Nigeria : le dirigeant chiite Ibrahim Zakzaky “bientôt” libéré, selon un site iranien

Suite à des accords conclus entre le gouvernement nigérian et le Mouvement islamique au Nigéria (MIN), le cheikh Ibrahim Zakzaky et son épouse devraient être libérés sous peu pour des soins médicaux à l’étranger. C’est du moins ce que pense pouvoir annoncer en exclusivité le 12 juillet 2019 le site iranien IranFrontPage, citant une source informée. Zakzaky a besoin d’un traitement à l’étrangerSelon cette source, une équipe médicale internationale de la Commission islamique des droits de l’Homme (CIR) basée à Londres a pu récemment rendre visite au Cheikh Zakzaky et à son épouse en prison. A l’issue d’un examen de santé et de tests médicaux pratiqués sur les deux personnes, l’équipe a rédigé un rapport soulignant la nécessité urgente d’envoyer le dirigeant religieux suivre un traitement spécial à l’étranger.Des copies de ce rapport ont été fournies aux avocats et à la famille du chef chiite. Selon l’ambassadeur d’Iran au Nigeria, Morteza Rahimi, ces derniers ont même déjà préparé un rapport à soumettre aux autorités judiciaires lors d’un procès qui devrait se tenir prochainement.Arrêté en décembre 2015 et maintenu en détention malgré une décision judiciaire fédérale de le libérer en 2016, le dignitaire religieux est très malade, selon son fils qui a pu le rencontrer le 6 juillet.L’Iran suit de près le sort du dirigeant chiite“Il a été découvert que mon père avait des concentrations de plomb et de cadmium inhabituellement élevées mettant sa vie en danger. Divers experts que nous avons consultés ont recommandé une hospitalisation immédiate afin de tenter de le sauver”, a-t-il déclaré, selon Téhéran Times.La presse iranienne, qui suit de très près le cas du dirigeant chiite, met en effet la pression pour obtenir sa libération ainsi que celle de sa femme qui souffre de “nombreux problèmes de santé dont des attaques fréquentes de douleurs chroniques qui sont devenues quotidiennes”, a encore indiqué le fils.Opposé aux autorités nigérianes, Ibrahim Zakzaky appelle depuis des années à une révolution islamique inspirée du modèle iranien dans un pays majoritairement peuplé de sunnites,Le 10 juillet, des centaines de chiites étaient redescendus dans les rues d’Abuja pour réclamer la libération de leur chef, selon des journalistes de l’AFP sur place. Les fronts ceints de bandeaux jaunes, ils chantaient des slogans et dansaient devant la Commission nationale des droits de l’Homme dans le centre de la capitale.”La police nigériane a tiré sur les chiites à l’Assemblée”Au mur, une inscription peinte en rouge venait rappeler que “la police nigeriane a tiré sur des chiites à l’Assemblée nationale le 9 juillet 2019”. La veille, un rassemblement avait en effet tourné à l’affrontement qui avait fait deux morts dont un adolescent de 14 ans et onze blessés.Un porte-parole du MIN a démenti la version des autorités faisant état de tirs avec un fusil dérobé à la police.“Certains de nos membres ont probablement jeté des pierres, a reconnu Ibrahim Musa. Mais dire que nous avons essayé de nous emparer des armes est tout simplement faux.”“Nous sommes très en colère et nous ne voulons pas que notre chef meure entre les mains du gouvernement fédéral”, a-t-il ajouté en référence à l’appel à l’aide du fils d’Ibrahim Zakzaky qualifiant la détention de son père, malade, d’“assassinat”.Click Here: new zealand rugby team jerseys

Cannes 2012 : le “Journal de France” de Depardon en images [VIDEO]

L’Hexagone vu par Raymond Depardon & Claudine Nougaret : c’est ce mardi 22 mai en séance spéciale.

Journal de France – Réalisé par Claudine Nougaret & Raymond Depardon

Sélection Officielle – Séance Spéciale

C’est un journal, un voyage dans le temps, il photographie la France, elle retrouve des bouts de films inédits qu’il garde précieusement : ses débuts à la caméra, ses reportages autour du monde, des bribes de leur mémoire, de notre histoire.


