Suite à des accords conclus entre le gouvernement nigérian et le Mouvement islamique au Nigéria (MIN), le cheikh Ibrahim Zakzaky et son épouse devraient être libérés sous peu pour des soins médicaux à l’étranger. C’est du moins ce que pense pouvoir annoncer en exclusivité le 12 juillet 2019 le site iranien IranFrontPage, citant une source informée. Zakzaky a besoin d’un traitement à l’étrangerSelon cette source, une équipe médicale internationale de la Commission islamique des droits de l’Homme (CIR) basée à Londres a pu récemment rendre visite au Cheikh Zakzaky et à son épouse en prison. A l’issue d’un examen de santé et de tests médicaux pratiqués sur les deux personnes, l’équipe a rédigé un rapport soulignant la nécessité urgente d’envoyer le dirigeant religieux suivre un traitement spécial à l’étranger.Des copies de ce rapport ont été fournies aux avocats et à la famille du chef chiite. Selon l’ambassadeur d’Iran au Nigeria, Morteza Rahimi, ces derniers ont même déjà préparé un rapport à soumettre aux autorités judiciaires lors d’un procès qui devrait se tenir prochainement.Arrêté en décembre 2015 et maintenu en détention malgré une décision judiciaire fédérale de le libérer en 2016, le dignitaire religieux est très malade, selon son fils qui a pu le rencontrer le 6 juillet.L’Iran suit de près le sort du dirigeant chiite“Il a été découvert que mon père avait des concentrations de plomb et de cadmium inhabituellement élevées mettant sa vie en danger. Divers experts que nous avons consultés ont recommandé une hospitalisation immédiate afin de tenter de le sauver”, a-t-il déclaré, selon Téhéran Times.La presse iranienne, qui suit de très près le cas du dirigeant chiite, met en effet la pression pour obtenir sa libération ainsi que celle de sa femme qui souffre de “nombreux problèmes de santé dont des attaques fréquentes de douleurs chroniques qui sont devenues quotidiennes”, a encore indiqué le fils.Opposé aux autorités nigérianes, Ibrahim Zakzaky appelle depuis des années à une révolution islamique inspirée du modèle iranien dans un pays majoritairement peuplé de sunnites,Le 10 juillet, des centaines de chiites étaient redescendus dans les rues d’Abuja pour réclamer la libération de leur chef, selon des journalistes de l’AFP sur place. Les fronts ceints de bandeaux jaunes, ils chantaient des slogans et dansaient devant la Commission nationale des droits de l’Homme dans le centre de la capitale.”La police nigériane a tiré sur les chiites à l’Assemblée”Au mur, une inscription peinte en rouge venait rappeler que “la police nigeriane a tiré sur des chiites à l’Assemblée nationale le 9 juillet 2019”. La veille, un rassemblement avait en effet tourné à l’affrontement qui avait fait deux morts dont un adolescent de 14 ans et onze blessés.Un porte-parole du MIN a démenti la version des autorités faisant état de tirs avec un fusil dérobé à la police.“Certains de nos membres ont probablement jeté des pierres, a reconnu Ibrahim Musa. Mais dire que nous avons essayé de nous emparer des armes est tout simplement faux.”“Nous sommes très en colère et nous ne voulons pas que notre chef meure entre les mains du gouvernement fédéral”, a-t-il ajouté en référence à l’appel à l’aide du fils d’Ibrahim Zakzaky qualifiant la détention de son père, malade, d’“assassinat”.Click Here: new zealand rugby team jerseys
Month: March 2020
Cannes 2012 : le “Journal de France” de Depardon en images [VIDEO]
L’Hexagone vu par Raymond Depardon & Claudine Nougaret : c’est ce mardi 22 mai en séance spéciale.
Journal de France – Réalisé par Claudine Nougaret & Raymond Depardon
Sélection Officielle – Séance Spéciale
C’est un journal, un voyage dans le temps, il photographie la France, elle retrouve des bouts de films inédits qu’il garde précieusement : ses débuts à la caméra, ses reportages autour du monde, des bribes de leur mémoire, de notre histoire.
