Terminator: Genesis : Schwarzenegger évoque un “scénario fantastique”

Interviewé par le site américaine The Arnold Fans, l’ex Governator Arnold Schwarzenegger a tenu à rassurer les fans : “Terminator: Genesis”

Schwarzy dans “Terminator 2”

© 1991 STUDIOCANAL

“La préparation pour le film avance bien. Le scénario est fantastique et je suis très impatient de faire ce film.” Interrogé par le site The Arnold Fans, Arnold Schwarzenegger se montre donc confiant quant au nouvel opus de la franchise, dont le tournage doit débuter à la Nouvelle-Orléans durant la 2ème quinzaine d’avril. L’ex Governator apporte également son soutien au producteur David Ellison, qui lance donc cette nouvelle trilogie et qui dispose de “beaucoup d’argent pour bien faire les choses.”

Reboot et prequel en même temps, Terminator: Genesis se concentrera sur l’histoire du père de John Connor, Kyle Reese, incarné par Jai Courtney (Die Hard : belle journée pour mourir). Le film sort en salles le 1er juillet 2015.

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Thomas Destouches avec TheArnoldFans.com

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All Those Complaining About Grihalakshmi Cover Must See This Indian Postal Stamp From 1984

Indians have earned a distinction of being easily offended. Even, over a picture of a thing as natural as breastfeeding can hurt sentiments easily and is often considered as a vulgar representation of women. Collective sigh?

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If you happened to be active on internet during the last week, you would be aware of the controversy stirred by Gilu Joseph’s cover for Grihalakshmi, featuring the 27-year-old actress as a breastfeeding mother.

Many are fretting over the picture for being salacious. Kerala advocate Vinod Mathew Wilson has gone a step further by filing a case against the magazine by contending that offences under Sections 3 and 4 of the Indecent Representation of Women (Prohibition) Act, 1986 have been committed.

VIDEO – Shy’m revient sur sa douloureuse chute à Bercy

Il y a deux ans, en 2015, Shy’m décidait de sauter dans le public lors d’un concert donné à l’AccorHotels Arena et se vautrait par terre. Une séquence mémorable sur laquelle la chanteuse est revenue.

« Et alors ? » pourrait dire Shy’m en repensant à sa chute mémorable à L’AccordHotels Arena. En novembre 2015, Shy’m faisait acte de résistance en se produisant sur la scène de l’AccorHotels Arena de Bercy, seulement trois jours après les attentats de Paris. Bravant la peur et le danger, la chanteuse y avait mis tout son cœur. Plus que son public qui s’était lâchement écarté au moment où elle s’était élancée pour un bain de foule, la laissant s’écraser de manière peu glorieuse sur le sol.

Deux ans plus tard, la chérie du tennisman Benoît Paire a accepté de revenir sur cette chute dans une interview accordée à Thomas VDB et a affirmé que cette dernière n’avait pas été sans séquelle. “Avant que je le fasse, c’était beaucoup de groupes de rock, et je pense que j’ai été la première artiste populaire à le faire. C’est vrai que je l’avais fait plusieurs fois avant de m’exploser la tronche par terre cette nuit-là. Je vais vous confier quelque chose, j’ai perdu mon incisive droite à cause de cette chute. Mais ça a été difficile à vivre et puis finalement quand j’ai vu qu’il y avait beaucoup d’artistes qui m’ont soutenue, j’ai trouvé ça sympathique.”, rapporte le site Non Stop People

Toutefois, cette version des faits est très différente de celle que Shy’m avait donné au micro de RFM en décembre 2015. A l’époque, l’interprète du titre Et alors! affirmait que son public l’avait rattrapée et qu’elle avait seulement souffert d’un « petit bleu »: “Je ne suis pas en sucre, mais je pense que je m’en serais sortie différemment si je m’étais écrasée par terre. Disons que le public a eu une réception basse, ce qui donne cette impression. Mais il y a eu réception quand même.” Deux ans plus tard, elle assume avec humour et préfère rire de cette mésaventure…

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Crédits photo : CVS / Veeren / Bestimage

“Wrong Cops” : une promo pas comme les autres !

