Month: January 2020

Florence Foresti assure la présentation de la 41e cérémonie des César. Une lourde mission que la comédienne est plus que prête à assurer.

“Tu vas voir qu’avec moi, ils vont se bidonner !” Lundi 22 février, Florence Foresti lance un défi clair à Yann Barthès sur le plateau du Petit Journal (Canal +). Comme elle l’annonce au présentateur préféré de la jeunesse bobo, elle compte séduire le public de la cérémonie des César, qu’elle présente ce vendredi 26 février, avec son “humour légendaire” et son “attitude irrésistible”. Succédant à Edouard Baer, l’humoriste, si elle le dit avec beaucoup de second degré, a effectivement la lourde tâche d’animer une soirée, retransmise (en clair) sur la chaîne cryptée, souvent pointée du doigt pour son rythme lent et son manque de dynamisme par rapport à son équivalent américain, les Oscars.

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C’est une tâche loin d’être aisée mais elle n’a attendu personne pour souhaiter la remplir. La femme de 42 ans a exprimé son envie de tenir le rôle de maîtresse de cérémonie devant les professionnels de l’industrie directement à l’Académie des arts et techniques du cinéma.

Aura t-elle les épaules assez larges ? C’est plus que possible. On se souvient de son sketch en 2009, quand Antoine de Caunes présentait alors l’événement, devant Dustin Hoffman et Sean Penn. Avec cette autodérision dont elle a le secret, elle a réussi à faire rire, en quelques minutes, toute la salle. Séduit, l’acteur de Harvey Milk l’a même rejointe sur scène pour lui coller un baiser sur la joue. Elle l’a prouvé à d’autres évènements, comme les NRJ Music Awards, ou à ses spectacles, Florence Foresti sait donner d’elle-même pour divertir. Nul doute qu’aux César, sa douce folie sera au rendez-vous vendredi soir.

Crédits photos : NIVIERE/SIPA

Derrière le Mondial du tatouage, à Paris ce week-end, se tient un homme : Tin-tin. Star parmi les tatoueurs, et tatoueur de stars, il nous raconte.

« Je vous préviens, ce n’est pas moi que vous allez déconcentrer », nous lance Tin-tin, l’aiguille à la main. Au 37 rue de Douai, dans le nord de Paris, le tatoueur star n’a plus une minute à lui. En pleine promotion du Mondial de Tatouage, qu’il a créé de toute pièce il y a trois ans et qu’il parraine depuis, il continue pourtant son travail de graveur sur peau. Coup de chance, c’est sur le mollet de Sylvain Quimène, alias Gunther Love, que planche l’artiste alors que nous le rencontrons. Durant notre entretien se dessine peu à peu, sous les doigts experts de Tin-Tin, une belle carpe japonaise. Et, il l’avait bien dit, Tin-Tin répond à nos questions sans un mot ni un trait de travers.

Tout à commencé pour lui à 16 ans. « Je ne saurais même pas vous dire combien de tatouages j’ai pu faire, rigole-t-il. Même si j’avais tenu un compte ! » Chemin faisant, il devient une célébrité dans le monde du tattoo. Logiquement, c’est à ses grands doigts au tracé délicat que les people confient désormais leur peau. Un taureau sur l’épaule de Jean-Paul Gaultier, le fameux coquelicot sur l’épaule de Lio, une tête de boudha sur le dos de Yannick Noah… Beaucoup sont passés sous son aiguille. Ce qui ne l’empêche pas de continuer à tatouer le commun des mortels.

Malgré son carnet de rendez-vous bien rempli, Tin-tin œuvre aussi à temps plein pour la reconnaissance du tatouage en tant qu’art. En 2003, il fonde le Syndicat national des artistes tatoueurs, qui œuvre à une meilleure reconnaissance du métier. Le tatoueur profite également de sa renommé pour lancer de nombreux projets dont l’objectif est de mettre en valeur le travail de l’encre sous la peau. Dans cette longue liste figure le Mondial du tatouage. Cette année, il se tient du 4 au 6 mars, à la Grande Halle de la Vilette, à Paris. Au programme, bruit de roulettes des tatoueurs, noyé dans celui des guitares des groupes de métal à l’affiche.