Journal de France

Toutes les bandes-annonces du Festival de Cannes 2012

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Hostilité de députés à la venue de Greta Thunberg : “Une polémique totalement futile”

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !“C’est une polémique totalement futile, on parle de cette personne et on ne parle pas du fond”, a réagi Valérie Masson-Delmotte, climatologue et co-présidente du groupe de travail du Giec, qui intervient mardi 23 juillet aux côtés de la jeune militante écologiste Greta Thunberg à l’Assemblée nationale. La venue de la jeune Suédoise est critiquée par certains députés  Les Républicains et Rassemblement national, qui ont annoncé qu’ils n’assisteront pas à son discours.franceinfo : Quel est le but de cette journée à l’Assemblée nationale ?Valérie Masson-Delmotte : Je suis invitée par des parlementaires de tous horizons politiques à échanger autour d’une table ronde, en présence de Greta Thunberg, mais aussi de plusieurs jeunes Français du Mouvement pour le climat. C’est une occasion exceptionnelle de dialoguer et d’échanger. Je représenterai le travail des scientifiques. Et il y aura aussi des membres de la jeunesse qui portent des inquiétudes par rapport à l’évolution du climat et par rapport à une forme d’inaction qui, par la poursuite des émissions de gaz à effet de serre, entraînera un changement climatique important.Certains accusent ces jeunes, et notamment Greta Thunberg, de faire de la “com”, d’être instrumentalisés. Quel est votre regard sur cette polémique ?Je pense que cette polémique est totalement futile. On se focalise sur une personne, Greta Thunberg, alors que c’est un mouvement très large, dans tous les pays. Ensuite, on parle de cette personne et on ne parle pas du fond. Le fond c’est quoi ? Quand on émet plus de gaz à effet de serre, notre climat se réchauffe. Nous pouvons observer ces conséquences en France avec l’augmentation des vagues de chaleur, l’augmentation des sécheresses sur tout le pourtour méditerranéen, une montée du niveau des mers. Le climat va continuer à changer dans les années à venir. Il faut s’y préparer, il faut s’y adapter. Il faut anticiper pour éviter les crises.Ensuite il faut agir sur les causes de ce problème : les émissions de gaz à effet de serre. Nous avons tous des leviers d’action, mais les parlementaires et le gouvernement en ont bien davantage. Et, dans cet échange que nous aurons aujourd’hui, nous nous focaliserons sur le fond et non pas sur des polémiques que je trouve stériles.Geta Thunberg n’incarne-t-elle pas la mauvaise conscience de nombreux dirigeants politiques ?Vous insistez sur le côté anxiogène du message que Greta Thunberg propage. Mais de mon côté, et via les rapports du GIEC notamment, nous identifions les risques et nous tentons d’apporter des solutions. Et j’espère que le débat pourra porter sur ces solutions afin de construire un développement soutenable, protéger la biodiversité et maîtriser les risques climatiques.Par ailleurs, je suis très reconnaissante au mouvement de la jeunesse. S’il n’y avait pas ce mouvement, je pense que je ne serais pas invitée à échanger avec plus de 170 parlementaires dans une salle de l’Assemblée nationale. S’il n’y avait pas ce mouvement, il n’y aurait pas eu de renforcement des programmes des lycées, en particulier en terminale générale, avec une partie du programme dédiée à la question du changement climatique. Ces jeunes veulent comprendre les enjeux, se les approprier, comprendre comment agir afin d’être porteurs de solutions.Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Ebola en RDC : trois médecins congolais soupçonnés d’avoir commandité le meurtre d’un épidémiologiste de l’OMS

