“Ils ont plus peur de moi que du vrai problème” : Greta Thunberg répond aux députés qui veulent la boycotter à l’Assemblée

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
La jeune activiste écolo @GretaThunberg répond à ses détracteurs avant son discours ce mardi à l’Assemblée nationale pic.twitter.com/HYWCmBXTPj — Konbini news (@konbininews) July 22, 2019

La jeune fille est la cible de nombreuses critiques à la veille de son intervention devant l’Assemblée nationale. Ainsi le député Julien Aubert, sans appeler au boycott, a fait savoir qu’il n’assisterait pas au dicours de Greta Thunberg. “Ne comptez pas sur moi pour applaudir une prophétesse en culottes courtes, « Prix Nobel de la peur »”, écrit-il en ajoutant : “La planète, oui. Le greenbusiness, non.”Interrogée sur ces accusations de manipulation d’un “capitalisme vert”, Greta Thunberg l’idée “drôle” avant de poursuivre qu’elle n’a “jamais rencontré de militants écologistes qui l’étaient pour l’argent. L’idée est absurde et me fait beaucoup rire. Non il n’y a bien évidemment personne derrière ce que je dis.” C’est triste, les gens sont désespérés et inventent des choses.Greta ThunbergKonbini newsClick Here: Atlanta United FC Jersey

David Hasselhoff se sent l’âme d’Amy Winehouse

Une fois de plus, vient d’être hospitalisé au Cedars-Sinai Medical Center suite à ses problèmes d’alcool. C’est la quatrième fois depuis le début de l’année que l’ancien garde-côte californien fréquente la clinique du gratin. Son problème? Le «même qu’Amy»…

Ça se biture, ça bastonne et ça trinque. David Hasselhoff a été admis en cure de désintox, début octobre, après avoir accidentellement frappé un médecin lors d’un de ses nombreux excès éthylés. Peu de temps avant, sa fille Hayley, 17 ans avait alerté les secours après avoir découvert son père ivre mort à son domicile de L.A…
Le quinqua imbibé est tout à fait conscient de sa triste dépendance. Une souffrance qu’il déclare partager avec la chanteuse britannique,

. Le playboy de Baltimore (Maryland) souligne «Les difficultés que je rencontre dans ma propre vie, et les choses que j’ai lues sur Amy, c’est un problème universel. C’est une maladie. Vous ne vous levez pas le matin en décidant du jour au lendemain d’avoir cette conduite!».

A 57 ans, Hoff, comme le surnomme les médias anglo-saxons, est repenti mais pas guéri. Portrait au tafia.

Du stéthoscope de Snapper Foster (des Feux de l’Amour) au maillot rouge de Mitch Buchannon, en passant par brushing de Michael Knight l’acteur a traversé sans encombre le cap des années 80. S’il a réussi sur le plan professionnel, sa vie privée est un désastre. Divorcé de Pamela (Bach) depuis 2006, l’athlète grisé au regard bleu azur se bat pour la garde de ses filles, mais prend surtout des coups dans le nez!

Les exploits d’un chevalier solitaire dans un monde dangereux. Un héros des temps modernes, dernier recours des innocents, des sans espoir, victimes d’un monde cruel et impitoyable… À la fin de K2000, KITT part à la casse. David Hasselhoff tombe le blouson de cuir pour dévoiler au monde son torse musclé et velu sur les plages d’Alerte à Malibu… C’est l’émeute. ?En slip de bain carmin, l’apollon acquiert le statut d’homme le plus vu au monde selon le Guinness Book. En 1996, il a même droit à son étoile sur le Walk of Fame !

Depuis c’est le creux de la vague. L’ex-sex symbol joue son propre rôle dans Bob l’éponge et boit la tasse! ?Disparu le teint hâlé et l’excellente condition physique. Noyé dans la gnole, le grand séducteur devient comédien allumé et affirme qu’il est en partie responsable de la réunification de l’Allemagne… Ses déclarations incongrues et ses performances piteuses (comme celle d’avaler salement un hamburger à même la moquette) alimentent des vidéos largement diffusées sur Internet. Sa déchéance fait le tour du monde.

