Thomas Dutronc ivre avec Serge Gainsbourg à 11 ans

Fils de Jacques Dutronc et Françoise Hardy, Thomas Dutronc n’a pas eu une enfance banale. Chouchouté par ses maîtresses, épié par ses petits camarades, le petit Thomas réalise qu’il est différent. A 11 ans, il se rend malade en buvant du champagne avec … Serge Gainsbourg.

Invité de Cyprien Cini dans Drôle de rencontre sur RTL, Thomas Dutronc est revenu sur son enfance un peu particulière aux côtés de ces célèbres parents, Jacques Dutronc et Françoise Hardy. Dès ses six ans, le petit garçon se rend compte qu’il n’est pas comme les autres. “J’étais fan de Luke Skywalker, mais je jouais surtout Dark Vador dans la cour de récréation, peut-être parce que chez moi, tout était noir, mon père était toujours en noir,” explique le chanteur en riant au micro de RTL. Le comportement des gens qui l’entourent l’intrigue : les filles de la classe du dessus le regardent avec insistance et les maîtresses sont d’une bienveillance étonnante.

Mais la célébrité n’a pas que des bons côtés même quand on est petit garçon. Thomas Dutronc sent déjà qu’il ne doit pas faire un pas de travers, mais dire bonjour et merci encore plus poliment que les autres. “Je sentais que j’avais un rôle à assumer, comme si j’étais un politicien et que j’étais obligé de sourire et d’avoir une cravate toute la journée (…) C’était une façade que j’avais à gérer.

Être un enfant de star, c’est aussi vivre des moments inoubliables et exceptionnels, tout comme sa première goutte d’alcool en compagnie de Serge Gainsbourg: “J’ai bu de l’alcool pour la première fois à 11 ans et ça m’a rendu malade. Serge Gainsbourg me passait des verres de champagne sous la table. Mes parent s’en sont aperçus, ils m’ont laissé goûter.” Il semblerait en fait que Serge Gainsbourg ait été un bon maître en la matière:“J’adore beaucoup boire, mais j’adore aussi ne pas boire du tout. J’ai un peu des espèces de phases (…) J’aime bien les soirées, j’avoue. Je ne suis pas très raisonnable. Je ne vais pas me coucher tôt quand il le faudrait.” Plutôt que l’intérêt pour la boisson, Thomas Dutronc aurait aimé hériter de sont talent: “Ça n’a pas fait de moi un aussi bon compositeur que lui…”, souffle-t-il. Que de modestie !

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Nabilla et Thomas visés par une plainte après une altercation

Nabilla et son compagnon, Thomas Vergara, font encore parler d’eux. Selon M6, une personne âgée vient de porter plainte contre le couple, suite à une violente altercation dans un cinéma d’Aix-en-Provence.

Alors que la justice leur a imposé de se tenir à distance l’un de l’autre, Nabilla Benattia et Thomas Vergara n’en font qu’à leur tête. Le couple a manqué une fois de plus de discrétion il y a quelques jours puisqu’ils ont été vus ensemble à Aix-en-Provence. Mais le couple a fait encore plus fort: partis voir La Rage au ventre au cinéma Le Cézanne, les jeunes gens ont eu une explication musclée avec une dame âgée.

Celle-ci, assise à côté de la starlette de télé-réalité, a demandé à sa voisine et à son compagnon, qui parlaient trop fort, de se taire. Une remarque qui leur a déplu puisqu’à la sortie du cinéma, le ton est monté entre le couple et la dame. Pour effrayer cette dernière, “Thomas aurait fait mine de foncer sur cette dame avec son scooter. S’ensuit une nouvelle dispute entre Thomas et Nabilla” racontent nos confrères du site d’informations M6.

Les deux tourtereaux sont finalement repartis ensemble tandis que la scène était filmée par des riverains. Perturbée par cette altercation, la victime a porté plainte.

Cette nouvelle affaire ne va pas arranger la situation de Nabilla qui est actuellement sous contrôle judiciaire. La jeune femme est accusée d’avoir poignardé Thomas dans la nuit du 6 au 7 novembre 2014. Incarcérée à la maison d’arrêt de Versailles pour tentative de meurtre sur son compagnon, Nabilla a été remise en liberté en décembre dernier et devrait répondre dans quelques mois au chef d’inculpation de « violences volontaires avec arme et par conjoint. »

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Nabilla et Thomas ont tous deux démenti l’information sur Twitter.

