Month: February 2020

Former F1 driver David Coulthard believes Fernando Alonso “has no options” for 2021 when it comes to a return to Grand Prix racing for the two-time world champion.

On several recent occasions, Alonso claimed he would assess his future after this year’s Indy 500 and weigh a potential return to Formula 1.

Unfortunately, the 38-year-old’s prospects of racing at the Brickyard in May took a big hit following engine supplier Honda’s decision to veto Alonso’s presence at Indianapolis with Andretti Autosport.

Ed Carpenter rejects potential Alonso deal for Indy

If the snub could deprive the former McLaren driver of another shot at fulfilling his Triple Crown ambitions, his prospective F1 plans hardly appear any better according to Coulthard.

“I know he wants to come back, but I don’t think he has a choice,” the Scot told Spanish media AS at Friday’s AlphaTauri launch in Austria where the F1 veteran served as the evening’s MC.

“I don’t think Mercedes needs him or wants him. I don’t think Ferrari needs him or wants him. I don’t think Red Bull needs him or wants him. Where’s he going to go? Back to McLaren?”

While Alonso might well find refuge in side projects such as the recent Dakar rally-raid in which he took part, his life as an F1 driver has likely been relegated to the past.

“For me, Alonso is one of the most talented drivers ever in Formula 1, really talented like Hamilton, Schumacher or Senna,” added Coulthard.

“Everything he’s driven has been in a hurry. But everyone has their moment and maybe it has come for him.”

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A base de messages codés, le festival des Vieilles Charrues, qui se tiendra en juillet prochain à Carhaix, dévoile le nom des artistes têtes d’affiche. Après l’annonce de la présence de Muse, découvrez les autres artistes qui se produiront sur scène.

En novembre dernier, les Vieilles Charrues annonçaient leur tête d’affiche: Muse. Le groupe qui a déjà participé au festival en 2000, 2004 et 2010 sera donc de retourà Carhaix, les 16,17,18 et 19 juillet prochain. Selon un communiqué de l’organisation, le thème est Alice au pays des merveilles cette année : « En 2015, les Charrues passent de l’autre côté du miroir. Poétique, sens dessus dessous, à la fois absurde et bizarre, l’univers de la 24e édition se joue des codes de la logique et du rationnel, (…) suivez le lapin blanc : le pays des merveilles de Kerampuilh n’attend plus que vous ». Avec une telle déclaration, difficile de ne pas avoir envie de connaître l’ensemble du line-up.

Et il y en a un qui n’a pas su résister à l’envie de partager sa venue: le soul man Lionel Richie. Il y a quelques jours l’artiste a vendu la mèche sur son site internet. Si les organisateurs n’ont sans doute pas apprécié le geste, ils n’ont pas manqué d’humour pour faire réfléchir les festivaliers quant à l’annonce des prochains artistes. Hier en fin d’après-midi, un message codé a été publié sur le compte Twitter des Charrues: “hEllO!De LoNdrEs à bUdaPeSt eN pAsSaNt par iBiZa, uN DeMi dODo eT uNe ReINe cHeRcHeNt uN gErmAiN mINimAl. oN Se dEmAnDe où iLs vOnT aTteRriR” . Les suppositions allaient bon train pendant la soirée, il est désormais inutile d’essayer de le déchiffrer puisque les noms ont été dévoilés ce matin. Le premier est un Frenchy bien connu—partout dans le monde—et vous a probablement déjà fait danser jusqu’au bout de la nuit, il s’agit de David Guetta. Le Dj sera d’ailleurs présent à Coachella en avril prochain avec d’autres compatriotes. On retrouvera également le duo The Do, le britannique George Ezra, London Grammer. En attendant la suite, d’autres artistes ont été confirmés parmi lesquels, la chanteuse folk Joan Baez, le Dj allemand Boris Brejcha et SBTRKT, un projet musical minimaliste. Le festival s’annonce donc grandiose.