Ainsi, les aventures sordides de David Hasselhoff se racontent-elles dans les soirées jet-set comme on commente un spectacle raté ou un navet au cinéma: avec écœurement et sourire en coin. Un exemple ? Evacué du stade de Wimbledon après une bagarre avec des agents de sécurité, le sportif déchu arrive fin saoul à l’aéroport d’Heathrow. Poursuivant au rythme d’un verre à la minute son enivrement dans le lounge première classe qui l’accueille, l’artiste refoulé annonce à la cantonade que sa vie est une calamité. Spectateur impuissant de cette déconfiture, le personnel de l’aéroport décide qu’il n’est pas apte à embarquer dans cet état. Autorisé à prendre le vol suivant, le chevalier minable et sans monture est emmené à bord de l’appareil dans une voiturette habituellement réservée au transport des personnes âgées…

Mais encore? Passager du vol Londres-Los Angeles, le héros en état d’ébriété avancé raconte aux passagers horrifiés sa déchirante rupture après seize années de mariage. Une séparation chaotique, une ex-femme qui l’accuse de violences conjugales et le prive de ses rejetonnes, Taylor-Ann et Hayley Amber…?

Aujourd’hui, alors qu’il vient de retrouver, outre-Manche, les clés d’un talk-show (dans lequel le père d’Amy Winehouse joue son propre rôle de chauffeur de taxi), personne ne parle de son come-back. Seul son naufrage permet à David Hasselhoff de faire la une des médias. Triste gloire.

Justine Boivin

Lundi 2 novembre 2009

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Italie : Matteo Salvini réclame de nouvelles élections après l’explosion de la coalition

Matteo Salvini est déjà en campagne. Jeudi 8 août, lors d’un meeting à Termoli (Italie), le ministre de l’Intérieur prononce le divorce avec ses alliés du gouvernement et appelle à des élections anticipées : “La parole doit revenir aux Italiens, on arrête les tergiversations, c’est à vous de décider”. Une injonction sèchement balayée par le président du Conseil Giuseppe Conte qui organise précipitamment une conférence de presse. “Ce n’est pas au ministre de l’Intérieur de convoquer le Parlement, ce n’est pas non plus à lui de décider du calendrier de la crise politique”, a indiqué le chef du gouvernement.Désaccord sur la ligne Lyon-TurinDésormais la rupture est actée entre Luigi Di Maio, leader du Mouvement 5 étoiles, et Matteo Salvini à la tête de la Ligue. Leur désaccord sur la ligne à grande vitesse Lyon-Turin a signé la fin de l’entente mercredi 7 août. Le président de la République, Sergio Mattarella, seul à pouvoir convoquer de nouvelles élections, ne s’est pas encore exprimé.Le JT

  • JT de 20h du vendredi 9 août 2019 L’intégrale

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Cannes 2012 : un Marché du film déprimé

Alors que le Marché du film cannois approche de sa conclusion, petit bilan avec le rédac’ chef du “Cannes Market News”, Vincent Le Leurch.

Vincent Le Leurch est journaliste au Film français et rédacteur en chef du Cannes Market News, quotidien éphémère publié durant le marché cannois.

AlloCiné : tout d’abord, peut-on resituer l’importance du Marché du film cannois par rapport aux autres marchés ?
Vincent Le Leurch : Depuis dix ans, en fait, Cannes a remis sur pied son marché du film, alors qu’auparavant l’aspect festival était plus important. C’était une volonté de l’organisation de redynamiser son marché. Ils ont mis les moyens et profité de la couverture médiatique du festival pour faire revenir les professionnels du cinéma. De fait, comme Cannes est le plus grand festival au monde, son marché du film est devenu le plus grand marché du monde. Tous les ans, depuis plus de dix ans, les professionnels savent qu’ils doivent venir à Cannes en mai pour faire du business, ou voir des films en avant-première. Aucun marché dans le monde n’est plus important en termes de participants, puisqu’en gros, le marché cannois attire tous les ans 11 000 participants. A titre de comparaison, le marché de Los Angeles, l’AFM (American Film Market), qui se tient en novembre, affiche 8 000 participants – en gonflant un peu les chiffres. Berlin aussi a pris cette orientation business, avec un énorme marché. Mais il n’atteint pas 11 000 participants, et se situe plutôt autour de la moitié.

