LPO) est anti-chasse, autant sur le terrain on s’entend bien avec les gens”.“Diviser par deux le prix du permis de chasse national, c’était un engagement du président de la République Emmanuel Macron, il l’a tenu [il y a un an]. C’est pour les chasseurs quelque chose qui montre bien qu’on reconnaît leur activité. Par ailleurs, puisqu’il y a beaucoup de sangliers à chasser, la mobilité va permettre aussi d’aller chasser les sangliers là où il y en a trop”, déclare Thierry Coste, admettant qu’on peut voir cette décision comme un cadeau aux chasseurs, “on peut le voir comme ça”.La Fédération critique envers les quotas de chasse aux oiseauxUn cadeau qui fait l’objet de nombreuses critiques, comme la publication la semaine dernière des quotas de chasse aux oiseaux. “Si vous arrêtez la chasse sur un territoire, vous arrêtez aussi la gestion du territoire. Quand on gère bien la faune, elle se développe”, affirme-t-il. “On livre des batailles comme les ONG, comme les associations de protection de la nature. D’ailleurs, dans beaucoup de cas on s’entend très bien avec elles, autant le président de la Ligue de protection des animaux (LPO) est anti-chasse, autant sur le terrain on s’entend bien avec les gens”.Le principe de base c’est que si vous arrêtez la chasse sur un territoire vous arrêtez aussi la gestion du territoire.Thierry Coste, président de la Fédération nationale des chasseursà franceinfo“Nécessairement tout va se dégrader, nous on ne prélève que les intérêts du capital”, insiste Thierry Coste, avant d’assurer pouvoir en convaincre les Français : “Les écologistes, je ne pense pas qu’ils soient très majoritaires. Ce qui compte c’est qu’on cajole, nous aussi, l’opinion publique qui ne connaît pas bien la chasse. Et à chaque fois qu’elle la connaît bien, elle n’est plus anti-chasse. Il y aura toujours des extrémistes anti-chasse, mais ce n’est pas le problème. Il faut qu’on arrive à parler au grand public.”
“Django Unchained” : nouvelles images du western de Tarantino ! [PHOTOS]
Leonardo DiCaprio face au cowboy Jamie Foxx : découvrez de nouveaux clichés de ce film-événement actuellement en tournage.
Quentin Tarantino est loin de tourner plus vite que son ombre. C’est pourquoi ce Django Unchained, attendu sur nos écrans en janvier 2013 plus de trois ans après Inglourious Basterds, est plus qu’attendu par les fans de QT… et par les amateurs de westerns, un genre auquel le cinéaste devrait apporter sa patte et son amour du 7e Art. Au générique, Christoph Waltz et Jamie Foxx en “gentils” -un chasseur de prime allemand et un homme noir lancés sur les traces de la femme de ce dernier retenue en esclavage par le propriétaire d’une plantation- face au “méchant” Leonardo DiCaprio qui retrouve le genre dix-sept ans après Mort ou vif.
Jamie Foxx & Christoph Waltz © The Weinstein Company
Jamie Foxx & Leonardo DiCaprio © The Weinstein Company
Jamie Foxx & Christoph Waltz © The Weinstein Company
Christoph Waltz © The Weinstein Company
Jamie Foxx © The Weinstein Company
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Quentin Tarantino © The Weinstein Company
Jean-Yves Le Drian annonce le soutien de la France au “nouveau” Soudan
C’est la première visite du genre de la part d’un responsable français depuis douze ans. Le chef de la diplomatie, Jean-Yves Le Drian, a rencontré le 16 septembre 2019 à Khartoum les nouveaux dirigeants du Soudan.La fin de l’isolementLe ministre français des Affaires étrangères a promis à son homologue Asma Mohamed Abdallah (lien en anglais) d’œuvrer en faveur du retrait du Soudan de la liste américaine “des Etats soutenant le terrorisme”. Khartoum été mis au ban de la communauté internationale dès 1997 pour avoir accueilli Oussama ben Laden, le chef d’al-Qaïda.Nous sommes dans un nouveau Soudan, un Soudan qui se trouve à un moment clé de son histoire, et la France est aux côtés de ce nouveau SoudanJean-Yves Le Drian, ministre français des Affaires étrangères Un pouvoir fréquentableDepuis la destitution d’Omar al-Bachir, tombé sous la pression de la rue en avril 2019, le Soudan semble ouvrir une nouvelle page. Après une période très incertaine et des violences meurtrières, la signature d’un accord en août 2019 a permis de mettre en place un gouvernement de technocrates comprenant 18 ministres dont quatre femmes. Ce pouvoir civil est soutenu par la France, qui s’était déjà engagée à accompagner les Soudanais “sur le chemin de la démocratisation, du redressement économique et de la paix”.La relance de l’EconomieMaintenant que le processus de démocratisation est enclenché, la France se tient aux côtés du Soudan