Crédits photos : Bertrand Rindoff Petroff / Getty

Taylor Swift et Kanye West, l’amitié improbable

On ne pensait pas cela possible, mais aujourd’hui Taylor Swift le clame haut et fort: Kanye West et elle sont copains. Retour sur une amitié qui avait toutes les chances de ne jamais voir le jour.

Entre Kanye West et Taylor Swift, les choses allaient mal. En 2009, le rappeur avait fait passer à sa collègue l’un des moment les plus embarrassants de sa carrière. Sur scène pour recevoir le MTV Award du meilleur clip vidéo de l’année, Taylor Swift avait commencé ses remerciements, sans jamais pouvoir les terminer: Kanye West, tel un Sébastien Thiéry en colère lors de la nuit des Césars, avait surgi sur scène, et s’était emparé du micro. “Taylor, je suis très content pour toi, je vais te laisser finir, mais Beyoncé a fait l’une des meilleures vidéos de tous les temps” avait-il lancé, se plaçant en défenseur de Beyoncé, la femme de son acolyte Jay Z. La jeune chanteuse de country s’était retrouvée sans voix, humiliée en direct, et Kanye West avait quitté la scène sous les huées du public. Même Beyoncé affichait une tête horriblement gênée.

Depuis, Taylor Swift avait toutes les raison d’en vouloir au mari de Kim Kardashian. Mais la chanteuse de country nous prouve une nouvelle fois sa bonne foi — à l’instar de son récent différent avec Nicki Minaj. Elle le confie dans les colonnes du Vanity Fair à paraître en septembre, dont elle fait d’ailleurs la couverture: entre Kanye West et elle, il n’y a plus que de l’amour. « Je suis devenue amie avec Jay Z et je pense que c’était important pour Jay Z que Kanye et moi nous entendions bien. Et aujourd’hui avec Kanye on est arrivé à un point où il est capable de dire des choses vraiment gentilles sur moi et sur ma musique, et moi je peux lui demander comment va sa fille (North West, ndlr). »

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Une relation qui a tout de même mis du temps à se construire, comme elle l’explique. « Je sentais qu’on n’étais pas prêts à devenir amis tant que je ne ressentait pas qu’il avait une sorte de respect pour moi, et de son côté il ne pouvait être amis avec moi tant qu’il ne me respectait pas. »

Bien qu’ils soient désormais amis, ne nous emballons pas trop : il n’y a pas (encore?) de duo prévu entre les deux artistes. « On n’a rien prévu. Mais je l’aime bien en tant que personne. Et ça c’est vraiment un bon début pour nous deux. » À quand le duo rap américain sur fond de guitare country?

Crédits photos : Kevin Mazur

Lana Del Rey revient avec un nouveau morceau

Lana Del Rey arrive bientôt avec son nouvel album Honeymoon. Pour combler l’impatience de ses fans, elle vient de diffuser une nouvelle chanson, High By The Beach, et c’est une réussite.

Paradoxal. C’est l’adjectif qui définit le mieux le nouveau single de Lana Del Rey, joliment appelé High By The Beach. La recette qui l’a fait connaître est là. Même voix douce quasiment enfantine, aux accents mélancoliques. Mélodie lancinante, voire lascive. Quelques envolées de notes aériennes. Mais ce qui marque le plus lorsque l’on prête une oreille attentive à ces quatre minutes, c’est le fossé entre sa voix de miel et ses paroles assez dures.

Visiblement, c’est une chanson d’amour. Ou plutôt de rupture. Et visiblement, même si cela ne se ressent pas dans sa voix, Lana Del Rey est en colère. “Tu peux être un fils de p***/Mais cela ne fait pas de toi un homme” glisse-t-elle. Son refrain en particulier retient l’attention. “All I wanna do is get high by the beach” clame-t-elle. Une phrase qui peut être traduite de deux manières (très) différentes: “Tout ce que je veux faire c’est monter près de la mer” ou “Tout ce que je veux faire c’est me défoncer près de la mer”. L’interprétation est laissée libre à chacun.

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Autre étrangeté, le contraste entre la mélodie très calme, à laquelle vient s’ajouter un rythme de batterie aux accents rap, un style très en vogue dans le hip-hop. Et ça fonctionne.