Quel bilan tirer de cette édition ? 2012 est-il un bon ou un mauvais cru ?
Ce qu’on observe depuis le départ, c’est qu’il n’y a pas de grosses annonces, ni de gros business comme on en a connu certaines années. On a l’impression qu’il ne se passe presque rien, même si des deals sont tout de même conclus – des deals tout à fait classiques de distributeurs. Mais il manque à ce marché une annonce porteuse, du type de celles que font par exemple Harvey Weinstein quand il annonce un projet, ou les grosses boîtes américaines. Depuis dix jours on n’a rien, en termes de vente, seulement des petits trucs, des annonces à propos de fonds, faites par des pays qui veulent attirer des productions sur leurs territoires. C’est un marché très triste et très morne.

Est-ce l’effet de la crise économique ?
Ce n’est pas forcément lié à la crise, puisqu’à Berlin en février, par exemple, il y avait eu beaucoup de business. A Toronto aussi, en septembre dernier – même s’il s’agit plus d’un festival, il existe un petit marché, sans stands. J’ai l’impression que c’est un petit peu cyclique, comme si les gens avaient déjà fait leurs achats à Berlin, et venaient à Cannes un peu les mains dans les poches, seulement pour se placer éventuellement sur d’autres projets, sur des films à venir. Néanmoins ce n’est pas lié à la crise, puisque l’activité cinéma, qui a connu un creux pendant une bonne année il y a deux ans, a repris immédiatement après, que ce soit à Berlin ou Toronto. Donc il n’y a pas de crise, comme on a voulu le faire croire. Les gens vont au cinéma, on a des scores de fréquentation monstrueux dans tous les territoires – sauf aux Etats-Unis, mais c’est un cas particulier.

Dans quelle mesure les marchés sont-ils encore incontournables, à l’heure d’internet ? Aujourd’hui, y négocie-t-on vraiment les deals ou s’agit-il plutôt de conclure dans un lieu symbolique des discussions amorcées en amont ?
De nombreuses initiatives sont lancées sur internet, justement, pour créer une espèce de marché virtuel qui dure tout au long de l’année. Vous avez Cinando.com, par exemple, le site du marché du film, et une sorte de salle de projection géante à laquelle on accède avec des codes. Les acheteurs peuvent voir les produits des vendeurs, et éventuellement prendre leur décision en se basant là-dessus. En fait, lorsqu’Internet a explosé, on s’est tous dit que cela allait tuer les marchés, parce que ces derniers impliquent des coûts – des billets d’avion, des chambres d’hôtels, des frais de champagne, d’alcool… voire d’autres substances pour certains. Mais quelque chose reste fondamental dans ce business : c’est le rapport humain. Tu peux te mettre devant un ordinateur, voir un film, contacter un vendeur, etc., c’est très bien. Mais il manque le rapport humain, et les marchés, celui de Cannes en particulier, sont quand même des lieux privilégiés pour apprendre à se connaître, faire la fête avec les gens… Un vendeur aime bien savoir où son film va sortir, quelle est la personne qui le sort, par exemple. La rencontre physique reste super importante. Ainsi, la fois suivante, si la personne n’a pas plu au vendeur, il sera en mesure de dire : « Non, je ne te vends pas à toi, je vends à un autre. »

Malgré la morosité du Marché, y-a-t-il des films qui ont fait le buzz ?
Alors là… Il y a bien le film de Thomas Vinterberg, La Chasse [Compétition], qui a été un succès de vente suite à sa projection.

