Month: February 2020

C’est la période des résultats pour beaucoup d’étudiants en France. Parmi eux, Flora Coquerel, miss France 2014, qui a décroché un diplôme de commerce international. Elle partage sa joie et sa fierté sur les réseaux sociaux.

Son élection au titre de Miss France en décembre 2013 avait obligé Flora Coquerel à mettre ses études entre parenthèses. Pendant un an, la reine de beauté a sillonné l’Hexagone et fait honneur à sa couronne. Seul inconvénient: pas un instant de libre pour étudier et ouvrir un livre de commerce international, matière qu’elle étudiait dans le cadre d’un BTS. Mais comme elle l’avait promis, elle s’y est remise dès qu’elle a transmis son écharpe à Camille Cerf, élue miss France 2015.
La belle Flora Coquerel a donc repris ses études, mais par correspondance, en relation avec le lycée Silvia-Monfort de Luisant, dans l’Eure-et-Loir. «C’est dur de se remettre dans le bain et de tout réapprendre, avait-elle déclaré à l’Echo Républicain. J’ai décidé de me relancer dedans pour vraiment n’avoir aucun regret. J’espère que ça va bien fonctionner. J’ai mis toutes les chances de mon côté. J’essaye d’apprendre un maximum, dès que j’ai le temps.»
Bien lui en a pris puisque Flora Coquerel a décroché son diplôme «après quatre mois d’acharnement». L’ancienne miss France est désormais bac+2, «le travail a porté ses fruits… proud proud proud» s’est-elle enflammée sur Twitter. La jeune femme n’a pas oublié de remercier ceux qui l’ont entourée et encouragée. «Merci à tout Silvia Monfort, à l’ensemble du corps éducatif et à mes camarades pour leur soutien» a-t-elle écrit.
L’avenir désormais appartient à Flora Coquerel qui peut se lancer dans le commerce international ou bien se servir de ces compétences pour devenir styliste, à moins qu’elle ne préfère poursuivre dans le mannequinat.

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Crédits photos : Joel Ryan/AP/SIPA

La décision va tomber aujourd’hui, vendredi 3 juillet. En attendant, les esprits s’échauffent autour d’une possible disparition des Guignols de l’info.

Tandis que le sort de l’émission satirique de Canal+ est toujours suspendu, les réactions sur une possible disparition des Guignols de l’info pleuvent de tous côtés, venues de tous les horizons. Avec, dans leur immense majorité, des messages de soutiens, des appels au maintien sur la chaîne cryptée, voire des propositions de reprises sur d’autres chaînes. A l’image de Cyril Hanouna qui propose de les accueillir sur D8, ou bien de la nouvelle patronne de France 2 Delphine Ernotte qui a fait savoir via Twitter que “Les Guignols de l’info seront les bienvenus sur France Télévisions”.

Cette possible disparition provoque un branle-bas de combat dans le monde des médias. Selon Challenges, M6 est également sur les rangs, le patron Nicolas de Tavernost réunissant hier son équipe pour étudier une possible reprise. Quant à Pierre Lescure – un des fondateurs de la chaîne cryptée, il a démissionné hier du conseil d’administration d’Havas pour protester contre cette possible décision. Une société dirigée par Yannick Bolloré, le fils de Vincent Bolloré, président du conseil de surveillance de Vivendi, l’actionnaire majoritaire du groupe Canal+.

Contacté par nos soins pour réagir à ces derniers rebondissements, Michel Drucker – qui a bien évidemment son double aux Guignols, nous a répondu : « No comment… Car je ne regarde plus les Guignols depuis des années. Depuis que Bruno Gaccio, Jean-François Halin, Benoît Delépine, Philippe Gildas, Alain De Greef, Pierre Lescure, les historiques, sont partis. »

Pour Michel Drucker, l'”esprit Canal” fait donc parti du passé, et ce depuis bien longtemps.

Interviewé par le magazine Esquire, Paul McCartney s’est attaqué à Yoko Ono – avant de régler ses comptes avec John Lennon. À 73 ans, l’ancien Beatles n’a pas sa langue dans sa poche.