Le Dr Richard Valery Mouzoko Kiboung, spécialiste de la lutte contre Ebola, avait été tué le 19 avril dans une attaque de milices à Butembo dans l’est de la République démocratique du Congo. Il présidait alors une réunion avec les membres de l’équipe de riposte contre Ebola. Les docteurs Hippolyte Sangala Kisako, Aurélien Luendo Paluku et Gilbert Kasereka sont “poursuivis” pour “terrorisme, association de malfaiteurs”, a déclaré à l’AFP le lieutenant-colonel Jean-Baptiste Kumbu Ngoma, procureur militaire de Butembo (Nord-Kivu). Un quatrième médecin, le Dr Mundama Witende, soupçonné lui aussi d’avoir commandité cet assassinat, aurait quitté le pays.Ils sont tous les quatre accusés d’avoir tenu “des réunions en date du 14 avril 2019 dans le but de projeter l’assassinat du docteur Richard Mouzoko”. D’autres personnes, dont une femme, sont également détenues dans cette affaire non encore élucidée. On ne connaît pas les mobiles qui auraient pu pousser ces médecins à éliminer leur confrère camerounais.Menace de grève pour la libération des trois médecinsDans une lettre datée du 6 août adressée au maire de la ville de Butembo, l’ordre local des médecins a exprimé “son indignation face à l’arrestation” de ces confrères et exigé leur mise en “liberté provisoire”“La corporation donne un ultimatum de 48 heures pour leur libération sans condition aucune sous peine d’une grève sèche dans toutes les structures de la ville de Butembo et ses environs sans oublier les centres de traitement de la maladie à virus Ebola”, a affirmé l’ordre.La réponse ne s’est pas fait attendre. Il est “hors de question de les mettre en liberté provisoire. Ils ont été pointés du doigt de manière très claire dans l’assassinat du docteur Richard et l’attaque du centre de traitement d’Ebola de Butembo”, a réagi le procureur militaire.La République démocratique du Congo lutte depuis une année contre une épidémie de fièvre hémorragique qui a déjà fait plus de 1820 morts, essentiellement dans les régions rurales de Beni, Butembo-Katwa (Nord-Kivu) et en Ituri.    Depuis mi-juillet, une dizaine de cas, dont deux morts, ont été enregistrés dans la ville de Goma, la capitale du Nord-Kivu. La région est un repaire de nombreux groupes armés locaux et étrangers depuis 25 ans.

Collective of F1 teams working on COVID-19 ventilator plan

F1 and a group of teams are putting their engineering resources to good use, helping the UK health authorities increase the country’s supply of medical equipment to fight the coronavirus pandemic.

Ventilators and respiratory devices are crucial for intensive care units across the country to keep alive those infected with the COVID-19 disrease.

But hospitals are running short on supply, leading the government to call upon several engineering sectors to immediately help boost capacity.

According to the BBC, Britain is in need of an extra 20,000 ventilators to deal with the crisis as it unfolds in the coming months.

  • Ferrari set to join efforts to help Italy build ventilators

A statement from F1 said: “A collective of UK-based Formula 1 teams, engine manufactures and their respective technology arms is evaluating support for the manufacture of respiratory devices in response to the UK government’s call for assistance.

“The teams are working in collaboration with F1, the UK government and other organisations to establish the feasibility of the teams producing, or supporting, the production of medical devices to help in the treatment of coronavirus patients.

“All the teams have expert design, technology and production capabilities, and specialise in rapid prototyping and high-value manufacturing, which is hoped can be applied to the critical needs set out by government.

“Working with Innovate UK, the High Value Manufacturing Catapult team and University College London and UCL hospitals, the teams are evaluating a number of routes to support in conjunction with existing manufacturers and organisations from the aerospace and automotive sectors.

“It is hoped this work, which is being rapidly progressed, will produce a tangible outcome in the next few days.”

The engineering departments of Mercedes, Red Bull, McLaren and Williams are all set to respond to the UK’s call, while Ferrari is also helping Italy’s dramatic quest to boost its ventilator production.

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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MEPs call for closer economic union

MEPs call for closer economic union

MEPs press for additional, faster steps to stabilise the eurozone, following EU deal on debt management.

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MEPs today broadly welcomed EU’s latest package of measures to contain the eurozone crisis as a step in the right direction.

However, the parliamentary debate in Strasbourg, held just hours after the conclusion of two emergency summits in Brussels, made clear that MEPs feel that the measures – the EU’s most comprehensive response yet presented – need to be followed by further, significant steps to stabilise the euro and forge a closer economic union.

Herman Van Rompuy, the president of the European Council, and José Manuel Barroso, the European Commission president, spent much of the debate on the defensive.

‘More fiscal integration’

Joseph Daul, the leader of the centre-right European People’s Party (EPP), the largest bloc in the Parliament, urged Van Rompuy and Barroso to push for more fiscal and economic integration to address shortcomings in the current system of economic governance.

Martin Schulz, the leader of the centre-left Socialists and Democrats (S&D) group, said while some progress had been made, the decisions taken at the European Council and the eurozone summit, which ended in the early hours of Thursday, had “not brought any solution to the crisis”. He called on EU leaders to move fast to reach an agreement on a financial transaction tax, to reduce tax evasion and to improve the situation of Europe’s unemployed.

