Orlando Bloom dans une mauvaise passe? Ses proches s’inquiètent

Actuellement en vacances à Ibiza, Orlando Bloom fait beaucoup parler de lui ces derniers jours. Depuis son altercation avec Justin Bieber, l’acteur voit ses moindres faits et gestes scrutés à la loupe.

Et si Orlando Bloom filait un mauvais coton? C’est l’analyse du magazine Page Six dans son dernier numéro.

« Orlando pourrait basculer du mauvais côté, explique une source au supplément du New York Post. Depuis un an, il fait la fête non stop, et c’est en partie à cause de ça que son mariage a éclaté. Il n’arrive pas à dire non à ses amis qui lui proposent de sortir ».

Depuis les tournages en 2013 des films Hobbit et Zulu, la star de Pirates de Caraïbes se fait plus discret au box-office. « Il aimerait avoir des rôles intéressants dans des films indépendants mais il ne reçoit pas beaucoup de propositions et les petits films dans lesquels il a joué n’ont jamais décollé », a expliqué une source à Page Six.

Mais la principale raison de cette mauvaise passe serait sa vie privée. Orlando n’aurait toujours pas digéré sa séparation d’avec son ex-femme Miranda Kerr. « Il ne supporte pas qu’on dise du mal d’elle, a expliqué un proche. Ce qui pourrait expliquer son coup de sang récent envers Justin Bieber. Orlando est sorti avec quelques filles dont l’actrice Nora Arnezeder (on le dit aussi très proche de la chanteuse et mannequin australienne Erica Packer dont l’ex mari fricoterait lui avec une certaine à Miranda Kerr) mais rien de sérieux. » Nul doute pourtant que les prétendantes sont légion pour réconforter l’un des célibataires les plus convoités de la planète…

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Monica Bellucci et Emir Kusturica font “L’Amour et la paix” !

Monica Bellucci sera l’héroïne du prochain film d’Emir Kusturica, tourné en Bosnie, et intitulé “L’Amour et la paix” …

© Emilie de la Hosseraye / © Warner Bros. France

Le mois dernier, Emir Kusturica évoquait son envie de tourner son premier film français fin 2013 au Maroc, en compagnie de Leïla Bekhti, Tahar Rahim et Monica Bellucci (Voir notre article). Cette semaine, c’est en Bosnie que nous conduisent les projets du réalisateur, qui offre à la même Monica le rôle principal de son prochain film L’ Amour et la paix, une histoire d’amour en temps de guerre, au cours de laquelle la femme d’un militaire décède tragiquement, juste avant leur mariage. Le cinéaste serbe, deux fois lauréat de la Palme d’or au Festival de Cannes (Papa est en voyage d’affaires (1985) et Underground (1995)), tiendrait en outre le rôle masculin principal face à l’actrice italienne, en présence de qui il s’est exprimé pour la presse, à Banja Luka au nord de la Bosnie. Le tournage devrait débuter au mois de mai à Trebinje, dans le Sud Est du pays. En attendant, la belle sera à l’affiche de Des gens qui s’embrassent le 24 avril aux côtés de Kad Merad avant de donner la réplique à Rachel Weisz dans Seule contre tous …

 

Laetitia Ratane avec Ecran Total

La bande-annonce de “Seule contre tous”

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Michel Galabru a été hospitalisé

Selon Le Parisien, Michel Galabru a été hospitalisé dans un hôpital de la région parisienne, jeudi, en raison de douleurs au dos.

Avec le temps, on en était venu à croire que Michel Galabru était invincible. Mais d’après des informations du Parisien, l’acteur français a été amené aux urgences d’un hôpital francilien, jeudi, à cause de douleurs au dos. Contactés par le quotidien, les proches du comédien ont tenu à rassurer le public au sujet de son état de santé.

Du haut de ses 91 printemps, Michel Galabru s’est installé comme l’un des monstres sacrés du cinéma français. Célèbre pour son rôle de l’adjudant Gerbert dans Le Gendarme de Saint-Tropez, l’acteur – auréolé d’un César et d’un Molière – compte aujourd’hui à son actif plus de 250 films. Durant sa carrière, des répliques cultes, notamment dans Bienvenue chez les Ch’tis, avec son fantastique « C’est le Nord » lâché à Kad Merad. Drôle et attachant, le comédien a toujours su séduire le public par sa sympathie.