Paul McCartney était en grande forme sur scène au Stade de France le mois dernier : le septuagénaire est encore plein d’énergie, et l’a prouvé dans une interview accordée à Esquire. L’ancien garçon dans le vent s’en est notamment pris à Yoko Ono, qui selon lui minimise son importance au sein des Beatles.

« Yoko raconte dans la presse [il imite l’accent japonais de Yoko Ono] : ‘Paul n’a rien fait, il n’a fait que réserver le studio.’, relate-t-il. Eh bien, va te faire foutre ma chérie. Les gens savent que c’est faux, mais il y a eu beaucoup de révisionnisme autour de John. Il a fait ci, fait ça. Il a fait beaucoup de belles choses, mais aussi des choses pas géniales. »

Le nouvel ami de Kanye West et Rihanna estime par ailleurs que John Lennon n’aurait pas dû être encensé autant qu’il est l’est aujourd’hui. « Quand les Beatles se sont séparés, nous étions tous sur un pied d’égalité : George a sorti son disque, John aussi, j’ai fait le mien et Ringo le sien, rappelle-t-il. Mais quand John a été abattu, il est devenu un martyr. Un JFK. Je me suis senti frustré quand les gens ont commencé à dire qu’il ‘était les Beatles’. Il a acquis le statut d’un James Dean, et même au-delà. »

Paul McCartney serait-il en manque de reconnaissance ? Dans la même interview, le musicien qui aurait pu jouer dans Friends a déclaré ne pas apprécier la façon dont étaient créditées les chansons des Beatles : elles sont en effet toutes affichées comme ayant été composées par « Lennon et McCartney »… et jamais comme « McCartney et Lennon ».

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Crédits photos : Visual

Décédé le 9 juillet dernier des suites d’un cancer de la moelle osseuse, le créateur de mode Christian Audigier se battait contre sa maladie depuis mars dernier. Affaibli mais combatif, il avait décidé de préparer un documentaire sur son long et douloureux combat.

“Never give up.” C’était avec ce slogan écrit sur une banderole colorée que Christian Audigier était sorti de l’hôpital Cedard-Sinai de Los Angeles suite à sa greffe de moelle osseuse en avril dernier. Le styliste était apparu le visage creusé et le corps amaigri, mais toujours animé par une inébranlable envie de se battre. “Never give up”, c’est aussi le nom du documentaire qui lui est consacré, comme l’explique Téléstar. Le fondateur de Ed Hardy avait confié la mission de ce tournage à l’ex-parrain des Anges de la téléréalité mais aussi producteur établi à Los Angeles, Fabrice Sopoglian. Dans une interview donné à Téléstar.fr, ce dernier est revenu sur cette expérience qui s’est malheureusement brutalement arrêtée.

C’est à la demande de Christian Audigier lui-même que Fabrice Sopoglian l’a suivi au quotidien alors qu’il vivait ses derniers instants. “Au début, je me suis dit que humainement ça allait être très difficile de suivre quelqu’un que j’avais connu en bonne santé. Mais j’avais vraiment envie de le faire parce que c’était son souhait”, explique-t-il.

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Au fil du tournage qui a duré plus de quatre mois, Fabrice Sopoglian a découvert un homme sous une toute autre facette : un homme généreux et amoureux de la vie, loin de l’image de l’homme aux millions de dollars. C’est ce dont Christian Audigier avait envie: dévoiler sa nouvelle vie, se montrer sous un autre jour loin des people et du luxe auquel il est souvent associé.

Même si seulement la moitié du tournage a été réalisée, Fabrice Sopoglian ira au bout de sa mission car il l’a promis à Christian Audigier. Pourtant, aujourd’hui toute l’histoire est à refaire: “ On avait basé le documentaire sur l’acceptation de la maladie, puis sur le succès sur la maladie (…) Maintenant, j’ai vraiment envie de baser le documentaire sur l’homme, montrer qui était Christian dans la vraie vie.”