Côté pays, quelles sont les grandes tendances ?
Quand j’avais fait l’interview du directeur du marché avant de venir ici, il nous disait qu’il n’y avait pas d’augmentation sensible d’un territoire par rapport à un autre, que c’était sensiblement la même chose que l’an dernier. Maintenant, ce que j’ai remarqué, ce sont les fonds mis en place par des pays pour attirer les productions. A ce jeu-là, Dubaï s’emploie de plus en plus à devenir une plaque tournante du cinéma mondial. La Malaisie, également, déroule le tapis rouge à toutes les productions. Parallèlement la Chine essaye de s’inviter dans le cinéma mondial, avec toutes les contraintes de la censure qui sont encore en vigueur, en cherchant à passer outre ; et ils arrivent avec des carnets de chèque. En termes de territoires, j’entends beaucoup dire que l’Italie achète nettement moins de films qu’avant. C’est probablement lié à un problème des télévisions italiennes, qui du coup n’achètent plus les films aux distributeurs italiens, lesquels n’ont donc plus l’assurance de recevoir une partie du financement. L’Espagne aussi achète moins de films.

Le site du Marché du film

Propos recueillis par Alexis Geng le 22 mai 2012

A Madagascar, “trois femmes meurent chaque jour des suites d’un avortement”

C’est un fléau qui décime des milliers de femmes et leurs fœtus depuis des années dans la Grande Ile. “Spontané ou provoqué”, l’avortement est illégal à Madagascar, y compris en cas de viol. Il est passible de dix ans de prison. Pourtant, ceux ou celles qui la pratiquent ont pignon sur rue. Trouver un spécialiste de l’avortement est plus facile que de trouver une bonne clinique pour accoucher, écrit La Gazette de la Grande Ile.“Il suffit de demander dans la rue et on vous montrera l’adresse où un médecin, un infirmier, une sage-femme, un aide-soignant, un pharmacien ou même un concierge d’hôpital pratique l’avortement, souvent dans un atelier sombre, sale, infesté de parasites et mal aéré”, s’indigne le journal malgache qui constate que la découverte de corps d’enfants dans les bacs ou dans les canaux n’est plus un scoop.”Il criait lorsque je l’ai mis dans un sac en plastique”Selon l’association Niffin’Akanga, une ONG malgache qui défend la légalisation de l’avortement, les femmes qui y recourent pratiquent en moyenne entre deux et huit avortements dans leur vie et sont issues de tous les milieux sociaux. C’est le cas de cette mère de famille qui a accepté de se confier, sous couvert de l’anonymat, à un journaliste de l’AFP. Elle a conduit notre confrère sur un bout de terre dont elle garde le secret.“Lorsque je fais le compte, il y a environ huit fœtus enterrés ici ainsi qu’un bébé né à sept mois de grossesse. Il criait lorsque je l’ai mis dans un sac plastique”, soupire cette mère démunie. Avec six enfants à charge et un mari alcoolique, elle n’envisage qu’une seule décision en cas de nouvelle grossesse : y mettre fin.Dans ce pays pauvre de 26 millions d’habitants, trois femmes meurent chaque jour des suites d’un “avortement spontané ou provoqué”, selon l’antenne locale de l’association britannique Marie Stopes qui s’occupe de la planification familiale. Elle prend en charge 20 000 victimes de complications, qui sont hospitalisées chaque année, souvent trop tard. La majorité de celles qui survivent ont entre 15 et 25 ans. Bon nombre d’entre elles ne peuvent plus avoir d’enfants.“Outre les hémorragies et les infections, le plus grand risque est la perforation d’organes”, explique le docteur Anderson Randriambelomanana, chef de service dans une maternité de la capitale.”Même si le foetus n’est pas viable, il faudra que la mère mette au monde le bébé”L’avortement à Madagascar est un sujet majeur de santé publique, martèle l’association Niffin’Akanga qui se bat pour la légalisation de l’interruption volontaire de grossesse. Mais le sujet reste tabou dans une société où les contraintes culturelles et religieuses ne permettent pas l’ouverture d’un débat franc et constructif autour de la question. Même les médecins se gardent de prendre position, de peur de se retrouver en prison.“Même si la grossesse peut causer la mort de la mère, même si la grossesse est le produit d’un viol ou d’un inceste, quand bien même une grosse malformation est constatée à l’échographie, et même si le fœtus n’est pas viable… Non, il faudra que la mère mette le bébé au monde”, dénonce la juriste malgache Olivia Rajerison dans le journal La Tribune de Diego.Pour elle, il est temps que la loi interdisant l’avortement soit revue pour qu’elle colle aux réalités de la société malgache. Les associations engagées dans ce combat déplorent l’échec patent de la politique de planning familial à Madagascar. Un cinquième des femmes qui souhaitent avoir accès à la planification en seraient privées pour des raisons de coût élevé, mais aussi à cause des barrières culturelles qui font que les contraceptifs continuent à entretenir toutes les peurs.Autre frein à la contraception, les femmes dépendent souvent du consentement de leurs maris. Dans la société malgache, “l’homme est un demi-dieu” et la femme doit se plier à ses volontés.S’il a besoin de moi (sexuellement), quelle que soit l’heure, je m’exécute. Si je refuse, il me frappe et me met dehorsUne mère de famille malgacheà l’AFPA Madagascar, les associations qui militent en faveur de la légalisation de l’avortement espèrent, sans se faire trop d’illusions, que la venue du pape François dans la Grande Ile permettra d’amender le discours de l’Eglise catholique sur cette question. Ce n’est pas seulement le droit de choisir qui est en jeu, c’est le droit à la vie, estiment-ellesClick Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Cuisine : au Japon, le petit bistro ambulant d’un Français fait recette

