Month: January 2020

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En ce début d’année, Le Grand Journal de Canal + en profite pour se renouveler. Enfin presque.

Janvier est là, et ce soir les talks-shows font eux aussi leur rentrée. Mais pour Le Grand Journal, c’est aussi l’occasion de se rhabiller et de tenter (encore) une nouvelle formule. Face à des chiffres d’audience de plus en plus faibles, l’émission menée par Maïtena Biraben fait peau neuve. Diffusée depuis septembre dernier de 18h49 à 20h09 dans interruption, Le Grand Journal comprend désormais deux parties, selon des informations de Puremédias.

À partir de 18h45, les téléspectateurs assistent d’abord au journal de Victor Robert, en direct et en plateau. Un JT suivi de la pré-interview de Maïtena Biraben. La deuxième partie quant à elle commence à 19h10 et va être consacrée au Grand Journal tel qu’il existait jusqu’à présent. L’invité, après avoir été interviewé se retrouve face aux différents chroniqueurs de l’émission. Selon un cadre de la chaîne cryptée, qui a accepté de parler à Puremédias, il s’agit ici d’une “volonté de la production, c’est de sortir l’interview face-à-face de Maïtena qui plombait les audiences”, a-t-il ainsi expliqué – en off .

Un modèle qui glisse doucement vers celui du Grand Journal version Antoine de Caunes. Mais qu’importe, tout doit être tenté afin de sauver le programme “phare” de Canal +. Car depuis la rentrée de septembre, l’émission voit ses audiences nettement chuter. Toujours d’après Puremédias, l’émission a réuni en moyenne 625 000 téléspectateurs entre le 7 septembre et le 18 décembre 2015, soit 3,2% de l’ensemble du public. Pourtant déjà en chute libre lors de la saison 2014–2015 (avec Antoine de Caunes) Le Grand Journal mobilisait à l’époque près de deux fois plus de téléspectateurs c’est à dire 1,1 million en moyenne, et 5,5% de parts d’audience.

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Crédits photos : Yann Bohac/SIPA

Depuis le début de la semaine, Cara Delevingne est à Paris pour le tournage du blockbuster de science-fiction Valerian. Entre deux plateaux, l’actrice et mannequin britannique profite de son temps libre dans la capitale. Hier, elle s’est ainsi rendue au musée du Louvre et n’a pas manqué de le faire partager à ses followers sur Instagram.

Pour décompresser de son rôle de Laureline (un des deux personnages principaux du film tiré de la bande dessinée Valérian et Laureline de Christin et Mézières) qu’elle campe dans le prochain film de Luc Besson, Cara Delevingne s’est offert une petite virée au musée du Louvre hier.

Une visite qu’elle a immortalisé sur son compte Instagram en partageant trois photos. Cara s’est même amusée à imaginer un dialogue avec Mona Lisa et à le scénariser sur le réseau social. Avec à la clé des mimiques expressives dont elle est une habituée.

Visiblement très décontractée, Cara ne se semble pas stressée outre mesure par la tournage du dernier blockbuster de Luc Besson et ses 170 millions d’euros de budget (un record pour un film français). À l’instar de sa petite escapade au célèbre musée parisien, la star des podiums compte bien utiliser son temps libre entre les tournages pour profiter de Paris. En compagnie de sa petite-amie St Vincent. Comme le rapportait le Sun le mois dernier, les 2 jeunes femmes auraient d’ailleurs choisi de s’installer dans leur quartier de prédilection : près du musée du Louvre!

Un proche de la famille avait déclaré au tabloïd : «Cara sera à Paris à partir de janvier et elle voulait un endroit qui lui serve de maison. St Vincent a des concerts prévus et devra s’absenter souvent… Mais c’est leur premier appartement ensemble.» Peu prolixe sur sa vie privée, Cara avait confirmé en juin dernier être en couple avec St. Vincent dans le magazine Vogue. «Être amoureuse de ma petite-amie me rends tellement heureuse, s’enthousiasmait-elle. C’est un miracle que ces mots sortent de ma bouche. Ça m’a pris un bon moment avant d’accepter l’idée d’être attirée par les femmes. Puis à 20 ans, je suis tombée amoureuse d’une fille et là j’ai dû l’accepter».