Connu pour sa franchise, l’ancien grand ami de Louis de Funès et Fernandel garde néanmoins sa joie de vivre et son rire inimitable malgré le poids des années. Mais ces derniers temps, il s’était aussi fait remarquer après plusieurs déclarations peu valorisantes à propos de la gent féminine. «L’homme est infidèle et il n’y peut rien malheureusement. Il est comme ça à la naissance, il a une addiction au sexe parfois irrésistible. La femme a des dessous provocants, le string, les soutiens-gorge, c’est l’enfer pour l’homme. Et dans le même temps, la seule volonté de la femme réside dans le fait d’avoir des enfants» expliquait-il au cours d’une interview. Souhaitons-lui néanmoins un très rapide rétablissement.

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L’avant-première de “Spring Breakers” : les photos ! [PHOTOS]

L’avant-première de “Spring Breakers” d’Harmony Korine s’est déroulée hier soir au Grand Rex. AlloCiné y était.

L’avant-première de Spring Breakers s’est déroulée hier soir au Grand Rex. Le réalisateur Harmony Korine et les comédiennes Vanessa Hudgens, Selena Gomez, Ashley Benson et Rachel Korine étaient présents. Découvrez les photos de l’avant-première ! Le long métrage sortira sur nos écrans le 6 mars prochain.

Tout sur le film

Ashley Benson, Selena Gomez, Vanessa Hudgens et Rachel Korine – © Guillaume Dessailly pour Allociné

Ashley Benson, Selena Gomez, Harmony Korine, Vanessa Hudgens et Rachel Korine – © Guillaume Dessailly pour Allociné

Ashley Benson, Selena Gomez, Harmony Korine, Vanessa Hudgens et Rachel Korine – © Guillaume Dessailly pour Allociné


Selena Gomez – © Guillaume Dessailly pour Allociné

Selena Gomez – © Guillaume Dessailly pour Allociné


Ashley Benson – © Guillaume Dessailly pour Allociné

 

Vanessa Hudgens – © Guillaume Dessailly pour Allociné

Vanessa Hudgens – © Guillaume Dessailly pour Allociné

Rachel Korine – © Guillaume Dessailly pour Allociné

Spring Breakers

Laëtitia Forhan & Guillaume Dessailly

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Vidéo – Snoop Dogg passe au blanc

Depuis le 28 août, Snoop Dogg poste des photos et des vidéos de lui sur Instagram. Rien d’anormal jusque-là, sauf que l’artiste s’est teint la peau en blanc et arbore une perruque blonde, ainsi qu’une paire de lunettes démodée.

L’Américain Snoop Dogg fait de nouveau parler de lui d’une façon quelque peu originale. Après la sortie de son livre à fumer en 2012, le producteur et rappeur voit double. Il s’est en effet créé un alter ego, dénommé Todd, pour faire la promotion d’un site de rencontres pour hommes, WhiteGuysConnect.com.

La figure du rap et du hip-hop US a troqué ses ongles laqués au profit de lunettes ringardes et un postiche blond. Pour couronner le tout, Snoop Dogg a poussé la comédie en se blanchissant la peau. Un personnage qui est tout aussi fictif que le site web. En effet, l’adresse WhiteGuysConnect.com renvoie automatiquement au compte Instagram de Todd, le double de l’artiste.

Dans la peau de Todd, l’interprète de I Wanna Rock se targue d’être un fan de paintball et de crochet. Les vidéos que publient Snoop Dogg ne durent qu’en moyenne quinze secondes mais interrogent beaucoup une partie de ses fans sur la Toile. Une question est sur toutes les lèvres: quelle est l’utilité de ces interventions?

Crédits photos : Andrew Benge

James Bond: ce que l’on sait de l’épisode 24

Le prochain James Bond, celui qui aura la lourde tâche de succéder à Skyfall, est lancé. La phase de production touche à sa fin et le tournage doit débuter le 6 décembre prochain. Etat des lieux.

Skyfall, le film du 50e anniversaire des aventures de James Bond au cinéma, a placé la barre très haut. Véritable réussite artistique, il a surtout remporté un succès énorme au box office, avec plus de un milliard de dollars de recettes, devenant ainsi le film le plus rentable de la franchise. Difficile de lui succéder donc, mais c’est pourtant le lourd destin du 24e épisode qui s’annonce.

