Month: February 2020

Selon nos confrères du site E! News et RadarOnline Tori Spelling a été hospitalisée six jours la semaine dernière. Ses problèmes conjugaux ne seraient pas étrangers à cette période difficile pour l’actrice.

Voilà un nouvel épisode qui devrait booster l’audience de l’émission de téléréalité américaine, True Tori.

Selon RadarOnline et E! News, de persistantes migraines et un ulcère auraient obligé la star de Beverly Hills à passer six jours dans un hôpital de Los Angeles. « Tori avait affreusement mal à la tête, a expliqué une source à RadarOnline. Sa tête lui faisait si mal qu’elle ne pouvait pas regarder la lumière. (…) Son ulcère l’empêchait de manger correctement. Elle ne pouvait garder aucune nourriture. Elle avait très mal et très peur ».

Son mari (et père de ses quatre enfants, Liam, Stella, Hattie et Finn) avec qui ses relations sont pour le moins tendues aurait été aux petits soins pour son épouse. «Il arrivait à 10 heures et ne la quittait pas avant 8 heures, a confié une source à E !News. Il semblait très stressé et inquiet. Il lui apportait de la nourriture et allait avec Tori à l’extérieur pour prendre un peu l’air ou passer un appel téléphonique”. Une séquence qui devrait normalement être diffusé sur la chaîne Lifetime dans l’émission True Tori. « Pour Tori, tout doit être filmé, a indiqué une sourcé à RadarOnline. Mais la production n’a pas été autorisée à la suivre à l’hôpital. Elle avait besoin de calme et de repos. »

Diffusé le 24 avril, le premier épisode de True Tori a réuni 1,2 millions de téléspectateurs la semaine dernière sur Lifetime. Les récents événements risquent fort d’attirer de nouveaux curieux…

Elles sont jeunes, belles, talentueuses, et 2014 sera leur année. Ces deux brunes et deux blondes ont tapé dans l’oeil de Philippe de Chauveron, le réalisateur de ce qui s’annonce déjà comme un énorme succès en salles: Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu?

Dans cette comédie désopilante déjà culte, Emilie Caen, Frédérique Bel, Julia Piaton et Elodie Fontan incarnent quatre jeunes filles de bonne famille. Au grand dam de leurs parents, les Verneuil, Ségolène, Isabelle, Odile et Laure, tombent amoureuses de jeunes hommes “issus de la diversité”. Un Musulman pour l’aînée, un Chinois pour sa cadette, un Juif pour la troisième et un Catholique… noir pour la petite dernière.

De quoi tordre le cou aux idées d’une certaine France obsédée par ses frontières, sans pour autant être moralisateur:

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“C’est un scénario totalement décomplexé, et très rythmé, qui se moque de nos travers à tous, explique Julia Piaton. Des préjugés, on en a tous. C’est un fait. Alors rions-en!”.

Pas de doute, les gens rient. Et le bouche-à-oreille fonctionne. En seulement douze jours, le film a déjà totalisé plus de cinq millions d’entrées sur 660 salles, et devrait rapidement dépasser la barre des dix millions d’entrées. Un avenir à la Intouchables, de Toledano et Nakache, qui, il y a trois ans avait approché les vingt millions d’entrées?

Retrouvez le sujet complet dans Gala, en kiosque cette semaine. Et visionnez le making-of ci-dessus.

Ils n’étaient « que » quelques centaines de journalistes à suivre avec attention la conférence de presse de présentation de Grace de Monaco, le film d’Olivier Dahan. Quelques centaines donc à sourire à la petite bévue de Nicole Kidman.

Ça aurait pu être le premier incident diplomatique de la quinzaine… Ou au moins provoquer une petite altercation conjugale. Heureusement, Nicole Kidman a su rebondir sur ses propos…

En pleine conférence de presse du film Grace de Monaco – tendue, polémique oblige – , Nicole Kidman répondait à une question concernant ses affinités avec l’héroïne qu’elle incarne.

Reconnaissant qu’elle avait elle-même vécu dans « une cage dorée » (allusion probable à la vie qu’elle menait du temps de son mariage avec Tom Cruise, de 1990 à 2001), elle s’est reprise en avouant : « aujourd’hui, clairement, je ne suis pas mariée à un prince »… Petit rictus de sa voisine de table, Jeanne Balibar (qui incarne la Comtesse Baciocchi dans le film) ainsi que des journalistes amassés dans le public.