Guy Verhofstadt, who leads the Alliance of Liberals and Democrats for Europe (ALDE) and who is a champion of a federal Europe, expressed relief that decisions had been taken. He added, though, that “much work remains to be completed to ensure more effective governance in the longer term, namely the measures to set in place a real economic and fiscal union”. He urged Barroso to move quickly to present plans for Eurobonds – sovereign bonds guaranteed by multiple governments – and to draft plans to create a European Monetary Fund capable to stepping in to provide support for troubled economies.

All three leaders dwelt on the slow pace of decision-making over the course of the crisis. “If these measures had been taken a year ago we would not be where we are today,” said Schulz, who criticised Van Rompuy and Barroso for not pushing EU leaders to take decisions earlier. Similarly, Verhofstadt said the length of deliberation and negotiation had worsened Europe’s economic situation. Daul said the EU treaty needed to be adjusted swiftly to reflect the plans. “We don’t have time to wait ten years to change the treaty,” said Daul.

‘Temporary solution’

Jan Zahradil, the leader of a Eurosceptic grouping, the European Conservatives and Reformists (ECR), said the deal was “only a temporary solution” and did not solve the core problems facing the eurozone or the EU as a whole.

“We must not let markets fail while we attempt to save the single currency,” he said.

Barroso said the decisions taken on Wednesday and Thursday “were important,” but acknowledged that there was “still a lot of work to do”. He said that the Commission would next month present a package of proposals to bolster the economic governance within the EU and the eurozone.

Those proposals include plans for member states to be able to carry out deeper surveillance of each other’s finances as well as a green paper on Eurobonds.

He reiterated that the Commission was also fast-tracking plans on reforms to the EU’s internal market as well as further legislation on financial regulation.

Van Rompuy said the lack of detail in the decisions taken by the EU leaders did not mean that a breakthrough did not occur. 

“We have made greater progress than might appear,” he said. He added the EU’s decision-making process was naturally slow because it had to take into account of national parliaments and debate.

“Political decision-making is always going to lag behind the markets,” he said.

Authors:
Constant Brand 

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Betting firms in search of clarity

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Commission to rule on German state monopolies.

The gambling industry is awaiting a European Commission response to proposed reforms of Germany’s online betting market.

Commission officials are expected to reveal on Monday (18 July) their thoughts on plans by 15 of Germany’s 16 Länder that aim at breaking up existing state monopolies. Gambling companies believe that the proposed legislation is flawed and too restrictive and will do nothing to encourage competition in one of the EU’s largest gambling markets.

The 15 German Länder asked the Commission to rule on their proposals in April after the European Court of Justice said last September that existing laws, which allow only state-owned companies to offer most online sports gambling, breached EU competition rules. The Commission opened infringement proceedings against Germany in 2008.

The chief criticism of Germany’s gambling bill is that the number of licences available to private operators would be limited to seven. Additionally, private operators would face having to pay a tax of 16.67% on every stake. Betting companies say that both these moves would make participation in the German market commercially unviable.

Two weeks ago, Betfair, an online betting company, filed a complaint with the Commission, describing the new rules as “disproportionate and discriminatory” and “protectionist”.

Sigrid Ligné, the secretary-general of the European Gaming and Betting Association (EGBA), said that the proposed changes to Germany’s gambling law merely re-enforced rules that made opening up access to online betting “impossible”.

“This is extraordinary given that Germany is already subject to infringement proceedings,” she said. “So we can only expect that the Commission will flag up the problems and act with sufficient strength.”

‘Protecting’ the public

The German Länder say that their proposed legislation, which they hope to introduce on 1 January 2012, is aimed at protecting the public from social problems associated with gambling. But critics counter that the restrictions are so tough that unregulated online betting will continue, without any

safeguards.

If, as is expected, the Commission publishes a ‘detailed opinion’ outlining its opposition to the German bill, these objections will not be made public. But they would delay enactment of the law. If the authorities do not take the objections into account, the Commission could decide to launch new infringement proceedings.

But many within the gambling lobby are sceptical of the effectiveness of such procedures, given that proceedings against several countries over gambling laws are still outstanding.

Going it alone

Schleswig-Holstein, the only German Land not participating in the proposed legislation, is bringing in its own rules, which the industry considers less tough, and which impose no limit on the number of operators given licences.

The decision on Germany will follow a detailed opinion on Greece’s draft law that the Commission issued on 7 July, indicating concerns about the proposals and delaying its enactment until 8 August at the earliest.