Solution du rébus, d’après touslesfestivals.com: « Hello » pour Richie, « Londres » pour London Grammar, « Budapest » pour Georges Ezra, « Ibiza » pour David Guetta, « Demi dodo » pour The Do, « Reine » pour Joan Baez, « Germain minimal » pour Boris Brejcha, SBTRKT pour le final.

Crédits photos : Michael Tran / Getty Images

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Quinze chefs cuisiniers professionnels se sont affrontés lundi soir dans la première étape du concours Top Chef sur M6. Une épreuve qui a déjà fait échouer trois candidats mais également permis de révéler certaines personnalités uniques.

Les concurrents ont affûté leurs couteaux et le jury a préparé ses papilles. Tous étaient fin prêts ce lundi 26 janvier pour débuter la sixième saison très attendue de Top Chef. L’émission a déjà été tournée il y a quelques mois, mais il fallait aux équipes malicieuses de M6 le temps nécessaire pour nous livrer un montage toujours aussi rythmé.

Cette année, le jury composé d’Hélène Darroze, Philippe Etchebest, Michel Sarran et Jean-François Piège a pris sous son aile 15 candidats, tous très motivés. Dès le premier épisode, ils ont été confrontés par groupes de 5 à une épreuve chère au coeur des nouveaux jurés. Philippe Etchebest leur a demandé de sublimer les pâtes industrielles, la triplement étoilée Hélène Darroze a mis au défi les candidat de re-imaginer la poire belle Hélène, tandis que le Toulousain Michel Sarran les a testés sur une recette de volaille pochée. Au terme de ces épreuves, Fatima Amadou, Pierre Ciampi et Harmony Brioude ont dû quitter l’aventure.

Parmi les rescapés de cette première étape, certaines personnalités se sont déjà démarquées. Olivier Streiff, le dandy gothique aux yeux cernés de noir, a autant surpris par son look sombre que par sa cuisine à l’inverse de son style, très colorée et légère. À 21 ans, Jean-Baptiste Ascione a affiché une belle confiance en lui et en ses assiettes, ce qui n’était pas sans rappeler la personnalité d’un certain Jean Imbert… Sa poire belle Hélène imaginée comme une jardinière gourmande a bluffé le jury dès la première bouchée. Déjà favori dans le coeur de Philippe Etchebest, qui l’a recruté lors de l’émission Objectif Top Chef, Xavier Koening, 19 ans, a assuré son statut de jeune prodige des fourneaux. L’apprenti s’est transformé en chef en l’espace d’une cuisson de volaille.

Outre les produits de qualités traités avec respect dans l’émission, les téléspectateurs ont relevé l’utilisation excessive de l’ingrédient (et du mot) magique: le pep’s. Des candidats aux jurés, tous ont cherché avec empressement à “rajouter du pep’s” qui manquait parfois aux assiettes. À l’heure actuelle, les tubes de pep’s sont en rupture de stock…

Crédits photos : Pierre Olivier M6

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Elle ne s’était pas exprimée depuis la sortie de son nouvel album, fin 2014. Et pour cause : Hélène Ségara a été très touchée par les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher – elle revient sur le sujet lors d’une interview accordée au site Actuanews.

« Je suis quelqu’un qui espère qu’on va basculer dans le positif. Même si la situation est compliquée… Et pas qu’en France. » Pour Not Bed TV et Actuanews, Hélène Ségara est revenue sur les attaques terroristes qui ont eu lieu en France, début janvier. Des attentats qui l’ont plongée dans un véritable état de détresse. « Je n’en revenais pas qu’on puisse rentrer comme ça dans un endroit, tuer de sang-froid des gens qui pour moi… J’aimais beaucoup Wolinski, Cabu… J’étais tellement sous le choc le matin où j’ai appris ça. J’ai eu les larmes aux yeux toute la journée. »

