Month: February 2020

Alors qu’elle triomphe en tournée dans les festivals français cet été, Lou Doillon n’en délaisse pas moins son goût pour le chic. L’actrice de 30 ans joue les poupées pour la grande enseigne new-yorkaise Barney’s.

Son nom dépasse les frontières hexagonales, son talent aussi apparemment. Lou Doillon pose façon poupée sous l’objectif de Inez van Lamsweerde et Vinoodh Matadin, dans les bras de son double de bois. Vêtue d’un ensemble jupe et pull rouge flamboyant, la chanteuse tient une rose entre ses dents, le regard décidé.

Click Here: New Zealand rugby store

Puis dans un grand manteau blanc, bottes noires à talons aiguilles aux pieds, elle repose sa tête sur sa fragile marionnette. Sur la troisième photo, son alter ego prend sa place, en équilibre sur une balançoire. Ses quelques photos se doublent d’une vidéo accompagnée d’un des titres du premier album de Lou Doillon, Places. Avec pas mal de cordes à son arc (la peinture, le dessin, la musique, le cinéma), Lou Doillon incarne l’éclectisme et la spontanéité qui ont séduit la grande enseigne.

Sur les routes depuis des mois pour chanter ses compositions, elle rencontre un franc succès auprès de la critique et du public. « Fille et soeur de », sa nouvelle passion suscitait chez elle de nombreuses appréhensions. On la connaissait d’ailleurs davantage pour sa carrière dans la mode ou pour ses rôles dans Embrassez qui vous voudrez, de Michel Blanc en 2002 ou plus récemment dans Un enfant de toi, aux côtés de Samuel Benchetrit sous la direction de son père Jacques Doillon.

Lou semble être une des plus parfaites incarnations de la Parisienne cool aux yeux des Américains qui lui avaient fait jouer son propre rôle dans la série Gossip Girl. Parmi l’élite new-yorkaise en goguette à Paris au cours de la saison 4, on pouvait voir la charmante Lou attablée avec la blonde californienne Blake Lively. New York envie nos Frenchies!

Marié récemment à Valérie Bègue, le nageur Camille Lacourt a derrière lui un passé de tombeur des bassins. Admiratrices et collègues nageuses, il avoue avoir eu du mal à se raisonner. L’amour lui a finalement montré la voix de la raison.

Il est passé d’homme à femmes à mari d’une seule et incroyable femme. Camille Lacourt a l’esprit tranquille avec tout ça. Jeune époux de Valérie Bègue, il dévoile simultanément dans les pages du Vanity Fair italien, sa facilité à succomber aux charmes des filles.

«Les femmes me plaisent trop!» constate Camille Lacourt. Le champion du monde du 100 mètres dos profite de la nationalité italienne du journal qui le reçoit pour confesser son passé de grand séducteur. «Avant Valérie, je ne résistais pas vraiment» avoue-t-il mais sans le regretter pour autant. Car selon le nageur c’est «pour vous (les femmes) qu’on fait tout ça! Le pouvoir, l’argent, le succès: c’est pour vous faire plaisir que nous essayons de les atteindre». Parole de champion. Dans cette interview sans tabou, Camille Lacourt en dit plus sur son petit truc avant de se jeter à l’eau en temps de compétition. «La masturbation, ce n’est pas systématique, je le fais seulement si j’en ai envie» précise le champion dont les «résultats ne dépendent pas de ça», heureusement!

Comme d’autre de ses confrères des bassins, Camille Lacourt portait autrefois une attention toute particulière pour les nageuses italiennes. Il raconte que tous ses collègues «du monde entier allaient les regarder pendant les compétitions. Elles ont une allure, un charme particulier».

Mais ça, c’était avant. Avant de croiser la ligne de Valérie Bègue, Réunionnaise et Miss France. Même s’il avait voulu, Camille Lacourt «n’aurait pu résister» au charme insoutenable de la belle féline aux yeux en amande qu’il a pris pour femme et mère de son enfant. La petite Jazz est née le 20 octobre 2012.

Si Valérie Bègue est désormais la seule a pouvoir apprécier et toucher le corps en 3 Dimensions du charmant Camille Lacourt, l’égérie Clarins livre tout de même aux lectrices italiennes de Vanity Fair une séance photo à collectionner. Le nageur sans maillot de bain mais bien tatoué, c’est une maigre compassion mais tant pis.

Click Here: kanken kids cheap

Une palme d’or en poche, l’actrice de 28 ans ne fait rien comme les garçons et les filles de son âge. Consciente de sa différence. Rencontre.

