Month: February 2020

En fin de semaine dernière, Dominique Farrugia a utilisé les réseaux sociaux pour manifester sa colère. Il ne tolère pas les propos des Inrocks sur la prestation des interprètes de Retour vers le futur dans le show de Jimmy Kimmel.

Dominique Farrugia, 53 ans, nous a fait hurler de rire avec Les Nuls à la grande époque de Canal +, ses répliques dans La cité de la peur sont désormais cultes. Si bien qu’avec sa physionomie de nounours et son sourire enfantin, on ne l’imagine pas se fâcher. Pourtant, après son coup de gueule au sujet de la loi sur le handicap en juillet dernier, le comédien use encore des réseaux sociaux pour faire passer son message, juste mais sans douceur. Cette fois, c’est au tour du site des Inrocks d’être remis à sa place.

Jeudi 22 octobre, tard dans la soirée, Dominique Farrugia réagissait à un article du site qui critiquait vivement la prestation de Michael J. Fox et Christopher Lloyd sur le plateau de Jimmy Kimmel. Les deux interprètes de Marty McFly et Doc Brown y avaient donné un sketch d’une dizaine de minutes pour célébrer le trentième anniversaire très attendu de Retour vers le futur. “Malheureusement, le futur n’est plus ce qu’il était, et au-delà de la surprise provoquée par cette réunion et l’engouement du public, le sketch (…) qui s’en est suivi fut loin d’être à la hauteur. Dommage.”

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A chacun d’apprécier. Pour sa part, Dominique Farrugia, sans juger, a pris la défense des deux comédiens, en anticipant les critiques qui pourraient lui être faites s’il lui venait lui aussi l’envie de fêter un tel évènement. “Michael J. Fox souffre de Parkinson, d’où le peu de réplique, et Christopher Lloyd a près de 80 ans d’où le problème de souffle en direct face à 500 personnes. Pardon pour eux d’être malade et vieux et d’avoir envie de fêter leurs 30 ans de succès. Si dans 10 ans on me demande de venir fêter les 30 ans de La Cité de la peur dans un talk-show je viendrai en fauteuil roulant et j’oublierai mon texte.”

Dominique Farrugia souffre depuis quelques années d’une sclérose en plaques qui petit à petit amenuise ses forces et sa mobilité. On peut comprendre qu’il ait pu se sentir blessé de propos aussi durs vis-à-vis d’acteurs dont le parcours rappelle le sien. Toutefois, dès le lendemain, il relativise et revient sur son coup de gueule en changeant de média: c’est sur Twitter qu’il a posté quelques mots plus atténués, “Je me suis un peu énervé contre une critique injuste des @lesinrocks”.

Ca s’est passé près de chez eux, vendredi. A Bhaktapur, cette cité historique à quelques kilomètres de Katmandou, qui avait été réduite en ruines après le séisme d’avril 2015. Des écoliers ont reçu la visite de l’ex-footballeur britannique, David Beckham, pour disputer un match. Celui qui parcourt le monde pour le compte de l’Unicef veut sensibiliser le grand public et lever des fonds pour les enfants, à travers sa fondation Seven, du nom de son chiffre fétiche.

Il doit disputer 7 matchs à travers les 7 continents du globe, suivi par une équipe de la BBC qui tourne un documentaire. L’enjeu, se servir de sa célébrité pour éveiller les consciences. Ambassadeur de bonne volonté pour l’Unicef, David Beckham a donc retrouvé les gazons cette semaine au Népal pour une petite partie de foot.

Le retraité a été accueilli en héros à sa sortie de l’hôtel à Patan. Une séquence qu’il a lui-même diffusée sur les réseaux sociaux. Souriant et en forme, le papa de Brooklyn, Romeo, Cruz et Harper, a passé un très bon moment avec ses jeunes fans, qui lui ont donné du fil à retordre sur le terrain. Pas rassasié de ses quelques passements de jambes, Becks a aussi participé à un tournoi de ping-pong, sous les flashes des photographes.