Greece wanted to pass the bill by the end of July, as part of its attempts to raise revenue for the state. A sale of the government’s stake in the gambling monopoly OPAP and the granting of 50 new online gambling licences formed part of the plans.

The Commission’s objections were not made public, but the EGBA said that it had identified several points in the proposed law which were “highly doubtful” under EU law. These included the requirement for EU-licensed online gaming companies to be established in Greece, the restriction on the number of available licences, and opening the tendering procedure only to companies with a minimum paid-up capital.

Michel Barnier, the European commissioner for the internal market, is currently carrying out a review of all online gambling across the EU. The Commission launched a green paper on 24 March. The consultation is scheduled to close at the end of July.

Authors:
Ian Wishart 

Connaissez-vous le “Skopatumana”, ce refrain venu du Ghana?

Le rappeur ghanéen Patapaa est un génie de la com’. Après One Corner, son premier grand succès de 2017 qui a rendu fou le Ghana, il fait le buzz sur les réseaux sociaux en lançant le #SkopatumanaChallenge. Le défi consiste à reprendre le couplet de la chanson Daavi Neba dont personne ne comprend les paroles. Depuis sa sortie en avril 2019, le clip a été vu plus de 650 000 fois.Till patu pataa, Skoska to mana, Till da pop dada, Sko pa to mana, Filo di si dadaa, Kati don panpana Ma don go don, Ma ga da zen zen, Na dan bam badan…Le SkopatumanaUn charabia viral Dans la chanson interprétée en duo avec un autre artiste ghanéen Kawoula Biov, Patapaa rappe des mots créés de toutes pièces. Lors d’un concert, le chanteur a lui-même du mal à se souvenir de ses paroles et de son Skopatumana. Qu’importe, le rythme est là et la sauce prend très bien. Les Ghanéens sont les premiers à poster des petites vidéos de la reprise du couplet… Et dans ce monde sans frontières, le refrain fait écho dans d’autres pays.Le couplet Skopatumana est à 1’43”Un #Skopatumana à la carteEn plus du “challenge” en chanson, l’expression en hashtag ou mot-dièse #Skopatumana ou #ScoPaTumanaa est très tendance sur Twitter. Et là aussi, les interprétations sont multiples. Il y a ceux qui l’utilisent pour interpeller, d’autres pour s’indigner et ceux qui s’en servent pour s’amuser tout simplement. Mais personne, absolument personne, ne sait ce que ça veut vraiment dire.

En tout cas, rendons à Patapaa ce qui est à Patapaa. L’artiste qui se définit comme Hit Maker mérite bien son surnom. Reste à savoir s’il s’est inspiré de l’une des 250 langues ou dialectes du Ghana, où la langue officielle est l’anglais. Si vous aussi, vous voulez vous essayer au Skopatumana cet été, vous avez les paroles…

L’Afrique du Sud s’emmêle dans le dossier d’extradition de l’ex-ministre mozambicain des Finances