L’animateur a confirmé la déprogrammation, à partir de septembre, de la première partie de Vivement Dimanche. Après dix-huit ans à passer ses dimanches après-midi sur les canapés rouges de France 2, il va consacrer davantage de temps et d’énergie à sa reconversion sur scène (le one-man show Seul… avec vous qui l’occupe déjà depuis de longs mois et le mène à travers la France à la rencontre de son public). S’il gardera un temps d’antenne avec Vivement dimanche prochain – la deuxième partie du programme, qui devrait même être rallongée de 45 minutes – le journaliste peut surtout compter sur le soutien de son épouse, Dany Saval, à ses côtés depuis quarante-trois ans.

Il serait tentant de vous resservir l’adage selon lequel derrière chaque grand homme, il y a une grande femme. D’autant que Michel Drucker ne nous contredirait certainement pas. Depuis plus de quarante ans, il peut compter sur Dany, sa femme, son ombre, sa lumière.

Lorsqu’ils se sont connus, en 1972, Michel avait ving-neuf ans. Dany aussi. Elle avait aussi une fille – Stéphanie – née de son mariage avec Maurice Jarre. Elle était actrice, avait tourné à Hollywood avec les plus grands (Tony Curtis, Jerry Lewis…). Pour Michel ça a été un coup de foudre immédiat. Dany, elle, le trouvait «gentil», «tellement drôle, bien élevé, n’allant jamais trop loin». Après six mois d’opération séduction, Michel a fini pas l’avoir. Et il l’a eue pour toujours. « Quand nous nous sommes connus, il me prenait la main en disant : ‘Tu sais, je suis sûr que nous finirons notre vie ensemble, et que tu seras toujours très belle’ » nous confiait Dany Saval, il y a quelques mois.

Dans son autobiographie Mais qu’est-ce qu’on va faire de toi ? (aux éditions Robert Laffont), l’animateur avait ecnore rendu hommage à son épouse. Et admis que le secret de l’extraordinaire longévité de leur couple résidait sans doute dans leur estime réciproque.

Justement parce que Dany a mis sa propre carrière entre parenthèse au profit de celle de Michel. Et que la star de Vivement Dimanche lui en est reconnaissant. «A côté de moi, Dany a vécu le contraire de ma vie, et cela nous a préservés». La belle liane blonde décrypte : «Je vis sa réussite comme si c’était un peu la mienne». Tout ce qui est à lui, est bel et bien à elle. Et vice et versa.

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La gagnante du télécrochet, qui sort son premier album, est retournée chanter dans le métro, où nous l’avons suivie.

Elle a l’enthousiasme contagieux. Elle, c’est Emji, la gagnante de la Nouvelle Star millésime 2015. La chanteuse de vingt-huit ans a créé un tel buzz sur la Toile qu’elle est allée en studio enregistrer son premier album le lendemain de sa victoire ! Un comble pour cette jeune femme qui, née et élevée à la campagne, n’a eu accès à Internet qu’à dix-sept ans. Emji, c’est plutôt Belle des champs que mademoiselle Geek. « J’ai grandi dans un tout petit village. M’échapper, me rouler dans le foin, crier à tue-tête et chanter était ce qui me plaisait le plus. J’ai longtemps caché à ma famille que
je chantais, c’était mon jardin secret », raconte-t-elle. Un jour, alors qu’elle donne de la voix dans sa salle de bains en écoutant Starmania, sa mère l’entend. Elle a douze ans. « Pour ne pas être démasquée, je montais le son au maximum. Cela explique le fait que je chante si fort aujourd’hui, » rit-elle. Emji s’inscrit alors à la chorale de l’école puis écume les bals et mariages de sa région. Se répétant sans cesse cette phrase qu’elle a inscrite sur la fenêtre de sa chambre d’enfant : « Je serai chanteuse. » Normal donc, qu’à dix-sept ans, elle suive son amoureux du moment, un photographe de dix ans son aîné, à la capitale. Après un bac pro métiers d’art, elle devient costumière de théâtre, mettant la musique entre parenthèses. « Au bout de cinq ans, j’ai quitté mon amoureux. J’avais besoin d’indépendance. Etant passée de chez ma mère à chez mon mec, faire mes armes toute seule devenait vital », confie la gagnante. Elle quitte Aubervilliers pour un studio parisien et traîne dans les bars à musiciens. L’envie de remonter sur scène la démange. Emji intègre alors le collectif de musiciens Rouge Rouge 3, chante dans les rues de Ménilmontant la semaine, dans un bar du 11e le samedi. Puis dans le métro. La suite, on la connaît : Julien et Michaël, des fans qui ne rataient pas une de ses prestations à la station République, la poussent à s’inscrire à Nouvelle Star. Ils lui paient même son billet de train pour qu’elle participe aux auditions de Lyon. Un ticket gagnant pour celle qui vient d’embarquer dans un train à grande vitesse et jouera, en septembre, Milady dans le musical Les trois mousquetaires.