Immédiatement, souriant elle aussi de sa fausse confidence et craignant de vexer son mari, la star de la musique country Keith Urban, Nicole s’est reprise : « Enfin, si, j’ai épousé un prince… mais bon : un prince de la country, quoi ! »

Une jolie déclaration au père de ses deux filles cadettes, Sunday Rose et Faith Margaret.

Alors que The Amazing Spider-Man 2 cartonne depuis le 30 avril au cinéma, Andrew Garfield a été sollicité par le groupe Arcade Fire pour incarner un jeune homme en quête d’identité sexuelle dans le clip de We Exist.

Andrew Garfield a beau avoir commencé sa carrière il y a dix ans, sa notoriété est pourtant toute récente. Révélé au grand public en 2010 dans The Social Network, puis aperçu l’année suivante au côté de Keira Knightley dans Never Let Me Go, il a connu la consécration en 2012 grâce à son rôle de l’homme-araignée.
Depuis la sortie en salles il y a quelques semaines du deuxième volet de The Amazing Spider-Man, Andrew Garfield semble avoir un emploi du temps bien chargé. Cette année devrait sortir 99 Homes, puis encore trois autres films programmés d’ici à 2016, dont, on l’espère, deux nouveaux opus de la franchise Marvel, qui lui permettront de revêtir son costume en Lycra bleu et rouge.
Malgré tout, The Amazing Andrew a trouvé le temps de répondre présent à l’appel de Win Butler, leader et chanteur du groupe Arcade Fire, pour incarner un jeune homme transgenre, malmené par son entourage. Le dernier clip du groupe, We Exist, fait office de come-back suite à un silence long de huit mois depuis leur dernier album, Reflektor, sorti en octobre dernier.
Dans cet hymne à la tolérance, le jeune homme s’adresse à son père pour lui demander de l’accepter tel qu’il est, et exprime son désarroi face aux brimades dont il est victime. Pendant plus de six minutes, Andrew Garfield livre une émouvante performance pour illustrer le clip. Il ne peut dissimuler le malaise et la douleur engendrés par le regard des autres.
On l’y voit s’effondrer devant le miroir tandis qu’il revêt des habits féminins, puis se rendre dans un bar sordide en adoptant une démarche maladroitement chaloupée, trahissant son corps d’homme. Enfermé dans sa solitude, le jeune homme est envahi d’espoir lorsqu’un autre l’invite à danser… pour mieux lui faire subir des violences, durant lesquelles il se recroqueville dans ses rêves.
On le voit alors se mettre à danser dans un jeu de lumières faisant référence à une des scènes cultes de Fame, tandis qu’un groupe de barbus bedonnants au nombril découvert se dandine à la manière des danseurs de The Full Monthy. Après être passés devant le jeune homme ébahi, ils lui indiquent le chemin vers une porte lumineuse: direction la scène du festival de Coachella où se produit le groupe Arcade Fire. Le leitmotiv semble alors retentir en silence: en lettres clignotantes qui envahissent l’écran, on lit simplement «WE EXIST».

Aucun doute en effet, ils existent, le talent d’Andrew Garfield aussi.

Incroyable destin que celui de La Reine des neiges. Le dernier film d’animation de Disney n’en finit plus de battre des records. Après être devenu le dessin animé le plus vu au monde, il devient le 5e plus gros succès mondial au cinéma.

Cette Reine des neiges mérite décidément bien son titre et ne règne pas seulement sur le royaume d’Arendelle. Elle a pris le pouvoir au box-office mondial et est en train de mettre à genoux des gros bras comme Iron Man ou Transformers. Non content d’être devenu le film d’animation le plus vu au monde, battant au passage le record détenu par Toy Story 3, La Reine des neiges vient de faire une intrusion très remarquée dans le top 5 des films, tous genres confondus.