A une semaine de la sortie de “Wrong Cops” de Quentin Dupieux, le distributeur fait le point sur les opérations mises en place autour du film. Une promo aussi originale que le film lui-même…

© Quentin Dupieux

 

A l’occasion de la sortie en salles de Wrong Cops, le nouveau film de Quentin Dupieux, le distributeur UFO Distribution a mis les petits plats dans les grands ! Depuis 5 semaines déjà, les salles MK2 diffusent un teaser différent chaque semaine. Les aficionados des salles de cinéma ont pu s’en rendre compte, saluant ainsi une initiative permettant d’éviter de lasser les spectateurs.

 

En outre, tous ceux qui iront voir Wrong Cops recevront 10cm de pellicule de Rubber. Le pneu tueur, que l’on avait vu débarquer dans nos salles en 2010, sera divisé puis réparti, dans la limite des quantités disponibles bien sûr…

 

Parmi les autres opérations mises en place, on peut noter la voiture de flics américaine aux couleurs du film qui se déplacera dans Paris les week-ends du 15-16, 22-23 mars et stationnera à proximité des MK2 Quai de Seine et Quai de Loire, MK2 Bibliothèque, quartier Odéon/St Michel, esplanade MK2 Bibliothèque, quartier Opéra, Champs Elysées ainsi que la présence d’homme sandwich qui déambuleront dans ces même quartiers. Soyez attentifs, des invités surprises (Marylin Manson peut-être ? Ou la belle Roxane Mesquida ?) pourraient se prêter au jeu…

 

© Quentin Dupieux


Des totems seront également mis en place dans une vingtaine de cinémas et les futurs spectateurs pourront se prendre en photo en WRONG COPS.

 

Rappelons que ce film, sur nos écrans le 19 mars prochain, est une fresque comique où s’entremêlent les destins de flics au comportement malsain et dérangé. Au casting, on retrouve Eric Judor, l’acteur fétiche du metteur en scène mais aussi Marylin Manson, méconnaissable sans maquillage !

 

M.D

 

 

Victoria Beckham émue : elle n’est pas prête à voir son fils Brooklyn partir pour la fac

Invitée du Late, Late Show de James Corden, ce jeudi soir, Victoria Beckham a fait part de son appréhension de voir prochainement son fils Brooklyn quitter le nid familial pour vivre sa vie universitaire.

C’est le lot de tout parents de voir sa progéniture faire, un jour, son baluchon, l’esprit exalté de dire adieu au domicile familial. Et si pour l’enfant, ce moment symbolise l’arrivée devant un océan de liberté, certains parents s’accrochent parfois aux amarres pour maintenir l’esquif à quai. Cela s’appelle en psychologie « le syndrome du nid vide », une forme de dépression qui se traduit par un sentiment d’abandon et de vacuité quand les enfants quittent le domicile familial. À en croire de récentes statistiques 35% des parents (surtout des mamans) traversent cette période où se mêlent joie, bonheur, fierté et profonde tristesse.

Un déchirement auquel Victoria Beckham craint d’être sujette dans quelques temps. En effet, l’ex-Spice Girl vient de confier sur le plateau du late show de James Corden que cette année allait voir son fils Brooklyn faire son entrée à l’Université. Aussi après avoir rappelé la fierté qu’elle ressent à voir l’aîné de ses enfants âgé aujourd’hui de 18 ans s’épanouir chaque jour un peu plus notamment à travers sa passion pour la photographie, la styliste de 42 ans a évoqué, quelque peu émue, ce prochain départ : « Mon bébé s’en va, il part à l’université. Je sais que ça va l’agacer, mais je passerai beaucoup de temps à aller le voir sur place ».

Rebondissant sur cette confidence, l’animateur lui a alors demandé si elle allait être le genre de mère « à prendre des nouvelles tous les jours ou à l’appeler dès qu’il rentre à la maison » ; « à 100% ! » a alors répondu « Posh Spice ». Mais qu’elle se rassure, ses fils Romeo (14 ans), Cruz (12 ans) et sa fille Harper (5 ans), eux ont plus que jamais besoin de leur maman. Cette dernière qui s’est montrée très enjouée hier soir aux côtés de James Corden en participant à la bande-annonce d’un remake du film Mannequin sorti en 1987 ; quelques minutes durant lesquelles Victoria Beckham dévoile ce qui était jusque-là resté tapi dans l’ombre, son second degré.