On risque fort de retrouver les deux amoureuses au front row de la fashion week parisienne qui aura lieu à la fin du mois.

Depuis plus de deux ans, Enora Malagré ne perd jamais une occasion de dire tout le mal qu’elle pense de Christophe Dechavanne. Ce fut une nouvelle fois le cas hier dans l’émission Touche pas à mon poste.

Si les relations entre Cyril Hanouna et Christophe Dechavanne se sont apaisées,les tensions persistent en revanche entre l’animateur de TF1 et la chroniqueuse de TPMP Enora Malagré.

Cette dernière s’est montrée très virulente hier sur le plateau de D8. «Effectivement, c’est un des plus grands, il a révolutionné la télé, a-t-elle d’abord commencé avant de ne pas ménager son meilleur ennemi. Mais la Révolution à un moment donné, on coupe des têtes! C’est un homme du passé, il est devenu ringard. Ça fait des années que le label Dechavanne ne fonctionne plus à la télé. J’en suis peiné pour lui. CHAC ça n’avait pas marché, La famille en or, on l’a arrêtée, ils avaient lancé des primes en 2015 qui ont été tournés et qui ont été foutus à la poubelle. Ils n’ont jamais été diffusés tant c’était mauvais. (…) Il avait du talent, il en a encore surement un peu mais plus pour la télé en 2016. Encore une fois, je juge l’homme de télé et pas l’homme qui cela dit est caractériel. Bon, ça c’est autre chose. Je le suis aussi. En attendant, il est terminé, j’en suis navrée place aux jeunes!”

Enora Malagré semble donc n’avoir cure des déclarations de Christophe Dechavanne en mars dernier sur Europe 1 qui avait déclaré. “Ce qui m’énerve, c’est quand ma fille [Christophe est père de trois enfants, Pauline, Paul-Henri et Ninon, NDLR] rentre après s’être engueulée avec quelqu’un assez durement. Et que ce quelqu’un a utilisé des propos qu’elle a entendus à la télé en disant ‘de toute façon, ton père, il est fini’, ça ne me plaît pas du tout, parce que c’est une influence désagréable. Ça me gêne, parce que c’est gratuit !”.

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Rappelons que parmi d’autres critiques au vitriol, Enora Malagré avait lancé en octobre 2013 sur le plateau de TPMP : «Ce n’est un secret pour personne, je n’aime pas ce monsieur. J’ai dit que c’était du temps où j’étais stagiaire. Je n’étais pas stagiaire mais je suis venue plusieurs fois sur le plateau où j’ai assisté à des choses. Ma meilleure amie était stagiaire chez lui. Je n’aime pas ce mec, du coup, je pense que lui non plus (…) Il est odieux dans le privé et ça, tout le monde le sait !”Ambiance ambiance…

S’il n’assistera pas aux obsèques de René Angélil, vendredi, Jean-Jacques Goldman n’en sera pas moins présent par la pensée au côté de Céline Dion. Il lui a surtout écrit la chanson qu’elle lui avait demandée et qui est dédiée à René.

Pour que tu m’aimes encore, S’il suffisait d’aimer, Et je t’aime encore…. Depuis leur première collaboration en 1995, après une rencontre sur un concert des Enfoirés en 1994 où ils chantèrent ensemble Là-bas, Jean-Jacques Goldman a écrit pour Céline Dion parmi les plus belles chansons de son répertoire. Une œuvre commune qui a permis à la chanteuse de devenir la star de la chanson qu’elle est devenue.

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Leur complicité dépasse même le simple cadre d’un studio d’enregistrement ou d’une production d’album. Jean-Jacques Goldman est devenu un proche de Céline Dion. Il connaît parfaitement les moindres détails de sa vie, elle qui lui a ouvert son cœur pour qu’il puisse lui écrire des chansons qui lui correspondent et révèlent son âme.