La Reine des neiges est en effet le 5e plus gros succès mondial au box-office. Un classement établi par rapport à ses recettes totales, soit près de 1,220 milliard de dollars. Anna, Elsa, Olaf et tous leurs amis dépassent ainsi Iron Man 3, Transformers 3 et bien d’autres franchises à succès comme Le Seigneur des anneaux, James Bond, Batman ou encore Pirates des Caraïbes. S’il sera malgré tout difficile pour La Reine des neiges de rattraper les deux cartons planétaires qu’ont été Avatar et Titanic (respectivement 2,78 et 2,18 milliards de dollars), deux films sont à portée de boule de neige: Avengers et Harry Potter, les reliques de la mort, deuxième partie. L’exploitation du film d’animation de Disney touche malgré tout à sa fin et sa sortie en DVD et VOD dans plusieurs pays risquent de freiner son inexorable ascension.

Mais le succès est mérité pour cet excellent Disney, auquel Dany Boon a prêté sa voix, porté par une BO qui séduit les grands et les petits.

Malgré sa jeunesse, voilà un moment qu’elle est partie du nid. Dans le joli film de Pascale Ferran, Bird People, en salles ce mercredi, sa vie se joue sur le fil.

Gala : Comment parler de film en respectant la volonté de votre réalisatrice de n’en rien révéler ?

Anaïs Demoustier : Le film raconte quelque chose de contemporain sur la solitude. On y suit deux esseulés… Il invite le spectateur à lever le regard vers les autres. Très positif. Je trouve que Bird People donne envie de réapprendre à vivre en société. A lever la tête du guidon.

Gala : C’est une sorte de poème.

A. D. : Oui, très ancré dans la réalité au départ et qui d’un coup prend de la hauteur…

Gala : A la lecture, comment perceviez-vous cette dimension onirique ?

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A. D. : J’ai eu du mal à l’imaginer. D’autant que mon personnage n’est pas dans la première partie. Le film fonctionne par collage. Ce n’est qu’une fois que je l’ai vu monté que j’ai compris la démarche de Pascale Ferran. Je n’avais simplement jamais vu un film comme ça.

Gala : Vous rêvez parfois que vous volez ?

A. D. : Dans mes rêves, jamais.

Gala : Vous avez les pieds bien sur terre ! Et si vous étiez un oiseau ?

A. D. : Un moineau. C’est vif, pas violent et ça aime voler en nuée.

Gala : Les moineaux, ça ne mange pas dans la main des étrangers : comment on garde de la distance avec Cannes?

A. D. : En appréciant que ce ne soit qu’une parenthèse. J’avais 13 ans quand j’ai découvert le Festival. J’avais un petit rôle dans Le Temps du loup de Michael Haneke et j’ai constaté qu’un même film pouvait provoquer des réactions extrêmes et controversées. C’est bien qu’il y ait un lieu où la parole soit si libre.

Gala : C’est un peu une volière, Cannes ? Vous en avez les codes ?

A. D. : Oui et je me prends au jeu, avec plaisir, bien que le métier d’acteur ce ne soit pas les tapis rouges. C’est amusant. Avec une forme de travestissement. On joue à être en robe avec des talons de 10 centimètres. Je sais faire.

Gala : Faire la fête ?

A. D. : Après notre projection, on verra ! Avant, pas question, sinon, je ne pourrais pas être à la hauteur pour parler du film…

Gala : Vous pourriez nous fredonner Fais comme l’oiseau ?

A. D. : Non !

Gala : Blackbird des Beatles ?

A. D. : Je suis nulle pour fredonner !

Gala : L’Aigle noir de Barbara ?

A. D. : Je vous laisse faire.

Les experts s’accordent à dire que la situation de Michael Schumacher est particulièrement inquiétante. Pourtant, selon ses proches, sa femme Corinna pense que tout ira mieux.

Cela fait bientôt six mois que Michael Schumacher a brutalement chuté à ski dans la station de Méribel. Depuis, les nouvelles le concernant fluctuent en fonction des sources. Certaines, très pessimistes, annoncent depuis les premiers jours que le pilote est voué à ne jamais se réveiller de son coma. D’autres, au contraire, ont avancé la possibilité d’une remise sur pieds miraculeuse. Désormais, quasiment tous les spécialistes s’accordent à dire que l’avenir ne réserve rien de bon à la famille du septuple champion du monde de formule 1. Le cas de l’ancien pilote Ferrari a d’ailleurs fait l’objet d’un documentaire à la télévision allemande.