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Après “Dark Touch”, Marina de Van veut adapter Stefan Zweig [INTERVIEW]

Marina De Van est multi-cartes. Romancière, actrice, scénariste pour François Ozon et réalisatrice entre autres du troublant “Dans ma peau”, elle revient derrière la caméra pour “Dark Touch”, conte horrifique qui sort en salles ce mercredi 19 mars.

© KMBO

 

Marina De Van est une artiste multi-cartes. Romancière, scénariste notamment de François Ozon (Sous le sable, 8 femmes…), actrice chez ce même François Ozon (Sitcom) ou chez Pascal Bonitzer (Je pense à vous) et réalisatrice de longs métrages (Dans ma peau, Ne te retourne pas…), elle revient derrière la caméra pour Dark Touch, film d’horreur tourné en langue anglaise qui sort en salles ce mercredi 19 mars.

 

Pourquoi avoir choisi de faire un film de genre ?

-Je voulais faire un film sur l’abus d’enfants et le fantastique permet d’incarner ce qui est à l’intérieur de nous de manière extérieure et concrète, comme des symptômes. L’héroïne a été victime d’un traumatisme, mais elle n’a pas pleinement conscience de son agression. Au cours du film, elle accède à ses émotions en découvrant ses pouvoirs surnaturels. La télékinésie montre comment cette petite fille, d’abord incapable de cerner sa blessure, transfère son angoisse à des relais extérieurs. Et puis le cinéma de genre permet d’aborder le thème de la maltraitance infantile de manière légère. Le traiter avec réalisme comme un drame social aurait été assez lourd. Le genre m’a permis de rester dans quelque chose qui a vocation à distraire. Après, je ne suis pas fan des films d’horreur, j’en ai vu bien sûr, j’aime bien cela, mais je n’en ai pas une connaissance encyclopédique. Si je n’ai jamais pensé mon film en termes de références, il y a tout de même des clins d’oeil à Carrie au bal du diable ou au Village des damnés.

© KMBO

Il semble difficile de monter un projet de film de genre en France. Avez-vous rencontré des difficultés pour “Dark Touch” ?

-En France, pour tourner avec des enfants, on est soumis à la commission de la DDASS. Celle-ci a catégoriquement refusé mon scénario, sans vraiment de raison : il n’y a pas d’abus explicite fait aux enfants, et les scènes sont écrites et tournées de manière à ce qu’ils ne soient jamais en contact direct avec la violence. Et puis le sang sur un tournage, c’est hilarant pour les enfants, ce sont des gros pots de liquide rouge poisseux. Même verbalement, il n’y a rien de brutal dans mon film. La jeune actrice ne savait même pas qu’il y avait une implication sexuelle, je lui avais juste dit que ses parents l’avaient battue… Mais bref, la DDASS a refusé et on s’est retrouvés obligés de se tourner vers l’étranger et de faire le film en anglais.

Les fictions récentes qui traitent de maltraitance infantile (comme “The Secret”, “Prisoners” ou la série “True Detective”) mettent en cause la communauté dans son ensemble, on a le sentiment que vous adoptez le même point de vue dans “Dark Touch” ?

-Je n’ai pas cette impression, je ne dis pas que la communauté est responsable ou même complice. Je montre simplement que la relation parents/enfants peut être sadique. De toute façon, ce n’est pas comme cela que j’aborde mes films. Je traite davantage de questions d’identité, d’un rapport de soi à soi. Pour mon prochain film, j’aimerais adapter “La Pitié Dangereuse” de Stefan Zweig.

