Month: February 2020

Ce week-end dans le Daily Mail, Sheila Farebrother, la mère d’Elton John, racontait leur violente dispute qui les maintient à distance depuis 7 ans déjà.

Il y a sept ans, Elton John s’est séparé de deux membres de son équipe, Bob Halley, qui avait été 30 ans durant son assistant personnel, et John Reid, son manager pendant de longues années également. Le chanteur avait alors demandé à sa mère de ne plus les contacter.

Mais âgée de 83 ans à l’époque, la lady n’avait pas l’intention de se laisser dicter ce qu’elle devait faire, et l’avait fait savoir. Proche des deux hommes, elle avait refusé de les renier. “Je lui ai dit: ‘Je ne vais pas faire ça et les abandonner. Bob est comme un fils pour moi”. Une réflexion qui a piqué au vif Elton John: “Il m’a dit que je pensais plus à Bob qu’à son propre fils.” raconte-elle.

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Seulement voilà, du tac au tac, elle lui a maladroitement répondu que de son côté Elton pensait “plus à ce put*** de truc (David Furnish, avec qui il est marié depuis décembre dernier NDLR)” qu’à sa propre mère… La conversation aurait pu en rester là, mais terriblement vexé et remonté comme à chaque fois que l’on touche à sa famille, Elton John lui a tout simplement dit qu’il la détestait avant de lui raccrocher au nez. “Imaginez, à moi, sa mère!” s’indigne encore la pauvre femme.

Depuis, si aucun des deux n’a sû rétablir le dialogue, tout laisse à penser que les conditions sont désormais réunies pour que mère et fils se rapprochent à nouveau. Il y a quinze jours en effet, Sheila a fêté ses 90 ans, et pour distraire ses 80 convives, elle avait invité un sosie de son fils. Elton de son côté, lui a fait parvenir un énorme et délicat bouquet de fleurs blanches assorti d’une carte simple mais efficace: “Wow! 90! Félicitations! Amour, Elton, David, Zachary et Elijah.”

Crédits photos : ADC-DIFFUSION/SIPA

Samedi dernier lors de l’épreuve ultime de The Voice avant le retour des directs demain, Mika avait fait une belle boulette en ne reconnaissant pas la chanteuse Maurane. Cette dernière s’en est amusée hier lors d’une séquence diffusée dans l’émission Ç à Vous sur France 5.

Connu mondialement pour son tube Relax, Mika ne l’était pas vraiment«relax» lors d’une séquence proposée par Ç à Vous hier où il était invité.

Sans doute penaud de ne pas avoir reconnu Maurane avec qui il avait participé à la tournée des Enfoirés en 2013, l’artiste britannico-libanais a écouté attentivement ce que sa consoeur belge avait à lui dire.

«Salut Mika, c’est Maurane, a lancé face caméra, avec le sourire, l’ancienne jurée de Nouvelle Star. Tu sais, le monsieur qui chante ”Sur un prélude de Bach”. Écoute, je te charrie parce que cette polémique n’a ni queue ni tête. C’est vrai qu’on s’est vu en 2013 et qu’on a chanté ensemble, mais tu avais l’air un peu égaré au milieu de tous ces gens dont je pense que tu ne connaissais pas la plupart. Et alors? So what? Ecoute, moi je t’aime beaucoup de toute façon. Je te souhaite encore une jolie route musicale. Je trouve que tu es parfait dans The Voice avec tes petits camarades. Je me permets de t’embrasser”. Pas forcément à l’aise, Mika réagit alors de façon assez confuse sur le plateau de Ç à Vous. “C’est ça, je pense que… Il faut… On est là pour célébrer les talents. On ne se moque pas. Quand on s’humilie c’est comme on s’humilie nous-même…». Gageons que le chanteur sera plus inspiré demain soir sur TF1 pour commenter les premiers lives de la saison 4 de The Voice.

Le groupe a maintes fois changé de casting, mais la musique d’Indochine, elle, est toujours restée sauve. Alors que l’on vient d’apprendre que deux de ses membres ont claqué la porte, la formation emmenée par Nicola Sirkis poursuit sa tournée européenne, inquiétant nombre de fans.

Depuis qu’il a formé Indochine en 1981, Nicola Sirkis a dû composer avec beaucoup d’absences. D’abord le drame de la disparition de son frère, Stéphane, co-fondateur du groupe en 1999, puis les démissions successives d’autres collaborateurs. Si bien qu’en 34 ans, ce sont pas moins de huit guitaristes et cinq batteurs qui ont gravité autour de lui.

Aujourd’hui, pour des raisons encore inconnues du grand public, sa formation rock perd un batteur, François Soulier, alias Mr Shoes, membre depuis 2002, ainsi qu’un claviériste, Matu (François-Régis Matuszenski), qui avait rejoint l’équipe en 2005. Un départ qui inquiète beaucoup les fans, alors que le groupe est en pleine tournée européenne qui suit la sortie de l’album Black City Parade en 2013 puis une grande tournée exténuante, et une petite pause.

Ainsi, on pouvait lire à ce propos sur le forum Facebook du groupe: «Cela fait plusieurs mois que, malheureusement, ils ne font plus partie du groupe Indochine. Nous avons lu beaucoup de choses à ce propos, notamment des insultes envers ceux qui ont voulu divulguer l’information et des commentaires qui n’ont pas lieu d’être». Mais qu’à cela ne tienne: le spectacle doit continuer. Le 4 avril dernier, à Barcelone, l’interprète de l’Aventurier a d’ailleurs confié sur scène: «Comme vous l’avez vu, on a traversé une crise majeure. Mais on repart de plus fort!», racontent les témoins.