Aujourd’hui, avec la mort de René Angélil,Céline Dion traverse l’une des plus douloureuses épreuves de sa vie. Jean-Jacques Goldman est bien évidemment présent aux côtés de son amie, mais seulement par la pensée puisqu’il est retenu à Paris où doivent se dérouler les concerts des Enfoirés. Il lui a néanmoins offert le plus beau des cadeaux puisqu’il a écrit une chanson dédiée à René Angélil. Selon Le Parisien, elle s’intitule Encore un soir et figurera sur le prochain album de Céline Dion.

En novembre dernier, elle avait expliqué sur France Bleu: «Je lui ai demandé de m’écrire quelque chose qui ne soit pas juste beau mais une chanson qui devienne quelque chose d’important dans ma vie actuellement». Une chanson pour René donc, qui deviendra surtout importante dans la vie de Céline Dion, pour toujours.

Crédits photos : T.F.1-CHOGNARD/SIPA

Lundi soir, à l’occasion de la cérémonie des Festa De Esport Catala, Gérard Piqué est venu accompagné de sa charmante Shakira. Le couple, amoureux comme au premier jour provoque toujours autant d’admiration.

Pas toujours facile d’être femme de footballeur. Victoria Beckham et tant d’autres peuvent en attester. Mais Shakira a réussi à faire de son statut de “WAG” (Wife And Girlfriend qui désignent les compagnes de joueurs) une force. Si comme l’ex-Posh des Spice Girls, la Colombienne est également à la tête d’une belle carrière perso, c’est elle qui dans le couple semble porter la culotte.

Lundi soir, la chanteuse a accompagné Gérard Piqué à la cérémonie des Festa De Esport Catalana à Barcelone. Le défenseur du FC Barcelone a reçu le titre de “meilleur joueur catalan de la saison 2015” sous le regard admiratif de ses parents et de Shakira. Entre le sportif et l’artiste tout repose sur une admiration mutuelle sans bornes. Complémentaires et inséparables, Shakira et Gérard Piqué se sont d’ailleurs tenus par la main toute la soirée lundi. Comme des adolescents amoureux: ils rient ensemble, s’embrassent langoureusement et se racontent des petits secrets à l’oreille.

Au contact de Gérard Piqué de dix ans son cadet, Shakira goûte à l’éternelle jeunesse. Mère de deux enfants, Milan et Sasha, l’interprète de Waka Waka âgée de 38 ans n’affiche aucune trace du temps qui passe. Hier, c’est dans une mini-robe strassée et très échancrée sur les côtés qu’elle est apparue au bras de son homme. En couple depuis 2011, Shakira et Gérard fêtent cette année leurs 5 ans d’amour et de complicité sans faille.

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Pas moins de deux biopics ont été tournés sur le Saint-Père en 2015. En 2016, le Pape a décidé… de ne plus prendre de doublure.

Après Appelez-moi François de l’Italien Daniele Luchetti, Francisco : el padre Jorge de l’Espagnol Beda Docampo Feijoo…, le magazine américain Variety affirme que le pape François s’apprête à jouer son propre rôle dans Beyond the Sun, un film d’aventure sur fond de gospel destiné à enseigner le message de Jésus aux enfants. Une grande première ! Jusqu’à présent aucun pape ne s’était prêté à l’exercice.

Autour du projet, on compte le producteur Andrea Iervolino et Monika Bacardi, Lady de Bayfield Hall, créatrice d’Ambi Group, qui financeront et produiront le film, Graciela Rodriguez, en écrira la scénario et le co-produira avec Gabriel Leybu. Monseigneur Eduardo Garcia sera le conseiller en image du pape. Tous les bénéfices réalisés par la distribution du film seront reversés à des associations caritatives argentines notamment El Alemendro et Los Hogares de Cristo vouées à aider les enfants et jeunes adultes en difficulté.