 

Propos recueillis par Nicolas Journet

La bande annonce de “Dark Touch”

PHOTO – Sylvie Tellier canon en bikini, la naïade se dénude au soleil

Personne n’est resté insensible à la chaleur estivale qui a envahi la France ce weekend. Les stars aussi ont tenu à profiter du beau temps, et Sylvie Tellier a même passé son dimanche à faire bronzette en bikini dans le sud de la France. Une fois encore, la boss des Miss France dévoile un corps de rêve!

Pour Sylvie Tellier, l’été a déjà commencé… Et pas question d’en perdre une miette. La patronne des Miss France a partagé ce dimanche 9 avril sur Instagram une photo d’elle en maillot de bain, prouvant qu’elle profitait à fond du soleil de ces derniers jours. « En avril, ne te découvre pas d’un fil » a-t-elle écrit, taquine, en commentaire du cliché. « J’aime vivre dangereusement » a-t-elle ajouté, en faisant allusion à sa tenue estivale. Comme à son habitude, l’ex-reine de beauté de 38 ans exhibe une silhouette gracieuse et athlétique, et un teint délicatement hâlé. Son bikini, bleu, noir et jaune fluo, lui va à ravir. Sur les orteils, elle arbore un vernis noir assorti.

En avril ne te découvre pas d'un fil… #jaimevivredangereusement #Avril #ootd #printemps #porquerolles #familytime

A post shared by Sylvie Tellier (@sylvietellier) on Apr 9, 2017 at 5:56am PDT

Son corps musclé, Sylvie Tellier l’entretien avec attention. Sur son compte Instagram, ses fans voient régulièrement la belle blonde en pleine séance d’exercice. Musculation, footing, randonnée… La jeune maman est une grande sportive.

Ne rien lâcher… jamais… ??️‍♀️? #Sport #Training #souffrance

A post shared by Sylvie Tellier (@sylvietellier) on Apr 6, 2017 at 11:27am PDT

C’est en famille que la belle est visiblement partie se ressourcer. Comme destination, elle et les siens ont choisi l’île paradisiaque de Porquerolles, au large d’Hyères, dans le sud de la France. Sur la photo, on voit Sylvie Tellier à la proue d’un bateau, tournée vers la mer. On devine à ses côtés son compagnon Laurent, et ses deux enfants, Oscar (6 ans) et Margaux (3 ans). Quoi de mieux qu’une sortie sur les flots, et une journée entière en maillot, pour fêter le début de la saison estivale ?

Crédits photos : VILLARD/SIPA

Jesta et Benoît (Koh-Lanta) : retour un an après sur le lieu de leur coup de foudre

Un an après leur rencontre sur le tournage de Koh-Lanta, Jesta et Benoît sont repartis au Cambodge pour faire découvrir le pays de leur rencontre à leurs parents respectifs.

Jesta et Benoît s’aiment comme au premier jour. En couple depuis neuf mois, le gagnant et la finaliste de la seizième saison de Koh-Lanta ont décidé de s’offrir un voyage de rêve au Cambodge, pays de leur rencontre. Après avoir visité les temples d’Angkor dans le nord du pays, les deux tourtereaux ont mis le cap au sud et séjournent depuis peu sur l’île de Koh Rong, où avait été tournée la célèbre émission de survie. Preuve que leur histoire d’amour est sérieuse, Jesta et Benoît ont également convié leurs parents à ce voyage synonyme de retour aux sources. Des instants de bonheur qu’ils n’ont bien évidemment pas hésité à partager sur les réseaux sociaux.

Inséparables, Jesta et Benoît vivent aujourd’hui ensemble dans la banlieue de Toulouse. Fou amoureux, le jeune homme n’a d’ailleurs pas hésité une seule seconde à quitter son poste d’entraîneur de football à Lorient pour rejoindre sa moitié. Et si leur relation a un temps fait polémique, les rumeurs murmurent aujourd’hui que le jeune couple envisagerait de se fiancer. En revanche, si la belle brune considère que son compagnon comme « l’homme de sa vie », elle n’envisage pour le moment pas de fonder une famille : « Pas de bébé en vue », a-t-elle fait savoir à ses fans.

Crédits photo : Instagram @jestakohlantaoff

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‘Mercedes still believes in me,’ says George Russell

George Russell says that he is confident that Mercedes still believes in him and in his potential as a future Formula 1 star – even if they don’t say it very often.