Le sort de Manuel Chang est éminemment politique. Arrêté et détenu en Afrique du Sud depuis le 29 décembre 2018 à la demande des autorités américaines pour sa participation présumée à des prêts frauduleux de deux milliards de dollars au profit d’entreprises d’Etat du Mozambique, l’ancien chef du Trésor, âgé de 63 ans, est au centre d’intenses tractations.Washington réclame M. ChangPour les Etats-Unis, il est clair que Manuel Chang, accusé d’avoir en outre perçu plusieurs millions de dollars de pots-de-vin, a escroqué des investisseurs américains. C’est pourquoi, lorsqu’en mai 2019, l’Afrique du Sud a décidé de renvoyer l’ex-ministre au Mozambique plutôt que vers les Etats-Unis, qui avaient déposé une demande d’extradition concurrente, ces derniers ont vu rouge. Et l’ont fait savoir.Mais mi-juillet, le nouveau ministre sud-africain de la Justice Ronald Lamola change la donne. Dans un communiqué, il a tout simplement déclaré que “la décision précédente n’était peut-être pas légalement autorisée“, voire “irrationnelle et incompatible avec la Constitution” sud-africaine. M. Lamola a précisé qu’il serait erroné d’extrader M. Chang vers le Mozambique car il y bénéficie toujours d’un statut d’immunité et qu’il n’y a été inculpé d’aucun crime. Enfin, de son côté, le ministère de la Justice a averti que le renvoi de M. Chang au Mozambique était également contraire aux “traités nationaux, régionaux et internationaux” signés par l’Afrique du Sud.Une dette de 2 milliards de dollars que Maputo est incapable de rembourserLes charges à l’encontre de Manuel Chang concernent des emprunts contractés par le gouvernement mozambicain lorsqu’il était chef du Trésor entre 2005 et 2015. Quand la dette cachée a été révélée, le Mozambique – qui dépend de l’aide des donateurs et qui est l’un des pays les plus pauvres du monde – a été plongé dans la pire crise financière de son histoire.Pour l’instant sans réaction officielle à la nouvelle situation, les Etats-Unis allèguent qu’au moins 200 millions de dollars ont été dépensés en dessous de table dans un vaste stratagème de fraude et de blanchiment d’argent, dont 12 millions directement dans la poche de l’ancien ministre Chang. Ce dernier fait face à des accusations de complot en vue de commettre une fraude électronique, de violation de la sécurité financière et de blanchiment d’argent.D’autres arrestations et un premier procèsPour sa part, le Mozambique a aussi accusé M. Chang d’avoir accepté des gratifications sonnantes et trébuchantes dans une arnaque qui a permis d’amasser des centaines de millions de dollars, mais les critiques disent qu’il ne sera jamais jugé dans son pays. La police mozambicaine a arrêté plusieurs autres suspects liés au scandale, dont le fils de l’ex-président Armando Guebuza et de hauts responsables du renseignement.En mai, un ancien banquier du Crédit Suisse, jugé aux Etats-Unis, a plaidé coupable d’avoir comploté pour blanchir des fonds dans cette affaire. Trois autres personnes ont été arrêtées, deux en Grande-Bretagne et une à New York. Après la dernière décision prise par Pretoria, la demande d’extradition de Washington aboutira-t-elle ? Rien ne le dit pour le moment. Click Here: Cheap Golf Golf Clubs

Sarah Brown pas trop fan de Carla Bruni sur Twitter

Le site de Carla Bruni Sarkozy est enfin accessible. On peut y admirer dans la partie consacrée à la vie de la première dame, une galerie de portraits qu’elle a réalisés. Dont celui de Sarah Brown qui rend cette dernière «perplexe».

Quel talent!

a trouvé le meilleur média pour s’exposer, et exhiber ses essais artistiques.
Le site carlabrunisarkozy.org s’ouvre en effet sur une galerie de portraits. La première dame a croqué ses proches, et ceux qu’elle croise quotidiennement depuis qu’elle est première dame.
De

à BoB Geldof, en passant par Yves Saint-Laurent, et David Lynch, on découvre les aptitudes graphiques de l’épouse du président.
Tout cela, en bonus de toutes les photos où elle s’expose avec les enfants qu’elle a rencontré dans le cadre de son activité d’ambassadrice du Fonds mondial de lutte contre le Sida, ou avec les personnalités mondiales qu’elle est amenée à rencontrer quand elle accompagne son mari.

Mais le talent de Carlita semble parfois échapper à ceux qu’elle a dessiné: comme Sarah Brown.

La femme du premier ministre s’est épanchée sur son Twitter, ce réseau social où l’on diffuse son humeur sous forme de mini commentaires: «Aime le nouveau site de Carla Bruni-Sarkozy mais un peu perplexe par l’illustration qui a été faite de moi».

Elle se rattrape une heure après, en écrivant à «cronai» et «bigbelbeiss», deux adeptes de la plate-forme, «Perplexe dans le bon sens, je trouve ça vraiment cool.»

Ouf, on avait frôlé l’incident diplomatique… Surtout que le compte Twitter de Sarah Brown ne compte pas moins de 774000 «followers», c’est-à-dire ceux qui suivent son actualité.

Et le Daily Telegraph a quelque peu envenimé les choses, jeudi, en reconnaissant que la femme du Premier ministre n’était pas présentée à son avantage par sa « croqueuse »: «elle semble avoir perdu la plupart de ses sourcils et nécessiter de manière urgente les soins d’un dentiste et d’un coiffeur».

Le site de Carla Bruni avait connu des débuts difficiles au niveau technique, le serveur ayant été bloqué suite à un afflux considérable de visiteurs. Carla doit maintenant se frotter aux critiques formulées sur le design qu’elle a choisi, et sur les œuvres qu’elle y présente.

Avec Sarah Brown, ce n’est qu’un début.

C.C.

Jeudi 8 octobre 2009