Avant que les hommages ne se multiplient, Hélène Ségara met en ligne un morceau pour partager sa peine. « Dans les heures qui ont suivi – je n’ai pas attendu que ça devienne le petit mouvement Je suis Charlie – j’ai tout de suite posté Je dois me taire en téléchargement sur ma page, rappelle-t-elle. J’avais ce sentiment d’impuissance, et en même temps je me disais : ‘Mais où on va ?’. »

Contrairement à d’autres, Hélène Ségara a fait le choix de présenter un titre non inédit pour soutenir Charlie Hebdo. « Cette chanson, je l’ai offerte en version live il y a pas mal d’années, justement dans des moments où il y avait eu des situations qui m’avaient affectée. C’est vrai que les fans qui me suivaient en tournée aimaient beaucoup cette chanson, mais je ne l’ai jamais exploitée commercialement », promet-elle, en réponse aux personnes qui l’accusent d’avoir profité de la tragédie. « J’ai remis cette chanson car je la trouvais d’actualité, explique-t-elle. J’étais choquée que les gens puissent penser que j’étais une opportuniste. » Une étiquette que la chanteuse, toujours prête à se défendre, n’accepte pas.

Crédits photos : STEPH / VISUAL Press Agency

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Tout James Bond qu’il incarne au cinéma, Daniel Craig n’échappe pas aux dangers du surmenage. Cette semaine, alors qu’il tournait à Londres une scène du prochain film de la saga 007, Spectre (prévu pour novembre), l’acteur britannique s’est foulé le genoux. Un accident qui a obligé toute la production à s’interrompre pour quelques jours.

Trois ans après le succès de l’excellent Skyfall, Daniel Craig a repris du service auprès de sa majesté. A l’automne prochain, il sera de nouveau Bond à l’écran, pour la quatrième fois. Le film – intitulé Spectre – est en ce moment même en tournage, entre Londres (voir nos photos) et les montagnes d’Autriche, sous l’œil attentif de Sam Mendes. Et, pour fabriquer le futur blockbuster d’action, il n’est pas question de perdre une minute.

En effet, d’après une source citée par le Sun, « les délais de tournage sont si courts, que toute sorte de retard peut apporter un véritable chaos dans l’emploi du temps ».

C’est dans ce climat très tendu que le héros du film, âgé de 46 ans, s’est blessé cette semaine au genou, alors qu’il tournait une scène de combat. Un incident majeur, qui a obligé toute l’équipe à s’interrompre. « On nous a juste dit de rentrer chez nous parce que Daniel s’était blessé au genou » raconte un témoin. Un porte-parole du film a cependant assuré dans la foulée que l’acteur et mari de Rachel Weisz était en voie de guérison et que le tournage reprendrait ce week-end, aux studios Pinewood à Buckinghamshire.

Une bonne nouvelle pour les fans de la franchise, qui attendent avec impatience le retour de leur espion favori dans les salles obscures. Et pour cause, Spectre, le 24ème épisode des aventures du personnage créé par Ian Fleming promet d’être encore meilleur que Skyfall. Outre le retour de Ralph Fiennes et Ben Wishaw dans les rôles de M et Q, la production a recruté une véritable équipe de superstar : Christoph Waltz, Léa Seydoux, Monica Bellucci, Dave Bautista et Andrew Scott. Du coup, Daniel Craig est convaincu – « Nous avons un casting incroyable et, je crois, un scénario encore meilleur que la dernière fois » a-t-il confié – et nous aussi.

Il n’y a pas que le JT de TF1 dans la vie de Jean-Pierre Pernaut. Il y a aussi la voiture. Passion partagée avec son fils Olivier, père de son petit-fils Léo. Rencontre entre deux étapes du trophée Andros.