Journal de France
Toutes les bandes-annonces du Festival de Cannes 2012
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Hostilité de députés à la venue de Greta Thunberg : “Une polémique totalement futile”
#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !“C’est une polémique totalement futile, on parle de cette personne et on ne parle pas du fond”, a réagi Valérie Masson-Delmotte, climatologue et co-présidente du groupe de travail du Giec, qui intervient mardi 23 juillet aux côtés de la jeune militante écologiste Greta Thunberg à l’Assemblée nationale. La venue de la jeune Suédoise est critiquée par certains députés Les Républicains et Rassemblement national, qui ont annoncé qu’ils n’assisteront pas à son discours.franceinfo : Quel est le but de cette journée à l’Assemblée nationale ?Valérie Masson-Delmotte : Je suis invitée par des parlementaires de tous horizons politiques à échanger autour d’une table ronde, en présence de Greta Thunberg, mais aussi de plusieurs jeunes Français du Mouvement pour le climat. C’est une occasion exceptionnelle de dialoguer et d’échanger. Je représenterai le travail des scientifiques. Et il y aura aussi des membres de la jeunesse qui portent des inquiétudes par rapport à l’évolution du climat et par rapport à une forme d’inaction qui, par la poursuite des émissions de gaz à effet de serre, entraînera un changement climatique important.Certains accusent ces jeunes, et notamment Greta Thunberg, de faire de la “com”, d’être instrumentalisés. Quel est votre regard sur cette polémique ?Je pense que cette polémique est totalement futile. On se focalise sur une personne, Greta Thunberg, alors que c’est un mouvement très large, dans tous les pays. Ensuite, on parle de cette personne et on ne parle pas du fond. Le fond c’est quoi ? Quand on émet plus de gaz à effet de serre, notre climat se réchauffe. Nous pouvons observer ces conséquences en France avec l’augmentation des vagues de chaleur, l’augmentation des sécheresses sur tout le pourtour méditerranéen, une montée du niveau des mers. Le climat va continuer à changer dans les années à venir. Il faut s’y préparer, il faut s’y adapter. Il faut anticiper pour éviter les crises.Ensuite il faut agir sur les causes de ce problème : les émissions de gaz à effet de serre. Nous avons tous des leviers d’action, mais les parlementaires et le gouvernement en ont bien davantage. Et, dans cet échange que nous aurons aujourd’hui, nous nous focaliserons sur le fond et non pas sur des polémiques que je trouve stériles.Geta Thunberg n’incarne-t-elle pas la mauvaise conscience de nombreux dirigeants politiques ?Vous insistez sur le côté anxiogène du message que Greta Thunberg propage. Mais de mon côté, et via les rapports du GIEC notamment, nous identifions les risques et nous tentons d’apporter des solutions. Et j’espère que le débat pourra porter sur ces solutions afin de construire un développement soutenable, protéger la biodiversité et maîtriser les risques climatiques.Par ailleurs, je suis très reconnaissante au mouvement de la jeunesse. S’il n’y avait pas ce mouvement, je pense que je ne serais pas invitée à échanger avec plus de 170 parlementaires dans une salle de l’Assemblée nationale. S’il n’y avait pas ce mouvement, il n’y aurait pas eu de renforcement des programmes des lycées, en particulier en terminale générale, avec une partie du programme dédiée à la question du changement climatique. Ces jeunes veulent comprendre les enjeux, se les approprier, comprendre comment agir afin d’être porteurs de solutions.Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys
Ebola en RDC : trois médecins congolais soupçonnés d’avoir commandité le meurtre d’un épidémiologiste de l’OMS