pour relancer une économie en berne. Paris a annoncé l’octroi d’une aide de 60 millions d’euros. Un montant symbolique comparé aux trois milliards de dollars promis par l’Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis au Conseil militaire de transition qui avait remplacé al-Bachir. Mais la France promet d’agir en faveur du retour des investissements étrangers.Le défi de la paixPour réussir sa transition politique, le Soudan doit aussi en finir avec les conflits internes qui minent le pays depuis de nombreuses années. Le chef de la diplomatie française mise sur la signature d’accords “avec l’ensemble des groupes rebelles d’ici à six mois”.Le Soudan fait face à des conflits dans ses périphéries au Darfour, au Kordofan du Sud et dans le Nil Bleu. Ces trois conflits ont fait des dizaines de milliers de morts et des millions de déplacés dont des centaines de milliers vivent toujours dans des camps.Click Here: All Blacks Rugby Jersey
Présidentielle en Tunisie : au cœur des bureaux de vote de Tunis
Après une campagne électorale assez folle, les électeurs se sont prononcés. Un nouveau rendez-vous avec l’Histoire, titrait le 13 octobre le grand quotidien francophone La Presse qui soulignait la déception du peuple, près de neuf ans après la révolution de 2011. Un peuple qui “attend, à de multiples niveaux, des correctifs majeurs”, selon le journal. franceinfo Afrique a fait une tournée des bureaux de vote à Tunis en ce jour de scrutin présidentiel. L’occasion d’une (très courte) immersion dans la société du pays.
Très heureux, un homme d’une trentaine d’années accomplit son devoir électoral. Et lance, le bout de son doigt couvert d’encre montrant qu’il a voté : “C’est là une bonne preuve que la démocratie existe en Tunisie !” Un peu plus loin, une vieille dame, toute de vert vêtue, quitte le bureau de vote, furieuse : “La politique, c’est la mafia. Moi, je vote Karoui. La personne, là-bas, elle m’a dit de mettre un bulletin pour Saïed. Je n’aime pas qu’on me dise pour qui voter !” Une saine râlerie… démocratique en quelque sorte.Seconde étape au centre de vote de l’école primaire Habib Thameur dans le centre d’Atriana, banlieue sociologiquement équilibrée du nord de Tunis. “Un gros centre qui regroupe 13 bureaux et 7401 électeurs”, explique son responsable. A 10h, dans le bureau n°6 (26-45 ans), 29 hommes et 18 femmes (sur 570 habitant inscrits) avaient voté. Dans le n°1 (plus de 45 ans), 72 hommes et 45 femmes s’étaient déplacés. “Le matin, les femmes font le ménage, préparent le déjeuner, s’occupent des enfants. Elles viennent donc voter plus tard”, note un assesseur. Des propos qu’on entendra dans d’autres centres de vote.Hymne tunisienEtape suivante, le lycée du quartier Ennasr II, toujours au nord de Tunis. Sept bureaux, 3980 électeurs. Même atmosphère bon enfant qu’ailleurs, malgré la présence des policiers et des militaires. Les lieux sont en apparence plus… politiques que dans d’autres écoles. Un drapeau tunisien est planté dans la cour, à côté d’une estrade. “C’est là que tous les matins, on chante l’hymne tunisien“, explique un électeur. Des paroles de l’hymne sont gravées sur le mur au-dessus. Tandis qu’à droite figure une peinture représentant Mohamed Al-Dura, enfant palestinien mort en septembre 2000. “C’est le symbole du père qui protège son fils”, commente notre électeur.Kaïs Saïeb “a un grand bagage, il est strict” La tournée des bureaux prend une tournure très politique. Un chauffeur de taxi s’épanche, lui aussi. On comprend vite qu’il a voté pour Kaïs Saïeb. “Lui, il a un grand bagage. Il est strict (il est droit et honnête, NDLR), il n’est pas comme les autres“, dit-il. Par la suite, notre homme évoque la cherté du coût de la vie. “Sous Ben Ali, c’était le paradis, si l’on compare avec la situation d’aujourd’hui”, poursuit-il alors qu’il conduit son véhicule à travers la cité Ettadhamen, quartier populaire au nord-ouest de Tunis. “Regardez comme c’est pauvre ici. Tous les jeunes sont au café : ils n’ont pas de travail.” Dans l’un des centres de vote locaux, on fait les mêmes constatations qu’à Tunis : les femmes ont moins voté que les hommes en cette fin de matinée. Et l’on attend les jeunes à partir de 13h. Pour l’instant, il est donc encore trop tôt pour dégager une première tendance pour la participation dans ce quartier populaire. “Ici, il n’y a pas beaucoup de différence avec les bureaux des autres quartiers. Les gens connaissent peut-être un peu moins les démarches pour voter”, explique un assesseur. De son côté, le représentant d’une ONG souligne que “jusque-là, le scrutin s’est bien passé”.