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Quatre jours après la disparition de sa maman, Mireille Mathieu a accompagné celle-ci jusqu’à sa dernière demeure. C’est dans le caveau familial d’Avignon que Marcelle repose désormais.

Des proches et beaucoup d’anonymes. L’église Notre-dame-de-Lourdes à Avignon n’avait pas accueilli tant de monde depuis longtemps. Trois cent personnes ont souhaité assister au dernier hommage rendu à Marcelle Mathieu. Mais c’est aussi la fille de la défunte, Mireille, que tous voulaient soutenir.

Selon France 3 Provence-Alpes, la chanteuse était “vêtue de noir, la tête couverte d’une voilette et serrant dans la main un chapelet”. Submergée par l’émotion, Mireille Mathieu est arrivée au bras de membres de sa famille. Suite à la disparition de sa mère à l’âge de 94 ans, l’interprète française était “dévastée” comme l’avait déclaré à l’AFP son attaché de presse peu après l’annonce du décès de Marcelle.

L’office religieux qui s’est tenu devant les 14 enfants de la défunte, et ses petit-enfants, a été rythmé par plusieurs phases musicales interprétées par des Petits chanteurs à la croix de bois. Ils ont notamment entonné Mille Colombes, la célèbre chanson de Mireille Mathieu.

La mère de la star a ensuite été inhumée dans le caveau familial du cimetière Saint-Véran où reposent déjà Roger, le père de la chanteuse, ainsi que Johnny Stark qui fut l’impresario de Mireille Mathieu.

Crédits photos : Robert Poulain / VISUAL Press Agency

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Plutôt discrète ces dernier temps, Laura Smet donne des nouvelles à ses fans sur son compte Instagram. Active sur le réseau social où elle compte plus de 29 000 abonnés, l’actrice a affolé la toile en postant un cliché où elle apparaît dans une élégante nuisette.

À 31 ans, Laura Smet semble être pleinement épanouie. Hier soir c’est d’ailleurs radieuse qu’elle est apparue au vernissage de l’exposition de Guy Bourdin au studio des Acacias.

Trois jours plus tôt, l’actrice avait posté une photo très sexy sur son compte instagram. Vêtue d’une jolie nuisette, la jeune femme a fait admirer ses courbes avantageuses. «Sexy lady», «trop belle», «merveilleuse Laura Smet dès le matin», «la femme de ma vie» peut on ainsi lire parmi les 50 commentaires de ses followers.

Après le tournage d’Imposture, un téléfilm destiné à France 2 dont la réalisation a été confiée à Julien Despaux (RIS, police scientifique, Accusé), Laura Smet est une trentenaire rayonnante.

«On m’avait dit que la trentaine annonçait un autre cap, confiait elle à Madame Figaro en septembre dernier. Je n’y croyais pas et pourtant, c’est vrai. J’ai aujourd’hui 31 ans et je me sens beaucoup mieux, plus mature, moins anxieuse. Aujourd’hui, je fais de la boxe, de la course et du yoga. Je n’ai plus peur du regard des autres. J’ai envie de devenir mère de famille. Je trouve que j’ai fait du bon travail. (…) J’adore cette phrase de Nelson Mandela que j’ai faite mienne : «Ne me jugez pas à mes succès mais plutôt à mes échecs et à ma capacité à me relever.»

Dans ce même entretien, l’actrice faisait aussi part de ses projets. «Quand j’apprécie vraiment un réalisateur, je n’ai plus peur de lui écrire et de lui dire que j’aimerais travailler avec lui. Pourquoi les réalisateurs pourraient-ils courir après les acteurs et pas l’inverse? (…) J’ai un projet au théâtre. Maintenant, je n’ai plus peur de la scène. J’ai envie d’oser.» Un leïmotiv qui semble aussi s’appliquer à son compte instagram.

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