Avec ce single, Lana Del Rey signe son grand retour après son album Born To Die (2012) qui lui a fait rencontrer le succès. On ne connaît pas encore la date de sortie de son cinquième et dernier album, Honeymoon, mais les deux titres jusqu’à présents diffusés offrent à ses fans une jolie promesse.

Cannes 2013 : qu’a pensé la presse du dernier Soderbergh, avec Matt Damon et Michael Douglas ?

Présenté en compétition ce mardi, “Ma Vie avec Liberace” est, sauf revirement, le dernier film de Steven Soderbergh avant sa retraite programmée. L’ancien palmé peut-il finir en apothéose ?

 

De quoi ça parle ?

Avant Elvis, Elton John et Madonna, il y eut Liberace : pianiste virtuose, artiste exubérant, bête de scène et des plateaux télévisés. Liberace affectionnait la démesure et cultivait l’excès, sur scène et hors scène. Un jour de l’été 1977, le bel et jeune Scott Thorson pénétre dans sa loge et, malgré la différence d’âge et de milieu social, les deux hommes entament une liaison secrète qui allait durer cinq ans. ‘Ma Vie avec Liberace’ narre les coulisses de cette relation orageuse, de leur rencontre au Las Vegas Hilton à leur douloureuse rupture publique.

 

Ce qu’il faut savoir

Cela a été suffisamment répété, Ma vie avec Liberace est le “dernier” film de Steven Soderbergh avant que l’un des plus prolifiques réalisateurs hollywoodiens ne fasse une pause dans sa carrière (côté cinéma, du moins). Selon son habitude, il en assure non seulement la réalisation mais aussi la photo et le montage sous ses habituels pseudonymes (Peter Andrews et Mary Ann Bernard), et revient pour la première fois depuis Che sur la Croisette, histoire de boucler la boucle puisqu’il y avait effectué un début de carrière tonitruant en emportant la Palme d’or dès son premier film (Sexe, mensonges et vidéo) en 1989. Devant la caméra, Matt Damon et Michael Douglas retrouvent un réalisateur qu’ils connaissent déjà bien (la série des Ocean’s, Contagion ou The Informant ! pour le premier, Traffic et Piégée pour le second), dans un film qui promet d’être (au moins) le plus capillairement passionnant du Festival… et qui ne sortira pas en salles aux USA (finalement produit par HBO, faute de trouver un studio assez courageux pour une histoire aussi gay, il sera diffusé sur la chaîne US ce dimanche). Le petit plus du film : Rob Lowe en inénarrable chirugien esthétique.

 

 

Ce qu’en pense la presse

 

L’Express – Thomas Baurez

“Avec ce vrai-faux biopic sur une star kitsch des seventies, Steven Soderbergh termine de son propre aveu un cycle dans sa carrière de cinéaste. Porté par le duo magnifique et magnifié: Michael Douglas- Matt Damon, le cinéaste signe un film intimiste majeur.”

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The Hollywood Reporter – Todd McCarthy

“Ma Vie avec Liberace est fabuleux — au point que, si ce n’était qu’il révèle tout ce qu’il avait oeuvré si durement à dissimuler sur sa vie privée, Liberace lui-même pourrait l’avoir adoré.”

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Paris Match – Yannick Vély

“En présentant le dernier film de Steven Soderbergh avant sa retraite dans la course aux prix, les sélectionneurs permettront peut-être à Michael Douglas d’obtenir la consécration cannoise – il ne pourra concourir pour les Oscars pour ce rôle. (…) En toute modestie, Steven Soderbegh s’efface derrière le sujet, n’appuie jamais les effets mélodramatiques, observe avec tendresse son personnage de Freak. Très classique dans sa narration – sa principale limite -, parfois trop hagiographique, Ma vie avec Liberace offre un bel envol au pianiste fou fou fou.”

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The Guardian – Peter Bardshaw

“En tant que comédie noire et portrait de la solitude des célébrités, Ma Vie avec Liberace est très élégant et efficace ; Damon et Douglas y accomplissent des performances suprêmement divertissantes.”

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Variety – Peter Debruge

“Développé par HBO, Ma Vie avec Liberace est le film le plus digne d’être distribué sur grand écran de Steven Soderbergh depuis Che. (…) Le choix de Douglas pour interpréter Liberace est un coup de génie, divinement inspiré, qui proviendrait d’une imitation autrefois improvisée par l’acteur sur le plateau de Traffic.”