Le tournage de ce film au titre encore inconnu doit débuter le 6 décembre prochain dans les célèbres studios de Pinewood, près de Londres. La date vient d’être annoncée par la production. On sait déjà que Daniel Craig reprend le rôle, pour la quatrième fois après Casino Royale, Quantum of Solace et Skyfall, et que le réalisateur Sam Mendes a accepté de relever le challenge de se succéder à lui-même, alors qu’il avait décliné la proposition dans un premier temps. Il mettra en image un scénario écrit par John Logan, Neal Purvis et Robert Wade, la même équipe là aussi que pour Skyfall.

Au niveau du casting, on retrouvera également des têtes apparues dans le précédent volet: Ralph Fiennes dans la peau de M, Ben Wisham dans celle de Q et Naomie Harris en Moneypenny. La nouveauté viendra donc des James Bond Girls et du méchant, dont on attend encore de connaître l’identité des acteurs qui les interpréteront. Les noms de Rihanna et Penélope Cruz ont circulé pour camper les bombes sexy. Pour le bad guy de l’histoire, Sam Mendès a fait savoir qu’il voulait une gueule, un personnage dans la lignée d’un Requin, incarné par Richard Kiel, l’acteur qui vient de décéder. La sortie de ce James Bond numéro 24 est toujours prévue pour le 23 octobre 2015 en France.

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Crédits photos : Francois Duhamel

Festival Lumière: Keanu Reeves, un destin numérique

Néo est à Lyon. Le messie de la trilogie Matrix tenait ce jeudi le premier rôle de cette superproduction quotidienne qu’est le Festival Lumière. Objet de sa présence, la présentation de Side by Side, un documentaire sur l’avenir numérique du cinéma de papa. Morceaux choisis.

Pendant cent ans, il n’y a eu qu’une façon de faire un film: avec de la pellicule. Et puis depuis vingt ans, l’émergence de la technologie numérique a vu l’invention des frères Lumière devenir celle des frères Wachowski, parmi les premiers, surtout à l’époque de Matrix, à dynamiter les modes de fabrication d’un film. Ils figurent parmi la dizaine de réalisateurs de renom qui ont accepté de s’exprimer dans Side By Side de Chris Kenneally, un documentaire passionnant sur l’opposition argentique-numérique. Keanu Reeves s’y fait intervieweur pertinent et passionné. «Il a aussi ce talent là: mettre à l’aise les gens dont nous sommes allés à la rencontre, estime Chris Kennedy. Sans lui, nous n’aurions pas atteint autant de cinéastes, tous très occupés».

C’est peu de le dire: George Lucas n’a d’abord pu accorder qu’une demi-heure à l’acteur de Point break qui avait sollicité l’entretien trois mois plus tôt. «Pour moi, c’était où il voulait, quand il voulait. Et à l’arrivée nous avons passé une heure ensemble. Soit le double du temps, s’amuse Keanu Reeves. Lucas, c’est le Zeus du numérique!»

James Cameron (Titanic), David Fincher (Fight Club), Martin Scorsese (Gangs of New York), David Lynch (Sailor & Lula) et Steven Soderbergh (Ocean’s eleven) sont quelques uns des réalisateurs qui ont ouvert leur porte à l’acteur en mode journaliste de cinéma. Et puis Christopher Nolan «qui après avoir consulté son agenda sur un année n’avait pas une minute à nous accorder» révèle le réalisateur. «Mais on l’a eu à l’usure raconte Keanu Reeves. Je lui ai envoyé une lettre tapée à la machine et un jour j’ai fini par faire son interview en vingt minutes, à la cantine, pendant la pose déjeuner sur le tournage de Batman».

David Lynch lui a confié que le numérique, de par sa mobilité, son instantanéité, donne «un caractère plus intime à son travail, en le rendant visible plus tôt ; plus proche».