Avant de prendre des vacances bien méritées, Léa Seydoux assure la promotion de Grand Central, réalisé par Rebecca Zlotowski (en salles le 28 août). Les journalistes se pressent. L’effet palme d’or, dont elle est lauréate pour La vie d’Adèle – fait rarissime pour une comédienne –, est manifeste. Dans le salon de l’Hôtel de l’Abbaye, à Paris, elle enchaîne les interviews. Elle aime ça, mais rien, pas même un sourire, ne le laisse penser. Elle s’est beaucoup exposée ces derniers mois mais paraît toujours aussi secrète. Difficile à cerner, Léa ? Elle assure le contraire…

Gala: Vous avez eu dernièrement votre lot d’émotions fortes : deux films (Grand Central et La vie d’Adèle) présentés à Cannes et un triomphe au palmarès… Comment vous sentez-vous ?

Léa Seydoux: Plutôt bien. Je suis vraiment sur un petit nuage. Je n’ai pas pris complètement conscience de ce qui m’arrive. J’étais ravie quand j’ai reçu la palme, mais en même temps, l’impact a été plus fort sur les autres, l’équipe, les journalistes, que sur moi.

Gala: Vous dites souvent ne pas avoir conscience de votre succès. Même après ce prix?

L. S.: C’est le résultat de beaucoup de travail, sur ce film et en général : j’ai dédié ma vie au cinéma. Mais une palme ne vous donne pas plus confiance en vous. D’ailleurs, personne ne se retourne sur moi dans la rue. Certains osent parfois un “ bravo ” discret, mais on ne vient pas me taper sur l’épaule. Je ne suscite pas cela chez les gens.

Je fais ce qui me ressemble, j’ai une “ carrière ” qui me ressemble et comme je suis quelqu’un d’un peu discret, je n’aime pas trop me faire remarquer. Les gens doivent le sentir.

Gala: Il y a quelque chose qui reste d’ailleurs très mystérieux chez vous…

L. S.: Ça me fait… sourire quand on me dit ça. J’essaie de tout faire pour ne pas être mystérieuse. Si je me laissais aller à qui je suis vraiment, je paraîtrais encore plus illisible. Je fais beaucoup d’efforts de sociabilité, je m’expose. Peut-être suis-je mystérieuse parce que j’échappe aux normes. C’est vrai qu’on ne peut sans doute pas se projeter en moi : je n’ai pas l’impression d’être représentative d’une génération.

Gala: Vous avez fait la une de tous les magazines, accordé beaucoup d’interviews et même posé nue…

L. S.: Je pense que c’est important. J’aurais pu vivre recluse, rester dans mon coin, ça correspondrait davantage à mon tempérament. Mais j’ai justement choisi d’être actrice pour être dans le monde. Ce que je montre, c’est ce que j’ai choisi de montrer. On ne me fabrique pas une image. En ce qui concerne le nu, je trouve ça beau. J’aime les photographes avec qui je pose, la mise en scène… Pour l’instant, ça m’amuse, on verra jusqu’à quel âge! Charlotte Rampling l’a fait récemment pour le photographe Juergen Teller. C’est plaisant. Je trouve ça plus beau que les filles trop retouchées ou même trop belles dans les magazines. J’aime l’imperfection.

Gala: Vous, qu’est-ce que vous trouvez imparfait chez vous?

L. S.: Plein de trucs. Mais ce n’est pas très intéressant…

Gala: Quand Rebecca Zlotowski filme votre sensualité dans Grand Central, cela peut parfois vous gêner?

L. S.: Bien sûr que c’est gênant. Tout est gênant. Faire du cinéma est gênant. Pour les acteurs, le corps est important mais c’est aussi un outil de travail. Et, même si je n’ai jamais eu un rapport conflictuel avecle mien, le cinéma m’a sans doute permis de devenir une adulte et donc de prendre conscience de mon corps. J’approche maintenant de la trentaine (sourire) et j’ai un corps de femme, c’est ça qu’a voulu montrer Rebecca.

Gala: Dans le film, qui a pour cadre une centrale nucléaire, il y a un parallèle entre la contamination par les radiations et le sentiment amoureux. Pour vous aussi l’amour est un poison?

L. S.: Oui, l’amour peut ressembler à ça. Mais je crois que je suis moins pessimiste que Rebecca à ce sujet. L’amour peut être passionné et rendre fragile. Moi, j’ai pu aimer d’un amour fou… Mais il y a aussi d’autres formes d’amour, l’amour pour ses enfants, l’amour-amitié…

Gala: Vous avez dit que vous avez toujours tout fait pour être aimée. Que cela a même été votre moteur au cinéma.