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Ma vie avec Liberace


Peggy et Kermit : les raisons de la rupture

Peggy la cochonne et Kermit la grenouille, c’est de l’histoire ancienne. On connaît désormais les raisons de leur séparation.

Au grand désarroi des fans, Peggy la cochonne et Kermit du Muppet Show annonçaient leur séparation au début du mois d’août. Sur sa page Facebook, Peggy déclarait : “Après de mûres réflexions et des querelles considérables, Kermit la grenouille et moi avons pris la difficile décision de mettre fin à notre relation romantique”. Ce dernier s’était aussi exprimé par le même canal, mettant fin à 39 ans d’histoire d’amour.

Aujourd’hui, on en connaît les raisons : les deux anciens amants ne s’accordaient pas sur la médiatisation de leur couple, selon les producteurs de l’émission Bill Prady et Bob Kushell qui l’expliquent à The Hollywood Reporter. “Peggy voulait être un couple médiatisé comme les Brangelina, et Kermit, un type tranquille du Mississipi, est content de passer une soirée à à la maison.”

“En les écoutant, j’ai eu l’impression qu’ils n’étaient plus ensemble. Ils restaient évasifs quand on leur posait des questions sur eux”, continue Bill Prady qui a eu l’idée de les séparer après une interview donnée par les deux marionnettes. Une série, diffusée sur ABC dès le 22 septembre, montrera les relations entre les personnages du Muppet Show avec un grand zoom sur celle du couple culte.

Il n’y aura pas de “The Big Lebowski 2” selon les frères Coen

Il n’y aura pas de suite au film culte “The Big Lebowski”. Joel et Ethan Coen sont opposés à cette idée, idem pour le projet de spin-off avec John Turturro.

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Les frères Coen ont mis fin aux spéculations autour d’une éventuelle suite de The Big Lebowski. A l’occasion d’une interview accordée au Toronto Star, Joel Coen a affirmé : “Je ne pense pas que cela se produira… Je n’aime pas les suites“. Ethan Coen a précisé qu’il n’y avait pas de projet de spin-off non plus, même si John Turturro (Jésus dans le film) leur a proposé un projet. “John Turturro, qui aimerait une suite, nous parle sans cesse d’une suite avec son personnage. Il a même imaginé une histoire, qu’il nous a déjà pitché plusieurs fois, mais je ne m’en souviens plus vraiment…”

Pour l’anecdote, The Big Lebowski 2 existe bel et bien à vrai dire, mais dans une version parodique, imaginée par FunnyOrDie. Pour voir cette fausse suite, retrouvez notre précédent article à ce sujet…

La bande-annonce de “The Big Lebowski” :

The Big Lebowski

BB

Igor Bogdanov et Amélie de Bourbon: « Notre couple fonctionne grâce à nos différences »

Amélie de Bourbon est de vingt ans sa cadette, mais pas question qu’Igor Bogdanov soit son pygmalion.

Mariés depuis 2009 et parents d’Alexandre, trois ans et demi, et Constantin, dix mois, Amélie de Bourbon Parme et Igor Bogdanov sortent chacun un livre à la rentrée. Le secret de l’empereur pour elle (le 27 août chez Gallimard) et Le code secret de l’univers (le 14 octobre chez Grasset, coécrit avec son frère Grichka). Leur précédent ouvrage, Le visage de dieu, s’était écoulé à plus de 240 000 exemplaires. Conversation sans filtre, sur leur lieu de villégiature, à Biarritz.

Gala: Quel type de vacances aimez-vous?

Igor Bogdanov: Amicales, comme des parenthèses qui servent à resserrer les liens distendus dans l’année. Ce sont aussi des moments où je fais moins de sport que d’habitude, par contraste. Heureusement, je passe tous mes week-ends à escalader des murs à Fontainebleau.

Amélie de Bourbon Parme: Alors que moi, ici, je nage, je fais des joggings, je rattrape tout ce que je ne fais pas à Paris.

Gala: Voici dix-huit maintenant que vous vous connaissez… Avec le recul, comment analysez-vous la longévité de votre couple?