L’occasion de faire parler de ses projets futurs. Après un premier match en Papouasie-Nouvelle-Guinée (Océanie) – le 5 novembre dernier, et cette nouvelle rencontre au Népal (Asie), le mari de Victoria Beckham continuera sa tournée internationale, ces prochaines semaines. Il rejoindra bientôt les rues de Buenos Aires, en Argentine (Amérique du sud), puis Djibouti (Afrique), avant de visiter Miami, Etats-Unis (Amérique du Nord) et la banquise de l’Antarctique.

Pour son match final, au stade d’Old Trafford, à Manchester (ville qui a vu ses débuts footballistiques), le champion cherche encore des coéquipiers britanniques. Et l’enjeu est de taille puisqu’il affrontera l’équipe qu’a mis sur pied son ami, notre Zinedine Zidane national. On a hâte.

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C’est à peine croyable pourtant, Dany Brillant fête aujourd’hui son cinquantième anniversaire.

Haute stature, solide carrure, mâchoire virile d’où s’échappe un sourire ravageur porté par un regard azur dont on ne peut se détacher, Dany Brillant n’a pas bougé. Tombé en amour des années jazz, dont il ne s’est jamais éloigné, même ses cols pelle à tarte sont restés inchangés. Pas une ride, à peine un cheveu blanc, le style décalé dans lequel il s’était épanoui n’est pas plus désuet aujourd’hui qu’à ses débuts, si bien que le temps ne semble avoir aucun effet sur le beau Dany. En cette fin 2015, il fête pourtant ses 50 ans.

Bercé par une famille mélomane, on lui offre sa première guitare à 14 ans. L’année d’après, il obtient son bac et les quatre années de médecine qui suivent n’auront pas raison de sa passion. Il abandonne les bancs de la fac pour faire la tournée des trottoirs et des cafés armé de sa guitare et d’un registre de reprises allant de Brassens à Sinatra en passant par Dean Martin et Regianni. Un jour, l’acharnement et l’optimisme payent: Jacques Boni, propriétaire du cabaret des Trois Mailletz lui donne sa chance. Dany Cohen devient Dany Brillant.

En parallèle de ses prestations, le jeune homme étudie au Cours Florent où il se rêve tête d’affiche au cinéma. Il aura effectivement l’opportunité de tourner dans une petite dizaine de films et téléfilms parmi lesquels Astérix aux Jeux Olympiques en 2008 ou le troisième volet de La vérité si je mens en 2012. Mais c’est trop anecdotique, Dany comprend vite que sa place est dans la musique. Dès 1991 il marque les esprits avec Suzette, qui reste aujourd’hui encore l’un de ses titres phares. Il sort une dizaine d’albums, dont le neuvième Le dernier romantique, en 2014.

Lover, crooner, gentleman, Dany Brillant paraît définitivement s’être figé dans le temps.

Crédits photos : PJB/SIPA

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Former F1 driver Jean Alesi reckons that Grand Prix racing is just as exciting today as it was back in the days when the Frenchman when was hustling his Ferrari around the sport’s tracks.

Alesi burst on the scene in 1989 as a young prodigy driving for Ken Tyrrell.

His talent landed him a drive with the Scuderia in 1991, but despite a career than span 12 seasons, Alesi only secured a single win in F1, his moment of glory coming with Ferrari at the 1995 Canadian Grand Prix.

Hamilton weighs in on work-life pressures in F1

“The years at Ferrari are unforgettable,” Alesi told RadioRai’s ‘I Lunatici ‘ program. “Seeing the fans who still remember me today always makes me very happy.

“I will never forget the victory at the Canadian Grand Prix in 1995. It was my birthday, it was a crazy day.

“On several occasions I came close to winning, without ever being able to bring it home for various problems.

“That Grand Prix in the last laps I had enormous tension. I was trying to be as smooth as possible with the car to get to the finish line.”

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Alesi now oversees the career of his son Giuliano, who is a member of the Ferrari Driver Academy and who will soon embark on his second season in the FIA Formula 2 Championship.

The 55-year-old is a frequent visitor to the paddock and casts a much more permissive view on the current state of F1 than the many fans who often complain of the sport’s lack of on-track action.

“It is not true that it is more boring, it is we who look at it differently,” he insisted.

“We are all a little more spoiled. The drivers are prepared and trained, the cars are fast and powerful, Formula 1 always gives great battles. I like it.”

©WRi2