« Notre enthousiasme et notre gratitude à l’égard de Sa Sainteté, le pape François est indicible », a confié Andrea Iervolino. Ce dernier a posté une photo de sa rencontre avec Sa Sainteté sur son compte Twitter. « Ce n’est pas seulement un film pour nous, c’est un message, et qui de mieux pour délivrer un message sociétal et spirituel que le pape, » a confié le producteur au magazine Variety.

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Jude Law qui vient de tourner la série The Young Pope, où il interprète Pie XIII, premier pape italo-américain de l’Histoire, n’a qu’à bien se tenir !

Kate Barry était la fille aînée, la grande soeur, celle qui savait rassembler le « clan Birkin ». Magie des anges: deux ans après sa disparition, en décembre 2013, exposée à New York, elle a permis à Jane et Charlotte de se réunir, au-delà de leur expérience personnelle de deuil…Par Maryvonne Ollivry

Fragilisée par une péricardite dysimmunitaire aiguë —une maladie auto-immune révélée en 2012, qui lui a valu de nombreux allers-retours à l’hôpital— Jane attendait que les médecins lui donnent l’autorisation de voyager sans risque. Elle est arrivée sur scène fidèle à elle-même, Converse aux pieds, large pull noir en V, féminité en baggy, comme si elle revenait de faire son marché. Charlotte l’a rejointe, tout de noir vêtue également, mais l’égérie de Comptoir des Cotonniers a joué de plus de sophistication. Souliers à talons hauts et bride minimaliste, veste cintrée au décolleté prononcé, coupe de cheveux et maquillage pimpants. Elles souriaient. Bien sûr. Comment aurait-il pu en être autrement? La soirée leur était destinée. Une prestigieuse soirée. Rien de moins que le lancement, ce 29 janvier, à la Film Society du Lincoln Center de New York – s’il vous plaît!– d’une rétrospective de leurs carrières d’actrice à toutes deux, intitulée Jane et Charlotte Forever. (…)

Depuis que Kate a rejoint les oiseaux du paradis en perdant l’équilibre à la fenêtre de son appartement, le 11 décembre 2013, Jane, Charlotte, Lou cherchent un nouvel ancrage. Dans ce gynécée d’exception, Kate, quarante-six ans, était la protectrice, la rassembleuse. Plus de demi-sœurs qui vaillent. Charlotte, de quatre ans sa cadette, Lou, née onze ans après, pouvaient compter sur leur aînée. Non qu’elle ait toujours été un roc. On sait que la fille du compositeur John Barry a eu une adolescence compliquée, en proie aux drogues et à l’alcool. Mais on sait aussi qu’une fois sortie de ses affres, elle n’a eu de cesse d’apporter son aide à ceux qui avaient sombré. Or voilà que soudain, celle qui incarnait « la bienveillance », qui « mettait les autres à l’abri de la vie », selon les mots de Jane, n’est plus. Vide, incompréhension, froid. « On a traversé une tempête dont on ne se remettra sans doute jamais », confiait il y a quelques mois Lou Doillon. Jane qui, en cette fin d’année 2013, se relevait tant bien que mal de ses ennuis de santé, a appris l’horreur à la sortie d’un gala à Besançon. La suite, elle l’a vécue comme on « vit » un deuil qui vous terrasse. Fracassée. Là sans être là. « Ces derniers mois, je suis beaucoup restée enfermée chez moi. Je regarde le papier peint. (…) Rien ne peut me consoler, confiait-elle un an après à Télérama. En tant que mère, je n’ai plus confiance en la vie. Avant j’étais sûre que rien n’arriverait aux miens si j’étais près d’eux. Maintenant… Une panique nouvelle est apparue pour les autres enfants. Ça change une vie. »