A.B.P.: Ce qui m’a séduite chez Igor, c’est son charisme, sa personnalité forte, son intelligence et son humour. C’est encore au jour le jour entre nous. Mais notre point fort, c’est la discussion. Par exemple, j’ai lu récemment un article d’Umberto Ecco dans Le Point. On en a parlé des heures.

I. B.: Pour s’aimer longtemps, il faut savoir se réinventer. Il est évident que le temps a tendance à faire tomber dans l’enfer de la répétition. L’érosion du couple se fait avec des « passe moi le sel ». Avec Amélie, on est si différents qu’on s’apporte encore beaucoup. On dialogue énormément. Elle est la femme de ma vie parce qu’elle ne me ressemble pas.

Gala: C’est étonnant comme phrase. De toute façon, votre double, vous l’avez avec Grichka, à travers la gémellité… C’est pour ça que vous aimez la différence…

I.B.: Oui, c’est vrai. Il est d’ailleurs arrivé qu’Amélie voie Grichka comme un rival.

A.B.P.: Disons que j’ai dû me faire une place entre eux au début. Ils sont très proches. Il s’appellent tous les jours. Ils évoluent dans le showbiz, partagent une quête de la médiatisation et un culte de l’apparence qui me sont étrangers. Quand je me promène avec Igor, il est toujours «les Bogdanov» et pour les gens, je suis un peu sur le côté de la photo-souvenir. Ce n’est pas toujours évident.

Gala: Certes, mais vous formez une famille, alors que Grichka, lui, ne s’est jamais marié…

I.B.: Non, en effet, parce que mon frère est plus abstrait que moi. Il fait des maths toute la journée. Il a des copines mais il n’est pas très incarné physiquement. Il n’a pas d’enfant. Moi j’en ai six de trois mères différentes.

Gala: C’est comme si vous en aviez fait pour deux…

I.B.: Oui, et Grichka, surtout lorsque les enfants sont petits, est davantage un deuxième papa qu’un oncle, quelqu’un qui ressemble beaucoup à leur père. C’est forcément troublant.

Gala: Vous dites que votre couple fonctionne grâce vos personnalités différentes. Mais, vous avez pourtant reçu la même éducation classique, aristocratique.

A.B.P.: Bien sûr. On a tous les deux envie d’élever nos enfants dans des écoles catholiques par exemple. Et puis par différence il faut aussi entendre complémentarité. Je suis salariée en tant que directrice conseil chez Havas. Même si je suis de vingt ans sa cadette, je suis la personne responsable du couple. Mais ça me convient. J’aime incarner ce repère. Je n’aurais pas aimé quelqu’un de trop conventionnel. J’ai besoin d’être avec un homme avec qui j’échange. Les journées ne doivent pas se suivre et se ressembler. J’aurais peur de m’ennuyer.

I.B.: Amélie est une mémoire rassurante pour moi évidemment. Son classicisme me ramène au milieu que je connais, au sein duquel j’ai grandi. J’ai eu, par le passé, des histoires avec des comédiennes ou des mannequins. C’étaient des filles avec lesquelles je vivais des passions instantanées, fortes. On se ressemblait, oui. Mais au bout d’un moment on s’essoufflait, ça ne marchait pas. J’ai besoin d’un élément pondérateur.

Gala: Amélie, assumez-vous le look de votre mari?

A.B.P.: Non. On n’est pas solidaires sur tout. Mais je ne peux pas le changer. Je fais des compromis.

I.B.: Et moi je fais l’effort de passer une veste quand on va chez des copains d’Amélie. Je laisse tomber mon Perfecto. Je me conforme à la sémiotique du groupe, un peu traditionnel, qui m’accueille alors.

Gala: Amélie sort un livre. Igor, êtes-vous une sorte de pygmalion?

I.B.: Non. Je l’ai encouragée, bien sûr. Mais sans intervenir davantage. Je ne suis pas un pygmalion parce que je n’ai pas de pulsion de pouvoir. Ni avec mes enfants, ni avec Amélie qui est plus jeune que moi. Je suis un modèle passif. Ce qu’elle me reproche. Avec notre fils de 3 ans, elle est plus sévère que moi. Alexandre n’en fait qu’à sa tête. Et je rentre dans son jeu. Je n’établis pas de hiérarchie en fonction de l’âge. J’ai même oublié le mien. Enfant, avec Grichka, très vite, on savait qu’on serait nos propres sculpteurs, du côté de la création. Alexandre me ressemble beaucoup sur ce point.