Michael Schumacher – son combat le plus dur a été diffusé dimanche 8 juin au soir, sur la chaîne RTL. Censé retracer l’œuvre du champion, ce documentaire a eu, aux yeux du public allemand, un arrière goût de nécrologie. Plusieurs proches du pilote se sont ainsi exprimés face caméra, pour livrer leur avis sur la situation. Et pour nombre d’entre eux, Corinna Schumacher est désormais déconnectée de la réalité, hermétique à l’idée que son mari puisse décéder. « Y a-t-il un sentiment de déni ? Je dirais oui, s’exclame l’un des proches, elle considère cela comme une rupture, une trahison de l’homme qu’elle aime. Elle n’envisage pas une seconde l’échec du traitement. »

Le staff médical du pilote ne s’est cependant pas exprimé durant le reportage, mais selon les amis du couple, l’absence de nouvelles officielles démontrent une fois de plus que rien de positif ne peut être annoncé, car la situation est bien trop grave. Corinna Schumacher pourra tout de même trouver du réconfort dans les propos de Fernando Alonso et de l’ancien tennisman Boris Becker. Le pilote espagnol a déclaré que Michael Schumacher « était un battant et l’est toujours. Il se remettra. ». Becker à quant lui estimé, en s’adressant à son ami plongé dans le coma, que « si quelqu’un peut s’en sortir, c’est bien toi! ». Alors que le silence radio est actuellement le mot d’ordre pour l’entourage du pilote, le prochain communiqué de presse devrait en dire long sur son état. Les grands sportifs de ce monde sont en tout cas de tout cœur avec lui.

Interviewée par la version américaine du magazine GQ, Emily Ratajkowski a donné de sa personne pour en faire la couverture. La belle, découverte dans un clip de Robin Thicke, en profite pour rappeler qu’elle n’est pas qu’une plastique – et avoue avoir un peu peur des Français.

« Oui, j’aime cette chanson. » Pouvait-il seulement en être autrement ? Emily Ratajkowski aime Blurred Lines, la chanson de Robin Thicke qui l’a rendue célèbre. Avec quelques réserves, toutefois : « En revanche, une chose me ferait plaisir : que les gens qui me croisent arrêtent de me dire ‘Tu es la meuf la plus sexy du coin‘ (‘You’re the hottest bitch in this place‘, une phrase issue des paroles de la chanson). Quand le morceau passe dans un bar, je cours me réfugier aux toilettes et je me cache. »

En tant que modèle photo, Emily Ratajkowski se montre moins timide. Il faut dire qu’elle prend son inspiration chez les plus grands : « Je crois que c’est Mario Testino qui dit que lorsqu’on regarde une photo de Kate Moss, on a l’impression de regarder une vraie personne. C’est quelque chose que j’espère transmettre aussi dans mes photos, peut-être encore plus que les autres mannequins. »

Présente au casting du prochain film de David Fincher, au côté de Ben Affleck, Emily Ratajkowski a beaucoup voyagé pour ses shootings et ses tournages, notamment en Europe : « J’y passe beaucoup de temps, et j’adore, mais j’ai l’impression que c’est désormais une partie insignifiante du monde. La population décroît, et ils ne font que refaire ce qu’ils font depuis des années. Économiquement, c’est pourri », analyse-t-elle. La mannequin raconte aussi éviter les bars, particulièrement en France où elle déchaîne les passions : « Je ne sais pas pourquoi, mais les hommes français m’adorent. Les foules sont terrifiantes. Il y a quelques mois nous sommes sortis avec des amis, et il y avait presque une émeute devant le bar ! » Des mouvements déclenchés uniquement par ce que les gens connaissent de ses photos, ce qui semble la peiner : « Un jour, avec un peu de chance, les gens viendront me voir et me diront ‘J’aime beaucoup ton travail de comédienne’. Ou mieux : ‘J’aime ce que tu avais à dire’. » Un vœu qui sera peut-être réalisé plus vite que prévu, Emily Ratajkowski s’attachant à passer du clip au cinéma.

(crédit photo : GQ)

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