Au moment où la bascule vers le tout numérique se fait de plus effective, Keanu Reeves dit avoir eu l’impression «d’être le premier à demander à ses pairs « comment vous vous sentez? Comment vous vivez cette mutation irréversible ? ». Dans les écoles de cinéma américaine on n’utilise plus du tout les caméras super 8, 16 ou 35 mm. Entre 70 et 90% des salles américaines projettent exclusivement en numérique. A Hollywood des labos ferment, tandis que ceux qui tiennent, sont contraints pour tenir encore d’appliquer des tarifs exorbitants ». Il y a moins de deux ans, il est passé à la réalisation (L’homme du Tai Chi). «Et j’ai tourné en… numérique. Car quand j’ai émis l’hypothèse de tourner avec de la pellicule, la réponse de mon producteur a été sans appel: « Non! »» En riant, il venait d’accompagner sa réponse d’un coup sec porté sur la table. L’acteur charmeur venait de reprendre le dessus.

Que représente le fait de venir ici à Lyon, au Festival Lumière, dans la maison où ont vécu les frères qui ont inventé le cinéma? «Avec Chris nous avons l’impression de revenir au berceau des origines. Tous les gens évoluant dans le cinéma, jusqu’à aujourd’hui, sont d’une certaine manière nés ici».

Crédit photos : Starface.

Crédits photos : Arnal/Starface

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Jared Leto bientôt dans la peau du Joker?

Le Joker est-il de retour? Selon The Hollywood Reporter, un nouveau film avec le célèbre méchant de DC Comics devrait voir le jour en 2016 avec dans le rôle principal, l’acteur oscarisé Jared Leto.

Rarement le poids d’un rôle n’aura été aussi lourd à porter. Comment succéder à Heath Ledger, six ans après sa prestation exceptionnelle dans The Dark Knight: Le Chevalier noir de Christopher Nolan. Après la mort tragique de l’acteur australien oscarisé pour son interprétation magistrale du Joker, le costume d’un des plus célèbres méchants de DC Comics est resté vacant. Plus pour longtemps. Selon The Wrap et The Hollywood Reporter, Jared Leto est en effet attendu pour reprendre le rôle du clown maléfique dans Suicide Squad, une nouvelle adaptation dont l’intrigue sera centrée sur une équipe de super-méchants, engagés par le gouvernement américain pour des missions secrètes en échange d’une diminution de leur peine de prison.
Si l’information venait à être confirmée par la Warner, il s’agirait d’un nouveau défi de taille pour Jared Leto. Après avoir crevé l’écran dans le rôle d’un travesti dans Dallas Buyers Club pour lequel il a reçu l’Oscar du meilleur acteur dans un second rôle, le beau gosse de 42 ans pourrait définitivement asseoir son statut d’acteur phare d’Hollywood. Une ironie du destin quand on sait que le mannequin mène en parallèle une carrière de chanteur avec son groupe de rock 30 seconds to Mars. Le 6 novembre, l’acteur avait confié «avoir des choses à dire très bientôt» à propos de ses futurs projets. Toujours selon The Wrap, Suicide Squad devrait par ailleurs s’offrir un casting cinq étoiles. Et pour cause, les noms de Will Smith, Tom Hardy ou encore Margot Robbie (Le loup de Wall Street) sont évoqués pour intégrer la troupe des super-méchants. Réalisé par David Ayer et produit par DC Comics et la Warner, le film est attendu dans les salles à l’été 2016. Patience donc.

Crédits photos : HA Collection / VISUAL Press Agency

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'John Wick 3 — Parabellum' Review: Exhilarating Martial Arts Classic

The “parabellum” in the title of John Wick: Chapter 3 comes from the Latin Si vis pacem, para bellum — translation: If you desire peace, prepare for war, a line spoken by one of the movie’s great character actors. As effective as that line is, though, my favorite is a much simpler one that comes from our hero, John Wick (Keanu Reeves), when he’s asked, “What do you need?”

His answer?

“Guns. Lots of guns.”

Oh. Hell. Yes.

If the line sounds familiar, it comes from what is arguably Reeves’ most famous movie, The Matrix (1999). But America was a different place 20 years ago, there were no Democrat presidential candidates promising to take away our Second Amendment rights and imprison us using fascist executive orders; there were no cable news outlets spreading fake news in a desperate effort to disarm us. In 1999, the line sounded blunt, utilitarian; today it sounds, smells, and feels like freedom — like what art should be: a finger in the eye to the stuffy establishment.