L. S.: La relation avec un metteur en scène est toujours un rapport amoureux. C’est un lien indéniable qui se crée. Ce n’est pas l’amour amoureux ou sexuel, mais regarder à travers l’œilleton de la caméra démultiplie l’émotion, la cristallise. Et j’ai toujours pensé que j’étais faite pour l’amour. Etre aimée était un but dans ma vie.

Sur Twitter: @camchoteau

Plus sauvage et féroce que jamais, Katy Perry est fière de nous présenter son Roar filmer en « junglescop ». Tout un programme…

On la connaissait femme fatale, on la découvre carrément bestiale. Katy Perry qui ne peut difficilement être chanteuse sans une débauche de costume, offre encore un nouveau visage d’elle même. Dans ce deuxième clip de Roar, son titre phare de la rentrée, la star revisite le mythe de Jane de la jungle.

Elle qui chante à tue-tête « Je suis l’oeil du tigre » se retrouve face-à-face avec ce gros chat à l’occasion de ce mini court métrage. En substance, le message de Roar nous dit qu’entre Katy Perry et un tigre il n’y a pas de différence. Même rugissement, même démarche, même classe…Les fans valideront très certainement.

Mais que l’on aime ou non les titres acidulés de la jeune femme il faut reconnaître qu’ils font à chaque fois l’effet d’un cocktail énergisant. Cette plongée dans une jungle (certe toute en carton pâte et décors de cinéma) donne à la star une autre dimension. A peine habillée d’un pagne, d’un top tigré et d’une couronne de fleurs, Katy s’impose et fait sa loi au milieu des animaux.

En marge du succès déjà évidement de son titre Roar, qui a pulvérisé le dernier Lady Gaga sortie en même temps, Katy s’assure toujours plus d’amour de ses fans en se mettant en scène comme une véritable leader pop. Pour ce clip c’est en reine de la jungle, que la girlfriend de John Mayer se sent déjà la plus forte.

Click Here: Japan Rugby Shop

Catherine Deneuve a le courage et le pouvoir de dire ce qu’elle a sur le coeur. Refusant la langue de bois, elle ose dire ce qui la dérange, y compris lorsqu’il s’agit de critiquer les médias sur le traitement de la mort de Bernadette Lafont.

Invitée d’une émission de France Inter diffusée hier, dimanche 15 septembre, à l’occasion de la sortie de son dernier film, Elle s’en va, Catherine Deneuve a voulu rendre hommage à la comédienne Bernadette Lafont, décédée cet été, le 25 juillet dernier. « Je voudrais une minute de silence en pensant à une femme, une actrice que j’aime beaucoup, dont je ne peux pas parler à l’imparfait » déclare t-elle dans un premier temps avec émotion.

Puis l’actrice pousse un coup de gueule, comme l’avait fait avec véhémence Jean-Pierre Mocky lors de l’enterrement de la comédienne. « Bernadette Lafont, qui est partie il y a quelques semaines, assez brutalement et dont on a pas beaucoup parlé je trouve finalement, à qui on a pas rendu véritablement hommage à la télévision pourtant elle a eu une filmographie assez extraordinaire » regrette Catherine Deneuve. Pour la grande dame du cinéma français, les médias auraient dû diffuser les films de Bernadette Lafont qui outre son rôle dans le film Paulette l’an dernier ou dans le succès populaire de La Première Etoile en 2009, fut une égérie de la Nouvelle Vague dans les années 60–70, sous la direction de François Truffaut dans Une belle fille comme moi ou dans La Maman et la Putain de Jean Eustache en 1973.

Bernadette Lafont et Catherine Deneuve ont partagé ensemble le plateau de Et Satan conduit le bal en 1962. « Je pense souvent à elle depuis qu’elle est partie cet été » affirme Catherine Deneuve. Bernadette Lafont est morte des conséquences d’un malaise cardiaque alors qu’elle était en convalescence dans le Sud de la France. Elle avait 74 ans.

Click Here: FIJI Rugby Shop

Gala vous a concocté un nouveau rendez-vous très “connecté” et recense pour vous les meilleurs posts de stars sur Facebook, Twitter, WhoSay Google+ et Instagram. Pour ne rien manquer de la vie de vos personnalités préférées, c’est ici.