Le choc. Jean-Pierre Pernaut, l’homme-tronc du JT de TF1 en pilote façon Michel Vaillant! Son nom est écrit au niveau de la taille sur sa combinaison noire déjà bardée de sponsors, ainsi que sur la voiture – une DS 3, nous précise-t-on -, qu’il s’apprête à piloter. Des mécaniciens s’affairent. Un homme plus jeune, même combinaison, même nom, mais autre prénom – son fils Olivier, trente-trois ans – l’aide à mettre son casque. Un petit bout de deux ans, Léo, regarde son « papy » disparaître dans le véhicule où on le sangle façon saucisson. Le moteur se met à rugir, diffuse des effluves de gaz d’échappement. Badauds et groupies, massés à deux mètres devant la grande tente de l’écurie de course, laissent passer la DS 3 vrombissante sous les flocons, en route vers le circuit de glace.

C’est parti, ce 31 janvier, pour l’échauffement des pilotes de la catégorie Elite 2 du Trophée Andros à Super-Besse! A peine le temps de nous servir un café que notre pilote est déjà de retour après trois tours, soit un sprint d’un peu moins d’une minute, le temps d’une brutale montée et descente d’adrénaline. Jean-Pierre s’extirpe tant bien que mal du bolide: « Une purée de pois. Je n’y voyais rien! » Coup d’œil sur l’écran des résultats, ces mots « bon, j’ai encore quatre secondes de plus que toi » à l’adresse d’Olivier, qui court, lui, avec les pros dans la catégorie Elite. Les deux hommes se penchent sur un ordinateur où des tracés ressemblant à des oscillations cardiaques analysent la course entre freinages, embrayages et accélérations… Père et fils semblent heureux ensemble, usant pudiquement d’un langage codé, ultratechnique, comme pour remplacer d’autres mots plus intimes. C’est peut-être là, dans ce lien entre deux individus désormais adultes, pères l’un comme l’autre, accaparés par leurs carrières respectives, qu’il faut chercher le secret de la présence du journaliste de TF1 aux sept week-ends annuels du Trophée Andros.

Certes, comme l’explique Jean-Pierre, « l’auto est une passion familiale. Mon père était pilote de rallye, mon frère aîné, Jean-François, l’a été dans les années 1955–1970. Je l’assistais quand j’avais dix-huit ans. Puis, j’ai abandonné. Olivier n’a vu ni son grand-père ni son oncle courir, mais a entendu parler circuits, compétitions, records. A quatorze ans, je l’ai inscrit au Karting club de TF1. Grâce à mon métier, par la suite, j’ai pu lui présenter quelques pilotes de F1 et même l’emmener sur le circuit de Daytona, en Floride. »

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Résultat, en plus d’être aujourd’hui ingénieur en génie mécanique et manager de l’écurie de courses Orhes, Olivier Pernaut est devenu pilote semi-professionnel. C’est même lui qui a entraîné papa dans la compétition du Trophée Andros:« Il m’a redonné envie de piloter, confirme Jean-Pierre. Il y a dix ans, on a commencé sur des buggies. Puis, on est passé à la voiture de 350 chevaux. » Dix ans, donc, que de décembre à février, le père suit son fils dans le vent, la neige, la foule et la fatigue des autographes. « Chaque année, remarque Olivier, il promet qu’il n’ira plus, que c’est trop fatiguant. Il est vrai qu’entre son boulot (Jean-Pierre se fait remplacer exceptionnellement les vendredis, veille des différentes compétitions du Trophée, ndlr), le voyage, la concentration, la tension de la course, l’attente, le stress, il y a de quoi hésiter. Mais sollicité par nos partenaires, et avec la promesse d’une bonne tartiflette de fin de compétition, il revient! »

Ce n’est pas à soixante-quatre ans qu’on va apprendre à Jean-Pierre les règles du jeu. Il sait bien que sans lui, sans sa renommée, les sponsors – c’est une telle galère chaque année d’en trouver tant ce sport vaut cher- ne répondraient pas forcément présents. Mais ce n’est pas la raison principale de sa présence. Il sait surtout qu’avec la vie de fous qu’ils ont tous les deux, qu’entre leurs jobs – TF1 pour l’un, les circuits vingt-cinq week-ends par an pour l’autre -, et leurs familles (Jean-Pierre a une autre grande fille, chirurgienne, de son premier mariage et deux petits derniers, Lou et Tom, avec Nathalie Marquay), cette parenthèse pétaradante est une occasion unique de se retrouver. Entre père et fils. Entre père et belle-fille – Catherine, la compagne d’Olivier, responsable des hôtesses d’accueil à TF1, vient de filer discrètement coucher Léo à l’hôtel. Entre grand-père et petit-fils.