Gala: Comment réinventeriez-vous vos vacances?

A.B.P.: J’aimerais qu’Igor soit un peu plus romantique. Il est bohème, fantasque et artiste, mais il est aussi assez austère et casanier. Il ne part jamais à l’étranger. C’est un compromis qui me coûte. J’aimerais que nous voyagions. En Russie, par exemple, où il n’est jamais allé.

I.B.: C’est vrai, mais ça va se faire. A l’occasion d’une conférence. Bon, pour le romantisme, je prends note.

Crédits photos : Eric Bouvet

Karine Le Marchand « n’assume pas » son salaire

Paie-t-on trop les animateurs à la télévision ? Karine Le Marchand semble le penser : avec son salaire d’environ 30 000 euros par mois, la présentatrice de L’amour est dans le pré estime être payée de façon « indécente ».

« Personne ne va pleurer Claire Chazal » disait-elle la semaine dernière, alors qu’était révélé le salaire de la journaliste quittant TF1. Karine Le Marchand a semble-t-il décidé de parler argent, comme elle l’a encore fait dans l’émission Le Grand direct des médias présentée par Jean-Marc Morandini sur Europe 1. Mais cette fois, il s’agit de son salaire : l’animatrice star de M6, aux commandes de L’Amour est dans le pré, toucherait environ 30 000 euros… par mois, soit près de deux smics annuels.

« C’est indécent de gagner de l’argent comme on en gagne par rapport à ce qu’on fait, estime-t-elle. Moi, j’assume pas. Moi, je suis petite fille d’ouvrier. J’assume assez mal l’argent que je gagne. » Pas au point, toutefois, de demander une baisse de salaire pour la onzième saison de L’amour est dans le pré qui s’annonce – Karine Le Marchand a en effet fêté en grande pompe la rentrée 2015 de M6, au côté notamment de Cristina Cordula et de son grand ami Stéphane Plaza.

Selon BFM Business, les journalistes travaillant pour M6 seraient en moyenne payé 5370 euros par mois. Plus de cinq fois moins que Karine Le Marchand, qui arrondit par ailleurs ses fins de mois à coups de procès contre la presse – elle affirme avoir attaqué des magazines pour atteinte à sa vie privée plus de 20 fois en deux ans.

Crédits photos : Jean-Marc HAEDRICH / VISUAL Press Agency

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Benjamin Castaldi et Cyril Hanouna: la guerre est déclarée

Benjamin Castaldi n’aime pas Cyril Hanouna – et il n’hésite pas à le faire savoir. Dans son autobiographie Pour l’instant tout va bien, publiée le 4 novembre, l’ancien présentateur de Loft Story s’attaque notamment à la star de D8, qu’il décrit comme un « animateur despote ».

Cyril Hanouna est sans conteste la star de D8 – l’animateur et producteur phare de la deuxième chaîne du groupe Canal+. Une situation qui s’est révélée problématique lorsque Benjamin Castaldi est arrivé sur la chaîne pour présenter Nouvelle Star, et que les chroniqueurs de Touche Pas à Mon Poste n’ont pas été tendres avec lui. Habitué désormais aux piques de la cour de Cyril Hanouna, l’ancien présentateur de Loft Story contre-attaque dans sa première autobiographie Pour l’instant tout va bien (en librairie le 4 novembre), où il décrit son adversaire comme « un animateur despote pas toujours éclairé », qui fait régner « un régime de terreur ».

« C’est vrai ! C’est le régime de la terreur qui règne sur la chaîne, a confié Benjamin Castaldi à Télé-Loisirs. C’est la seule chaîne sur laquelle un animateur a tous les pouvoirs. Cyril a un talent énorme. Il est numéro 1 dans sa catégorie et quand on est intouchable, on fait ce qu’on veut. Après, on fait ce qu’on veut avec plus ou moins de délicatesse. »

La nouvelle recrue de NRJ12 estime toutefois ne pas être trop dur avec Cyril Hanouna dans son livre : il assure ne dire que la vérité. « Je ne suis pas féroce, explique-t-il. Je raconte juste que j’ai souffert d’avoir en face de moi un mec qui pesait 300 kilos alors que je n’en faisais que 60. Quand le mec pèse plus lourd que vous, vous la fermez c’est tout ! »

Crédits photos : Starface/Abaca

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