D’abord, affirment-ils, “comme depuis la révolution de 2011, rien n’a changé, les jeunes ont pris la décision de voter. Ils s’intéressent à la présidentielle. Même s’ils font parfois des confusions avec les législatives”. Et de poursuivre : “Les riches, eux, ils ne souhaitent pas de changement puisqu’ils n’ont pas de problème. Mais dans les quartiers populaires, les gens veulent marquer d’une croix rouge ceux qui nous gouvernent. Ils veulent une autre révolution, car l’état social du pays est critique. Dans les campagnes, loin des villes, on vit dans la misère. Les gens veulent du nouveau, ils espèrent qu’il y aura du changement. Ils ont toujours l’espoir que quelqu’un pourra réaliser leurs objectifs.”
Ministers to discuss single-market plans
Ministers to discuss single-market plans
No movement likely on patent headquarters.
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National industry ministers are to hold their first discussions on three of the European Commission’s proposed new laws from its action plan aimed at re-energising the single market.
The ministers, who meet in Brussels next week (20-21 February), will debate proposals to modernise the European Union’s public procurement legislation, how to simplify its directives on accounting, and rules to help small and medium-sized enterprise get access to finance through venture capital funds.
The action plan, known as the Single Market Act, was published in May 2010 and is made up of 12 steps that the Commission says are necessary to complete the single market. The three legislative proposals to be discussed at next week’s competitiveness council were published in the last two months of 2011.
The proposed legislation is also being scrutinised by MEPs. The European Parliament and member states will have to come to an agreement on each proposal before they can be adopted.
Patent pending
Little progress on the unified EU patent is expected at the meeting, although it is likely that ministers will raise the issue in the margins of the talks. The patent plan is deadlocked because of a disagreement over the location of the patent court. The UK wants it to be in London, while Germany wishes to host it in Munich. Both countries refuse to accept Paris as a compromise.
On Monday, industry ministers will discuss the Commission’s Annual Growth Survey, part of the European Semester – the cycle of economic policy co-ordination between member states – which will contribute to the conclusions to be finalised by leaders of EU member states at the European Council on 1-2 March. Discussion on the issue will continue on Tuesday (21 February) when innovation ministers meet.
Renault F1 team crews now ‘self-isolating’ at home
Renault F1 Team personnel which traveled to Australia have returned to Europe and will remain in self-isolation for the foreseeable future as a precaution against the coronavirus pandemic.
Last weekend’s opening round of the F1 world championship in Melbourne was called off at the 11th hour after a McLaren team member who tested positive for the COVID-19 disease triggered the event’s cancellation process.
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McLaren team member quarantined in Oz now ‘free of symptoms’
In total, McLaren had 15 team members quarantined in Melbourne, while Haas also isolated several members of its staff although all tests came back negative.
“What a week!” Renault said in a message on Twitter. “Thank you all for your kind wishes; we can confirm that the race team made it home, everyone is safe & self-isolating for now.
“Both Enstone & Viry are busy planning the coming weeks until we know when we can race again.”
The global virus pandemic has so far led to the cancellations or postponements of the first four races of the 2020 season, while Holland and Spain are also likely to be scrapped.
Reports now suggest Monaco or Baku could kick off the year, but more conservative projections see the Canadian Grand Prix mid-June as a potential starting point.
Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers
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