. Aïe pour Emmanuel Philibert de Savoie qui a posté dans la soirée une photo de sa main blessée sur WhoSay. «Morsure de lion (ou presque)» s’amuse le prince amoché…

. Bienveillante @DanielaLumbroso qui aimerait qu’on arrête le lynchage médiatique autour de Sophia Aram et ses débuts dans Jusqu’ici tout va bien. Espérons que les esprits vils de Twitter l’entendent…

. Les Inconnus seront bientôt de retour sur nos écrans, mais en attendant ils distillent sur Facebook de nombreux aperçu du tournage de leur long métrage. Didier Bourdon, Pacale Légitimus et Bernard Campan vont revivre la célèbre réplique des « 100 patates! »

. Une bonne étoile veille sur @Sylvie Tellier qui a «abandonnée sur une place de livraison hier soir à 20h en désespoir» sa voiture et l’a retrouvée intact ce matin!

. Les Miss ont la côte sur les réseaux sociaux. L’échange de tweets entre @LauryThilleman qui se lance dans l’aventure Danse avec les stars, et @MarineLorphelin elle en pleine préparation du concours de Miss Monde, est adorable. Des bisous et des encouragements échangés sous nos yeux.

. De plus en plus actif sur Twitter @GuillaumeCanet apporte son soutien à Christophe Offenstein, réalisateur de En solitaire qui sort mercredi. Le directeur photo de nombreux films, dont Blood Ties, n’est autre que le parrain du petit Marcel Canet-Cotillard.

. Un brin de jalousie face à la garde de robe spéciale Fashion Week parisienne d’ @AlexandraGolovanoff. Sur Instagram, la journaliste nous fait saliver d’envie devant une rangée de chaussures et de sacs de vêtements qu’elle portera, évidemment, avec style lors de la semaine de la mode qui débute aujourd’hui.

. À Los Angeles, Reese Witherspoon à elle laissé ses talons aiguilles au vestiaire pour obtenir un moulage de ses pieds. «Dingue» commente-elle sur WhoSay, photo, les pieds dans le plâtre, à l’appui!

. Célibataire @MileyCyrus a trouvé du réconfort auprès d’un Elmo (une célèbre peluche rouge) grandeur nature. Agrippée autour de sa taille, la jeune fille semble fière de sa prise puisqu’elle a publié un cliché de cette rencontre au poil.

. Alors que le tout-Hollywood des séries se pressait dimanche soir à la cérémonie des Emmy Awards, Liv Tyler a préférée, elle, regarder la soirée devant la télé avec un gros bol de pop-corn. Glamour toujours.

. La plus sympa des tatas c’est Eva Longoria. L’actrice a passé la soirée avec ses petits neveux en prévision d’un Halloween d’enfer cette année.

La mémoire nous fait parfois défaut et Mia Farrow en est une nouvelle victime. L’actrice remet aujourd’hui en cause la paternité de son fils normalement attribuée à Woody Allen à Frank Sinatra.

Certains secrets de famille ne sont véritablement pas bons à dévoiler. Pourtant, le temps délie la parole. Aujourd’hui, c’est celle de Mia Farrow qui semble totalement libérée. Dans une interview choc accordée à Vanity Fair, l’actrice lève le voile sur un petit détail de sa vie qui risque de faire grand bruit.

Selon elle, il serait «possible» que son fils Ronan ne soit pas l’enfant de sa romance avec Woody Allen, mais celui de son mariage avec Frank Sinatra. Mariée avec le crooner de 1966 à 1968, Mia Farrow concède «n’avoir jamais vraiment rompu» avec «l’homme de sa vie». Un tacle pour Woody Allen avec qui elle vivait déjà lors de la naissance de son fils en 1987.

Ronan Farrow (Satchel de son vrai patronyme) était pourtant considéré jusque la comme le seul enfant biologique du duo mythique du cinéma. Le jeune homme a immédiatement commenté les déclarations de sa mère par un tweet très second degré «nous sommes tous possiblement le fils de Frank Sinatra». L’éventualité de réaliser un test de paternité post mortem sur le crooner afin de savoir s’il est oui ou non son géniteur, lui inspirera peut-être moins d’humour.

À 26 ans, le jeune journaliste, avocat et militant des droits de l’Homme essaye d’avoir le maximum de recul sur sa situation familiale déjà compliquée. Son père (adoptif ?) Woody Allen s’est rendu tristement célèbre pour son mariage avec Soon-Yi, la fille qu’il a adopté avec Mia Farrow et de trente-sept ans sa cadette. La jeune coréenne, demi-sœur de Ronan est donc devenue sa belle-mère. Toujours sur Twitter, le blondinet (portrait craché de Frank Sinatra) s’amusait de la fête des pères, transformée pour lui en «fête des beaux-pères».