Le Dr Richard Valery Mouzoko Kiboung, spécialiste de la lutte contre Ebola, avait été tué le 19 avril dans une attaque de milices à Butembo dans l’est de la République démocratique du Congo. Il présidait alors une réunion avec les membres de l’équipe de riposte contre Ebola. Les docteurs Hippolyte Sangala Kisako, Aurélien Luendo Paluku et Gilbert Kasereka sont “poursuivis” pour “terrorisme, association de malfaiteurs”, a déclaré à l’AFP le lieutenant-colonel Jean-Baptiste Kumbu Ngoma, procureur militaire de Butembo (Nord-Kivu). Un quatrième médecin, le Dr Mundama Witende, soupçonné lui aussi d’avoir commandité cet assassinat, aurait quitté le pays.Ils sont tous les quatre accusés d’avoir tenu “des réunions en date du 14 avril 2019 dans le but de projeter l’assassinat du docteur Richard Mouzoko”. D’autres personnes, dont une femme, sont également détenues dans cette affaire non encore élucidée. On ne connaît pas les mobiles qui auraient pu pousser ces médecins à éliminer leur confrère camerounais.Menace de grève pour la libération des trois médecinsDans une lettre datée du 6 août adressée au maire de la ville de Butembo, l’ordre local des médecins a exprimé “son indignation face à l’arrestation” de ces confrères et exigé leur mise en “liberté provisoire”. “La corporation donne un ultimatum de 48 heures pour leur libération sans condition aucune sous peine d’une grève sèche dans toutes les structures de la ville de Butembo et ses environs sans oublier les centres de traitement de la maladie à virus Ebola”, a affirmé l’ordre.La réponse ne s’est pas fait attendre. Il est “hors de question de les mettre en liberté provisoire. Ils ont été pointés du doigt de manière très claire dans l’assassinat du docteur Richard et l’attaque du centre de traitement d’Ebola de Butembo”, a réagi le procureur militaire.La République démocratique du Congo lutte depuis une année contre une épidémie de fièvre hémorragique qui a déjà fait plus de 1820 morts, essentiellement dans les régions rurales de Beni, Butembo-Katwa (Nord-Kivu) et en Ituri. Depuis mi-juillet, une dizaine de cas, dont deux morts, ont été enregistrés dans la ville de Goma, la capitale du Nord-Kivu. La région est un repaire de nombreux groupes armés locaux et étrangers depuis 25 ans.
Collective of F1 teams working on COVID-19 ventilator plan
F1 and a group of teams are putting their engineering resources to good use, helping the UK health authorities increase the country’s supply of medical equipment to fight the coronavirus pandemic.
Ventilators and respiratory devices are crucial for intensive care units across the country to keep alive those infected with the COVID-19 disrease.
But hospitals are running short on supply, leading the government to call upon several engineering sectors to immediately help boost capacity.
According to the BBC, Britain is in need of an extra 20,000 ventilators to deal with the crisis as it unfolds in the coming months.
- Ferrari set to join efforts to help Italy build ventilators
A statement from F1 said: “A collective of UK-based Formula 1 teams, engine manufactures and their respective technology arms is evaluating support for the manufacture of respiratory devices in response to the UK government’s call for assistance.
“The teams are working in collaboration with F1, the UK government and other organisations to establish the feasibility of the teams producing, or supporting, the production of medical devices to help in the treatment of coronavirus patients.
“All the teams have expert design, technology and production capabilities, and specialise in rapid prototyping and high-value manufacturing, which is hoped can be applied to the critical needs set out by government.
“Working with Innovate UK, the High Value Manufacturing Catapult team and University College London and UCL hospitals, the teams are evaluating a number of routes to support in conjunction with existing manufacturers and organisations from the aerospace and automotive sectors.
“It is hoped this work, which is being rapidly progressed, will produce a tangible outcome in the next few days.”
The engineering departments of Mercedes, Red Bull, McLaren and Williams are all set to respond to the UK’s call, while Ferrari is also helping Italy’s dramatic quest to boost its ventilator production.
Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers
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