Sans compter qu’il est déjà arrivé à Nathalie Marquay de participer au Trophée, et que voir son fils aîné courir avec sa jeune belle-mère a rajouté du baume au cœur de Jean-Pierre. « Nathalie est désormais happée par le théâtre, ajoute non sans fierté la star du 13-Heures de TF1. Cela fait maintenant deux ans qu’elle joue la pièce que nous avons écrite ensemble Piège à Matignon. »

« JPP » concourra-t-il jusqu’à ce que Tom, onze ans, son benjamin déjà fan de karting, vienne tenter sa chance sous la férule de son grand frère? « Quand j’entends Olivier crier “allez papa!”, ça m’émeut », nous confie le journaliste. Que dire si un jour ils étaient deux à l’encourager…

Crédits photos : Julien Cauvin/Starface

Aux Oscars, il n’y a pas que les photos du red carpet qui comptent. Durant la 87e cérémonie, les stars ont partagé avec leurs fans des clichés de moments inoubliables sur le réseau social Instagram. De leur préparation dans la chambre d’hôtel aux plus beaux selfies, en passant par les répétitions, découvrez les meilleurs moments des #Oscars2015.

Que feraient les stars sans Instagram? Elles ne pourraient en tout cas pas partager les coulisses des Oscars. Dimanche 22 février, la 87e cérémonie des Oscars s’est déroulée à Los Angeles et a attiré plus de 34 millions de téléspectateurs devant leurs écrans aux États-Unis. Animée par l’acteur Patrick Neil Harris—qui a débarqué en slip—,la soirée a été rythmée par le sacre de Julianne Moore qui a obtenue l’Oscar de la meilleur actrice, le prix du meilleur acteur a quant à lui été attribué à Eddie Redmayne, et Patricia Arquette a offert un discours féministe à l’assemblée. Si la Française Marion Cotillard est repartie bredouille, le compositeur frenchy Alexandre Desplat a décroché la statuette de la meilleure musique originale pour le film The Grand Budapest Hotel.

Loin des caméras, les célébrités invitées à la cérémonie ont fait part de leur excitation, de leurs émotions, leur préparation… En photos sur les réseaux sociaux. La chanteuse Jennifer Lopez s’est amusée à se prendre en selfie avec Meryl Streep ou encore avec Jennifer Aniston et Justin Theroux. Bien entendu, elle n’a pas omis de publier une (sublime) photo d’elle dans les coulisses des Oscars. Pour rester dans le thème du glamour, le top Karolina Kurkova a dévoilé sa mise en beauté dans sa chambre d’hôtel, Reese Witherspoon a préféré immortaliser sa superbe silhouette dans sa robe signée Tom Ford. Dans un autre registre, l’acteur Jared Leto est apparu euphorique dans sa voiture et Marion Cotillard a fait la folle avec son équipe! De son côté, Rita Ora a fait profiter de moments #Oscars avant, pendant et après la soirée à ses quatre millions d’abonnés. Privée de sortie (non, on blague), Miley Cyrus a regardé l’évènement de chez elle… entourée de ses chiens. On l’a connue plus fun!

>Tous les Instagram de stars dans notre diaporama ci-dessus.