Depuis leur divorce soldé à quelques millions de dollars au profit de Mia Farrow, Woody Allen n’a pu voir Ronan que sous surveillance et a été privé de contact avec Dylan, l’autre fils de l’actrice qui accuse le réalisateur de l’avoir agressé sexuellement.

Famille je vous hais.

En pleine promotion de son nouvel album, Paul McCartney sait comment faire le buzz pour faire parler de lui: via Twitter, il a donné rendez-vous à ses fans à Times Square pour un concert sauvage.

A 71 ans, Macca n’a rien à envier à la nouvelle génération de chanteurs. Pour preuve, tous les Justin Bieber et autres One Direction sont certes très actifs sur la Toile, mais Paul McCartney est lui aussi un afficionado des sites de micro-blogging. Jeudi dans l’après-midi, il a ainsi convié ses 1,6 millions de followers à venir l’applaudir lors d’un concert surprise dans la Grosse Pomme. «Je suis tellement enthousiaste à l’idée de jouer à Times Square à 1h cet après-midi, a-t-il écrit. Venez à Times Square, c’est là que tout va se passer.»

Rendez-vous est donc pris pour ses fans new-yorkais, venus en masse voir leur idole dans ce lieu emblématique de New York, toujours bondé à l’heure du déjeuner. McCartney est arrivé en haut d’un camion aménagé en scène roulante et a remercié ses abonnés. «Ok, nous allons donc jouer quelques chansons de mon nouvel album», a-t-il annoncé assis à son piano multicolore, pour interpréter le premier extrait de son album, New. Paul McCartney n’a pas boudé son plaisir lors de ce concert sauvage, visiblement court mais intense. «Nous avons seulement 15 minutes!, Mr Andy Warhol avait prédit que j’aurai 15 minutes de célébrité, c’est maintenant!», s’est-il amusé avant de saluer la foule et repartir dans les rues de New York.

La veille, l’ex-Beatle avait également créer la surprise en s’invitant pour un concert à l’école d’art The Frank Sinatra School for the Arts dans le Queen, devant des étudiants médusés, visiblement à la fête d’entendre le chanteur culte interpréter ses nouveautés et revisiter ses tubes. Concerts promotions ou concerts hommages? Car si Paul McCartney sort son nouvel album le 14 octobre, un certain John Lennon aurait du avoir 73 ans ce mercredi 9 octobre… Les beatles font toujours battre les cœurs.

Click Here: WORLD CUP Rugby Shop

Présenté lors du dernier festival de Cannes, La Vénus à la fourrure a reçu un bel accueil critique, mais il est reparti sans aucune récompense. Le public va pouvoir se faire son avis cette semaine puisque le film sort enfin sur les écrans. L’occasion de découvrir un grand Polanski, servi par un formidable tandem d’acteurs, Mathieu Amalric et Emmanuelle Seigner.

Thomas, metteur en scène en herbe, fait passer les auditions d’une pièce qu’il a écrite, l’adaptation d’un livre de Sacher-Masoch, écrivain autrichien du XIXe siècle qui a donné son nom au masochisme. Il se désespère de ne pas trouver son actrice lorsque débarque Vanda, une jeune femme sexy, vulgaire et décérébrée. Bien qu’elle semble être à l’opposé du rôle, Thomas se laisse convaincre: il lui fait passer l’audition et lui donne la réplique. Commence alors entre eux un petit jeu qui mêle séduction, manipulation, soumission, tout ce qui fait le sel du masochisme.

La Vénus à la fourrure est l’adaptation de la pièce de David Ives, qui lui-même s’est inspiré du livre de Masoch. Une mise en abîme étourdissante qui traîte de la relation, parfois sado-masochiste, entre un réalisateur et ses acteurs. Servi par un texte brillant, Roman Polanski met en scène un huis-clos sarcastique et d’une redoutable intelligence. Les fans de son cinéma y retrouveront même tout un tas de références et clins d’œil à ses précédents films. Mais la véritable prouesse de La Vénus à la fourrure est à mettre au crédit de son formidable duo d’acteurs. Seuls à l’écran durant toute cette histoire qui respecte unité de lieu et de temps propres au théâtre, Mathieu Amalric et Emmanuelle Seigner livrent une magnifique performance. Ils jonglent avec les textes et les rôles, passant de leurs personnages dans le film à ceux de la pièce qu’ils interprètent, avec une incroyable virtuosité.

Click Here: Athletic Club Jersey