Au Japon, les escargots se mangent avec des baguettes. Pour beaucoup, c’est une découverte. Le chef s’appelle Rémy Grenard. Depuis trois ans, il tient un “yatai”, une petite échoppe mobile en bois, dans la ville de Fukuoka, au sud-ouest de l’archipel. De la quiche au cassoulet, tous les soirs, il cuisine français pour les Japonais. Son “yatai” comprend 12 places au comptoir et une toute petite cuisine où il fait simplement réchauffer ses plats préparés. À Fukuoka, les “yatai” font partie du paysage depuis plusieurs siècles. Il y en a plus d’une centaine dans la ville, ouverts seulement la nuit. On ne s’y arrête pas plus de 45 minutes pour déguster des plats populaires.200 euros par mois contre un emplacement, l’eau et l’électricitéChaque jour, dans sa cuisine, Rémy Grenard prépare ses plats du soir. Il est le seul étranger à tenir un “yatai”. C’est la mairie qui a choisi son dossier. En journée, les “yatai” se cachent sur des places de parking. Quand vient 17 heures, Rémy Grenard transporte son échoppe dans les rues de Fukuoka. Pour 200 euros par mois, la ville lui garantit l’emplacement, l’eau et l’électricité. En deux temps trois mouvements, son “yatai” est monté. Coupe du monde de rugby oblige, on croise même quelques clients français. Un parfum de France qui, la nuit tombée, suscite la curiosité.Le JT

  • JT de 13h du samedi 5 octobre 2019 L’intégrale

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Set-aside plan ‘will not fix’ carbon price problem

Set-aside plan ‘will not fix’ carbon price problem

Commission official says simply setting aside emissions allowances will not be enough to address carbon issues.

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2/27/12, 4:47 AM CET

Updated 4/12/14, 10:49 PM CET

Setting aside allowances in the EU’s emissions trading scheme (ETS) in order to increase the carbon price “will not be enough” to fix the situation, an official from the European Commission’s energy department said today.

Speaking at a meeting held by Eurelectric, the association of the electricity industry in Europe, Olivier Onidi, deputy head of cabinet for Günther Oettinger, the European commissioner for energy, said the price of carbon is “not right” and “will need to increase”.

But he said that simply setting aside a number of excess allowances will not be enough. The comments come ahead of a vote tomorrow by the European Parliament’s industry committee in which MEPs are expected to call for a set-aside. The Parliament’s environment committee has already backed setting aside allowances.