JW3 picks up about ten minutes after where JW2 left off. Our heroic dog lover is “excommunicado” and on the run with a $14 million bounty on his head. That means everyone in Wick’s ever-expanding Wikiverse of lethal assassins is out to take his head … which is fair. Wick broke the rules; Wick knew the consequences, and should consider himself lucky Winston (Ian McShane), his last friend in the world and proprietor of the Continental Hotel (announcer voice: a luxury hotel where assassins can take a timeout) gave him an hour head start.

But back to “rules” and “consequences” for a bit… Thematically, that’s what JW3 is about. As we discovered in JW2, this franchise’s lovingly crafted and detailed assassin underworld is ruled by The High Table and The High Table has kept the lid on the chaos and nihilism that comes from the killing-people-profession with firm rules backed up by ruthless consequences.

But when you’re talking about people — and if nothing else assassins are still people — that kind of black and white approach, especially in the modern world, is difficult to abide by. What about our humanity, our loyalty to friends, or if we’ve given another person our word?

To escape his inescapable situation, Wick is time and again forced to appeal to a higher loyalty, which means those who agree to help him, no matter how grudgingly, face a visit from the Adjudicator (Asia Kate Dillon) and her badass ninjas. The Adjudicator represents the interests of The High Table and The High Table’s only concern is to restore order through punishment and “fealty.”

Wick can only hide for so long, though, can only kill so many bounty hunters before one or five or 25 or 50 get the better of him. His only hope, then, is to take his appeal above The High Table, which means a trip into a vast desert and, ultimately, an impossible choice.

Chad Stahelski, Reeves’ stunt double in The Matrix, has directed all three chapters, knows exactly what his audience wants, and understands what made his star a star. There is something unknowable about Reeves, an impenetrable reservoir beneath that Valley Boy voice that gives his screen presence the kind of depth that can’t be taught in acting class. And then there is Reeves’ second-to-none athleticism, his ability at age 54 to move like a mash-up of Fred Astaire and Bruce Lee.

Best of all, Stahelski is taking the action backwards, going retro, all in a good way.

You see, whether it’s the Matrix or Star Wars or even Marvel, each of those franchises have eventually lost their foundation (and by extension, their sense of peril) with the introduction of too much magic and mysticism. Neo can fly now! Luke can transport himself to another planet with Superman’s powers! Doctor Strange can reverse time! Captain Marvel shoots a light out of her hands that can do anything!

JW3 still has plenty of gunplay, but this one is mostly a martial arts movie, especially those fantastic first 30 minutes where Wick is without a firearm and all of New York is bearing down.

Halle Berry in John Wick: Chapter 3 – Parabellum (Summit Entertainment/Lionsgate, 2019)

Laurence Fishburne and Ian McShane in John Wick: Chapter 3 – Parabellum (Summit Entertainment/Lionsgate, 2019)

Like a good sequel must, JW3 aims for bigger and badder, but rather than bigger guns and badder explosions, the movie keeps a promise made by an early glimpse of Buster Keaton: a kinetic approach that has no use for editing tricks or CGI (other than muzzle flashes and blood spurts).

Best of all, unlike the dreadful Bourne movies, which spawned the demonic shaky cam and a blender-set-on-puree editing style where no one can see a damn thing, Stahelski doesn’t cheat. You are treated to long takes of incredibly-choreographed fight sequences that don’t end until your jaw hits the floor.

Now… No need to worry my fellow gun nuts, there’s still plenty of firepower, especially in the grand finale. But the most fun comes from the swords, horses (horses!), and groin-grabbing dogs who move like they’re still out to avenge Wick’s doomed puppy.

Nothing, though, tops an early knife fight in a tight corridor that is as thrilling as it is audaciously funny.

The cast is uniformly superb. McShane and Laurence Fishburne (the Bowery King) leave just enough scenery unchewed for Anjelica Huston’s Director to get a piece. No one, though, is more welcome than Halle Berry, who plays Sofia, one of the unfortunates who owes Wick a favor. Unlike her appearance in the Kingsman franchise, where she seems to be waiting around for a better movie role, JW3 serves up Berry’s best role since, well, maybe ever.