Pour palier à la pénurie de musiciens sur le Europe City Club Tour, Indochine a donc recruté Ludwig Dahlberg, un batteur suédois, en attendant de lui trouver un remplaçant permanent. Aucun détail sur la crise avec Matu et Mr Shoes ne sera donné par la suite, informe le groupe, qui passera bientôt par Stockholm, Oslo, Anvers et Amsterdam.

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Le 3 mai, l’ONG Reporters sans frontières (RSF) organise un concert gratuit pour fêter ses 30 ans mais et pour célébrer la journée mondiale de la liberté de la presse, créée en 1993. Des comédiens (Christophe Alévêque, Camille Chamoux), des artistes (Hollysiz, Arthur H) s’y produiront, et des journalistes dont Edwy Plenel, Florence Aubenas et Raphaëlle Bacqué . Un événement à ne pas manquer.

30 ans, déjà ! RSF fêtera son anniversaire en organisant un spectacle sur la place de la République à Paris dimanche prochain, lors de la Journée mondiale de la liberté de la presse. Pour l’occasion, les artistes Jeanne Cherhal, Arthur H, Sly Johnson, Hollysiz, Cassius (DJ Set) ainsi que les humoristes Christophe Alévêque, Camille Chamoux et Daniel Morin se produiront sur scène.

L’éternel combat pour la liberté de la presse sera également au coeur de l’événement. Le prix Nobel de la Paix Shirin Ebadi, le leader du mouvement de Tiananmen à Pékin en 1989 : Wu’er Kaixi et la mère du journaliste américain Austin Tice détenu en Syrie, témoigneront tour à tour de leur situation respective. Des membres du journal Charlie Hebdo, le créateur du slogan Je suis Charlie : Joachim Roncin, , mais aussi les journalistes Florence Aubenas, Raphaëlle Bacqué, Didier François, Edwy Plenel, Denis Robert et l’actrice Virginie Ledoyen prendront la parole autour de la vedette de télévision, Daphné Bürki, qui animera l’événement.

Continuer le combat

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L’organisation de ce concert n’est pas sans rappeler la dangerosité de la profession de journaliste aujourd’hui. Chaque année, des dizaines d’entres eux sont tués dans l’exercice de leurs fonctions et des centaines sont emprisonnés. Christophe Deloire, secrétaire général de RSF, le rappelle : ““RSF défend partout dans le monde les journalistes en proie aux exactions violentes comme aux nouvelles méthodes de contrôle de l’information. Le travail concret de RSF sur le terrain et son action intense auprès des autorités font de notre organisation un vecteur essentiel d’une liberté essentielle. Pour paraphraser l’expression de Victor Hugo à propos de Gavroche, l’histoire de RSF est celle d’une “petite grande ONG” qui, en français, anglais, espagnol, arabe, farsi et très souvent russe ou chinois, défend la liberté qui permet de vérifier l’existence de toutes les autres.”

La célèbre organisation pour la défense de la liberté de la presse et d’informer recense chaque année le nombre de journalistes tués et établit un classement annuel de l’état de la liberté de la presse dans le monde (rsf.org). La France se positionne à la 38e place. RSF est présente dans 130 pays et dispose d’un statut consultatif à l’ONU, à l’Unesco, au Conseil de l’Europe et à l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Une organisation influente donc et prête à continuer le combat !

Ils sont derrière le clip Happy de Pharrell Williams, qui leur a offert un trophée aux derniers Grammy Awards. Le tandem We are from L.A, comme son nom ne l’indique pas, a grandi en banlieue parisienne – Ville d’Avray, Cergy-Pontoise – jongle entre pub, fiction, et projets inédits. Clément Durou et Pierre Dupaquier débarquent pour la première fois au festival de Cannes pour inaugurer le label photo de la Chambre Noire Belvedere.

La Californie s’invite sur la Croisette mais ses ambassadeurs sont bien de chez nous. Clément et Pierre vivent entre Paris et la cité des Anges, « mais n’étaient jamais allés à Los Angeles quand ils ont choisi ce nom » Ecole d’art, agence de pub, ils décident un soir de travailler à leur compte et créent le collectif We Are From L.A: « On a fait nos deux premiers projets en gif, on n’avait pas d’argent, pas de matériel, juste photoshop et internet… ». Mettent en ligne un fan clip de Kanye West qui le partage sur son propre site deux jours plus tard. Le début de la gloire. Leur pote Woodkid leur présente Pharrell Williams… jusqu’à leur triomphe aux Grammys, en décembre dernier. « En quelques minutes, on avait croisé toutes nos idoles. Dansé à côté de Rihanna -‘mais on est partants pour la revoir’ – été aux toilettes avec Busta Rhymes. »

Pas blasés, les deux compères sont ravis de venir à Cannes : “parce qu’on a quelque chose à y faire!” Sollicités par l’équipe de La Chambre Noire Belvedere, Clément et Pierre piloteront un studio photo au sein de ce lieu éphémère qui fait palpiter les nuits cannoises depuis 4 ans: « Nous allons faire vivre une expérience à nos invités, et le but est de prendre de belles photos, mais on n’en dit pas plus pour préserver l’effet de surprise! » Interrogés sur ce qui les inspire, ils confient vouloir solliciter des émotions universelles. Parmi leurs références, ils citent les Goonies, aussi familiers, estiment-ils, à des gosses de la banlieue parisienne qu’à ceux de San Francisco, et revendiquent leur goût d’une culture pop même si elle doit être mainstream: « Ce n’est pas négatif! C’est comme les jeux de société, de 7 à 77 ans! »

Les We are from L.A inaugureront le label photo de La Chambre Noire Belvedere et devraient donner un coup de soleil californien aux soirées cannoises. Découvrez ici la playlist qu’ils ont conçue pour Gala.fr:

J.S.

Crédits photos : Louis de Caunes

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