Other ideas for fixing the low carbon price have included increasing the 2020 emissions reduction target, and lowering the ETS ‘cap’ – the maximum amount of allowances that can be held by each sector. In December, the Parliament’s environment committee called for the cap to fall over the 2013-20 period by 2.25% annually instead of the current 1.75%.

Onidi said the Commission has told industry groups that are resisting any changes to the ETS that their stance is “not very helpful”.

Speaking at the conference, Eurelectric’s secretary-general, Hans Ten Berge, said the current carbon price is having no impact on investment decisions. He pointed out that renewable energy now accounts for 60%-70% of new generation investment. “That means decarbonisation is functioning without the pressure of [a higher] ETS price,” he said.

He said a bigger problem was a lack of coherence between the three policy instruments to reduce emissions – the renewable energy directive, the energy efficiency directive and the emissions trading scheme.

This approach, combining mandatory targets with auctioning and binding measures, is not creating an energy market that people want to invest in, Ten Berge said. He said as long as the situation remains the same, there will never be a decent carbon price.

Authors:
Dave Keating 

Cameron’s stance leaves UK isolated

Cameron’s stance leaves UK isolated

Repercussions are likely to extend beyond the immediate eurozone crisis.

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12/14/11, 10:08 PM CET

Updated 4/12/14, 10:25 PM CET

The United Kingdom’s refusal to participate with the other member states of the European Union in an agreement on treaty change left it isolated at the European Council on 8-9 December. It now faces repercussions that are likely to extend beyond the immediate eurozone crisis.

At the summit, David Cameron, the British prime minister, presented a series of demands that, he said, would protect the interests of the UK and the City of London, chiefly by re-introducing unanimity into the decision-making process on financial-services legislation. Rules for the single market – including financial services – have been adopted by qualified-majority voting since 1986’s Single European Act.

José Manuel Barroso, the president of the European Commission, told the European Parliament on Tuesday (13 December) that, in exchange for its support for treaty change, the UK had asked for “a specific protocol on financial services that, as presented, posed a risk to the integrity of the single market”.

Barroso said that he offered a compromise, proposing an amendment to the leaders’ final statement with an assurance that “any measures adopted by the Council and applied to the euro area only must not undermine the single market, including financial services”. This did not, however, satisfy British concerns.

The UK wanted to protect the City from what it sees as excessive regulation from the EU, including wanting the flexibility to allow member states to set bank capital requirements higher than the maximum proposed by the Commission and agreements safeguarding London as the site of the new European Banking Authority.

Martin Callanan, the leader of the UK Conservatives in the European Parliament, said after the summit on Friday (9 December) that Cameron’s decision to veto the EU treaty change plans were “justified” and that an agreement would have “bargained away Britain’s rights, freedoms and economic well-being”.

However, as several EU officials have pointed out in the past few days, the UK has almost never been out-voted on financial-services legislation in the 25 years since the Single European Act.

Cameron also made much of his opposition to an EU-only financial-transaction tax, already proposed by the Commission and supported by Angela Merkel and Nicolas Sarkozy, the leaders of Germany and France. However, this would, in any case, require unanimity under current rules.

Damaged reputation

Many observers believe that Cameron won nothing during the negotiations and that his actions could, in fact, damage the UK’s position. Graham Bishop, an expert on EU financial legislation, said that, as a consequence of antagonising the other member states, “the UK can expect to be systematically out-voted on single-market measures”.

“In 2014, the new double-majority form of Council voting weights will become operational and the non-euro states will not have a blocking minority – even if they wish to act together,” Bishop said. “The fact that six non-euro states have signed up for the agreement already suggests the signatories will almost always have a massive weighted majority.”

He said that the UK will now need to convince other member states on its position on each piece of financial-services legislation – and that it will win only if its “intellectual argument is extremely powerful”.

Writing in the UK’s Daily Telegraph yesterday (14 December), Michel Barnier, the European commissioner for the internal market and services, criticised the notion of a return to unanimity in decision-making, saying that the single market could not exist if every country had a veto. He said unanimity “opened the way to other demands for protection of sectors considered to be of national importance and ultimately to a patchwork of arrangements undermining the very notion of a single market”.