In most cases, when a woman gets in on the action, you have to suspend disbelief to believe a 105 pound female can take on a platoon of hurly-burly men. As diminutive as Berry is, and as good she fills out those leather pants, I still bought her every move, head shot, and bone break. You can tell she trained every bit as hard as Reeves, and it shows, especially in those long takes where no cheating is allowed.

Don’t ask me if JW3 is better than its predecessors. That answer requires the benefit of time. All I know is that I can’t wait to see it again.

 

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Romanian PM clashes with Commission over rule of law

Romanian Prime Minister Viorica Dăncilă clashed Wednesday with a senior European commissioner over the rule of law in her country, as Brussels accused Bucharest of “moving backwards” and threatened to take action.

In a debate at the European Parliament in Strasbourg, Frans Timmermans, the Commission’s first vice president, cited “growing concerns” about changes to Romania’s justice system and criminal code that could threaten the independence of the judiciary and the fight against corruption.

Timmermans’ comments reflect a view within the Commission and among Western European governments that Bucharest is heading down the same path of democratic backsliding as Poland and Hungary. Those countries have dismissed the criticism leveled against them, accusing Brussels of unjustified meddling in their domestic affairs.

“Things are now moving backwards in a way that would be damaging for the place that Romania has built as an EU member state in recent years,” Timmermans said. “If the European Commission needs to be brutal in our assessment, we will be. If we need to use other instruments, we will.”

Among Brussels’ biggest concerns about Romania is the dismissal earlier this year of Laura Codruța Kövesi, the chief anti-corruption prosecutor, whose office has secured many high-profile convictions of politicians. The fight over the anti-corruption office has become an international battle, with Donald Trump’s lawyer, Rudy Giuliani, paid to produce a report that accuses the agency of “excesses.”

Members of the center-right European People’s Party (EPP) have been keen to turn the spotlight on Romania, which has a Social Democrat government. The EPP has faced criticism for keeping Hungarian Prime Minister Viktor Orbán in its ranks.

Adding to concerns that Romania is embracing the “illiberal democracy” championed by Orbán, the country is holding a referendum this weekend on whether to amend the constitution to specifically define a family as a marriage between a man and a woman.

Budget Commissioner Günther Oettinger, a prominent EPP figure, last month cited the Romanian government along with administrations in Italy, Hungary and Poland as those that want to “weaken or destroy” the European project.

Dăncilă’s defense

Dăncilă, a former member of the European Parliament, said Commission reports do not give the full picture of events in Romania. She pointed to revelations that the Romanian secret service signed hundreds of protocols with state agencies in recent years. These agreements led to the conversations of millions of Romanians being tapped, the prime minister said.

“A lot has been said in those reports about institutions, about the procedure to appoint magistrates, about the fight against corruption, ” she said. “This is all very well, but I never saw in those reports mentions of human rights being trampled, about secret protocols signed between intelligence services and judicial institutions.”

Timmermans said authorities should conduct a full investigation into the secret protocols signed by the intelligence agencies.

The Commission monitors Romania’s record on fighting corruption as part of a so-called Cooperation and Verification Mechanism (CVM) that the country signed up to when it joined the EU in 2007.

Timmermans did not specify what action the Commission might take against Bucharest but said the deterioration of the rule of law will be reflected in its next annual report under the CVM scheme, due next month.

Romania, the next holder of the rotating presidency of the Council of the EU, has been keen to phase out the scheme, which casts a shadow over the country’s rule-of-law credentials.

“This mechanism has missed the goal for which it was created and I officially request to be told who wrote the CVM report, who provided the data and who omitted out of negligence or bad will these facts that are unacceptable in the EU,” Dăncilă said. “Ask yourselves those questions before throwing stones at Romania.”

She also said she decided to attend the plenary debate “not to give account but because I respect you. I request the same respect for the Romanian nation.”

Guy Verhofstadt, leader of the liberal ALDE group in the Parliament, said weakening the fight against corruption and undermining prosecutors is “the way Orbán and Kaczyński lead their countries,” referring to the dominant political figures in Hungary and Poland. “May I give you one advice prime minister: Don’t follow the bad Hungarian and Polish examples.”

Dăncilă’s remarks offered a mixture of defiance — especially when responding to comments from MEPs — and a more conciliatory message.

“Romania is a pro-European country and rest assured that it will not stray from its European path,” she said.

Maïa de La Baume contributed reporting from Strasbourg.

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