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Le deuil rebat les cartes. Le bel édifice familial tangue, chacun réagit comme il sent, comme il le peut. Jane se rappelle: « Je suis pratiquement née avec Kate. Je suis venue en France avec elle. Chaque souvenir est teinté d’elle. » Justement. Pour Charlotte aussi, les souvenirs étaient à vif. Paris respirait l’angoisse. L’intense chagrin de ne plus y retrouver Kate pour un oui, pour un non. Instinct de survie, Charlotte a choisi, elle, de partir. Loin. A New York. Avec Yvan Attal, son compagnon, et leurs trois enfants, Ben, dix-huit ans, Alice, treize ans, et Joe, quatre ans. Pas par fascination pour la ville dont il convient de vanter l’énergie ou pour fuir la France, mais parce qu’il lui fallait se retrouver « dans un endroit marqué du signe du rien”: « C’est vrai qu’on se disait depuis longtemps avec Yvan (Attal, ndlr) qu’on voulait partir vivre un jour en Amérique… mais un grand déménagement en famille, ça n’est pas évident, alors on repoussait. Mais avec ce qui est arrivé avec ma sœur, je ne pouvais plus rester. Je ne pouvais vraiment plus. Voilà… », a confié Charlotte au magazine Grazia. (…)

En France, restent Lou et son fils Marlowe, bientôt quatorze ans. Lou, aimante, admirative de sa mère, mais accaparée par sa carrière de chanteuse, elle qui a longtemps cherché sa vocation dans le clan Gainsbourg et qui, grâce à sa voix, se ressemble enfin. Lou chante. A travers le monde. Sa façon à elle de s’envoler et de survivre à la disparition de sa sœur. Charlotte cocoone son noyau familial, prépare un nouvel album, tourne avec son mari un film au titre clin d’œil, Heureux en France. « Maman découvre la solitude », constate Lou. Oui, c’est cela. Avoir soixante-neuf ans, devoir continuer sans Kate, subir d’un coup la cruauté de l’absence. Tout en s’obligeant à respecter la façon dont chacune souhaite faire son deuil. Il a fallu cette célébration d’exception au Lincoln Center. Et la permission, aussi exceptionnelle, d’un médecin de laisser partir Jane qui, pour rendre possibles ces retrouvailles, a fait fi de sa phobie de l’avion. Loin de la douleur. Sur scène, elles avaient quelque chose de beau, de presque joyeux dans le regard. Comme si, de là-haut, avec son aile d’oiseau, Kate avait dessiné sur leur visage le plus vrai des sourires.

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Crédits photos : PJB/SIPA

Leur idylle défraye la chronique et ils en jouent. Robert Kardashian, le petit frère de Kim, et Blac Chyna se sont langoureusement embrassés devant les paparazzis, faisant fi des critiques.

Ils s’aiment comme des enfants. Comme si personne ne les regardait. Et pourtant Robert Kardashian et Blac Chyna savent bien qu’ils sont épiés et ils en jouent. Leur couple provoque l’effroi de leurs familles respectives mais les deux jeunes gens s’en moquent. Hier soir à Los Angeles, les tourtereaux s’en sont donnés à coeur joie pour remettre de l’huile sur le feu.

À la sortie du cabinet de son dermatologue, Blac Chyna a aperçu les paparazzis faisant le pied de grue sur le parking et elle s’est jetée au cou de Robert Kardashian. La jeune femme n’a pas hésité à lui adresser un french kiss langoureux et débordant, immortalisé en photo. Moulée dans une combinaison de pilote verte satinée, l’ex-meilleure amie de Kim était ravie de pouvoir à nouveau afficher ses courbes dans les bras de son amoureux. Robert Kardashian, bien qu’un peu surpris par ce baiser fiévreux, s’est ensuite laissé aller à un fou rire taquin. Ils sont ensuite repartis, heureux de leur opération “bisou” dans la voiture de monsieur.

Ce “couple interdit” par le clan Kardashian vit très bien d’être ostracisé. Amour sincère ou stratégie de communication perverse? Le frère Kardashian et la bimbo s’amusent en tout cas de voir la presse relater leurs aventures et faire enrager Kim, ses soeurs et leur mère. Le magazine People affirme que Robert et Blac Chyna ne sont pas fiancés mais on les croit capables de bientôt franchir le cap et faire de la starlette une nouvelle héritière du clan Kardashian…