The Mercedes junior completed last year his maiden season in F1 with Williams. Although he was the only driver on the grid not to manage to secure a championship point in 2019, he doesn’t believe that it’s done any harm to his standing with the Silver Arrows, quite the contrary.

And the news of Max Verstappen extending his stay at Red Bull until 2023 eliminates a prime candidate for a potential seat at the German manufacturer’s team  in 2021, increasing Russell’s chances of stepping up to the Silver Arrows squad.

However, the 21-year-old admitted that the Mercedes management could be hard to read at times, and was rarely fulsome with any praise despite his impeccable performances.

“[Mercedes] won’t tell me when I’m doing a good job,” Russell told Autosport magazine. “They only tell me when I’m not doing a good job!

  • Claire Williams has been ‘blown away’ by George Russell

“I’m in contact with them every week and I always see them at the races,” he said. “They’re definitely pleased with what I’m doing at the moment.”

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“They believe in me,” he insisted. “They believe I’ve got the potential. And I also think about it in a similar way.”

Russell said that Mercedes’ approach suited him perfectly and that he understood the team’s mindset when it came to developing drivers.

“I’m being paid to deliver to a very high level,” he said. “When I do that, it’s what I’m being paid to do.

“If a postman delivers his post, he doesn’t get a pat on the back because he delivered his post – it’s part of the job,” he explained. “My job, I should only be getting a bollocking if I don’t perform to a level.

“When I raced GP3 and I won [the title] I got a phone call to say ‘Well done’,” he recalled. “But straightaway we were talking about doing Formula 2, and doing FP1 sessions with Force India.

“When I went to Formula 2, it was clear that the goal was to win, and ‘If you win you win an F1 seat’. I won the championship [and so it was] ‘Well done, now it’s F1’,” he continued. “That’s the mentality.”

Russell explained that the high expectations ran to every part of the Mercedes operation, from top level management to the shop floor and support services at Brackley.

“The chefs in catering, they’re employed to deliver great food. The aerodynamicist is employed to deliver a great aero car. Engineers and strategists are employed to perform a great strategy and set-up,” he said. “It’s just the world we live in.”

“But they do appreciate it when you do something special,” Russell added.

Meanwhile Russell will be focussing on his ‘day job’ at Williams, hoping to avoid some of the problems that kept the team at the back of the grid for much of 2019.

“We had to look at the basic structure of the car,” Russell told Germany’s Auto Motor und Sport publication. “There were aspects that were fundamentally wrong.

“Something was wrong with the aero, the downforce was not constant,” he admitted. “We had to start from scratch when it comes to the downforce, but since then we’ve been on a good path.

“We didn’t see any progress in the wind tunnel for a long time but the trend is different now,” he added. “We will definitely be better in 2020.

“I expect that we will fight the others more often, but realistically it will be another difficult season for us.”

Russell is hoping Williams can follow the example set by McLaren, which recovered from a disastrous season in 2017 to finish ‘best of the rest’ behind the big three teams just two years later in 2019.

“If we can do a similar step and Haas, Racing Point and Toro Rosso don’t make much progress then we will be in a very strong position. But if they all find a second or two then we will stay where we are.”

Gallery: The beautiful wives and girlfriends of F1 drivers

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Kenzo to skip men’s fashion week in Paris

Kenzo has confirmed that it will skip men’s fashion week later this
month in favour of Paris women’s fashion week in February.

In a short statement, Kenzo said that Felipe Oliveira Baptista, who was
confirmed as the new creative director in July 2019, would be showing his
first collections for the house during women’s Paris fashion week.

Baptista’s debut collection for Kenzo will be for autumn/winter 2020 and
will be for both men and women, the brand confirmed.

The fashion houses didn’t give a reason for the change of plan.

Baptista succeeds designers Humberto Leon and Carol Lim, who were at
Kenzo for eight years. He joined Kenzo from Lacoste, where he was creative
director from 2010 to 2018.

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Image: courtesy of Kenzo by Karim Sadli