EU officials say Cameron’s failure to win over other leaders to his point of view was compounded by the last-minute nature of his request and the simple fact that many member states did not in any case share Germany’s appetite for treaty change.

Authors:
Ian Wishart 

No agreement on strengthening bail-out fund

No agreement on strengthening bail-out fund

Negotiations on boosting EFSF to continue before leaders meet again on Wednesday.

France drops bail-out fund proposal

By

10/23/11, 4:49 PM CET

Updated 4/12/14, 10:06 PM CET

A meeting of leaders of the eurozone’s 17 member states broke up tonight (23 October) without an agreement on how to boost the firepower of the bail-out fund.

Herman Van Rompuy, the president of the European Council, said that two options were on the table and more work needed to be done before a deal was reached.

He said that the two options, both aimed at increasing the lending capacity of the European Financial Stability Facility (EFSF), which currently stands at €440 billion, might yet be combined.

Van Rompuy was speaking at the end of three days of meetings in Brussels aimed at solving the eurozone crisis. But it is clear that many issues still need to be thrashed out by officials over the next 48 hours, before the finance ministers and then the government leaders meet again on Wednesday.

Van Rompuy said: “We defined two models and we will now go into details to make this concrete. It could even be that we combine the models and we have a cumulative effect.

“The discussion is going on, but in a positive way and I think we have made progress.”

One of the two options being discussed is the creation of a separate fund using an EFSF loan and external international financing, principally through the International Monetary Fund. This would then be able to buy sovereign bonds from countries in trouble.

The other is to use the EFSF to insure against losses on sovereign bonds. 

Neither plan would use the financial muscle of the European Central Bank (ECB) to fund the EFSF, which was an earlier idea proposed by France but opposed by Germany and the ECB itself.

Van Rompuy said that the ECB would, however, still play a role. “You have a broad range of options where the ECB is involved, fully in charge, and so on; so to say the ECB is not involved in anything is too much to say.”

The idea of leveraging the EFSF is attractive because it means it would be able to lend much more without needing countries to inject additional capital. However, critics warn that it could threaten the top-class credit-ratings of countries, particularly France, because it would burden them with extra liabilities.

Separately, Van Rompuy announced that Silvio Berlusconi, Italy’s prime minister, would be required to present to the European Council on Wednesday a package of measures aimed at boosting growth and reducing debt in the country. (See ‘Italy under pressure to reduce debt’.)

Demonstrating to the financial markets that Italy can sort out its public finances is crucial to prevent contagion from spreading to the eurozone’s third largest economy.

José Manuel Barroso, the president of the European Commission, said all member states had “commitments” to make and he did not want to single out Italy.

He said: “All member states need to be clear. This is understood by everybody so I don’t want to single out one country, but I’m sure that all member states are committed to ensure fiscal discipline, fiscal consolidation, [and] structural reforms.”
 
Asked whether further commitments were being demanded of Belgium,Van Rompuy, a former prime minister of Belgium, said that they were not.

Authors:
Ian Wishart 

Taking charge of the crisis

Taking charge of the crisis

The emergence of the Frankfurt Group.

A new eurozone inner core group emerged at the G20 in Cannes: the Frankfurt Group.  It comprises Nicolas Sarkozy, France’s president; Angela Merkel, Germany’s chancellor; Christine Lagarde, the managing director of the International Monetary Fund; José Manuel Barroso, the president of the European Commission; Olli Rehn, the European commissioner for economic and monetary affairs; Herman Van Rompuy, the president of the European Council; Jean-Claude Juncker, Luxembourg’s prime minister, who chairs meetings of eurozone finance ministers; and Mario Draghi, the president of the European Central Bank (ECB).  

It was this group that harangued the prime minister and finance minister of Greece on 2 November and then held talks in the margins of the G20 over the next two days, inviting Barack Obama, the US president, to join them.

The group already seems to have given itself some formal status; the members wore badges with the words ‘Groupe de Francfort’. The name comes from the impromptu meeting they held at the leaving party for Jean-Claude Trichet, the former president of the ECB, in Frankfurt on 19 October.