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Crédits photos : VISUAL Press Agency

Une nouvelle voix s’élève contre les Enfoirés – une voix puissante et rocailleuse. JoeyStarr a lui aussi attaqué la chanson Toute la vie, avec des arguments chocs : selon le rappeur, les paroles de Jean-Jacques Goldman rapprocheraient les héraults des Restos du Cœur du Front National.

« Je comprends que l’on puisse avoir le tournis ou autre à chanter un truc aussi merdique… » JoeyStarr n’est pas connu pour son tact, et il le prouve encore une fois sur son compte Instagram : il rejoint avec force le clan des détracteurs de Toute la vie, le dernier single des Enfoirés. De quoi alimenter un peu plus la polémique, alors que nombreux chanteurs se déchirent sur la portée de cette chanson – certains, comme Lââm, continuent de la défendre malgré l’oppobre public.

Le nouvel ami de François Hollande ne s’arrête pas à une critique des qualités musicales de Toute la vie : il attaque aussi les paroles de Jean-Jacques Goldman. « Écoutez les paroles, demande-t-il à ses abonnés. On est presque sur les traces du FN… ça promet ! ». Un reproche violent, auquel n’ont pour l’instant pas répondu les Enfoirés : depuis les explications de Jean-Jacques Goldman sur le vrai sens de son morceau, la troupe est plutôt silencieuse… à l’exception des membres s’élevant contre la chanson. Emmanuel Moire, Maurane et Jean-Louis Aubert ont ainsi fait savoir qu’ils regrettaient les dégâts causés par Toute la vie. Les représentants du Front National, eux, n’ont pas réagi au message de Joey Starr : Marine Le Pen est en effet trop occupée à décider si elle doit accepter d’aller boire un thé avec … Madonna.

Crédits photos : Abaca

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Juste avant de remporter la Route du Rhum en 1990, Florence Arthaud s’est essayée à la chanson. Elle a interprété trois titres en duo avec Pierre Bachelet, dont l’inoubliable Flo.

Lorsque Pierre Bachelet a proposé à Florence Arthaud de participer à son nouvel album, en 1989, la navigatrice de 32 ans n’a pas encore gagné la Route du Rhum, mais elle est déjà une personnalité importante du monde de la voile. Suffisamment en tout cas pour que le chanteur des Corons et Jean-Pierre Lang lui écrivent trois chansons inspirées de sa vie, de son parcours, de son univers.

Résultat: Quelque part… c’est toujours ailleurs, Flo et Typhon, trois titres qui figurent sur le double album Quelque part… c’est toujours ailleurs.

Florence Arthaud et Pierre Bachelet tourneront un clip et participeront à quelques émissions de télévision. En 2000, sur le plateau de Tout le monde en parle, la navigatrice confie à Thierry Ardisson, qui parle de la chanson comme d’un coup dur dans la carrière de la jeune femme: «Ça a été une épreuve terrible pour moi, je suis très fière de l’avoir fait». Comme le lui fait remarquer l’animateur, c’est plus dur pour Florence Arthaud de chanter que de traverser l’Atlantique en solitaire. «Surtout les plateaux, c’était affreux, se souvient alors Florence Arthaud. Même si c’était du playback, je tremblais comme une feuille». Elle répète sa fiereté de l’avoir fait et n’exprime aucun regret, justement «parce que c’était une épreuve».

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Dans la chanson, Florence Arthaud disait: «Quand mon voilier s’envole sur l’eau J’ai l’impression d’être un oiseau Mais j’ai le cœur sans illusion (…) Chacun est fait comme il est Chacun prend feu comme il peut Chacun va son chemin Jusqu’à l’endroit du destin Où se retrouvent les mains Qui se quittaient déjà».

Le chemin de celle qui restera à jamais «la petit fiancée de l’Atlantique» l’a menée en Argentine, sur le tournage de Dropped, un nouveau jeu d’aventures qui lui a coûté la vie.

Découvrez Pierre Bachelet et Florence Arthaud qui interprètent Flo lors d’une émission télé:

Pierre Bachelet – Flopar dams88210